Titre : "Les Petites A" : organe de la Fédération régionale havraise des amicales laïques : journal mensuel / rédaction M. M. Pimon
Auteur : Fédération régionale havraise des amicales laïques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1935-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328381105
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 février 1935 01 février 1935
Description : 1935/02/01 (N100)-1935/02/28. 1935/02/01 (N100)-1935/02/28.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k982738j
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-46425
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 08/06/2015
JOTJRN
ésident actif :
Secrétaire Général de la Fédération :
Trésorier Général de la Fédération :
Secrétariat administratif :
RNAUDTIZON
M. CANDELLIER, Ecole des Etoupières - LE HAVRE
M. ROUSSEL, 46, rue Sadi-Carnot, SANVIC - Tél. 76-80
Ecole de Filles
i, LE HAVRE Tél. 66-51
lélêiplione 4G.38
Chègues Postaux Rouen 62.3-4=
Rue Dauphine - LE HAVRE
UNE DATE
LIGUE FRANÇAISE DE L’ENSEIGNEMENT
CONFÉDÉRATION GÉNÉRALE DES ŒUVRES LAÏQUES (reconnue d’utilité publique)
Février 1935
ff
OS. A, G. JV° 3762
Organe de la Fédéraiibn Régionale Havraise des Œuvres Laïques
■■■■■■■■■■■■■■■■■a
MENSUEL
Rédaction : M. PI MON T tôi. : 54.02
I 19, rue de Tourneville — LE HAVRE
Ce numéro de Février est le centième de
l'existence de notre Journal. Il y a donc 98
mois, puisque deux années comptèrent 13 nu
méros, que furent créées a Les Petites A ».
100 numéros, plus 3 numéros bis, 15 tirages
sur 6 pages, 5 sur 8 pages, 4 avec clichés pho
tographiques, 12 _suppléments sportifs sur
feuille simple, 2 suppléments à U pages (« Les
Œuvres Laïques »}, 380.000 exemplaires,
760 rames de papier pesant 9.880 kilogs, pres
que 10 tonnes, 17.000 rouleaux expédiés,
90.000 francs de dépenses, 3 gérants : Vitte-
coq, Lefèvre, Candellier, un rédacteur, non
appointés. Qu'on nous pardonne ces statisti
ques et ce coup d'œil rétrospectif !
Ce n'est pas sans une certaine fierté que
nous songeons à l'œuvre accomplie. Vivra-t-il?
nous disaient en Janvier 1927 de bons amis.
alors inspecteur primaire, aux audacieux qui,
à cette époque, collectaient les premières an
nonces.
Il a vécu, notre cher petit Journal, qui fut
parfois plus qu'un Bulletin. Il vit et compte
encore durer longtemps. Il s'est souvent trans
formé : quant au format d’abord, puis quant
à la grosseur des caractères ; quant à son
texte aussi (et pourtant les collaborations ne
furent jamais très nombreuses).
Il a cependant l'ambition, au cours de la
carrière qu’il envisage dans l’avenir, de faire
mieux. Très prochainement, sa présentation
va s'enrichir de titres artistiques dus à la plu
me d’un dessinateur de talent, notre jeune
ami Jean Candellier.
Et pourtant, chers Lecteurs, si vous vou
liez... Si d’abord, nous pouvions acquérir la
certitude que tous nos numéros sont judicieu
sement distribués ! qu’ils sont lus, transmis
de main en main avant de connaître le sort
fatal réservé aux périodiques ? Si nous savions
qu’on y cherche les aliments intellectuels que
nous leur confions — qu’on s’y réfère pour
profiter de nos informations —'qu’on s’inspi
re de leurs comptes-rendus pour faire toujours
mieux et davantage pour le plus grand succès
de nos Œuvres Laïques ! Si par suite d'un
sentiment légitime de saine émulation — au
lieu de se laisser prendre aux attraits empoi
sonnés de la jalousie, de l’envie ou du déni
grement — chacun voulait y collaborer ou faire
tenir à son œuvre de prédilection une place de
plus en plus honorable !
Si on voulait trouver — certains l'ont fait
p,ar vagues passagères hélas d'enthousiasme —
des moyens de soulager ou d’enrichir notre
Trésorerie, une plus grande fréquence de pa
rution pourrait être envisagée, comme aussi
un développement important de notre tirage
et par voie de conséquence un intérêt toujours
accru !
Amis, dites-nous si nous faisons œuvre utile
ou œuvre vaine ; dites-nous ce que vous vou
driez réaliser avec nous pour faire des « Petites
A » un journal de plus en plus intéressant,
agréable, utile. Critiquez-le mais en construc
teurs plus qu’en démolisseurs. Toutes vos sug
gestions seront, à l’occasion de ce centième
numéro, plus précieuses pour nous que tous
les punchs et les cadeaux que vous pourriez
offrir à vos serviteurs bénévoles, comme il est
de coutume de faire pour marquer une étape.
La somme de travail fourni, nous ne voulons
l'évaluer que pour vous dire qu’elle fut pro
duite joyeusement, avec un espoir confiant —
naïvement confiant — dans les destinées de
notre œuvre commune, l'Œuvre laïque.
La Rédact.on.
TRAVAUX & PRODUITS
pour
AMATEURS PHOTOGRAPHES
IL IL IE£ TT'
112 et lltt, rue Maréchal-J offre
Développement du Film. Ifr.
6/9
8 poses
LA CELLULE SOCIALE
Il faut aux femmes une instruction
en tous points semblable à celle
que reçoivent les hommes. L’édu
cation différente, sous prétexte que
la femme est destinée à être épouse
et mère, est un contresens.
Mlle Chauvin.
Le mot d’Horace est. resté vrai : « L’usage
est le maître du monde ». La routine est la
principale cause qui nous empêche d’apporter
un changement à notre système d’éducation.
Si nous tenons compte des mœurs, n’oublîons
pas qu’en les subissant, on doit chercher à
les améliorer. Ce sont les mœurs, les usages,
l’esprit public qu’il faut transformer pour
faire admettre aux hommes que les femmes
doivent participer au travail commun.
L’homme et la femme constituent la cellule
sociale ; l’un n’est pas plus que l'autre parce
que l’un n’est pas plus utile que l’autre.
Quand on dit que la femme doii être l’éga
le de l’homme on entend par là qu’ils doivent
être égaux en droit.
11 est à souhaiter que ce soit l’homme lui-
même qui prenne l’initiative de faire dispa
raître dans la loi tout ce qui infériorise et
dégrade la femme, que ce soit lui qui la pren
ne par la main pour la conduire à la place
qu’elle doit avoir dans l’humanité.
En travaillant pour elle, il travaillera pour
lui, parce que tout son bonheur dépend d’elle.
L’homme intelligent et conscient ne pourra
se compléter par une compagne qui restera
au rang subalterne où les siècles l’ont placée.
Si lui peut parvenir à la pleine possession
de ses facultés parce que les lois sociales ac
tuelles favorisent son évolution, où trouvera-
t-il une femme qui le vaille et le comprenne,
si aucune n’a pu se développer librement et
complètement comme lui-même ?
Ce ne sera que le jour où l’un et l’autre
se sauront égaux en droit, et par des moyens
équivalentes, dans un milieu également favo
rable, auront pu se développer aussi librement
l’un que l’autre, qu’ils pourront l’un par l'au
tre goûter la plénitude du bonheur auquel ils
aspirent.
Plus, dans un ménage, l’homme sent la né
cessité d’être le maître, à cause de l’infério
rité manifeste de sa compagne moins évoluée
que lui, moins il est heureux parce qu’il ne
peut être compris par elle.
Cet état d’imperfection de la cellule sociale
est préparée et voulu par l’éducation actuelle.
Orgueil, rivalité, défiance, injustice.
D’une part, les garçons sentent autour d’eux
une sorte de respect pour leur sexe. D’autre
part, les petites filles ont conscience de l’ii
galité, inexplicable parce qu’elle est injuste.
Il en résulte de déplorables malentendus, et
chaque sexe devient pour l’autre une énigme
vivante. Au lieu de les préparer à une con
naissance parfaite réciproque, on s’applique à
les mettre en état d’hostilité. Le garçon est
tenu dans le sentiment d’une fausse supério
rité, la fille dans le sentiment de son infério
rité légale et sociale. Entre ces deux êtres que
la nature a voulus complémentaires, on creuse
un abîme qu’il sera plus tard bien difficile de
combler.
Au début du XIX me siècle, le grand philo
sophe allemand Fichte écrivait : « La petite
société au sein de laquelle l’homme est for
mé, comme la grande dans laquelle il entrera
un jour doit se composer de deux sexes. Ces
deux sexes doivent, dès le début, apprendre à
connaître et à aimer l’un dans l’autre fhu
manité ; à se faire des amis et des amies avant
que leur altention ne se fixe sur les différen
ces du sexe et qu’ils ne deviennent des époux
et des épouses ».
Et Zola, dans son beau livre « Travail »,
soutient l’idée suivante : « Séparer dès l’en
fance les deux sexes, les élever, les instruire
différemment dans l’ignorance l’un de l’autre,
n’est-ce pas les rendre ennemis, pervertis, et
affoler ,par le mystère, leur attrait naturel ? »
Une réaction contre les mœurs actuelles
s’impose à toutes les bonnes volontés. Il faut
détruire à tout prix les préjugés de sexe chez
les enfants, parce qu’un sexe n’est pas plus
noble que l’autre.
Il est nécessaire de dire aux enfants que le
père et la mère ont droit au même respect,
parce que de même qu'un petit garçon n’est
pas plus qu’une petite fille, un homme n’est
pas plus qu’une femme, ni un père plus qu’u
ne mère.
Cette vérité si simple devrait être souvent
enseignée pour détruire l’impression fâcheuse
que produit sur l’esprit des enfants le spec
tacle permanent de l’état d’inégalité où la
femme se trouve placée par rapport à
'homme.
La galanterie n’est autre chose qu’une inju
re perpétuelle faite aux femmes. C’est une fa
çon d’être qui tient pour acquis qu’elles sont,
des êtres inférieurs auxquels, par des atten
tions spéciales, il faut tâcher de faire oublier
leur état d’infériorité. Les attentions sont dues
aux êtres faibles, enfants, vieillards, malades,
blessés ou mutilés, jamais à ceux qui sont
jeunes et normaux. La femme qui n’a jamais
senti la gravité de cefte injure est véritable
ment inférieure et il serait urgent de la rap
peler au sentiment de , sa dignité.
Il faut que l’homme montre à la femme,
par sa façon d’être, qu’il sait que son bon
heur dépend d’elle et qu’ils sont aussi indis
pensables l’un que l’autre à l’humanité.
M. et H. P.
SANS- FILISTES
Laïques
Avez-vous envoyé votre Carte
de Visite avec la mention T. S.F.
à notre Secrétaire général ?
LA VIEJÉDERALE
CONSEIL D’ADMINISTRATION
du 27 Janvier 1935
Salle de la Permanence. Présidence de M.
. Arnaudtizon.
Présents : Mmes Basille, Candellier, Foul-
drin, Gérard, Plante, Richard ; MM. Arnaud-
lizon, Benoit, Beuzeboc, Binot, Candellier,
R. Longuet, Maire, Michel, Mongis, Pimont,
Risson, Roussel. M. L. Lefèvre, secrétaire per
manent.
Excusés : Mmes Delorière, G rémont, Pimont,
Serre ; MM. Beauville, H. Lefebvre, Malo.
Procès-verbal.
Lu et adopté.
Communications. — M. Arnaudtizon a étu
dié à la Mairie la question d’un emplacement
pour la pratique du basket-ball. Le terrain
Moisy est à présent réservé à la piscine mu
nicipale. Un autre terrain bien central sera
peut-être dans quelque temps à notre dispo
sition. En ce qui concerne le terrain de sport
de l’Amicale d’Epouville, la question est ré
glée, un de nos amis, laïque éprouvé, M. Cûr-
rey-Prévost, de Saint-Romain, prêtant aux
joueurs un terrain lui appartenant. Le Conseil
décide d’adresser remerciements et compli
ments à ce grand ami de nos Œuvres laïques.
Le Président donne ensuite lecture de la cor
respondance échangée entre la Fédération et
l’Amicale des Anciens Elèves de PE. P. S. du
Havre et le Conseil en approuve les termes.
Budget. — Le Président constate tout d’a
bord que, cette année, le budget a été préparé
avec soin et méthode ; il s’en réjouit, remer
cie les Commissions et félicite M. Roussel de
son travail très méritoire.
Le Trésorier général donne lecture du comp
te-rendu financier et du bilan de l’année
écoulée.
Le Président demande qu’un poste nou
veau : « Compte Réserves » soit ouvert au
Grand-Livre, où iraient prendre place les bo
nis de gestion. Nous n’avons pas l’intention
de thésauriser, mais nous avons le devoir de
constituer un fond de réserve où il ne sera
puisé suivant les nécessités qu’avec la pruden
ce nécessaire.
Les comptes de ig34 sont approuvés à l’u
nanimité ; le Conseil nasse alors à l’examen
i -
du projet de budget ig35.
VETEMENTS
S. IM1
18, Rue Thiers
LE HAVRE
HABILLE
BIEN
Ce budget prévoit 2g.i5o francs de recettes
ordinaires et une somme égale de dépenses.
On passe à la discussion par chapitres et
par articles.
Commission Sportive. — Le crédit, affecté
à la Commission sportive est augmenté de
i.ooq francs par rapport à ig34. Le Conseil
demande, sur proposition de M. Pimont, que
des démarches soient tentées pour obtenir le
relèvement de la subvention allouée par le
Ministère de l’E. N. pour l’éducation physi
que. M. Arnaudtizon entretiendra M. l’Ins
pecteur d'Académie de nos désirs et de nos
besoins.
9
Le Conseil exprime deux vœux de la Com
mission sportive :
i° - qu’un des vice-présidents de la Fédéra
tion soit plus spécialement chargé de la liai
son entre la Commission sportive et le Bureau;
La question sera étudiée et tranchée par le
Bureau.
a 0 - que le Bureau s’adjoigne un délégué
de chaque Commission.
Il est entendu que, quand des questions in
téressant les Commissions seront traitées par
le Bureau, les présidents des Commissions in
téressées seront convoqués.
Commission de Tir. — La subvention de
la Commission de Tir est portée de 5oo francs
à 8oo francs.
Société civile de la Maison des Tireurs.
— En raison du départ de M. Beuzeboc, il
convient de réunir l’Assemblée générale. Con
formément à l’article io des statuts de cette
Société, le Président de la Fédération, prési
dent de droit, convoque le Conseil d’adminis
tration et les sociétaires. 3 membres du C. A.
étant indispensables, il est désigné un 3 me re
présentant : M. Roussel, trésorier général. M.
Arnaudtizon convoquera prochainement (7
Février) l’Assemblée générale.
Discothèque. — L’achat d’un gramophonc
pour les Cours féminins et d’Educalion phy
sique est approuvé.
Téléphone. — Le Conseil ratifie l’installa
tion aux frais de la Fédération d’un poste
téléphonique au domicile du Rédacteur des
« Petites A » (n° de ce poste : 54-02).
Section Artistique. — Le Conseil est mis
au courant des difficultés rencontrées dans
l’organisation du chant choral.
M. Fleury, n’ayant pas trouvé dans nos
Amicales les concours espérés, a cru devoir
donner sa démission. Les scrupules exprimés
dans sa lettre l'honorent. M. Risson propose
de lui adresser une lettre de remerciements.
Il en est ainsi décidé.
L’ensemble du projet de budget pour ig35
est alors adopté.
Kermesse. — Etant donné le succès moral
et financier de la i re Kermesse des Petites
« A », il est décidé de tenter en ig35 d’orga
niser une nouvelle Kermesse. Au préalable,
le Conseil décide de convoquer pour le 17
Février les Présidents et Présidentes d’Amica-
les pour étude d’ensemblé préalable.
Assemblée générale. — Elle es't fixée au
24 Février, à l’Ecole Jean-Macé, à g h. 3o.
Fête du Plein Air. — Lieu proposé : Saint-
Valery-en-Caux. Le Secrétaire général se met
tra en relations avec le Directeur de l’Ecole
et M. Arnaudtizon avec le Maire.
Fête Fédérale. — Date : ig Mai. Le Con
seil fait confiance à la Commission des Fêtes
pour l’organiser. Un petit Congrès et un Ban
quet pourront être envisagés.
Discothèque. — La Commission d’Educa-
tion artistique est chargée de l’achat des dis
ques.
Auberges de Jeunesse. — M. Mongis pré
sente une demande de subvention à titre ex
traordinaire de la part de l’Association Ha
vraise pour les Auberges de Jeunesse. L’As
semblée générale en décidera.
Journal « Les Petites A ». — Notre pu
blicité se trouve à nouveau assurée pour ig35,
et par conséquent la vie de notre journal.
Les mêmes conditions favorables sont réunies
en ce qui concerne le supplément : « Les
Petites A Sportives ». Nous devons savoir un
gré reconnaissant à nos fidèles annonceurs et
amis, ainsi qu’au dévouement et à l’activité
de notre gérant.
Cinémathèque. — Les Ministères des Colo
nies, de l’Agriculture, de l’Education Natio
nale, nous ont prêté des films sur l’initiative
avisée de notre Secrétaire général.
DATES A RETENIR
17 FÉVRIER, 10 h. Permanence :
Réunion des Présidents et Prési
dentes d’Amicales : Kermesse 1935.
24 FÉVRIER, 9 h. 30, Ecole Jean Macé
Assemblée générale de la Fédération
19 MAI. — Fête Fédérale
2 JUIN. — Kermesse des Petites “A” I
DANS LESJMI CALES
Amicale des Anciens Elèves
de Bléville
A la suite des élections de l’Assemblée gé
nérale, le Conseil d’administration a été com
posé comme suit :
Comité d’honneur. — Présidents, MM. R.
Coty, député-conseiller général et R. Delille,
conseiller d’arrondissement ; vice-présidents,
Labay, maire de Bléville ; P. Farcis, A. Plan
chenault ; membres bienfaiteurs, A. Augus
tin-Normand et A. Dubosc ; membres, G. Va-
vasseur, président de la délégation cantonale,
maire de Sanvic ; Delmotte, inspecteur pri
maire ; L. Rous-selin et docteur Levesque.
Comité actif. — Président, MM. G. Caillet ;
vice-présidents, H. Ferry et O. Picault ; secré
taire général, M. Poupel ; secrétaire-adjoint,
R. Delaunay ; trésorier général, A. Cognet,
directeur de l’Ecole ; trésorier-adjoint, Th.
Froumentin ; bibliothécaire, Ch. Aubin et F.
Planchenault ; opérateurs de cinéma, H. Hen-
neville et E. Lemaître ; administrateurs, L.
Dondelot, H. Henneville, M. Leroy, M. Morel,
Ch. Aubin, P. Billard, F. Planchenault et E.
Lemaître ; suppléants, Letailleux, R. Lefeb
vre et R. Froumentin.
xxx
PALMARES DES CONCOURS DE TIR
DE ig34 1
(Carabine 6 m/m)
Section élite, s/12 cartons. — 1. Langlois
070 pts. ; 2. Th. Froumentin, 558 pis. ; 3.
Roumy, 557 pts. ; 4- G. Froumentin, 557
pts. ; 5. Ch. Aubin, 55i pts. ; G. M. Poupel,
548 pts.
Section excellence, s/12 cartons. — 1. P.
Calle, 562 pts. ; 2. M. Picault, 555 pts. ; 3.
R. Farcis, 54g pts. ; 4- G. Ouf, 548 pts. ; 5.
H. Henneville, 53g pts. ; 6. R. Froumentin,
534 pis.
Première section, s/g cartons. — 1. R. Mo
rin, 402 pts. ; 2. Simon, 3gg pts. ; 3. M. Le
roy, 3g4 pts. ; 4. Ricouard, 388 pts.
Deuxième section. — 1. R. Lefebvre, 388
pts. ; 2. A. Vigan, 367 pts. ; 3. E. Lesauvage,
356 pts. ; 4- P- Billard, 341 pts.
Troisième section. — 1. A. Hébert, 3o6 pts. ;
2. J. Brook, 275 pts.
Quatrième section. — 1. B. Lesauvage, 364
pts. ; 2. H. Lemarchand, 335 pts. ; 3. R.
Simon, 324 pts. ; 4. Durand, 254 pts. ; 5. De-
connyck, 243 pis. ; 6. Huet, 23g pts. ; 7.
Callarec, 238 ; 8. R. Avenel, 223 pts. ; g.
Ledoux, 220 pts. ; 10. D. Aubry, 207 pts. ;
11. R. Boulanger, ig2 pts. ; 12. M. Augus
tin, ig2 pts.
Pistolet, s/5oo pts. — 1. A. Ricouard, 3G8
Horlogerie
GALIBERT
CHOIX UNIQUE
PRIX SÉRIEUX
10 °L aux Sociétaires
UK 16, pl. tt l’Hôtei-de-Vllie - l.rue J.-Slegfried
Succursale : 275 & 277, rue A.-Briand - LE HAVRE
Nous vois nrnrnÊm
LAFARGE Maroquinier - Voyage - Parapluies - 24, place de l'Hotel-de-Ville, LE HAVRE
Une Maison de Confiance. - AUX AMIOALISTK*
ésident actif :
Secrétaire Général de la Fédération :
Trésorier Général de la Fédération :
Secrétariat administratif :
RNAUDTIZON
M. CANDELLIER, Ecole des Etoupières - LE HAVRE
M. ROUSSEL, 46, rue Sadi-Carnot, SANVIC - Tél. 76-80
Ecole de Filles
i, LE HAVRE Tél. 66-51
lélêiplione 4G.38
Chègues Postaux Rouen 62.3-4=
Rue Dauphine - LE HAVRE
UNE DATE
LIGUE FRANÇAISE DE L’ENSEIGNEMENT
CONFÉDÉRATION GÉNÉRALE DES ŒUVRES LAÏQUES (reconnue d’utilité publique)
Février 1935
ff
OS. A, G. JV° 3762
Organe de la Fédéraiibn Régionale Havraise des Œuvres Laïques
■■■■■■■■■■■■■■■■■a
MENSUEL
Rédaction : M. PI MON T tôi. : 54.02
I 19, rue de Tourneville — LE HAVRE
Ce numéro de Février est le centième de
l'existence de notre Journal. Il y a donc 98
mois, puisque deux années comptèrent 13 nu
méros, que furent créées a Les Petites A ».
100 numéros, plus 3 numéros bis, 15 tirages
sur 6 pages, 5 sur 8 pages, 4 avec clichés pho
tographiques, 12 _suppléments sportifs sur
feuille simple, 2 suppléments à U pages (« Les
Œuvres Laïques »}, 380.000 exemplaires,
760 rames de papier pesant 9.880 kilogs, pres
que 10 tonnes, 17.000 rouleaux expédiés,
90.000 francs de dépenses, 3 gérants : Vitte-
coq, Lefèvre, Candellier, un rédacteur, non
appointés. Qu'on nous pardonne ces statisti
ques et ce coup d'œil rétrospectif !
Ce n'est pas sans une certaine fierté que
nous songeons à l'œuvre accomplie. Vivra-t-il?
nous disaient en Janvier 1927 de bons amis.
à cette époque, collectaient les premières an
nonces.
Il a vécu, notre cher petit Journal, qui fut
parfois plus qu'un Bulletin. Il vit et compte
encore durer longtemps. Il s'est souvent trans
formé : quant au format d’abord, puis quant
à la grosseur des caractères ; quant à son
texte aussi (et pourtant les collaborations ne
furent jamais très nombreuses).
Il a cependant l'ambition, au cours de la
carrière qu’il envisage dans l’avenir, de faire
mieux. Très prochainement, sa présentation
va s'enrichir de titres artistiques dus à la plu
me d’un dessinateur de talent, notre jeune
ami Jean Candellier.
Et pourtant, chers Lecteurs, si vous vou
liez... Si d’abord, nous pouvions acquérir la
certitude que tous nos numéros sont judicieu
sement distribués ! qu’ils sont lus, transmis
de main en main avant de connaître le sort
fatal réservé aux périodiques ? Si nous savions
qu’on y cherche les aliments intellectuels que
nous leur confions — qu’on s’y réfère pour
profiter de nos informations —'qu’on s’inspi
re de leurs comptes-rendus pour faire toujours
mieux et davantage pour le plus grand succès
de nos Œuvres Laïques ! Si par suite d'un
sentiment légitime de saine émulation — au
lieu de se laisser prendre aux attraits empoi
sonnés de la jalousie, de l’envie ou du déni
grement — chacun voulait y collaborer ou faire
tenir à son œuvre de prédilection une place de
plus en plus honorable !
Si on voulait trouver — certains l'ont fait
p,ar vagues passagères hélas d'enthousiasme —
des moyens de soulager ou d’enrichir notre
Trésorerie, une plus grande fréquence de pa
rution pourrait être envisagée, comme aussi
un développement important de notre tirage
et par voie de conséquence un intérêt toujours
accru !
Amis, dites-nous si nous faisons œuvre utile
ou œuvre vaine ; dites-nous ce que vous vou
driez réaliser avec nous pour faire des « Petites
A » un journal de plus en plus intéressant,
agréable, utile. Critiquez-le mais en construc
teurs plus qu’en démolisseurs. Toutes vos sug
gestions seront, à l’occasion de ce centième
numéro, plus précieuses pour nous que tous
les punchs et les cadeaux que vous pourriez
offrir à vos serviteurs bénévoles, comme il est
de coutume de faire pour marquer une étape.
La somme de travail fourni, nous ne voulons
l'évaluer que pour vous dire qu’elle fut pro
duite joyeusement, avec un espoir confiant —
naïvement confiant — dans les destinées de
notre œuvre commune, l'Œuvre laïque.
La Rédact.on.
TRAVAUX & PRODUITS
pour
AMATEURS PHOTOGRAPHES
IL IL IE£ TT'
112 et lltt, rue Maréchal-J offre
Développement du Film. Ifr.
6/9
8 poses
LA CELLULE SOCIALE
Il faut aux femmes une instruction
en tous points semblable à celle
que reçoivent les hommes. L’édu
cation différente, sous prétexte que
la femme est destinée à être épouse
et mère, est un contresens.
Mlle Chauvin.
Le mot d’Horace est. resté vrai : « L’usage
est le maître du monde ». La routine est la
principale cause qui nous empêche d’apporter
un changement à notre système d’éducation.
Si nous tenons compte des mœurs, n’oublîons
pas qu’en les subissant, on doit chercher à
les améliorer. Ce sont les mœurs, les usages,
l’esprit public qu’il faut transformer pour
faire admettre aux hommes que les femmes
doivent participer au travail commun.
L’homme et la femme constituent la cellule
sociale ; l’un n’est pas plus que l'autre parce
que l’un n’est pas plus utile que l’autre.
Quand on dit que la femme doii être l’éga
le de l’homme on entend par là qu’ils doivent
être égaux en droit.
11 est à souhaiter que ce soit l’homme lui-
même qui prenne l’initiative de faire dispa
raître dans la loi tout ce qui infériorise et
dégrade la femme, que ce soit lui qui la pren
ne par la main pour la conduire à la place
qu’elle doit avoir dans l’humanité.
En travaillant pour elle, il travaillera pour
lui, parce que tout son bonheur dépend d’elle.
L’homme intelligent et conscient ne pourra
se compléter par une compagne qui restera
au rang subalterne où les siècles l’ont placée.
Si lui peut parvenir à la pleine possession
de ses facultés parce que les lois sociales ac
tuelles favorisent son évolution, où trouvera-
t-il une femme qui le vaille et le comprenne,
si aucune n’a pu se développer librement et
complètement comme lui-même ?
Ce ne sera que le jour où l’un et l’autre
se sauront égaux en droit, et par des moyens
équivalentes, dans un milieu également favo
rable, auront pu se développer aussi librement
l’un que l’autre, qu’ils pourront l’un par l'au
tre goûter la plénitude du bonheur auquel ils
aspirent.
Plus, dans un ménage, l’homme sent la né
cessité d’être le maître, à cause de l’infério
rité manifeste de sa compagne moins évoluée
que lui, moins il est heureux parce qu’il ne
peut être compris par elle.
Cet état d’imperfection de la cellule sociale
est préparée et voulu par l’éducation actuelle.
Orgueil, rivalité, défiance, injustice.
D’une part, les garçons sentent autour d’eux
une sorte de respect pour leur sexe. D’autre
part, les petites filles ont conscience de l’ii
galité, inexplicable parce qu’elle est injuste.
Il en résulte de déplorables malentendus, et
chaque sexe devient pour l’autre une énigme
vivante. Au lieu de les préparer à une con
naissance parfaite réciproque, on s’applique à
les mettre en état d’hostilité. Le garçon est
tenu dans le sentiment d’une fausse supério
rité, la fille dans le sentiment de son infério
rité légale et sociale. Entre ces deux êtres que
la nature a voulus complémentaires, on creuse
un abîme qu’il sera plus tard bien difficile de
combler.
Au début du XIX me siècle, le grand philo
sophe allemand Fichte écrivait : « La petite
société au sein de laquelle l’homme est for
mé, comme la grande dans laquelle il entrera
un jour doit se composer de deux sexes. Ces
deux sexes doivent, dès le début, apprendre à
connaître et à aimer l’un dans l’autre fhu
manité ; à se faire des amis et des amies avant
que leur altention ne se fixe sur les différen
ces du sexe et qu’ils ne deviennent des époux
et des épouses ».
Et Zola, dans son beau livre « Travail »,
soutient l’idée suivante : « Séparer dès l’en
fance les deux sexes, les élever, les instruire
différemment dans l’ignorance l’un de l’autre,
n’est-ce pas les rendre ennemis, pervertis, et
affoler ,par le mystère, leur attrait naturel ? »
Une réaction contre les mœurs actuelles
s’impose à toutes les bonnes volontés. Il faut
détruire à tout prix les préjugés de sexe chez
les enfants, parce qu’un sexe n’est pas plus
noble que l’autre.
Il est nécessaire de dire aux enfants que le
père et la mère ont droit au même respect,
parce que de même qu'un petit garçon n’est
pas plus qu’une petite fille, un homme n’est
pas plus qu’une femme, ni un père plus qu’u
ne mère.
Cette vérité si simple devrait être souvent
enseignée pour détruire l’impression fâcheuse
que produit sur l’esprit des enfants le spec
tacle permanent de l’état d’inégalité où la
femme se trouve placée par rapport à
'homme.
La galanterie n’est autre chose qu’une inju
re perpétuelle faite aux femmes. C’est une fa
çon d’être qui tient pour acquis qu’elles sont,
des êtres inférieurs auxquels, par des atten
tions spéciales, il faut tâcher de faire oublier
leur état d’infériorité. Les attentions sont dues
aux êtres faibles, enfants, vieillards, malades,
blessés ou mutilés, jamais à ceux qui sont
jeunes et normaux. La femme qui n’a jamais
senti la gravité de cefte injure est véritable
ment inférieure et il serait urgent de la rap
peler au sentiment de , sa dignité.
Il faut que l’homme montre à la femme,
par sa façon d’être, qu’il sait que son bon
heur dépend d’elle et qu’ils sont aussi indis
pensables l’un que l’autre à l’humanité.
M. et H. P.
SANS- FILISTES
Laïques
Avez-vous envoyé votre Carte
de Visite avec la mention T. S.F.
à notre Secrétaire général ?
LA VIEJÉDERALE
CONSEIL D’ADMINISTRATION
du 27 Janvier 1935
Salle de la Permanence. Présidence de M.
. Arnaudtizon.
Présents : Mmes Basille, Candellier, Foul-
drin, Gérard, Plante, Richard ; MM. Arnaud-
lizon, Benoit, Beuzeboc, Binot, Candellier,
R. Longuet, Maire, Michel, Mongis, Pimont,
Risson, Roussel. M. L. Lefèvre, secrétaire per
manent.
Excusés : Mmes Delorière, G rémont, Pimont,
Serre ; MM. Beauville, H. Lefebvre, Malo.
Procès-verbal.
Lu et adopté.
Communications. — M. Arnaudtizon a étu
dié à la Mairie la question d’un emplacement
pour la pratique du basket-ball. Le terrain
Moisy est à présent réservé à la piscine mu
nicipale. Un autre terrain bien central sera
peut-être dans quelque temps à notre dispo
sition. En ce qui concerne le terrain de sport
de l’Amicale d’Epouville, la question est ré
glée, un de nos amis, laïque éprouvé, M. Cûr-
rey-Prévost, de Saint-Romain, prêtant aux
joueurs un terrain lui appartenant. Le Conseil
décide d’adresser remerciements et compli
ments à ce grand ami de nos Œuvres laïques.
Le Président donne ensuite lecture de la cor
respondance échangée entre la Fédération et
l’Amicale des Anciens Elèves de PE. P. S. du
Havre et le Conseil en approuve les termes.
Budget. — Le Président constate tout d’a
bord que, cette année, le budget a été préparé
avec soin et méthode ; il s’en réjouit, remer
cie les Commissions et félicite M. Roussel de
son travail très méritoire.
Le Trésorier général donne lecture du comp
te-rendu financier et du bilan de l’année
écoulée.
Le Président demande qu’un poste nou
veau : « Compte Réserves » soit ouvert au
Grand-Livre, où iraient prendre place les bo
nis de gestion. Nous n’avons pas l’intention
de thésauriser, mais nous avons le devoir de
constituer un fond de réserve où il ne sera
puisé suivant les nécessités qu’avec la pruden
ce nécessaire.
Les comptes de ig34 sont approuvés à l’u
nanimité ; le Conseil nasse alors à l’examen
i -
du projet de budget ig35.
VETEMENTS
S. IM1
18, Rue Thiers
LE HAVRE
HABILLE
BIEN
Ce budget prévoit 2g.i5o francs de recettes
ordinaires et une somme égale de dépenses.
On passe à la discussion par chapitres et
par articles.
Commission Sportive. — Le crédit, affecté
à la Commission sportive est augmenté de
i.ooq francs par rapport à ig34. Le Conseil
demande, sur proposition de M. Pimont, que
des démarches soient tentées pour obtenir le
relèvement de la subvention allouée par le
Ministère de l’E. N. pour l’éducation physi
que. M. Arnaudtizon entretiendra M. l’Ins
pecteur d'Académie de nos désirs et de nos
besoins.
9
Le Conseil exprime deux vœux de la Com
mission sportive :
i° - qu’un des vice-présidents de la Fédéra
tion soit plus spécialement chargé de la liai
son entre la Commission sportive et le Bureau;
La question sera étudiée et tranchée par le
Bureau.
a 0 - que le Bureau s’adjoigne un délégué
de chaque Commission.
Il est entendu que, quand des questions in
téressant les Commissions seront traitées par
le Bureau, les présidents des Commissions in
téressées seront convoqués.
Commission de Tir. — La subvention de
la Commission de Tir est portée de 5oo francs
à 8oo francs.
Société civile de la Maison des Tireurs.
— En raison du départ de M. Beuzeboc, il
convient de réunir l’Assemblée générale. Con
formément à l’article io des statuts de cette
Société, le Président de la Fédération, prési
dent de droit, convoque le Conseil d’adminis
tration et les sociétaires. 3 membres du C. A.
étant indispensables, il est désigné un 3 me re
présentant : M. Roussel, trésorier général. M.
Arnaudtizon convoquera prochainement (7
Février) l’Assemblée générale.
Discothèque. — L’achat d’un gramophonc
pour les Cours féminins et d’Educalion phy
sique est approuvé.
Téléphone. — Le Conseil ratifie l’installa
tion aux frais de la Fédération d’un poste
téléphonique au domicile du Rédacteur des
« Petites A » (n° de ce poste : 54-02).
Section Artistique. — Le Conseil est mis
au courant des difficultés rencontrées dans
l’organisation du chant choral.
M. Fleury, n’ayant pas trouvé dans nos
Amicales les concours espérés, a cru devoir
donner sa démission. Les scrupules exprimés
dans sa lettre l'honorent. M. Risson propose
de lui adresser une lettre de remerciements.
Il en est ainsi décidé.
L’ensemble du projet de budget pour ig35
est alors adopté.
Kermesse. — Etant donné le succès moral
et financier de la i re Kermesse des Petites
« A », il est décidé de tenter en ig35 d’orga
niser une nouvelle Kermesse. Au préalable,
le Conseil décide de convoquer pour le 17
Février les Présidents et Présidentes d’Amica-
les pour étude d’ensemblé préalable.
Assemblée générale. — Elle es't fixée au
24 Février, à l’Ecole Jean-Macé, à g h. 3o.
Fête du Plein Air. — Lieu proposé : Saint-
Valery-en-Caux. Le Secrétaire général se met
tra en relations avec le Directeur de l’Ecole
et M. Arnaudtizon avec le Maire.
Fête Fédérale. — Date : ig Mai. Le Con
seil fait confiance à la Commission des Fêtes
pour l’organiser. Un petit Congrès et un Ban
quet pourront être envisagés.
Discothèque. — La Commission d’Educa-
tion artistique est chargée de l’achat des dis
ques.
Auberges de Jeunesse. — M. Mongis pré
sente une demande de subvention à titre ex
traordinaire de la part de l’Association Ha
vraise pour les Auberges de Jeunesse. L’As
semblée générale en décidera.
Journal « Les Petites A ». — Notre pu
blicité se trouve à nouveau assurée pour ig35,
et par conséquent la vie de notre journal.
Les mêmes conditions favorables sont réunies
en ce qui concerne le supplément : « Les
Petites A Sportives ». Nous devons savoir un
gré reconnaissant à nos fidèles annonceurs et
amis, ainsi qu’au dévouement et à l’activité
de notre gérant.
Cinémathèque. — Les Ministères des Colo
nies, de l’Agriculture, de l’Education Natio
nale, nous ont prêté des films sur l’initiative
avisée de notre Secrétaire général.
DATES A RETENIR
17 FÉVRIER, 10 h. Permanence :
Réunion des Présidents et Prési
dentes d’Amicales : Kermesse 1935.
24 FÉVRIER, 9 h. 30, Ecole Jean Macé
Assemblée générale de la Fédération
19 MAI. — Fête Fédérale
2 JUIN. — Kermesse des Petites “A” I
DANS LESJMI CALES
Amicale des Anciens Elèves
de Bléville
A la suite des élections de l’Assemblée gé
nérale, le Conseil d’administration a été com
posé comme suit :
Comité d’honneur. — Présidents, MM. R.
Coty, député-conseiller général et R. Delille,
conseiller d’arrondissement ; vice-présidents,
Labay, maire de Bléville ; P. Farcis, A. Plan
chenault ; membres bienfaiteurs, A. Augus
tin-Normand et A. Dubosc ; membres, G. Va-
vasseur, président de la délégation cantonale,
maire de Sanvic ; Delmotte, inspecteur pri
maire ; L. Rous-selin et docteur Levesque.
Comité actif. — Président, MM. G. Caillet ;
vice-présidents, H. Ferry et O. Picault ; secré
taire général, M. Poupel ; secrétaire-adjoint,
R. Delaunay ; trésorier général, A. Cognet,
directeur de l’Ecole ; trésorier-adjoint, Th.
Froumentin ; bibliothécaire, Ch. Aubin et F.
Planchenault ; opérateurs de cinéma, H. Hen-
neville et E. Lemaître ; administrateurs, L.
Dondelot, H. Henneville, M. Leroy, M. Morel,
Ch. Aubin, P. Billard, F. Planchenault et E.
Lemaître ; suppléants, Letailleux, R. Lefeb
vre et R. Froumentin.
xxx
PALMARES DES CONCOURS DE TIR
DE ig34 1
(Carabine 6 m/m)
Section élite, s/12 cartons. — 1. Langlois
070 pts. ; 2. Th. Froumentin, 558 pis. ; 3.
Roumy, 557 pts. ; 4- G. Froumentin, 557
pts. ; 5. Ch. Aubin, 55i pts. ; G. M. Poupel,
548 pts.
Section excellence, s/12 cartons. — 1. P.
Calle, 562 pts. ; 2. M. Picault, 555 pts. ; 3.
R. Farcis, 54g pts. ; 4- G. Ouf, 548 pts. ; 5.
H. Henneville, 53g pts. ; 6. R. Froumentin,
534 pis.
Première section, s/g cartons. — 1. R. Mo
rin, 402 pts. ; 2. Simon, 3gg pts. ; 3. M. Le
roy, 3g4 pts. ; 4. Ricouard, 388 pts.
Deuxième section. — 1. R. Lefebvre, 388
pts. ; 2. A. Vigan, 367 pts. ; 3. E. Lesauvage,
356 pts. ; 4- P- Billard, 341 pts.
Troisième section. — 1. A. Hébert, 3o6 pts. ;
2. J. Brook, 275 pts.
Quatrième section. — 1. B. Lesauvage, 364
pts. ; 2. H. Lemarchand, 335 pts. ; 3. R.
Simon, 324 pts. ; 4. Durand, 254 pts. ; 5. De-
connyck, 243 pis. ; 6. Huet, 23g pts. ; 7.
Callarec, 238 ; 8. R. Avenel, 223 pts. ; g.
Ledoux, 220 pts. ; 10. D. Aubry, 207 pts. ;
11. R. Boulanger, ig2 pts. ; 12. M. Augus
tin, ig2 pts.
Pistolet, s/5oo pts. — 1. A. Ricouard, 3G8
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