Titre : "Les Petites A" : organe de la Fédération régionale havraise des amicales laïques : journal mensuel / rédaction M. M. Pimon
Auteur : Fédération régionale havraise des amicales laïques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1933-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328381105
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1933 01 janvier 1933
Description : 1933/01/01 (N74)-1933/01/31. 1933/01/01 (N74)-1933/01/31.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k982712k
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-46425
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 08/06/2015
( I > ] K
lr\ U y> o
Septième Année. — N° 74
Journal ne doit pas être vendu
Le réclamer au Siège de chaque Amicale
Janvier 1933
Présidents d’Honneur :
MM. BACH et L. MEYER.
Vice-Présidents d’Honneur:
MM. E. VITTECOQ
N. CAPPERON
G. LEFEBVRE
M"'* J. CANTOIS
L. DURIEZ
H. PIMONT
A. BOULINGUE
A. Gr. N» 3762
Organe de la Fédération Régionale Havraise des Amicales et des Œuvres Laïques
JOURISTAL MENSUEL
Publicité : A. CANDELLIER
5, Rue des Etoupières - LE HAVRE
Rédaction: M. PIMONT
109, rue Massillon - LE HAVRE - Tél. 96.91
Secrétaire Général de la Fédération :
Président actif :
Secrétariat administratif :
Trésorier
Général de la Fédération :
M. CANDELLIER, Ecole des Etoupières - LE HAVRE
M. ARNAUDTIZON
Ecole de Filles
M. ROUSSEL, 36, rue Sadi-Carnot, SANVIC - Tél. 60-18
Téléphone 46.38
19, Bd Foch, LE HAVRE Tél. 66-51
Rue Dauphine - LE HAVRE
Cliècivies
Postaux Rouen 6234=
FOUS U Ï1E DO JOOBML
Le Bureau de la Fédération Havraise, après
avoir entendu le rapport du Gérant concernant
la gestion 1932 d'une part et d'autre part le
compte-rendu de ses démarches pour la publi
cité qui en 1933 doit contribuer à la vie de
notre organe fédéral :
Félicite de son activité M. Candellier qui
dans des conditions particulièrement difficiles
a réussi, sans modification des conditions du
service tel qu'il fonctionne depuis 6 ans, à
en assurer pour l'année nouvelle la continui
té ;
Se déclare ému de l'excellent accueil reçu
auprès de nos annonecurs qui, malgré les con
ditions très dures dans lesquelles se trouve ac
tuellement le commerce général et local, nous
prouvent un attachement et une sollicitude
indéfectibles ;
Apprécie la fidélité de nos annonceurs an
ciens et la confiance des nouveaux ; prie nos
lecteurs de reconnaître l'aide puissante que
nous en recevons en réservant leur clientèle
et, dans la mesure du possible et selon leur
influence, celle de leurs amis et relations ;
Adresse ses remerciements sincères à tous
ceux dont il décide de publier la liste en tête
du n° 74, premier de l’année nouvelle :
Photographie Mellet, Adam (Le Sport),
Grand Bazar, R. Bellanger et Pivain, David
(Aux Bûcherons), Galeries du Havre, Turlure
(Au Petit Paris), Cahard, restaurateur, Librai
rie Delahaye, A Faidherbe, Macquet (A la Bot
te d'Or), Bijouterie Leleu, Gardin, armurier,
Lang (Aux Quatre Nations), Horlogerie Gali-
bert, les 15 annonceurs qui nous sont fidèles
depuis 7 ans ;
Maison Flambart, Bains-Douches de Saint
François, Bières Polaire, Union des Coopéra
teurs, depuis 6 ans ;
Maison Lacroix (Vêtements), Ponce (A la
Bergère), La Nation (Assurances), Société
Nestlé b rance, Bredaz et Tenart (une 1 Lenor-
mand), Delahaye (couverture), depuis 5 ans.
Maison Carpentier-Lefebvre (cycles, depuis
4 ans en 2 séries.
Select-Pathé (cinéma), Longuemare (Roi des'
Vins), Coronel (fourrures), Etablissements Le
page, depuis 3 ans ;
Fauvet (chapelier), Magne (Pianos Hof-
mann), Baudry (T. S. F.), Delaunay-Lepilleur
(bonneterie), Hôtels Hamon et Bellevue, A.
Picard (opticien), depuis 2 ans ;
Maison Delamare (Pathé-Rural), Citroën (au
tomobiles), 2 ans en 2 reprises, et enfin les
nouveaux de l'année dont l'adhésion nous est
précieuse ;
Horlogerie Milliaud fils, Lafarge (Maroqui
nerie), Pyée ( coiffeur), Picard (électricien),
Multipl’s (sièges emboîtables).
VOULOIR, C’EST POUVOIR
ou
ILS ONT VOULU... EUX !
Pendant de nombreux mois, on a pu lire
dans notre Journal « Les Petites A », dûment
encadré, un appel aux laïques de la région ;
« Il nous faut un terrain fédéral de Sports ».
« Nous voulons un terrain fédéral ».
Une pétition fut mise en circulation qui,
au lieu des i.ooo signatures attendues, en re
cueillit tout de même 2.364 et fut présentée
à notre Président d’honneur, M. L. Meyer,
député-maire du Havre ; cette pétition com
prenait un exposé des motifs, établissait une
discrimination judicieuse et sincère entre l’u
sage d’un terrain fédéral à Montgeon (terrain
d’entraînement post-scolaire laïque) et celui
du Stade Municipal alors presque achevé (ter
rain public de compétitions et de fêtes), joi-
Faites vos Achats chez
ILLI1DD RIS
Le Bijoutier de la Place Thiers
(à côté du Printemps)
)XX<
Le mieux assorti en Montes et Bijoux
Remise 10 % à nos Sociétaires.
g liait même des plans très clairs établis par
des technicien^. ne o Mai 1902, un Congrès
valait un ordre du jour demandant encore le
terrain fédéral.
Qu’avons-nous ? Rien.
Je me tourne vers les sportsmen, les spor
tifs et les pontifes et je leur d's : « Vous
n’avez pas votre terrain parce que vous n’avez
pas voulu ».
Je le leur dis d’autant plus facilement
qu’ils ne sont pas près de moi, car s’il en
était autrement, leurs clameurs indignées
m’empêcheraient sans doute d’en dire davan
tage.
Et je répète avec toute ma conviction :
« Vous croyez avoir voulu, mais vous n’avez
pas vraiment voulu, car Vouloir, c’est Pou
voir ».
— Prouvez-le !
— Je le prouve. D’aboid par 3 exemples
locaux, ce qui montrera qu’au Havre même
on sait vouloir,^et par un 4 mc , pris ailleurs
et qui vous convaincra peut-être parce qu’il
est de taille et plus « sportif » que les 3 au
tres.
i° - En 1922, les cours fédéraux de chant
et d’exercices rythmiques a\aknt lieu à Ras-
pail chaque dimanche. Or, piol'esseurs, élèves,
vice-présidentes se lamentaient. « il nous fan-,
dr.iit un piano ». Le Trésorier d’alors répon
dait : « Le piano qu’il vous faut coûte 4-ooo
francs. Je n’ai et n’aurai jamais de crédits en
caisse pour un pareille dépense ». A une réu
nion où les doléances se renouvelaient pour
la n ieme fois, quelqu’un se leva et dit simple
ment : « Mesdames, je vous offre ce piano ».
On le crut fou, car ses moyens personnels ne
lui permettaient pas semblable libéralité. Deux
mois après à la suite d’un labeur acharné de
ce quelqu’un, le piano était là et le trésorier
encaissait une ristou -v d; ê3a francs--en as
precés. Ce n’est pas un conte allez rue Ras-
pail, le piano ne sert plus à la Fédération que
le jour de l’audition musicale annuelle, mais
il est là. •
2 0 - Depuis la disparition de 1’ « Alerte »,
société qui eut son heure de célébrité, les ti
reurs n’avaient point de lieu néutre et bien
agencé de compétition. « 11 nous faudrait un
stand ». Deux hommes, vous entendez bien
2 hommes dirent ; « Noiis l’aurons ». Ils le
dirent en Novembre 1922. Le i er Mai 192.3,
la Maison des Tireurs ouvrait ses portes avec
une dette de 27.000 francs. Les deux tiers de
la somme sont remboursés en ig33 et la Mai
son des Tireurs, propriété de la Fédération,
vaut 45.ooo francs à L’heure actuelle.
3° - En Juin 1932, le Pat.oriage Laïque dès
Etoupières dont l’œuvre reposait à peu près
sur les recettes de son cinéma populaire s’a
perçut que le Cinéma parlant était en train
de tarir sa source de revenus. « Il faudrait
nous transformer en Cinéma parlant ». Coût :
plus de 45.ooo francs (chiffre établi au plus
juste). Un homme se leva et dit : « Nous au
rons le Cinéma parlant ». L,?, 11 Novembre,
il était réalisé.
Quand je disais : Vouloir, c’est pouvoir !
Enfin mon 4 me exemple. — La Fédération
départementale de Seine-et-Oise disait comme
vous : « 11 nous faut un terrain fédéral de
Sports ». Des hommes ont dit : « Nous l’au
rons ». Ceci se passait en ig3o. Or, le 17 Juil
let 1932, dans une Fête magnique le Stade fé
déral d’Auvers-sur-Oise était inauguré: 12.000
mètres carrés, stade permettant la pratique du
foot-ball, du basket-ball, des sports athléti
ques, tennis, boulodrome, salle de gymnasti
que avec agrès, théâtre de verdure pour mu
sique chorale, instrumentale, danses rythmi
ques, jardins botaniques scolaires. Projets :
natation, aviron, salle de représentations, bi
bliothèque, salle de jeux.
Devis total, 273.000 francs. Subvention,
68.25o francs sur les fonds de l’outillage na-
tional. Lne propriété de 3oo.ooo francs qui
va permettre à la Fédération de Seine-et-Oise
d'acquérir la reconnaissance d’utilité pnbli-
que, génératrice de nouvelles possibilités de
subventions. Or, ce terrain fédéral n’est pas
un etablissement d’exploitation commerciale
du sport. La jouissance en est gratuite pour
les Sociétés fédérées et l’entrée aux fêtes n’est
jamais payante pour le public : pas de tour
niquets, pas de places réservées, pas de places
populaires.
Et l’exemple est contagieux, 4 autres Stades
vont s’ouvrir en ig33 dans le même départe
ment.
Ils ont voulu, vous dis-je !
Et vous, Havrais, voudrez-vous !
P. A.
XXX
Note. — Mon ami Vittecoq me souffle :
« Et quand nous avons voulu « Les Petites
V.
A », journal gratuit, ne l'avons-nous pas
eu » ?
C’est vrai, et je me souviens d'avoir ren
contré M. Risson$ qui nous a dit : « Vous
avez de l’estomac », C'est la moralité de moti
article : a Avoir de l’estomac », c’est vouloir,
au sens absolu du mot.
LA VIE CONFEDERALE
PAUL BERT
La Ligue de l'Enseignement signale aux
Fédérations dépar'érncntales et à toutes les
Œuvres Laïques que) le Centenaire de la nais
sance de Paul Bert. le grand animateur sco
laire de la /// me Ijépublique vient en Fmin
1933. Elle les iiirilv à placer toutes leurs
grandes manifestations « sous l’évocation de
l'homme qui personnifie le mieux le vrai ca
ractère constructif dfi la Laïcité ».
La Ligue tient itjia disposition des Laïques
le document édité ch 1932 sur Paul Bert (fran
co : 1 fr. 50). Nous rappelons que le journal
des Petites « A » a publié un texte de Confé
rence sur Paul Bert dans les numéros d’août
et septembre 1931.
*
* *
Récompenses de la Confédération
Certaines Sociétés fédérées et confédérées at
tachent du prix aux récompenses de la Ligue
de l’Enseignement. Files y voient, à bon titre
un moyen de rec •\aître et d’encourager les
Services Tendus a lTLuvre laïque.
Il leur est fait savoir qu’elles doivent de
mander ces récompenses par le canal de la
Fédération départementale un mois avant la
date qu’elles ont choisi pour leur distribution.
Pour la Région havraise, s’adresser à la Per
manence, Ecole rue Dauphine, Le Havre.
i° - Lettre de félicitations gratuite
2 0 - Diplôme d’honneur 6 fr.
r Fédération Régionale Havraise des Œuvres Laïgues
et Comité Havrais de Défense Laïgue
MERCREDI 15 FÉVRIER 1933, à 20 h. 30
Wk
3° - Médaille de bronze avec di
plôme
4° - Plaquette argentée avec diplô
me (frais d’expédition en sus)...
2i fr.
3o fr.
LE BULLETIN CONFEDERAL
Nous attirons l’attention des Sociétés confé
dérées sur l’utilité et nous oserons même dire
la nécessité pour elles d’avoir un abonnement
au Bulletin confédéral « L’Action Laïque » pa
raissant tous les deux mois. Le numéro est
vendu 2 francs, mais l’abonnement annuel
est réduit à 5 francs. Alors que le Rhône
compte 335 abonnements, la Loire 290, la
Seine-et-Oise 282, l’Isère 260, etc., la Seine-
Inférieure arrive au i9 rae rang sur 66 Fédéra
tions avec 33 abonnements seulement. Or, le
Bulletin est une source très intéressante d'in
formations. Nous donnons, à titre d’exemple
le sommaire du n° 65o, Novembre-Décembre
1932.
SOMMAIRE
Paul-Bert.
Vie Confédérale. — Réunion du Conseil gé
néral - L’action de la Confédération chez M.
le Ministre et chez M. Rosset - La gémination
- La nomination des instituteurs dans les Eco
les mixtes - La Révision de la Carte scolaire -
La question des retraites et des traitements -
Groupes parlementaires de Défense et d’Action
laïque.
U. F. 0. L. E. P. — Réunion des délégués
sportifs - Le Stade d’Anvers-sur-Oise - Tableau
des dépenses pour compétitions.
B. flELLET
Photographe des Dames
et des Enfants
110 Uls à 114, rue de Normandie
SALLE FRANKLIN
Conférence sur “ PAUL BERT ”
par E. GLAY
de la Ligue de l’Enseignement et du Syndicat National des Instituteurs
avec participation des Eléments Artistiques Fédéraux
(Qhiopalen Orchestre « Diseurs
csasr caaHEGzazarJBHB*
Participation aux frais : 1 fr. 50
(Les Enfants accompagnés de leurs Parents entreront gratuitement)
J
Congrès de 1933. — Questions à étudier
(avec questionnaires détaillés).
Divers. — La Coopérative scolaire - L’Hy
giène par l’exemple - Programmes de Fêtes
scolaires - L’effort des Fédérations.
Activité des Fédérations. — Ardèche, Arden
nes, Rhône, Seine-Inférieure, Seine-et-Oise,
Yonne.
- • ni!'.'- laïques - Bi
bliographie - Documentation - Conférences
Hermine Dubus.
Adresses. — Membres du Conseil général -
Délégués et correspondants des Fédérations -
Délégués sportifs à l’U. F. L. E. P.
Nota. — On peut consulter P « Action Laï
que » à la Permanence, Ecole de Filles, rue
Dauphine, Le Havre. Pour les abonnements,
s’adresser au Secrétaire administratif ou au
Secrétaire général.
*
* *
Extrait de ia Circulaire K° 53
Remise de 5 o/o aux Membres de
l'Enseignement et aux Amicalistes.
En ce qui concerne les demandes d'orateurs,
il est recommandé d’indiquer expressément :
L'objet de la réunion et son importance ;
L’heure et le lieu (nombre d'auditeurs pos
sible) ;
Le programme exact de la séance, au cas
où la conférence s'accompagne d'allocutions
— ou d’une partie récréative — s’il y aura ou
non contradiction ;
Le nom du Président de séance et des per
sonnalités invitées.
*
± *
Le Conseil général de la Ligue de l’Ensei
gnement est convoqué à Paris, 3, rue Réca-
mier, les i5 et 26 Janvier prochain.
Ordre du Jour :
i° - Commission du Cinéma. Présentation
et démonstration d’appareils sonores à format
réduit (16 m/m et 17 m/m 5) ;
2 0 - Commission de Propagande ;
3° - Rapports des Coopératives scolaires
avec les Fédérations ;
4° - Les Heures Nouvelles ;
5° - Le Congrès de 1933. Reims et Avignon
se récusent. Aura-t-il lieu à Bordeaux ou dans
la Seine-Inférieure ? ;
6° - Action de la Ligue près des Pouvoirs
publics.
NOTE DE LA RÉDACTION. — L’abondance
des matières nous oblige à remettre au pro
chain numéro quelques articles intéressants :
Une matière à controverse (Sportif et Sport-
man) - Historique de l’Amicale Octevillaise -
Une belle forme d'activité : les Jardins ou
vriers - Les Idées de Sam Profitt, etc... Que
71'avohs nous hélas ! Is moyens de tirer sur
6 ou 8 pages !
Questions soumises au Gongiès de 1953
Education Artistique
dans les Œuvres Post-Scolaires
I.— CONFERENCES. — Quelles sont les
Sociétés qui organisent des Conférences em
pruntant leurs sujets à l’histoire des arts et
aux problèmes artistiques ?
Dan.- ‘quelles conditions Ct par qui ces Con
férences sont-elles faites ?
IL— ART REGIONAL. — Dans quelle me
sure les Groupements artistiques s’inspirent-
ils des traditions de Part local et dans quelle
mesure s’efforcent-ils de les continuer ?
Font-ils appel aux artistes de terroir (litté
rateurs, musiciens, peintres, sculpteur», arti
sans, etc) ?
III. — LITTERATURE. — Quelles sont les
Sociétés faisant place à la création littéraire P
Organise-t-on des concours de poésies, de
prose, de pièces de théâtre ? Dans quelles
conditions ?
IV. — LECTURE ET RECITATION. — Or
ganise-t-on des lectures publiques de poètes ou
de prosateurs ?
Enseigne-t-on la diction en dehors de Part
dramatique ? Y a-t-il des récitations ?
V. — BIBLIOTHÈQUES. — Une place est-
elle expressément réservée à Part dans les
Bibliothèques ?
Comment choisit-on les poètes, les roman
ciers, les conteurs, les auteurs dramatiques ?
à a-t-il des livres d’histoire de Part, .d’art
appliqué ?
à a-t-il des collections de reproductions ar
tistiques (lithographie, photogravures, etc.) ?
VI. — THEATRE. — Quelles sont les Socié
tés qui font du théâtre ?
Comment sont-elles organisées ?
Qui choisit les œuvres à interpréter P
Quel est leur répertoire ?
Combien de représentations donnent-elles
dans l’année ?
Qui fait les costumes, les décors ?
VIL— MUSIQUE.*— Quelles sont les Socié
tés qui font de la musique ?
i° Musique instrumentale.
Quels sont les solistes dont les Sociétés dis
posent ?
Composition des orchestres.— Organisation
des répétitions.— Répertoire.
2 0 Chorale.
(Mêmes questions).
3° Solfège.
VÊTEMENTS
S. llil
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LE HAVIE ^
HABILLE
BIEN
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L* HAVRE — 121. Ru* V* Paris — LE HAVRE
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Septième Année. — N° 74
Journal ne doit pas être vendu
Le réclamer au Siège de chaque Amicale
Janvier 1933
Présidents d’Honneur :
MM. BACH et L. MEYER.
Vice-Présidents d’Honneur:
MM. E. VITTECOQ
N. CAPPERON
G. LEFEBVRE
M"'* J. CANTOIS
L. DURIEZ
H. PIMONT
A. BOULINGUE
A. Gr. N» 3762
Organe de la Fédération Régionale Havraise des Amicales et des Œuvres Laïques
JOURISTAL MENSUEL
Publicité : A. CANDELLIER
5, Rue des Etoupières - LE HAVRE
Rédaction: M. PIMONT
109, rue Massillon - LE HAVRE - Tél. 96.91
Secrétaire Général de la Fédération :
Président actif :
Secrétariat administratif :
Trésorier
Général de la Fédération :
M. CANDELLIER, Ecole des Etoupières - LE HAVRE
M. ARNAUDTIZON
Ecole de Filles
M. ROUSSEL, 36, rue Sadi-Carnot, SANVIC - Tél. 60-18
Téléphone 46.38
19, Bd Foch, LE HAVRE Tél. 66-51
Rue Dauphine - LE HAVRE
Cliècivies
Postaux Rouen 6234=
FOUS U Ï1E DO JOOBML
Le Bureau de la Fédération Havraise, après
avoir entendu le rapport du Gérant concernant
la gestion 1932 d'une part et d'autre part le
compte-rendu de ses démarches pour la publi
cité qui en 1933 doit contribuer à la vie de
notre organe fédéral :
Félicite de son activité M. Candellier qui
dans des conditions particulièrement difficiles
a réussi, sans modification des conditions du
service tel qu'il fonctionne depuis 6 ans, à
en assurer pour l'année nouvelle la continui
té ;
Se déclare ému de l'excellent accueil reçu
auprès de nos annonecurs qui, malgré les con
ditions très dures dans lesquelles se trouve ac
tuellement le commerce général et local, nous
prouvent un attachement et une sollicitude
indéfectibles ;
Apprécie la fidélité de nos annonceurs an
ciens et la confiance des nouveaux ; prie nos
lecteurs de reconnaître l'aide puissante que
nous en recevons en réservant leur clientèle
et, dans la mesure du possible et selon leur
influence, celle de leurs amis et relations ;
Adresse ses remerciements sincères à tous
ceux dont il décide de publier la liste en tête
du n° 74, premier de l’année nouvelle :
Photographie Mellet, Adam (Le Sport),
Grand Bazar, R. Bellanger et Pivain, David
(Aux Bûcherons), Galeries du Havre, Turlure
(Au Petit Paris), Cahard, restaurateur, Librai
rie Delahaye, A Faidherbe, Macquet (A la Bot
te d'Or), Bijouterie Leleu, Gardin, armurier,
Lang (Aux Quatre Nations), Horlogerie Gali-
bert, les 15 annonceurs qui nous sont fidèles
depuis 7 ans ;
Maison Flambart, Bains-Douches de Saint
François, Bières Polaire, Union des Coopéra
teurs, depuis 6 ans ;
Maison Lacroix (Vêtements), Ponce (A la
Bergère), La Nation (Assurances), Société
Nestlé b rance, Bredaz et Tenart (une 1 Lenor-
mand), Delahaye (couverture), depuis 5 ans.
Maison Carpentier-Lefebvre (cycles, depuis
4 ans en 2 séries.
Select-Pathé (cinéma), Longuemare (Roi des'
Vins), Coronel (fourrures), Etablissements Le
page, depuis 3 ans ;
Fauvet (chapelier), Magne (Pianos Hof-
mann), Baudry (T. S. F.), Delaunay-Lepilleur
(bonneterie), Hôtels Hamon et Bellevue, A.
Picard (opticien), depuis 2 ans ;
Maison Delamare (Pathé-Rural), Citroën (au
tomobiles), 2 ans en 2 reprises, et enfin les
nouveaux de l'année dont l'adhésion nous est
précieuse ;
Horlogerie Milliaud fils, Lafarge (Maroqui
nerie), Pyée ( coiffeur), Picard (électricien),
Multipl’s (sièges emboîtables).
VOULOIR, C’EST POUVOIR
ou
ILS ONT VOULU... EUX !
Pendant de nombreux mois, on a pu lire
dans notre Journal « Les Petites A », dûment
encadré, un appel aux laïques de la région ;
« Il nous faut un terrain fédéral de Sports ».
« Nous voulons un terrain fédéral ».
Une pétition fut mise en circulation qui,
au lieu des i.ooo signatures attendues, en re
cueillit tout de même 2.364 et fut présentée
à notre Président d’honneur, M. L. Meyer,
député-maire du Havre ; cette pétition com
prenait un exposé des motifs, établissait une
discrimination judicieuse et sincère entre l’u
sage d’un terrain fédéral à Montgeon (terrain
d’entraînement post-scolaire laïque) et celui
du Stade Municipal alors presque achevé (ter
rain public de compétitions et de fêtes), joi-
Faites vos Achats chez
ILLI1DD RIS
Le Bijoutier de la Place Thiers
(à côté du Printemps)
)XX<
Le mieux assorti en Montes et Bijoux
Remise 10 % à nos Sociétaires.
g liait même des plans très clairs établis par
des technicien^. ne o Mai 1902, un Congrès
valait un ordre du jour demandant encore le
terrain fédéral.
Qu’avons-nous ? Rien.
Je me tourne vers les sportsmen, les spor
tifs et les pontifes et je leur d's : « Vous
n’avez pas votre terrain parce que vous n’avez
pas voulu ».
Je le leur dis d’autant plus facilement
qu’ils ne sont pas près de moi, car s’il en
était autrement, leurs clameurs indignées
m’empêcheraient sans doute d’en dire davan
tage.
Et je répète avec toute ma conviction :
« Vous croyez avoir voulu, mais vous n’avez
pas vraiment voulu, car Vouloir, c’est Pou
voir ».
— Prouvez-le !
— Je le prouve. D’aboid par 3 exemples
locaux, ce qui montrera qu’au Havre même
on sait vouloir,^et par un 4 mc , pris ailleurs
et qui vous convaincra peut-être parce qu’il
est de taille et plus « sportif » que les 3 au
tres.
i° - En 1922, les cours fédéraux de chant
et d’exercices rythmiques a\aknt lieu à Ras-
pail chaque dimanche. Or, piol'esseurs, élèves,
vice-présidentes se lamentaient. « il nous fan-,
dr.iit un piano ». Le Trésorier d’alors répon
dait : « Le piano qu’il vous faut coûte 4-ooo
francs. Je n’ai et n’aurai jamais de crédits en
caisse pour un pareille dépense ». A une réu
nion où les doléances se renouvelaient pour
la n ieme fois, quelqu’un se leva et dit simple
ment : « Mesdames, je vous offre ce piano ».
On le crut fou, car ses moyens personnels ne
lui permettaient pas semblable libéralité. Deux
mois après à la suite d’un labeur acharné de
ce quelqu’un, le piano était là et le trésorier
encaissait une ristou -v d; ê3a francs--en as
precés. Ce n’est pas un conte allez rue Ras-
pail, le piano ne sert plus à la Fédération que
le jour de l’audition musicale annuelle, mais
il est là. •
2 0 - Depuis la disparition de 1’ « Alerte »,
société qui eut son heure de célébrité, les ti
reurs n’avaient point de lieu néutre et bien
agencé de compétition. « 11 nous faudrait un
stand ». Deux hommes, vous entendez bien
2 hommes dirent ; « Noiis l’aurons ». Ils le
dirent en Novembre 1922. Le i er Mai 192.3,
la Maison des Tireurs ouvrait ses portes avec
une dette de 27.000 francs. Les deux tiers de
la somme sont remboursés en ig33 et la Mai
son des Tireurs, propriété de la Fédération,
vaut 45.ooo francs à L’heure actuelle.
3° - En Juin 1932, le Pat.oriage Laïque dès
Etoupières dont l’œuvre reposait à peu près
sur les recettes de son cinéma populaire s’a
perçut que le Cinéma parlant était en train
de tarir sa source de revenus. « Il faudrait
nous transformer en Cinéma parlant ». Coût :
plus de 45.ooo francs (chiffre établi au plus
juste). Un homme se leva et dit : « Nous au
rons le Cinéma parlant ». L,?, 11 Novembre,
il était réalisé.
Quand je disais : Vouloir, c’est pouvoir !
Enfin mon 4 me exemple. — La Fédération
départementale de Seine-et-Oise disait comme
vous : « 11 nous faut un terrain fédéral de
Sports ». Des hommes ont dit : « Nous l’au
rons ». Ceci se passait en ig3o. Or, le 17 Juil
let 1932, dans une Fête magnique le Stade fé
déral d’Auvers-sur-Oise était inauguré: 12.000
mètres carrés, stade permettant la pratique du
foot-ball, du basket-ball, des sports athléti
ques, tennis, boulodrome, salle de gymnasti
que avec agrès, théâtre de verdure pour mu
sique chorale, instrumentale, danses rythmi
ques, jardins botaniques scolaires. Projets :
natation, aviron, salle de représentations, bi
bliothèque, salle de jeux.
Devis total, 273.000 francs. Subvention,
68.25o francs sur les fonds de l’outillage na-
tional. Lne propriété de 3oo.ooo francs qui
va permettre à la Fédération de Seine-et-Oise
d'acquérir la reconnaissance d’utilité pnbli-
que, génératrice de nouvelles possibilités de
subventions. Or, ce terrain fédéral n’est pas
un etablissement d’exploitation commerciale
du sport. La jouissance en est gratuite pour
les Sociétés fédérées et l’entrée aux fêtes n’est
jamais payante pour le public : pas de tour
niquets, pas de places réservées, pas de places
populaires.
Et l’exemple est contagieux, 4 autres Stades
vont s’ouvrir en ig33 dans le même départe
ment.
Ils ont voulu, vous dis-je !
Et vous, Havrais, voudrez-vous !
P. A.
XXX
Note. — Mon ami Vittecoq me souffle :
« Et quand nous avons voulu « Les Petites
V.
A », journal gratuit, ne l'avons-nous pas
eu » ?
C’est vrai, et je me souviens d'avoir ren
contré M. Risson$ qui nous a dit : « Vous
avez de l’estomac », C'est la moralité de moti
article : a Avoir de l’estomac », c’est vouloir,
au sens absolu du mot.
LA VIE CONFEDERALE
PAUL BERT
La Ligue de l'Enseignement signale aux
Fédérations dépar'érncntales et à toutes les
Œuvres Laïques que) le Centenaire de la nais
sance de Paul Bert. le grand animateur sco
laire de la /// me Ijépublique vient en Fmin
1933. Elle les iiirilv à placer toutes leurs
grandes manifestations « sous l’évocation de
l'homme qui personnifie le mieux le vrai ca
ractère constructif dfi la Laïcité ».
La Ligue tient itjia disposition des Laïques
le document édité ch 1932 sur Paul Bert (fran
co : 1 fr. 50). Nous rappelons que le journal
des Petites « A » a publié un texte de Confé
rence sur Paul Bert dans les numéros d’août
et septembre 1931.
*
* *
Récompenses de la Confédération
Certaines Sociétés fédérées et confédérées at
tachent du prix aux récompenses de la Ligue
de l’Enseignement. Files y voient, à bon titre
un moyen de rec •\aître et d’encourager les
Services Tendus a lTLuvre laïque.
Il leur est fait savoir qu’elles doivent de
mander ces récompenses par le canal de la
Fédération départementale un mois avant la
date qu’elles ont choisi pour leur distribution.
Pour la Région havraise, s’adresser à la Per
manence, Ecole rue Dauphine, Le Havre.
i° - Lettre de félicitations gratuite
2 0 - Diplôme d’honneur 6 fr.
r Fédération Régionale Havraise des Œuvres Laïgues
et Comité Havrais de Défense Laïgue
MERCREDI 15 FÉVRIER 1933, à 20 h. 30
Wk
3° - Médaille de bronze avec di
plôme
4° - Plaquette argentée avec diplô
me (frais d’expédition en sus)...
2i fr.
3o fr.
LE BULLETIN CONFEDERAL
Nous attirons l’attention des Sociétés confé
dérées sur l’utilité et nous oserons même dire
la nécessité pour elles d’avoir un abonnement
au Bulletin confédéral « L’Action Laïque » pa
raissant tous les deux mois. Le numéro est
vendu 2 francs, mais l’abonnement annuel
est réduit à 5 francs. Alors que le Rhône
compte 335 abonnements, la Loire 290, la
Seine-et-Oise 282, l’Isère 260, etc., la Seine-
Inférieure arrive au i9 rae rang sur 66 Fédéra
tions avec 33 abonnements seulement. Or, le
Bulletin est une source très intéressante d'in
formations. Nous donnons, à titre d’exemple
le sommaire du n° 65o, Novembre-Décembre
1932.
SOMMAIRE
Paul-Bert.
Vie Confédérale. — Réunion du Conseil gé
néral - L’action de la Confédération chez M.
le Ministre et chez M. Rosset - La gémination
- La nomination des instituteurs dans les Eco
les mixtes - La Révision de la Carte scolaire -
La question des retraites et des traitements -
Groupes parlementaires de Défense et d’Action
laïque.
U. F. 0. L. E. P. — Réunion des délégués
sportifs - Le Stade d’Anvers-sur-Oise - Tableau
des dépenses pour compétitions.
B. flELLET
Photographe des Dames
et des Enfants
110 Uls à 114, rue de Normandie
SALLE FRANKLIN
Conférence sur “ PAUL BERT ”
par E. GLAY
de la Ligue de l’Enseignement et du Syndicat National des Instituteurs
avec participation des Eléments Artistiques Fédéraux
(Qhiopalen Orchestre « Diseurs
csasr caaHEGzazarJBHB*
Participation aux frais : 1 fr. 50
(Les Enfants accompagnés de leurs Parents entreront gratuitement)
J
Congrès de 1933. — Questions à étudier
(avec questionnaires détaillés).
Divers. — La Coopérative scolaire - L’Hy
giène par l’exemple - Programmes de Fêtes
scolaires - L’effort des Fédérations.
Activité des Fédérations. — Ardèche, Arden
nes, Rhône, Seine-Inférieure, Seine-et-Oise,
Yonne.
- • ni!'.'- laïques - Bi
bliographie - Documentation - Conférences
Hermine Dubus.
Adresses. — Membres du Conseil général -
Délégués et correspondants des Fédérations -
Délégués sportifs à l’U. F. L. E. P.
Nota. — On peut consulter P « Action Laï
que » à la Permanence, Ecole de Filles, rue
Dauphine, Le Havre. Pour les abonnements,
s’adresser au Secrétaire administratif ou au
Secrétaire général.
*
* *
Extrait de ia Circulaire K° 53
Remise de 5 o/o aux Membres de
l'Enseignement et aux Amicalistes.
En ce qui concerne les demandes d'orateurs,
il est recommandé d’indiquer expressément :
L'objet de la réunion et son importance ;
L’heure et le lieu (nombre d'auditeurs pos
sible) ;
Le programme exact de la séance, au cas
où la conférence s'accompagne d'allocutions
— ou d’une partie récréative — s’il y aura ou
non contradiction ;
Le nom du Président de séance et des per
sonnalités invitées.
*
± *
Le Conseil général de la Ligue de l’Ensei
gnement est convoqué à Paris, 3, rue Réca-
mier, les i5 et 26 Janvier prochain.
Ordre du Jour :
i° - Commission du Cinéma. Présentation
et démonstration d’appareils sonores à format
réduit (16 m/m et 17 m/m 5) ;
2 0 - Commission de Propagande ;
3° - Rapports des Coopératives scolaires
avec les Fédérations ;
4° - Les Heures Nouvelles ;
5° - Le Congrès de 1933. Reims et Avignon
se récusent. Aura-t-il lieu à Bordeaux ou dans
la Seine-Inférieure ? ;
6° - Action de la Ligue près des Pouvoirs
publics.
NOTE DE LA RÉDACTION. — L’abondance
des matières nous oblige à remettre au pro
chain numéro quelques articles intéressants :
Une matière à controverse (Sportif et Sport-
man) - Historique de l’Amicale Octevillaise -
Une belle forme d'activité : les Jardins ou
vriers - Les Idées de Sam Profitt, etc... Que
71'avohs nous hélas ! Is moyens de tirer sur
6 ou 8 pages !
Questions soumises au Gongiès de 1953
Education Artistique
dans les Œuvres Post-Scolaires
I.— CONFERENCES. — Quelles sont les
Sociétés qui organisent des Conférences em
pruntant leurs sujets à l’histoire des arts et
aux problèmes artistiques ?
Dan.- ‘quelles conditions Ct par qui ces Con
férences sont-elles faites ?
IL— ART REGIONAL. — Dans quelle me
sure les Groupements artistiques s’inspirent-
ils des traditions de Part local et dans quelle
mesure s’efforcent-ils de les continuer ?
Font-ils appel aux artistes de terroir (litté
rateurs, musiciens, peintres, sculpteur», arti
sans, etc) ?
III. — LITTERATURE. — Quelles sont les
Sociétés faisant place à la création littéraire P
Organise-t-on des concours de poésies, de
prose, de pièces de théâtre ? Dans quelles
conditions ?
IV. — LECTURE ET RECITATION. — Or
ganise-t-on des lectures publiques de poètes ou
de prosateurs ?
Enseigne-t-on la diction en dehors de Part
dramatique ? Y a-t-il des récitations ?
V. — BIBLIOTHÈQUES. — Une place est-
elle expressément réservée à Part dans les
Bibliothèques ?
Comment choisit-on les poètes, les roman
ciers, les conteurs, les auteurs dramatiques ?
à a-t-il des livres d’histoire de Part, .d’art
appliqué ?
à a-t-il des collections de reproductions ar
tistiques (lithographie, photogravures, etc.) ?
VI. — THEATRE. — Quelles sont les Socié
tés qui font du théâtre ?
Comment sont-elles organisées ?
Qui choisit les œuvres à interpréter P
Quel est leur répertoire ?
Combien de représentations donnent-elles
dans l’année ?
Qui fait les costumes, les décors ?
VIL— MUSIQUE.*— Quelles sont les Socié
tés qui font de la musique ?
i° Musique instrumentale.
Quels sont les solistes dont les Sociétés dis
posent ?
Composition des orchestres.— Organisation
des répétitions.— Répertoire.
2 0 Chorale.
(Mêmes questions).
3° Solfège.
VÊTEMENTS
S. llil
il, Rat Thitr» A
LE HAVIE ^
HABILLE
BIEN
MOIS YODS [MHÉOS le G R A N D B A Z A R Maison veadaot
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L* HAVRE — 121. Ru* V* Paris — LE HAVRE
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