Titre : "Les Petites A" : organe de la Fédération régionale havraise des amicales laïques : journal mensuel / rédaction M. M. Pimon
Auteur : Fédération régionale havraise des amicales laïques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1936-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328381105
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 septembre 1936 01 septembre 1936
Description : 1936/09/01 (N119)-1936/09/30. 1936/09/01 (N119)-1936/09/30.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k982757v
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-46425
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 08/06/2015
Dixième Année.— N° 119
LIGUE FRANÇAISE DE L’ENSEIGNEMENT
CONFEDERATION ■ GENERALE DES ŒUVRES LAÏQUES (reconnue d’utilité publique)
SEPTEMBRE 1936
MILLIAUDFili
ô côté du Pr intemps
LE MIEUX AMORTI =
en MONTRE! ET BIJOUX
Ifcmijc 10 % <7 nos Jocic foires
Publicité : IYÎ. CANDELLIER
5, Rue des Etoupières - LE HAVRE
L'v'UiV/
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IJOUEHAL
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S. A, O. N» 3762
Organe de la Fédération Régionale Havraise des Œuvres Laïques
laction W. PIM0N1 Tel. : 54.02
I IB, ruelle Tourneviile — LE HAVRE
9
Président actif:
Secrétaire Général de la Fédération :
Trésorier Général de la Fédétftiiork :
Secrétariat administratif :
M. ARNAUDTIZON
M. CANDELLIER, Ecole des Etoupières - LE HAVRE
M. ROUSSEL, 46, rue Sadi-Carnot, SANVIC - T^'7U-8o
Ecole de Garçons
19, Bd Foch, LE HAVRE Tél. 66-51
Téléphone 46.38
Chèques Postaux Rouen 62.34#‘
■
Rue des Etoupières - LE HAVRE ;
Notre Journet
Pour des raisons diverses, des Âmicaüstes
se plaignent de ne pas recevoir leur journal
ou de ne l’avoir qu’avec un assez long retard.
 partir du MOIS DE JANVIER, « Les Pe
tites A » ne seront plus expédiées en rou
leaux à partager. Notre Secrétariat l’adres
sera directement SOUS BANDE ET A DOMI
CILE aux Membres des Amicales et Œuvres
laïques DONT LA LISTE nous sera fournie
par les soins des Présidents et Présidentes.
Nous pensons être ainsi agréables aux lec
teurs, tout en soulageant les Secrétariats par
ticuliers des Sociétés. Cette liste devra évi
demment correspondre au nombre de Cartes
confédérales prises par ces Sociétés.
Il est entendu que le service aux annon
ceurs, aux membres honoraires et membres
du C. Â. fédéral continuera comme par le
passé.
Cette décision est applicable au supplé
ment « Les Petites A Sportives ».
PLACE AUX JEUNES
Eh oui ! Place aux jeunes...
Croyez bien, chers amis dont nous com
prenons l’impatience, que nous sommes tout
prêts à vous céder la place. Voyez, nous
vous ouvrons largement les portes, nous
vous avons préparé des sièges autour de la
table de travail ; les bibliothèques et les
archives s’offrent à vos regards ; les dos
siers sont à jour, les machines et les appa
reils divers sont'en ordre de marche. Ta
bleaux et diagrammes ornent les murs. Dans
ce coin, d’une torchère s’élève une flamme
précieuse qui nous fut transmise par nos an
ciens à nous et que nous .avons pieusement
entretenue en la renforçant.
Entrez et œuvrez. Notre sympathie vous
est acquise et s’il y a quelque mélancolie
dans l’âme de ceux qui se préparent à sor
tir, soyez sûrs qu’il n’y a nulle jalousie ni
aucune méfiance. Si vous voulez bien nous
le permettre, nous serons des spectateurs
bienveillants. Nous ne vous offrirons pas
d’être des mentors grognons, mais nous vous
promettons d’applaudir à vos efforts, à vos
initiatives, à vos succès.
Car nous n’avons pas la prétention d’avoir
tout créé, tout prévu, tout organisé. Nous
savons au contraire que notre œuvre est
bien imparfaite ; nous voudrions seulement
que vous nous rendiez cette justice que nous
avons travaillé avec peu de ressources, peu
d’aide, peu d’argent, que les concours nous
ont été parcimonieusement accordés, que
nous avons lutté souvent contre des courants,
des vents et des marées contraires.
Entrez et œuvrez. Vous avez la chance
d’arriver au moment opportun. Le courant
est favorable. Lancez-vous hardiment et ce
sera pour nous un grand bonheur d’assister
à des progrès, à des réalisations qui se sont
si souvent dérobés à notre poursuite.
Si j’osais me permettre un peu de malice
— rien de plus émouvant que le pli mali
cieux des yeux des vieillards — je pourrais
vous dire que les jeunes n’ont pas souvent
répondu à nos appels passés, quand nous leur
demandions leur collaboration. Mais je veux
croire qu’ils hésitaient à entrer par une porte
enlr’ouverte parce qu’ils attendaient d’être
en nombre pour demander l’ouverture des
deux battants.
Nous avons travaillé dans le noir, travail
lez dans le bleu. Et que vos jeunes, un jour,
quand ils vous demanderont à leur tour
votre place, puissent retrouver en vos mains
le flambeau que nous vous remettons main
tenant ; qu’ils sachent ainsi que la vie, c’est
le mouvement, que le progrès, c’est l’en
thousiasme, et que le bonheur de l’humanité
ne se poursuit que par la somme des efforts
des individus et des générations.
Forestier l’Ancien.
TRAVAUX & PRODUITS
pour
AMATEURS PHOTOGRAPHES
Un vieux problème
et sa solution bâtarde
Depuis qu’il existe des Amicales laïques et
plus particulièrement depuis le Congrès d’A
lençon (1907) et du Havre (1909), un pro
blème est posé qui n’a jamais reçu de solu
tion officielle et définitive. Il redevient d’une
actualité aiguë et pressante. C’est le pro
blème du logement des Amicales.
Créées par des membres de l’Enseigne
ment, groupant les anciens élèves de nos
établissements scolaires, nées de l’Ecole enfin,
elles en sont par leurs œuvres le prolonge
ment naturel. Leur utilité est reconnue, louée
en maintes occasions et de façon dithyram
bique ; elles sont subventionnées d’une façon
modeste et insuffisante mais qui preuve l’in
térêt qu’elles présentent. Leurs statuts indi
quent dans la presque totalité des cas que
leur siège social est l’école. Mais elles ne
disposent d’aucun local adapté à leurs be
soins et qui leur soit propre.
Elles ont demandé, toujours timidement,
car elles sont de bonne compagnie et les
éclats ne leur conviennent pas non plus que
les intriques, elles ont demandé à installer
leurs services (c’est le mot qui convient)
dans des salles indépendantes. Elles ont in
diqué qu’avec les cours, préaux et terrains
de jeux, elles en avaient besoin pour leurs
réunions, leurs jeux d’intérieur, leurs confé
rences avec ou sans projections, leurs séan
ces de cinématographie, leurs cours du soir,
leurs répétitions, leurs concerts, leurs bals.
Rares sont celles qui ont obtenu satisfaction
autrement que par l’autorisation d’utiliser
à leurs risques et périls une salle de classe,
autorisation refusée par certaines Municipa
lités. Les règlements en vigueur les mettent
d’ailleurs dans l’obligation de n’y faire que
des. installations provisoires et de remettre
les lieux, en état après usage et à chaque
fois.
Certaines écoles nouvelles dans les gran
des villes possèdent une salle dite de confé
rences ou de réunions ; d’autres ont des
préaux couverts et fermés dont on peut à.
la rigueur tirer parti. C’est très insuffisant,
mais c’est un commencement.
Quand verrons-nous comme en Angleterre,
en Pologne ou en Allemagne, les écoles outil
lées pour l’œuvre post-scolaire : éducative,
instructive, scientifique, artistique, littéraire
et sportive ?
Pourtant, nos Amicales ont su souvent faire
œuvre d’initiative : se contentant d’une pièce
exiguë, d’une classe désaffectée ou en sur
nombre elles ont réalisé à grands frais d’in
géniosité et de dévouement, des foyers dont
quelques-uns forcent l’admiration.
Au Havre même, nous connaissons plu
sieurs groupements qui avec l’autorisation
municipale disposent d’un logis accueillant,
atout précieux pour leur développement et
leur action.
Or, voici qu’un grand danger les menace.
Tels de mauvais locataires, ils sont sous le
coup d’un décret d’expulsion.
La loi récemment votée par le Parlement
sur la prolongation de la scolarité doit être
mise en vigueur dès la rentrée des classes.
Des postes d’instituteurs sont créés. L’ad
ministration municipale se voit dans la né
cessité de reprendre les locaux prêtés pour
les rendre à leur destination première. Des
installations de fortune sont même faites
dans des salles dont la surface et la dispo
sition s’avèrent peu favorables à un emploi
scolaire normal.
Le délai très court entre la décision et
l’exécution, compte tenu du fait qu’il coïn
cide avec les vacances, c’est-à-dire l’absence
des intéressés, usagers et surtout adminis
trateurs, a créé une situation angoissante.
Certains ont pensé qu’ils étaient abandonnés
et sacrifiés, et que l’œuvre à laquelle depuis
longtemps ils donnent leur activité et leurs
soins, allait périr au moment même où le
souci de l'organisation des loisirs populaires
leur donnait l’espoir d’une prospérité nou
velle et accrue.
Qu’ils se rassurent. Les Fédérations régio
nales ou départementales, la Ligue de l’En
seignement, qui est la Confédération natio
nale, se sont inquiétées dès le mois de Juil
let et des solutions d’ensemble sont en pré
paration.
Les Œuvres laïques ne périront pas, et
bien au contraire elles peuvent envisager
l’avenir avec optimisme.
P. A.
N.-B. — On verra ci-après que la Fédéra
tion Havraise s’est préoccupée activement et
avec succès de la question.
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Ligue Française de l’Enselpemeiit
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SOUSCRIPTION POUR L’ERECTION A PARIS
D’UN MONUMENT ARISTIDE BRIAND
La Société des amis de Briand organise
une souscription pour-l’érection à Paris, de
vant le Ministère des Affaires Etrangères,
d’un monument consacré à la mémoire d’Aris
tide Briand.
La Ligue, qui ne veut pas rester indiffé
rente à ce vaste mouvement de reconnais
sance, se joint à l’appel adressé à tous en
faveur de cette manifestation nationale.
Les souscriptions* demandées peuvent être
des plus modestes. Ce qui importe c’est qu'un
.grand nombre de nos amis s’associent afin
de témoigner des sentiments profonds du
peuple français qui n’a pas oublié le rôle
d’Aristide Briand.
Nous vous envoyons ci-joint une formule
de souscription que vous voudrez bien déjà
faire remplir autour de vous. Nous tenons
d’autres formules à votre disposition et vous
les adresserons sur simple demande.
Le Secrétaire général administratif :
J. Dyard.
xxx
COTISATIONS CONFÉDÉRALES
Le Congrès de Vichy a été la démonstra
tion éclatatnte du développement considéra
ble pris par la Ligue. Ainsi que le Président
l’a déclaré au cours d’une séance plénière,
il importe qu’à l’extension de l’activité du
centre administratif de la Confédération
ainsi que des Sections de la Ligue, répande
un effort semblable de la part des Fédéra
tions.
Nous insistons donc aujourd’hui d’une fa
çon particulièrement pressante auprès de
toutes les Fédérations pour que le recou
vrement des cotisations confédérales s’effec
tue plus largement encore. Nous demandons
que les Fédérations dont la cotisation est
insuffisante, nous adressent une somme su
périeure. Quant aux Fédérations qui nous
envoient déjà une cotisation importante, nous
serions heureux s’il leur était possible, com
prenant les nécessités de l’heure, de nous
faire parvenir un supplément de cotisation.
Nous comptons sur le dévouement de tous.
Rappelons notre numéro de compte Chèques
postaux : Paris 220-04.
Le Secrétaire général administratif :
J. Dyard.
xxx
LA BROCHURE EMILE CLAY
graphiques, les discours prononcés à Monti-
gny le jour des obsèques par MM. Brenier
et Delmas, ainsi qu’à la cérémonie organisée
à la Maison de la Mutualité, sous la prési
dence de M. Guernut, ministre de l’Educa
tion Nationale, par MM. Lavergne, Schiltges,
Delmas, Merat, Laurent, Jouhaux, Basch,
Albert Bayet, Maurice Roger, Brenier et
Guernut.
Cette brochure pourra être expédiée fran
co à raison de 3 francs l’exemplaire.
Toutes les Sociétés tiendront à posséder
dans leurs archives cette brochure qui cons
titue plus qu’un souvenir et restera un docu
ment précieux, un véritable enseignement.
11 appartient donc à chaque Fédération de
souscrire le nombre nécessaire pour satis
faire aux demandes.
Fédération Départementale
NÉCROLOGIE
La brochure consacrée à la mémoire d’E
mile Glay est parue.
Nous rappelons qu’elle contient, avec le
portrait de notre ami et quelques notes bio-
La Fédération départementale des Œuvres
laïques connaît un nouveau deuil.
Un de ses administrateurs-fondateurs,
Edouard DELAHAYE, est mort le 15 Juillet
dernier, dans une syncope. Sa santé était
devenue précaire depuis quelques semaines
et sa robuste constitution ne lui a pas per
mis de surmonter le mal dont il était atteint.
Edouard DELAHAYE meurt à 57 .ans. Il
était officier de l’Instruction publique. Il fut
maire de Caudebec-lès-Elbeuf, pendant plu
sieurs 'années. Délégué cantonal et délégué
de l’Assistance médicale, président de l’Union
des Commerçants, il était le président de la
Société de gymnastique ,« La Fraternelle »,
et président du Comité des Fêtes de la Jeu
nesse laïque du canton d’Elbeuf. Jusqu’aux
dernières heures de sa vie, il a consacré le
meilleur de lui-même à une œuvre qu’il
avait su rendre plus prospère d’année en
année. Son souvenir restera comme celui
d’un homme qui a honoré la laïcité et sou
tenu les Œuvres scolaires de la République.
Au nom de tous les Laïques, au nom de
tous ses amis de la Fédération départemen
tale, nous saluons sa mémoire et présentons
à sa famille nos condoléances émues.
*
* *
L’Amicale Mayvillaise et toute notre Fédé
ration havraise • sont cruellement frappées
par le décès de M. Fernand SCAVINI, sur
venu le 19 Septembre.
Délégué cantonal, vice-président de la
Société Musicale Mayvillaise, ancien conseil
ler municipal et adjoint au Maire de Gon-
freviile-l’Orcher, depuis 25 ans M. SCAVINI
s’est fait remarquer par sa grande activité,
l’intelligence et le dévouement qu’il mit au
service de sa cité d’adoption.
En 1909, aux côtés du regretté M. Amand,
il prit part à la fondation de l’Amicale Laï
que Mayvillaise. Il en fut successivement
vice-président et président. Il administra la
Société d’une façon tout à fait remarquable.
Son sens pratique du réel et du possible,
son entrain, son tact et sa bonne humeur
1 ont fait de l’Amicale une des plus belles
; de la -région. Il était titulaire de la médaille
| d’argent de la F.R.H.O.L. depuis 1930. Il
j appartint pendant quelque temps à notre
i Conseil d’administration.
Nous saluons en lui un des bons ouvriers
de l’œuvre laïque et un des meilleurs défen
seurs de notre école nationale.
La F.R.H.O.L. était représentée aux obsè
ques par M. Candellier, secrétaire général.
*
* *
Au moment de mettre en pages, nous ap
prenons l’épouvantable nouvelle du décès du
petit Daniel CANDELLIER, fils de notre ami
| et collaborateur M. Jean Candellier, institu-
MILLIT
112 et 114, rue MaréchaLJoffre
.4
Üéveloppement du Film. Ifr.
6/0
8 poses
teur à Villainville et petit-fils de M. et Mme
Candellier qui tiennent à la Fédération la
place que l’on sait.
Ce deuil cruel qui s’ajoute à celui que nous
avons déploré il y a 18 mois nous atteint pro
fondément et nous voulons ici assurer nos
amis que nous sommes très près d’eux dans
leur navrante affliction.
I
PERMANENCE
Le local de la permanence de la Fédéra
tion Régionale Havraise à l’Ecole de la rue
Dauphine ayant été repris pour l’installation
d’une nouvelle classe, nous avons dû cher
cher un nouveau logement. Le Bureau fédé
ral, dans l’impossibilité actuelle de trouver
une salle municipale, a adopté une solution
provisoire.
La permanence est donc transférée à
l’Ecole de la rue des Etoupières.
SECRÉTARIAT ADMINISTRAT!F
Le départ du Havre de Mme Avenel,
nous prive des services de notre excellente
secrétaire. Au moment où elle nous quitte,
nous lui exprimons nos remerciements pour
le concours actif et dévoué qu’elle nous a
apporté pendant une année très remplie et
marquée notamment par l’organisation de
l’activité fédérale nouvelle constituée par les
Concours artistiques fédéraux et la, consti
tution de fichiers. Nos vœux l’accompagnent
dans sa vie nouvelle aux côtés de son mari
qui fut au Havre un amicaliste. éclairé et
agissant.
Elle est remplacée par Mme Charriéras,
sténo-dactylographe éprouvée, à laquelle
nous souhaitons la plus cordiale bienvenue.
SIÈGE SOCIAL DES AMICALES
Emu de la situation créée à plusieurs Ami
cales havraises par l’ouverture de classes
nouvelles, le Bureau de la Fédération a fait
une démarche auprès de M. Léon Meyer,
député-maire,-président d’honneur de la Fé
dération Havraise des Œuvres Laïques.
M. Léon Meyer a réservé lè meilleur ac
cueil à MM. Arnaudtizon, président, et Can
dellier, secrétaire général. Avec eux, il a
déploré l’obligation où se trouve la Muni
cipalité d’utiliser des locaux dont elle était
heureuse d’abandonner la jouissance aux
Amicales. Mais, voulant que les Œuvres ne
subissent que le moindre dommage, il a dé
cidé que les classes nouvelles seraient dotées
d’un matériel amovible, permettant, en de
hors des heures scolaires, l’utilisation des
salles par les anciens élèves dont il connaît
l’activité intelligente et l’action efficace.
Il a donné des instructions dans ce sens
aux Chefs de service, et prié notre Secré
taire de lui signaler les établissements dans
lesquels les aménagements ou transforma
tions tarderaient ou ne donneraient pas sa
tisfaction aux intéressés.
COURS ET CONFÉRENCES
O
Examens de Sténographie
' La Commission centrale de l’Institut Inter-
nationaî de Sténographie, à Paris, qui a pro
cédé à la correction des épreuves de sténo
graphie qui lui furent transmises par le cen
tre du Havre, à la suite des Examens du 25
Juillet dernier, communique les résultats
suivants :
Sténographie. — 100 mots par minute :
Mlles Françoise Gauthier, m. b. ; Nelly La-
Horlogerie
GALIBERT
CHOIX UNIQUE
PRIX SÉRIEUX
10 °L aux Sociétaires
li i !6, pi. de Môtei-de-VIlle • l.rue JJlegfrled
Succursale : 275 & 277, rue A.-Briand - LE HAVRE
SS VOYAGE as
LA FARGE-MAROQUIN IER
24, Place de l’Hôtel-de-Ville —LE HAVRE
r
PARAPLUIES
UNE MAISON DE CONFIANCE
Remise aux Amiealistes
LIGUE FRANÇAISE DE L’ENSEIGNEMENT
CONFEDERATION ■ GENERALE DES ŒUVRES LAÏQUES (reconnue d’utilité publique)
SEPTEMBRE 1936
MILLIAUDFili
ô côté du Pr intemps
LE MIEUX AMORTI =
en MONTRE! ET BIJOUX
Ifcmijc 10 % <7 nos Jocic foires
Publicité : IYÎ. CANDELLIER
5, Rue des Etoupières - LE HAVRE
L'v'UiV/
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ÿ;;MI Lt~'v~fc'«l U&ffl l m
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IJOUEHAL
nmôuo
S. A, O. N» 3762
Organe de la Fédération Régionale Havraise des Œuvres Laïques
laction W. PIM0N1 Tel. : 54.02
I IB, ruelle Tourneviile — LE HAVRE
9
Président actif:
Secrétaire Général de la Fédération :
Trésorier Général de la Fédétftiiork :
Secrétariat administratif :
M. ARNAUDTIZON
M. CANDELLIER, Ecole des Etoupières - LE HAVRE
M. ROUSSEL, 46, rue Sadi-Carnot, SANVIC - T^'7U-8o
Ecole de Garçons
19, Bd Foch, LE HAVRE Tél. 66-51
Téléphone 46.38
Chèques Postaux Rouen 62.34#‘
■
Rue des Etoupières - LE HAVRE ;
Notre Journet
Pour des raisons diverses, des Âmicaüstes
se plaignent de ne pas recevoir leur journal
ou de ne l’avoir qu’avec un assez long retard.
 partir du MOIS DE JANVIER, « Les Pe
tites A » ne seront plus expédiées en rou
leaux à partager. Notre Secrétariat l’adres
sera directement SOUS BANDE ET A DOMI
CILE aux Membres des Amicales et Œuvres
laïques DONT LA LISTE nous sera fournie
par les soins des Présidents et Présidentes.
Nous pensons être ainsi agréables aux lec
teurs, tout en soulageant les Secrétariats par
ticuliers des Sociétés. Cette liste devra évi
demment correspondre au nombre de Cartes
confédérales prises par ces Sociétés.
Il est entendu que le service aux annon
ceurs, aux membres honoraires et membres
du C. Â. fédéral continuera comme par le
passé.
Cette décision est applicable au supplé
ment « Les Petites A Sportives ».
PLACE AUX JEUNES
Eh oui ! Place aux jeunes...
Croyez bien, chers amis dont nous com
prenons l’impatience, que nous sommes tout
prêts à vous céder la place. Voyez, nous
vous ouvrons largement les portes, nous
vous avons préparé des sièges autour de la
table de travail ; les bibliothèques et les
archives s’offrent à vos regards ; les dos
siers sont à jour, les machines et les appa
reils divers sont'en ordre de marche. Ta
bleaux et diagrammes ornent les murs. Dans
ce coin, d’une torchère s’élève une flamme
précieuse qui nous fut transmise par nos an
ciens à nous et que nous .avons pieusement
entretenue en la renforçant.
Entrez et œuvrez. Notre sympathie vous
est acquise et s’il y a quelque mélancolie
dans l’âme de ceux qui se préparent à sor
tir, soyez sûrs qu’il n’y a nulle jalousie ni
aucune méfiance. Si vous voulez bien nous
le permettre, nous serons des spectateurs
bienveillants. Nous ne vous offrirons pas
d’être des mentors grognons, mais nous vous
promettons d’applaudir à vos efforts, à vos
initiatives, à vos succès.
Car nous n’avons pas la prétention d’avoir
tout créé, tout prévu, tout organisé. Nous
savons au contraire que notre œuvre est
bien imparfaite ; nous voudrions seulement
que vous nous rendiez cette justice que nous
avons travaillé avec peu de ressources, peu
d’aide, peu d’argent, que les concours nous
ont été parcimonieusement accordés, que
nous avons lutté souvent contre des courants,
des vents et des marées contraires.
Entrez et œuvrez. Vous avez la chance
d’arriver au moment opportun. Le courant
est favorable. Lancez-vous hardiment et ce
sera pour nous un grand bonheur d’assister
à des progrès, à des réalisations qui se sont
si souvent dérobés à notre poursuite.
Si j’osais me permettre un peu de malice
— rien de plus émouvant que le pli mali
cieux des yeux des vieillards — je pourrais
vous dire que les jeunes n’ont pas souvent
répondu à nos appels passés, quand nous leur
demandions leur collaboration. Mais je veux
croire qu’ils hésitaient à entrer par une porte
enlr’ouverte parce qu’ils attendaient d’être
en nombre pour demander l’ouverture des
deux battants.
Nous avons travaillé dans le noir, travail
lez dans le bleu. Et que vos jeunes, un jour,
quand ils vous demanderont à leur tour
votre place, puissent retrouver en vos mains
le flambeau que nous vous remettons main
tenant ; qu’ils sachent ainsi que la vie, c’est
le mouvement, que le progrès, c’est l’en
thousiasme, et que le bonheur de l’humanité
ne se poursuit que par la somme des efforts
des individus et des générations.
Forestier l’Ancien.
TRAVAUX & PRODUITS
pour
AMATEURS PHOTOGRAPHES
Un vieux problème
et sa solution bâtarde
Depuis qu’il existe des Amicales laïques et
plus particulièrement depuis le Congrès d’A
lençon (1907) et du Havre (1909), un pro
blème est posé qui n’a jamais reçu de solu
tion officielle et définitive. Il redevient d’une
actualité aiguë et pressante. C’est le pro
blème du logement des Amicales.
Créées par des membres de l’Enseigne
ment, groupant les anciens élèves de nos
établissements scolaires, nées de l’Ecole enfin,
elles en sont par leurs œuvres le prolonge
ment naturel. Leur utilité est reconnue, louée
en maintes occasions et de façon dithyram
bique ; elles sont subventionnées d’une façon
modeste et insuffisante mais qui preuve l’in
térêt qu’elles présentent. Leurs statuts indi
quent dans la presque totalité des cas que
leur siège social est l’école. Mais elles ne
disposent d’aucun local adapté à leurs be
soins et qui leur soit propre.
Elles ont demandé, toujours timidement,
car elles sont de bonne compagnie et les
éclats ne leur conviennent pas non plus que
les intriques, elles ont demandé à installer
leurs services (c’est le mot qui convient)
dans des salles indépendantes. Elles ont in
diqué qu’avec les cours, préaux et terrains
de jeux, elles en avaient besoin pour leurs
réunions, leurs jeux d’intérieur, leurs confé
rences avec ou sans projections, leurs séan
ces de cinématographie, leurs cours du soir,
leurs répétitions, leurs concerts, leurs bals.
Rares sont celles qui ont obtenu satisfaction
autrement que par l’autorisation d’utiliser
à leurs risques et périls une salle de classe,
autorisation refusée par certaines Municipa
lités. Les règlements en vigueur les mettent
d’ailleurs dans l’obligation de n’y faire que
des. installations provisoires et de remettre
les lieux, en état après usage et à chaque
fois.
Certaines écoles nouvelles dans les gran
des villes possèdent une salle dite de confé
rences ou de réunions ; d’autres ont des
préaux couverts et fermés dont on peut à.
la rigueur tirer parti. C’est très insuffisant,
mais c’est un commencement.
Quand verrons-nous comme en Angleterre,
en Pologne ou en Allemagne, les écoles outil
lées pour l’œuvre post-scolaire : éducative,
instructive, scientifique, artistique, littéraire
et sportive ?
Pourtant, nos Amicales ont su souvent faire
œuvre d’initiative : se contentant d’une pièce
exiguë, d’une classe désaffectée ou en sur
nombre elles ont réalisé à grands frais d’in
géniosité et de dévouement, des foyers dont
quelques-uns forcent l’admiration.
Au Havre même, nous connaissons plu
sieurs groupements qui avec l’autorisation
municipale disposent d’un logis accueillant,
atout précieux pour leur développement et
leur action.
Or, voici qu’un grand danger les menace.
Tels de mauvais locataires, ils sont sous le
coup d’un décret d’expulsion.
La loi récemment votée par le Parlement
sur la prolongation de la scolarité doit être
mise en vigueur dès la rentrée des classes.
Des postes d’instituteurs sont créés. L’ad
ministration municipale se voit dans la né
cessité de reprendre les locaux prêtés pour
les rendre à leur destination première. Des
installations de fortune sont même faites
dans des salles dont la surface et la dispo
sition s’avèrent peu favorables à un emploi
scolaire normal.
Le délai très court entre la décision et
l’exécution, compte tenu du fait qu’il coïn
cide avec les vacances, c’est-à-dire l’absence
des intéressés, usagers et surtout adminis
trateurs, a créé une situation angoissante.
Certains ont pensé qu’ils étaient abandonnés
et sacrifiés, et que l’œuvre à laquelle depuis
longtemps ils donnent leur activité et leurs
soins, allait périr au moment même où le
souci de l'organisation des loisirs populaires
leur donnait l’espoir d’une prospérité nou
velle et accrue.
Qu’ils se rassurent. Les Fédérations régio
nales ou départementales, la Ligue de l’En
seignement, qui est la Confédération natio
nale, se sont inquiétées dès le mois de Juil
let et des solutions d’ensemble sont en pré
paration.
Les Œuvres laïques ne périront pas, et
bien au contraire elles peuvent envisager
l’avenir avec optimisme.
P. A.
N.-B. — On verra ci-après que la Fédéra
tion Havraise s’est préoccupée activement et
avec succès de la question.
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Ligue Française de l’Enselpemeiit
o
SOUSCRIPTION POUR L’ERECTION A PARIS
D’UN MONUMENT ARISTIDE BRIAND
La Société des amis de Briand organise
une souscription pour-l’érection à Paris, de
vant le Ministère des Affaires Etrangères,
d’un monument consacré à la mémoire d’Aris
tide Briand.
La Ligue, qui ne veut pas rester indiffé
rente à ce vaste mouvement de reconnais
sance, se joint à l’appel adressé à tous en
faveur de cette manifestation nationale.
Les souscriptions* demandées peuvent être
des plus modestes. Ce qui importe c’est qu'un
.grand nombre de nos amis s’associent afin
de témoigner des sentiments profonds du
peuple français qui n’a pas oublié le rôle
d’Aristide Briand.
Nous vous envoyons ci-joint une formule
de souscription que vous voudrez bien déjà
faire remplir autour de vous. Nous tenons
d’autres formules à votre disposition et vous
les adresserons sur simple demande.
Le Secrétaire général administratif :
J. Dyard.
xxx
COTISATIONS CONFÉDÉRALES
Le Congrès de Vichy a été la démonstra
tion éclatatnte du développement considéra
ble pris par la Ligue. Ainsi que le Président
l’a déclaré au cours d’une séance plénière,
il importe qu’à l’extension de l’activité du
centre administratif de la Confédération
ainsi que des Sections de la Ligue, répande
un effort semblable de la part des Fédéra
tions.
Nous insistons donc aujourd’hui d’une fa
çon particulièrement pressante auprès de
toutes les Fédérations pour que le recou
vrement des cotisations confédérales s’effec
tue plus largement encore. Nous demandons
que les Fédérations dont la cotisation est
insuffisante, nous adressent une somme su
périeure. Quant aux Fédérations qui nous
envoient déjà une cotisation importante, nous
serions heureux s’il leur était possible, com
prenant les nécessités de l’heure, de nous
faire parvenir un supplément de cotisation.
Nous comptons sur le dévouement de tous.
Rappelons notre numéro de compte Chèques
postaux : Paris 220-04.
Le Secrétaire général administratif :
J. Dyard.
xxx
LA BROCHURE EMILE CLAY
graphiques, les discours prononcés à Monti-
gny le jour des obsèques par MM. Brenier
et Delmas, ainsi qu’à la cérémonie organisée
à la Maison de la Mutualité, sous la prési
dence de M. Guernut, ministre de l’Educa
tion Nationale, par MM. Lavergne, Schiltges,
Delmas, Merat, Laurent, Jouhaux, Basch,
Albert Bayet, Maurice Roger, Brenier et
Guernut.
Cette brochure pourra être expédiée fran
co à raison de 3 francs l’exemplaire.
Toutes les Sociétés tiendront à posséder
dans leurs archives cette brochure qui cons
titue plus qu’un souvenir et restera un docu
ment précieux, un véritable enseignement.
11 appartient donc à chaque Fédération de
souscrire le nombre nécessaire pour satis
faire aux demandes.
Fédération Départementale
NÉCROLOGIE
La brochure consacrée à la mémoire d’E
mile Glay est parue.
Nous rappelons qu’elle contient, avec le
portrait de notre ami et quelques notes bio-
La Fédération départementale des Œuvres
laïques connaît un nouveau deuil.
Un de ses administrateurs-fondateurs,
Edouard DELAHAYE, est mort le 15 Juillet
dernier, dans une syncope. Sa santé était
devenue précaire depuis quelques semaines
et sa robuste constitution ne lui a pas per
mis de surmonter le mal dont il était atteint.
Edouard DELAHAYE meurt à 57 .ans. Il
était officier de l’Instruction publique. Il fut
maire de Caudebec-lès-Elbeuf, pendant plu
sieurs 'années. Délégué cantonal et délégué
de l’Assistance médicale, président de l’Union
des Commerçants, il était le président de la
Société de gymnastique ,« La Fraternelle »,
et président du Comité des Fêtes de la Jeu
nesse laïque du canton d’Elbeuf. Jusqu’aux
dernières heures de sa vie, il a consacré le
meilleur de lui-même à une œuvre qu’il
avait su rendre plus prospère d’année en
année. Son souvenir restera comme celui
d’un homme qui a honoré la laïcité et sou
tenu les Œuvres scolaires de la République.
Au nom de tous les Laïques, au nom de
tous ses amis de la Fédération départemen
tale, nous saluons sa mémoire et présentons
à sa famille nos condoléances émues.
*
* *
L’Amicale Mayvillaise et toute notre Fédé
ration havraise • sont cruellement frappées
par le décès de M. Fernand SCAVINI, sur
venu le 19 Septembre.
Délégué cantonal, vice-président de la
Société Musicale Mayvillaise, ancien conseil
ler municipal et adjoint au Maire de Gon-
freviile-l’Orcher, depuis 25 ans M. SCAVINI
s’est fait remarquer par sa grande activité,
l’intelligence et le dévouement qu’il mit au
service de sa cité d’adoption.
En 1909, aux côtés du regretté M. Amand,
il prit part à la fondation de l’Amicale Laï
que Mayvillaise. Il en fut successivement
vice-président et président. Il administra la
Société d’une façon tout à fait remarquable.
Son sens pratique du réel et du possible,
son entrain, son tact et sa bonne humeur
1 ont fait de l’Amicale une des plus belles
; de la -région. Il était titulaire de la médaille
| d’argent de la F.R.H.O.L. depuis 1930. Il
j appartint pendant quelque temps à notre
i Conseil d’administration.
Nous saluons en lui un des bons ouvriers
de l’œuvre laïque et un des meilleurs défen
seurs de notre école nationale.
La F.R.H.O.L. était représentée aux obsè
ques par M. Candellier, secrétaire général.
*
* *
Au moment de mettre en pages, nous ap
prenons l’épouvantable nouvelle du décès du
petit Daniel CANDELLIER, fils de notre ami
| et collaborateur M. Jean Candellier, institu-
MILLIT
112 et 114, rue MaréchaLJoffre
.4
Üéveloppement du Film. Ifr.
6/0
8 poses
teur à Villainville et petit-fils de M. et Mme
Candellier qui tiennent à la Fédération la
place que l’on sait.
Ce deuil cruel qui s’ajoute à celui que nous
avons déploré il y a 18 mois nous atteint pro
fondément et nous voulons ici assurer nos
amis que nous sommes très près d’eux dans
leur navrante affliction.
I
PERMANENCE
Le local de la permanence de la Fédéra
tion Régionale Havraise à l’Ecole de la rue
Dauphine ayant été repris pour l’installation
d’une nouvelle classe, nous avons dû cher
cher un nouveau logement. Le Bureau fédé
ral, dans l’impossibilité actuelle de trouver
une salle municipale, a adopté une solution
provisoire.
La permanence est donc transférée à
l’Ecole de la rue des Etoupières.
SECRÉTARIAT ADMINISTRAT!F
Le départ du Havre de Mme Avenel,
nous prive des services de notre excellente
secrétaire. Au moment où elle nous quitte,
nous lui exprimons nos remerciements pour
le concours actif et dévoué qu’elle nous a
apporté pendant une année très remplie et
marquée notamment par l’organisation de
l’activité fédérale nouvelle constituée par les
Concours artistiques fédéraux et la, consti
tution de fichiers. Nos vœux l’accompagnent
dans sa vie nouvelle aux côtés de son mari
qui fut au Havre un amicaliste. éclairé et
agissant.
Elle est remplacée par Mme Charriéras,
sténo-dactylographe éprouvée, à laquelle
nous souhaitons la plus cordiale bienvenue.
SIÈGE SOCIAL DES AMICALES
Emu de la situation créée à plusieurs Ami
cales havraises par l’ouverture de classes
nouvelles, le Bureau de la Fédération a fait
une démarche auprès de M. Léon Meyer,
député-maire,-président d’honneur de la Fé
dération Havraise des Œuvres Laïques.
M. Léon Meyer a réservé lè meilleur ac
cueil à MM. Arnaudtizon, président, et Can
dellier, secrétaire général. Avec eux, il a
déploré l’obligation où se trouve la Muni
cipalité d’utiliser des locaux dont elle était
heureuse d’abandonner la jouissance aux
Amicales. Mais, voulant que les Œuvres ne
subissent que le moindre dommage, il a dé
cidé que les classes nouvelles seraient dotées
d’un matériel amovible, permettant, en de
hors des heures scolaires, l’utilisation des
salles par les anciens élèves dont il connaît
l’activité intelligente et l’action efficace.
Il a donné des instructions dans ce sens
aux Chefs de service, et prié notre Secré
taire de lui signaler les établissements dans
lesquels les aménagements ou transforma
tions tarderaient ou ne donneraient pas sa
tisfaction aux intéressés.
COURS ET CONFÉRENCES
O
Examens de Sténographie
' La Commission centrale de l’Institut Inter-
nationaî de Sténographie, à Paris, qui a pro
cédé à la correction des épreuves de sténo
graphie qui lui furent transmises par le cen
tre du Havre, à la suite des Examens du 25
Juillet dernier, communique les résultats
suivants :
Sténographie. — 100 mots par minute :
Mlles Françoise Gauthier, m. b. ; Nelly La-
Horlogerie
GALIBERT
CHOIX UNIQUE
PRIX SÉRIEUX
10 °L aux Sociétaires
li i !6, pi. de Môtei-de-VIlle • l.rue JJlegfrled
Succursale : 275 & 277, rue A.-Briand - LE HAVRE
SS VOYAGE as
LA FARGE-MAROQUIN IER
24, Place de l’Hôtel-de-Ville —LE HAVRE
r
PARAPLUIES
UNE MAISON DE CONFIANCE
Remise aux Amiealistes
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