Titre : "Les Petites A" : organe de la Fédération régionale havraise des amicales laïques : journal mensuel / rédaction M. M. Pimon
Auteur : Fédération régionale havraise des amicales laïques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1935-04-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328381105
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 avril 1935 01 avril 1935
Description : 1935/04/01 (N102)-1935/04/30. 1935/04/01 (N102)-1935/04/30.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k982740v
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-46425
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 08/06/2015
-v f .
Neuvième Année.— N° 102
LIGUE FRANÇAISE DE L f ENSEIGNEMENT
__
CONFÉDÉRATION GÉNÉRALE DES ŒUVRES LAÏQUES (reconnue d’utilité publique)
Avril 1935
Faites vos Achats chez
Le Bijoutier de la Place Tiiiers
(à côté du Printemps)
Le mieux assorti '
en MONTRES ET BIJOUX
Remue iO % à nos Sociétaires.
Publicité: NI. CANDELLIER
5, Rue des Etoupières - LE HAVRE
S. A. G. N‘ 3762
Organe de J a Fédération Régionale Havraise des CB livres Laïques
Rédaction: M. PIMONT Tél. : 54.02
119, rue de Tourneviile — LE HAVRE
Président actif :
M. ARNAUDTIZON
19. Bd Foch, LE HAVRE Tél. 66-51
Secrétaire Général de la Fédération :
M. CANDELLIER, Ecole des Etoupières - LE HAVRE
Téléphone 46.38
Trésorier Général de la Fédération :
M. ROUSSEL, 46, rue Sadi-Carnot, SANVIC - Tél. 76-80
Chèques Postaux Rouen 62.34
Secrétariat administratif :
Ecole de Filles
Rue Dauphine - LE HAVRE
La T. S. F^à l’Ecole
Dès que les premières hases de la radiopho
nie furent jetées et que quelques stations
émettrices commencèrent à propager dans
l’espace une musique distordue, les pédago
gues de tous les pays y trouvèrent un nom
veau champ d’activité, une nouvelle source
intarissable à exploiter. Il suffisait d’attendre
une amélioration indispensable de la techni
que radiophonique pour mettre aux mains des
éducateurs une arme nouvelle et par consé
quent toute puissante.
Actuellement, la technique tant à l’émission
qu’à la réception est devenue irréprochable,
mais hélas ! la pédagogie n'y a absolument
rien gagné en France. Alox’s qu’à l’étranger,
en Allemagne, en Angleterre, en Autriche,
pour ne citer que des états européens, la Ra
diophonie scolaire a pris un développement
considérable, elle est restée chez nous lettre
morte. Comparons avec les nôtres les pro
grammes étrangers (au point de vue scolaire
s’entend). Nous trouvons chez nous une seule
émission scolaire par. semaine faite par un
poste pratiquement inaudible avec un récep
teur de qualité moyenne, la Tour Eiffel, notre
ancien poste national dont nous n’avons guère
à être fiers. Chez nos voisins la plupart des
émetteurs sont astreints à plusieurs émissions
par semaine strictement destinées aux écoles.
Ces émissions sont d’ailleurs scrupuleusement
suivies, un grand nombre de lycées, collèges
et écoles primaires étant munis de postes ré
cepteurs.
Quels avantages nos enfants retireraient-ils
d’une meilleure organisation de la radiopho
nie française ? Evidemment, il n’est pas ici
question de remplacer le maître par un poste
récepteur ! Non, il s’agit simplement d’aider
l’éducateur dans son œuvre délicate et pour
cela, il ne faut négliger aucun moyen.
La T. S. F. à l’école disposerait d’abord
d’un avantage immense ; son caractère un
peu mystérieux pour des cerveaux de dix et
douze ans imposerait le respect et rendrait
l’attention plus soutenue. De plus l’enfant se
rait sensible à ce fait qu’on s’adresserait di
rectement à lui alors qu’il se trouve à l’école,
sur son banc, par une voie aussi nouvelle,
celle des ondes.
Voilà donc l’enfant dans un état de récep
tivité parfait (ce qu’il n'est pas toujours pos
sible d’obtenir en classe).
Des causeries géographiques par exemple,
conçues par des personnalités compétentes et
spécialisées, seraient alors suivies avec profit.
Nous possédons un réseau important de postes
régionaux. Chacun de ceux-ci serait chargé à
tour de rôle d’élaborer un programme relayé
par les autres stations du réseau d’Etat.
Des radioreportages effectués à partir de fila
tures, tissages, d’usines métallurgiques, de
mines, etc., seraient d’un intérêt indiscutable.
Les travaux des champs, les curiosités géogra
phiques, la visite des musées, voilà pêle-mêle
des sujets de reportages pédagogiques techni
quement réalisables, qui donneraient à notre
radiophonie scolaire la place qui lui est due.
Du point de vue littéraire, des causeries avec
lectures de textes expliqués pourraient être
organisés et adaptés au niveau intellectuel
d’élèves plus âgés.
Certes, tout ceci demande une organisation
sérieuse pour obtenir des résultats certains.
Les tâtonnements, les indécisions, les fausses
initiatives seront inévitables. Mais ces obsta
cles ne sont pas insurmontables. L’avenir de
la radiophonie scolaire est là. Complétée par
la télévision, la T. S. F. à l’école ouvre d“s
horizons nouveaux à la pédagogie moderne.
Dernière Heure
SANS FILISTES
Envoyez rapidement votre demande d’ins-
ription sur les listes électorales en vue des
lections du 28 Avril.
TRAVAUX & PRODUITS
pour
AMATEURS PHOTOGRAPHES
112 et 114, rue MaréchaUJoffre
*
béveloppement du Film. ifp.
6/9
8 poses
F-
MILITANTS
Le devoir de tous les militants est de stimu
ler coûte que coûte le zèle des Associations :
Amicales, Universités Populaires, Sociétés d’E-
ducalion Populaires, Sociétés sportives, Œu
vres du Trousseau, Cantines, Colonies de Va
cances, Patronages, Garderies, Jeux et Sports,
Sociétés de Mutualité, Groupements de Délé
gués cantonaux, Groupes de Défense laïque,
Coopératives Scolaires, Œuvres de Secours
Immédiat, de Tutelle des Pupilles de l’E. P.,
des Ecoles Maternelles, Vestiaires, Tasse de
Lait, etc...
A l’effort de l’adversaire, nous devons oppo
ser un effort toujours plus grand.
Guerre surtout au pessimisme, c’est le can
cer de l’action. Honte à l’absentéisme et à
l'abstentionnisme I*
N'oublions jamais que la victoire sera aux
plus audacieux et que vouloir, c’est pouvoir.
La Commission de Propagande.
f\ propos de T.S.P.
Avis important aux Amiealistes
amateurs de Radiophonie
Nous apprenons que les organisations con
currentes ont recueilli plusieurs dizaines de
milliers d’adhésions qui leur permettent d’en
visager une participation au éontrôle et à la
direction des émissions des Postes d’Etat.
La Ligue de l’Enseignement et en particu
lier notre Fédération régionale n’ont reçu
qu’un nombre dérisoire de réponses des Técé-
lisles laïques.
Il ne faut pas abandonner la lutte sur ce
terrain encore que le décret du 17 Février,
pris par M. Mandel, ministre des P. T. T. con
sacre notre défaite et notre carence.
Des occasions de revanche se présenteront.
Amis sans-filistes, envoyez d’urgence votre
adhésion. Pour le moment, on ne vous de
mande qu’une carte de visite avec la mention
T. S. F.
Nous aimerions voir dans les groupements
laïques, des gens d’initiative, comme il s’en
trouve toujours, réunir des listes nombreuses
d'adhésions qu’ils enverraient soit au journal
« Les Petites A », soit au Secrétaire général,
soit à la Permanence.
Au a Journal Officiel »
L'interdiction, faite aux fonctionnaires, de
participer aux organes d'administration ou de
contrôle d'une société commerciale (D. du
U Avril 1934, art, 6), peut-elle s'appliquer
dans le cas d'une société coopérative de fonc
tionnaires, société coopérative de consomma
tion, qui a pris la forme de société anonyme
et qui, par le fait, est une société commer
ciale ?
Les conditions suivant lesquelles seront ap
pliquées les dispositions du D. du 4 Avril ig34,
y compris celles interdisant aux fonctionnai
res de participer aux organes d’administration
ou de contrôle d’une société commerciale, se
ront examinées par la Commission prévue par
Part. i €r dudit D. Cette Commission a été
constituée par un D. en date du 25 Octobre
19.34. Elle sera saisie de tous les cas d’espèce
(J. O., 9 Janvier ig35).
Fédération Départementale
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
(lu 31 Mars 1935
La Fédération Départementale des Œuvres
Laïques de la Seine-Inférieure s’est réunie en
Assemblée générale, le Dimanche 3i Mars, à
10 heures, à l’Hôtel de Ville de Rouen, sous
la présidence de M. Richard, conseiller géné
ral.
Etaient présents : MM. Richard, Lévy-Risser,
Savale, Gaillon, Delahaye, Millot, Laîné et
Utz, délégués rouennais ; MM. Arnaudlizon,
Candellier, Pimont, Vittecoq, Roussel, Mmes
Pimont et Candellier délégués du Havre.
M. Resnier, inspecteur de la 2 me circonscrip
tion de Rouen et M. C. Levillain, directeur
de l’Ecole de Commerce, assistaient à cette
séance ainsi que de nombreux délégués des
Amicales de la région de Rouen.
Compte rendu financier. — M. Lévy-Ris
ser expose d’abord la situation financière de la
Fédération Départementale et signale que par
suite de notre activité grandissante, les dé
penses ont dépassé les recettes en 1934. Il
faudra donc créer des ressources nouvelles.
Compte rendu moral. — Dans un rapport
fortement documenté, Mî” Candellier, secré
taire général, retrace toute l’activité de cette
Fédération qui groupe actuellement 161 Socié
tés : n4 dans la région du Havre, 47 dans la
zone rouennaise avec un effectif total de
3o.ooo adhérents.
L’activité de cet organisme départemental
se fait sentir cfcins trois branches principales :
le Cinéma éducateur et populaire, l'Education
artistique à l'Ecole et dans la post-école, l’Edu
cation physique et sportive de la jeunesse.
1) Cinéma éducateur. — La Cinémathèque
départementale a fait, en 1934-1935, i52 prêts
de films documentaires et fourni 35 program
mes récréatifs Standard aux Amicales urbaines
et rurales du département. 61 séances de Ci
néma muet et 66 séances de Cinéma parlant
ont groupé 4o.ooo auditeurs dans nos Œuvres
laïques.
Lés mêmes avantages ont été accordés aux
Œuvres utilisant les formats réduits 16 m / m
Cl 17 m / m 5.
La Cinémathèque départementale devra en
19.35 être largement dotée en appareils et films
afin de pouvoir répondre à-toutes les deman
des.
2) Education artistique. — L’U. F. O. L.
E. A. s’est donné comme mission de dévelop
per le sens artistique à l’Ecole et dans la
post-école par le Chant choral scolaire et post-
scolaire, par la Gymnastique harmonique et
rythmique, par le Théâtre, etc.,.
Mme Candellier s’y attache dans la région
du Havre, M. Milliot, à l’Université Populaire
de Rouen et M. Rarbier, aux Amis du Chant,
y contribuent puissamment.
Des Délégations rouennaises représenteront
la Seine-Inférieure au Concours national de
Lens, à la Pentecôte.
2) Education Physique et Sportive. — Les
Sports sont en honneur parmi notre jeunesse
et on pratique le Foot-Ball, le Basket-Ball, le
Cross-Counlry, l’Athlétisme, l’Education phy
sique, l’Escrime, le Tennis et le Ping-Pong
Le Délégué à l’L.F.O.L.E.P., M. Beauville,
a fortement'organisé les Sports dans la région
du Havre et il invite les Rouennais à suivre
cet exemple.
Remerciements. — L’Assemblée générale
adresse des remerciements à M. le Préfet, de
la Seine-Inférieure et à M. l’Inspecteur d’Aca-
démie pour le bienveillant appui accordé à la
Fédération, ce qui en a grandement facilité le
fonctionnement.
Questions à l’ordre du jour du Congrès
de Lens. — Deux pré-rapports ont été sou
mis à l’examen des Fédérations pour être dis
cutés par le Congrès :
1) La Femme et la Laïcité, rapporteur gé
néral M. Gaston Martin.
L’Assemblée générale entend le rapport pré
paré au nom de la Seine-Inférieure par M. et
Mme Pimont. Après un exposé brillant, com
plet et documenté de la question, l’Assemblée
passe à la discussion et vote les huit conclu
sions principales, en réservant la neuvième
comme présentant un intérêt un peu particu
lier.
2) L’Action Laïque dans les enseignements
du 2 me et du 3 me degrés a fait l’objet d’un
rapport de MM. Candellier et Pimont. Il cons
titue une enquête purement statistique et ne
VETEMENTS
S. ADAM
18, Rue Thiera
LE HAVRE
fait pas le sujet d’une discussion. II sera trans
mis au rapporteur général, M. Belliot.
Deux autres pré-rapports concernant des
questions à l’étude de l’U. F. O. L. E. P. sont
ensuite examinés.
1) Plan constructif d’Education physique
dans une Démocratie, dont le rapporteur gé
néral est M. Beauville.
M. Levillain avait été chargé de présenter
des conclusions sur ce plan. L’Assemblée gé
nérale adopte les conclusions de M. le Direc
teur de l’Ecole de Commerce de Rouen.
2) Projet de réorganisation du Sport sco
laire et universitaire, dont le rapporteur
général est M. Rigaud.
L’Assemblée adopte les conclusions de M.
Levillain qui a étudié également cette ques
tion, avec addition des observations présentées
par M. Pimont.
Formation du Bureau, des Commissions
et des Délégations. — Le Bureau est- ainsi
renouvelé :
Présidents d’honneur, M. le Préfet de la
Seine-Inférieure et M. l’Inspecteur d’Acadé-
mie ;
Vice-Présidents d'honneur, MM. les Inspec
teurs primaires ;
Président actif, M. Léon Meyer, ancien mi
nistre, député-maire du Havre, conseiller gé
néral ;
Vice-Présidents, MM. Richard et Arnaudti-
zen, conseillers généraux ;
Vice-Présidentes, Mmes Pimont et Bleuzet ;
Secrétaire général, M. Candellier ;
Secrétaire-adjoint, M. Savale ;
Trésorier général, M. Lévy-Risser ;
Trésoriers régionaux, M. Roussel ci Mme
Gillet j
Délégué à l’U.F.O.L.E.P., M. Beauville ;
Déléguée à l’U .F .O.L.E.A., Mme Candellier;
Délégué à l’U.F.O.C.E.L., M. Lévy-Risser ;
Commission sportive, MM. Beauville et Utz,
Mmes Bleuzet et Richard ;
Commission Cinématographique, MM. Lévy-
Risser, Laîné, Candellier et Mongis ;
Délégués au Congrès de Lens :
1) Délégué de Rouen, MM. Milliot, Laîné,
Barbier, Savale e( Utz.
2) Délégués du Havre, MM. Arnaudtizon,
Candellier,. Pimont et Beauville, Mmes Pimont
et Candellier.
MANIFESTATION EN L’HONNEUR
DE VICTOR HUGO
HABILLE
BIEN
M. Delmotte, inspecteur de l’Enseignement
primaire, au Havre, a bien voulu accepter de
glorifier l’œuvre de Victor Hugo, au cours
d’une Conférence qui sera faite à la Salle
Lord-Kitchener, sous les auspices de la Fédé
ration, le Mercredi 22 Mai, à 20 h. 45.
Le conférencier traitera : « L’Œuvre de
Victor Hugo, sous l’angle humain et social ».
Tout un programme artistique encadrera
celte conférence commémorant le Cinquante
naire de la mort du poète.
*
* *
2 me Kermesse des Petites « A ». (2 Juin).
— Les Délégués des Amicales sont convoqués
le Dimanche i4 Avril, à 10 heures, à la Per
manence, rue Dauphine.
Ordre du Jour :
Réponses au Questionnaire ;
Répartition des Comptoirs.
8 me Fête du Plein Air. (Saint-Valéry, 7
Juillet). -— Notre Fédération a engagé des
pourparlers avec la Municipalité de Saint-Valé
ry, qui en a accepté le principe.
Cette date est à retenir dès maintenant par
toutes nos Amicales.
Igme Fête Fédérale. (19 Mai). — La Fête
Fédérale havraise se déroulera dans notre ville
le Dimanche 19 Mai et le programme com
prendra : Petit Congrès ; Déjeûner fédéral ;
Manifestation artistique au Théâtre.
M. Beaulieu, conseiller technique de l’U.F.O.
DATES A RETENIR
27 AVRIL.— Adresser les demandes
de Récompenses fédérales.
19 MAI.— 18 e Fête Fédérale au Grand
Théâtre.
22 MAI.— Cinquantenaire de V. Hugo.
— Conférence de M. Del
motte, Inspecteur primaire,
à Lord-Kitchener.
2 JUIN.-^- 2‘ ! Kermesse des Petites “A”
au Palais des Expositions.
6 JUIN — Congrès à Lens de la Ligue
de l’Enseignement.
8 JUIN. — U. F. O. L. E. A., à Lens,
Concours Théâtral.
30 JUIN. — Fête de la Jeunesse du
Havre.
7 JUILLET. — 8 e Fête du Plein Air
à Saint-Valery-en-Caux.
L.E.A. est chargé du choix d’une pièce et de
grouper les meilleurs artistes. On parle de
« Primerose ».
Anciennes Elèves
de F Ecole Dauphine
Le Concert annuel a eu lieu le 17 Mars, à
la Salle Jules-Ferry, sous ta présidence de NT.
Arnaudtizon, au milieu d’une assistance nom
breuse parmi laquelle on remarquait : MM.
Omont, conseiller municipal ; Leconte, ancien
conseiller d’arrondissement ; Mlle Le Roy, pré
sidente d’honneur de l’Amicale ; MM. Lefeb
vre, chef de bureau à l’Instruction publique ;
Teysseyre, receveur des Contributions indirec
tes ; Mongis, Aubert, Sujet, Maire, directeurs
d’école ; Lefebvre, secrétaire administratif des
Petites « A » ; Mmes Le Flem, Mongis, Teys
seyre ; Mlle Mouillon, Mme Leroux, présiden
te dé l’Association ; Mme Maillot et Mlle Ccu-
royer, vice-présidentes ; Mme Taitly, trésoriè-
re ; Mlles Castric, Dubuc, Mme Mallard, mem
bres du bureau.
L’orchestre du Patronage des Etoupières prê
tait son concours et traduisit avec brio des
œuvres agréables.
Dirigées par Mllç Crevon, les toutes petites
dansèrent, pour la joie de tous, La Ronde du
Jupon, de Dalcroze, et Huguette Iluber se fit
applaudir dans l’air du « Mannequin » de La
Poupée, d’Audran.
Mme Ribière, reçut un accueil sympathi
que. Sa voix sut mettre en valeur divers mor
ceaux : La Vie est un Rêve, d’Haydn ; L’A
dieu, de Goublier ; le très gracieux Marivau
dage, de Holzer, et la Chanson de Fortunio,
accompagnée avec sûreté et souplesse par sa
fillefte, Mlle Huguette Ribière, artiste de sept
ans-'
On apprécia ensuite deux chœurs délicate
ment nuancés sous l’habile direction de Mlle
Castric : On s’étonnerait moins, d’Armide
(Glück), et L’Hymne des Temps Futurs, de
Bouchor.
Les Compliments de Normandie et Ma Pou
pée chérie, chantés par J. Vautier. MM. Fi-
chou et D. Tudal eurent leur part de succès
Horlogerie
GALIBERT
CHOIX UNIQUE
PRIX SÉRIEUX
10 °L aux Sociétaires
lit 16, pi. de l’Hôtel-de-VIlle -1, rue J.-Slégfrled
Succursale : 275 & 277, rue A.-Briand - LE HAVRE
ras
LAFARGE Maroquinier - Voyage - Parapluies - 24, place de l’HôteUde-Yille, LE HAVRE
Une Maison de Confiance • au^
»
Neuvième Année.— N° 102
LIGUE FRANÇAISE DE L f ENSEIGNEMENT
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Avril 1935
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5, Rue des Etoupières - LE HAVRE
S. A. G. N‘ 3762
Organe de J a Fédération Régionale Havraise des CB livres Laïques
Rédaction: M. PIMONT Tél. : 54.02
119, rue de Tourneviile — LE HAVRE
Président actif :
M. ARNAUDTIZON
19. Bd Foch, LE HAVRE Tél. 66-51
Secrétaire Général de la Fédération :
M. CANDELLIER, Ecole des Etoupières - LE HAVRE
Téléphone 46.38
Trésorier Général de la Fédération :
M. ROUSSEL, 46, rue Sadi-Carnot, SANVIC - Tél. 76-80
Chèques Postaux Rouen 62.34
Secrétariat administratif :
Ecole de Filles
Rue Dauphine - LE HAVRE
La T. S. F^à l’Ecole
Dès que les premières hases de la radiopho
nie furent jetées et que quelques stations
émettrices commencèrent à propager dans
l’espace une musique distordue, les pédago
gues de tous les pays y trouvèrent un nom
veau champ d’activité, une nouvelle source
intarissable à exploiter. Il suffisait d’attendre
une amélioration indispensable de la techni
que radiophonique pour mettre aux mains des
éducateurs une arme nouvelle et par consé
quent toute puissante.
Actuellement, la technique tant à l’émission
qu’à la réception est devenue irréprochable,
mais hélas ! la pédagogie n'y a absolument
rien gagné en France. Alox’s qu’à l’étranger,
en Allemagne, en Angleterre, en Autriche,
pour ne citer que des états européens, la Ra
diophonie scolaire a pris un développement
considérable, elle est restée chez nous lettre
morte. Comparons avec les nôtres les pro
grammes étrangers (au point de vue scolaire
s’entend). Nous trouvons chez nous une seule
émission scolaire par. semaine faite par un
poste pratiquement inaudible avec un récep
teur de qualité moyenne, la Tour Eiffel, notre
ancien poste national dont nous n’avons guère
à être fiers. Chez nos voisins la plupart des
émetteurs sont astreints à plusieurs émissions
par semaine strictement destinées aux écoles.
Ces émissions sont d’ailleurs scrupuleusement
suivies, un grand nombre de lycées, collèges
et écoles primaires étant munis de postes ré
cepteurs.
Quels avantages nos enfants retireraient-ils
d’une meilleure organisation de la radiopho
nie française ? Evidemment, il n’est pas ici
question de remplacer le maître par un poste
récepteur ! Non, il s’agit simplement d’aider
l’éducateur dans son œuvre délicate et pour
cela, il ne faut négliger aucun moyen.
La T. S. F. à l’école disposerait d’abord
d’un avantage immense ; son caractère un
peu mystérieux pour des cerveaux de dix et
douze ans imposerait le respect et rendrait
l’attention plus soutenue. De plus l’enfant se
rait sensible à ce fait qu’on s’adresserait di
rectement à lui alors qu’il se trouve à l’école,
sur son banc, par une voie aussi nouvelle,
celle des ondes.
Voilà donc l’enfant dans un état de récep
tivité parfait (ce qu’il n'est pas toujours pos
sible d’obtenir en classe).
Des causeries géographiques par exemple,
conçues par des personnalités compétentes et
spécialisées, seraient alors suivies avec profit.
Nous possédons un réseau important de postes
régionaux. Chacun de ceux-ci serait chargé à
tour de rôle d’élaborer un programme relayé
par les autres stations du réseau d’Etat.
Des radioreportages effectués à partir de fila
tures, tissages, d’usines métallurgiques, de
mines, etc., seraient d’un intérêt indiscutable.
Les travaux des champs, les curiosités géogra
phiques, la visite des musées, voilà pêle-mêle
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quement réalisables, qui donneraient à notre
radiophonie scolaire la place qui lui est due.
Du point de vue littéraire, des causeries avec
lectures de textes expliqués pourraient être
organisés et adaptés au niveau intellectuel
d’élèves plus âgés.
Certes, tout ceci demande une organisation
sérieuse pour obtenir des résultats certains.
Les tâtonnements, les indécisions, les fausses
initiatives seront inévitables. Mais ces obsta
cles ne sont pas insurmontables. L’avenir de
la radiophonie scolaire est là. Complétée par
la télévision, la T. S. F. à l’école ouvre d“s
horizons nouveaux à la pédagogie moderne.
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lections du 28 Avril.
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*
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6/9
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MILITANTS
Le devoir de tous les militants est de stimu
ler coûte que coûte le zèle des Associations :
Amicales, Universités Populaires, Sociétés d’E-
ducalion Populaires, Sociétés sportives, Œu
vres du Trousseau, Cantines, Colonies de Va
cances, Patronages, Garderies, Jeux et Sports,
Sociétés de Mutualité, Groupements de Délé
gués cantonaux, Groupes de Défense laïque,
Coopératives Scolaires, Œuvres de Secours
Immédiat, de Tutelle des Pupilles de l’E. P.,
des Ecoles Maternelles, Vestiaires, Tasse de
Lait, etc...
A l’effort de l’adversaire, nous devons oppo
ser un effort toujours plus grand.
Guerre surtout au pessimisme, c’est le can
cer de l’action. Honte à l’absentéisme et à
l'abstentionnisme I*
N'oublions jamais que la victoire sera aux
plus audacieux et que vouloir, c’est pouvoir.
La Commission de Propagande.
f\ propos de T.S.P.
Avis important aux Amiealistes
amateurs de Radiophonie
Nous apprenons que les organisations con
currentes ont recueilli plusieurs dizaines de
milliers d’adhésions qui leur permettent d’en
visager une participation au éontrôle et à la
direction des émissions des Postes d’Etat.
La Ligue de l’Enseignement et en particu
lier notre Fédération régionale n’ont reçu
qu’un nombre dérisoire de réponses des Técé-
lisles laïques.
Il ne faut pas abandonner la lutte sur ce
terrain encore que le décret du 17 Février,
pris par M. Mandel, ministre des P. T. T. con
sacre notre défaite et notre carence.
Des occasions de revanche se présenteront.
Amis sans-filistes, envoyez d’urgence votre
adhésion. Pour le moment, on ne vous de
mande qu’une carte de visite avec la mention
T. S. F.
Nous aimerions voir dans les groupements
laïques, des gens d’initiative, comme il s’en
trouve toujours, réunir des listes nombreuses
d'adhésions qu’ils enverraient soit au journal
« Les Petites A », soit au Secrétaire général,
soit à la Permanence.
Au a Journal Officiel »
L'interdiction, faite aux fonctionnaires, de
participer aux organes d'administration ou de
contrôle d'une société commerciale (D. du
U Avril 1934, art, 6), peut-elle s'appliquer
dans le cas d'une société coopérative de fonc
tionnaires, société coopérative de consomma
tion, qui a pris la forme de société anonyme
et qui, par le fait, est une société commer
ciale ?
Les conditions suivant lesquelles seront ap
pliquées les dispositions du D. du 4 Avril ig34,
y compris celles interdisant aux fonctionnai
res de participer aux organes d’administration
ou de contrôle d’une société commerciale, se
ront examinées par la Commission prévue par
Part. i €r dudit D. Cette Commission a été
constituée par un D. en date du 25 Octobre
19.34. Elle sera saisie de tous les cas d’espèce
(J. O., 9 Janvier ig35).
Fédération Départementale
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
(lu 31 Mars 1935
La Fédération Départementale des Œuvres
Laïques de la Seine-Inférieure s’est réunie en
Assemblée générale, le Dimanche 3i Mars, à
10 heures, à l’Hôtel de Ville de Rouen, sous
la présidence de M. Richard, conseiller géné
ral.
Etaient présents : MM. Richard, Lévy-Risser,
Savale, Gaillon, Delahaye, Millot, Laîné et
Utz, délégués rouennais ; MM. Arnaudlizon,
Candellier, Pimont, Vittecoq, Roussel, Mmes
Pimont et Candellier délégués du Havre.
M. Resnier, inspecteur de la 2 me circonscrip
tion de Rouen et M. C. Levillain, directeur
de l’Ecole de Commerce, assistaient à cette
séance ainsi que de nombreux délégués des
Amicales de la région de Rouen.
Compte rendu financier. — M. Lévy-Ris
ser expose d’abord la situation financière de la
Fédération Départementale et signale que par
suite de notre activité grandissante, les dé
penses ont dépassé les recettes en 1934. Il
faudra donc créer des ressources nouvelles.
Compte rendu moral. — Dans un rapport
fortement documenté, Mî” Candellier, secré
taire général, retrace toute l’activité de cette
Fédération qui groupe actuellement 161 Socié
tés : n4 dans la région du Havre, 47 dans la
zone rouennaise avec un effectif total de
3o.ooo adhérents.
L’activité de cet organisme départemental
se fait sentir cfcins trois branches principales :
le Cinéma éducateur et populaire, l'Education
artistique à l'Ecole et dans la post-école, l’Edu
cation physique et sportive de la jeunesse.
1) Cinéma éducateur. — La Cinémathèque
départementale a fait, en 1934-1935, i52 prêts
de films documentaires et fourni 35 program
mes récréatifs Standard aux Amicales urbaines
et rurales du département. 61 séances de Ci
néma muet et 66 séances de Cinéma parlant
ont groupé 4o.ooo auditeurs dans nos Œuvres
laïques.
Lés mêmes avantages ont été accordés aux
Œuvres utilisant les formats réduits 16 m / m
Cl 17 m / m 5.
La Cinémathèque départementale devra en
19.35 être largement dotée en appareils et films
afin de pouvoir répondre à-toutes les deman
des.
2) Education artistique. — L’U. F. O. L.
E. A. s’est donné comme mission de dévelop
per le sens artistique à l’Ecole et dans la
post-école par le Chant choral scolaire et post-
scolaire, par la Gymnastique harmonique et
rythmique, par le Théâtre, etc.,.
Mme Candellier s’y attache dans la région
du Havre, M. Milliot, à l’Université Populaire
de Rouen et M. Rarbier, aux Amis du Chant,
y contribuent puissamment.
Des Délégations rouennaises représenteront
la Seine-Inférieure au Concours national de
Lens, à la Pentecôte.
2) Education Physique et Sportive. — Les
Sports sont en honneur parmi notre jeunesse
et on pratique le Foot-Ball, le Basket-Ball, le
Cross-Counlry, l’Athlétisme, l’Education phy
sique, l’Escrime, le Tennis et le Ping-Pong
Le Délégué à l’L.F.O.L.E.P., M. Beauville,
a fortement'organisé les Sports dans la région
du Havre et il invite les Rouennais à suivre
cet exemple.
Remerciements. — L’Assemblée générale
adresse des remerciements à M. le Préfet, de
la Seine-Inférieure et à M. l’Inspecteur d’Aca-
démie pour le bienveillant appui accordé à la
Fédération, ce qui en a grandement facilité le
fonctionnement.
Questions à l’ordre du jour du Congrès
de Lens. — Deux pré-rapports ont été sou
mis à l’examen des Fédérations pour être dis
cutés par le Congrès :
1) La Femme et la Laïcité, rapporteur gé
néral M. Gaston Martin.
L’Assemblée générale entend le rapport pré
paré au nom de la Seine-Inférieure par M. et
Mme Pimont. Après un exposé brillant, com
plet et documenté de la question, l’Assemblée
passe à la discussion et vote les huit conclu
sions principales, en réservant la neuvième
comme présentant un intérêt un peu particu
lier.
2) L’Action Laïque dans les enseignements
du 2 me et du 3 me degrés a fait l’objet d’un
rapport de MM. Candellier et Pimont. Il cons
titue une enquête purement statistique et ne
VETEMENTS
S. ADAM
18, Rue Thiera
LE HAVRE
fait pas le sujet d’une discussion. II sera trans
mis au rapporteur général, M. Belliot.
Deux autres pré-rapports concernant des
questions à l’étude de l’U. F. O. L. E. P. sont
ensuite examinés.
1) Plan constructif d’Education physique
dans une Démocratie, dont le rapporteur gé
néral est M. Beauville.
M. Levillain avait été chargé de présenter
des conclusions sur ce plan. L’Assemblée gé
nérale adopte les conclusions de M. le Direc
teur de l’Ecole de Commerce de Rouen.
2) Projet de réorganisation du Sport sco
laire et universitaire, dont le rapporteur
général est M. Rigaud.
L’Assemblée adopte les conclusions de M.
Levillain qui a étudié également cette ques
tion, avec addition des observations présentées
par M. Pimont.
Formation du Bureau, des Commissions
et des Délégations. — Le Bureau est- ainsi
renouvelé :
Présidents d’honneur, M. le Préfet de la
Seine-Inférieure et M. l’Inspecteur d’Acadé-
mie ;
Vice-Présidents d'honneur, MM. les Inspec
teurs primaires ;
Président actif, M. Léon Meyer, ancien mi
nistre, député-maire du Havre, conseiller gé
néral ;
Vice-Présidents, MM. Richard et Arnaudti-
zen, conseillers généraux ;
Vice-Présidentes, Mmes Pimont et Bleuzet ;
Secrétaire général, M. Candellier ;
Secrétaire-adjoint, M. Savale ;
Trésorier général, M. Lévy-Risser ;
Trésoriers régionaux, M. Roussel ci Mme
Gillet j
Délégué à l’U.F.O.L.E.P., M. Beauville ;
Déléguée à l’U .F .O.L.E.A., Mme Candellier;
Délégué à l’U.F.O.C.E.L., M. Lévy-Risser ;
Commission sportive, MM. Beauville et Utz,
Mmes Bleuzet et Richard ;
Commission Cinématographique, MM. Lévy-
Risser, Laîné, Candellier et Mongis ;
Délégués au Congrès de Lens :
1) Délégué de Rouen, MM. Milliot, Laîné,
Barbier, Savale e( Utz.
2) Délégués du Havre, MM. Arnaudtizon,
Candellier,. Pimont et Beauville, Mmes Pimont
et Candellier.
MANIFESTATION EN L’HONNEUR
DE VICTOR HUGO
HABILLE
BIEN
M. Delmotte, inspecteur de l’Enseignement
primaire, au Havre, a bien voulu accepter de
glorifier l’œuvre de Victor Hugo, au cours
d’une Conférence qui sera faite à la Salle
Lord-Kitchener, sous les auspices de la Fédé
ration, le Mercredi 22 Mai, à 20 h. 45.
Le conférencier traitera : « L’Œuvre de
Victor Hugo, sous l’angle humain et social ».
Tout un programme artistique encadrera
celte conférence commémorant le Cinquante
naire de la mort du poète.
*
* *
2 me Kermesse des Petites « A ». (2 Juin).
— Les Délégués des Amicales sont convoqués
le Dimanche i4 Avril, à 10 heures, à la Per
manence, rue Dauphine.
Ordre du Jour :
Réponses au Questionnaire ;
Répartition des Comptoirs.
8 me Fête du Plein Air. (Saint-Valéry, 7
Juillet). -— Notre Fédération a engagé des
pourparlers avec la Municipalité de Saint-Valé
ry, qui en a accepté le principe.
Cette date est à retenir dès maintenant par
toutes nos Amicales.
Igme Fête Fédérale. (19 Mai). — La Fête
Fédérale havraise se déroulera dans notre ville
le Dimanche 19 Mai et le programme com
prendra : Petit Congrès ; Déjeûner fédéral ;
Manifestation artistique au Théâtre.
M. Beaulieu, conseiller technique de l’U.F.O.
DATES A RETENIR
27 AVRIL.— Adresser les demandes
de Récompenses fédérales.
19 MAI.— 18 e Fête Fédérale au Grand
Théâtre.
22 MAI.— Cinquantenaire de V. Hugo.
— Conférence de M. Del
motte, Inspecteur primaire,
à Lord-Kitchener.
2 JUIN.-^- 2‘ ! Kermesse des Petites “A”
au Palais des Expositions.
6 JUIN — Congrès à Lens de la Ligue
de l’Enseignement.
8 JUIN. — U. F. O. L. E. A., à Lens,
Concours Théâtral.
30 JUIN. — Fête de la Jeunesse du
Havre.
7 JUILLET. — 8 e Fête du Plein Air
à Saint-Valery-en-Caux.
L.E.A. est chargé du choix d’une pièce et de
grouper les meilleurs artistes. On parle de
« Primerose ».
Anciennes Elèves
de F Ecole Dauphine
Le Concert annuel a eu lieu le 17 Mars, à
la Salle Jules-Ferry, sous ta présidence de NT.
Arnaudtizon, au milieu d’une assistance nom
breuse parmi laquelle on remarquait : MM.
Omont, conseiller municipal ; Leconte, ancien
conseiller d’arrondissement ; Mlle Le Roy, pré
sidente d’honneur de l’Amicale ; MM. Lefeb
vre, chef de bureau à l’Instruction publique ;
Teysseyre, receveur des Contributions indirec
tes ; Mongis, Aubert, Sujet, Maire, directeurs
d’école ; Lefebvre, secrétaire administratif des
Petites « A » ; Mmes Le Flem, Mongis, Teys
seyre ; Mlle Mouillon, Mme Leroux, présiden
te dé l’Association ; Mme Maillot et Mlle Ccu-
royer, vice-présidentes ; Mme Taitly, trésoriè-
re ; Mlles Castric, Dubuc, Mme Mallard, mem
bres du bureau.
L’orchestre du Patronage des Etoupières prê
tait son concours et traduisit avec brio des
œuvres agréables.
Dirigées par Mllç Crevon, les toutes petites
dansèrent, pour la joie de tous, La Ronde du
Jupon, de Dalcroze, et Huguette Iluber se fit
applaudir dans l’air du « Mannequin » de La
Poupée, d’Audran.
Mme Ribière, reçut un accueil sympathi
que. Sa voix sut mettre en valeur divers mor
ceaux : La Vie est un Rêve, d’Haydn ; L’A
dieu, de Goublier ; le très gracieux Marivau
dage, de Holzer, et la Chanson de Fortunio,
accompagnée avec sûreté et souplesse par sa
fillefte, Mlle Huguette Ribière, artiste de sept
ans-'
On apprécia ensuite deux chœurs délicate
ment nuancés sous l’habile direction de Mlle
Castric : On s’étonnerait moins, d’Armide
(Glück), et L’Hymne des Temps Futurs, de
Bouchor.
Les Compliments de Normandie et Ma Pou
pée chérie, chantés par J. Vautier. MM. Fi-
chou et D. Tudal eurent leur part de succès
Horlogerie
GALIBERT
CHOIX UNIQUE
PRIX SÉRIEUX
10 °L aux Sociétaires
lit 16, pi. de l’Hôtel-de-VIlle -1, rue J.-Slégfrled
Succursale : 275 & 277, rue A.-Briand - LE HAVRE
ras
LAFARGE Maroquinier - Voyage - Parapluies - 24, place de l’HôteUde-Yille, LE HAVRE
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