Titre : "Les Petites A" : organe de la Fédération régionale havraise des amicales laïques : journal mensuel / rédaction M. M. Pimon
Auteur : Fédération régionale havraise des amicales laïques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1933-11-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328381105
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 novembre 1933 01 novembre 1933
Description : 1933/11/01 (N85)-1933/11/30. 1933/11/01 (N85)-1933/11/30.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9827239
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-46425
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 08/06/2015
Septième Année. — N° 85
Ce Journal ne doit pas être vendu
Le réclamer au Siège de chaque Amicale
Novembre 1933.
?.é idents d’Honneur :
MM. BACH et L. MEYER.
Vice-Présidents d'Honneur:
MM. E. VITTECO0
N. CAPPERON
G. LEF- BVRE
J. CANTOIS
L. DURIEZ
H. PIMONT
A. BOULINGUE
Organe de la Fédération Régionale Havraise des
Amicales et des
Œuvres Laïques
Publicité: A. CANDELLIER
5, Rue des Etoupières - LE HAVRE
■ r ■■■■■■■■
JOURNAL MENSUEL
Rédaction : M. PIMONT
109, rue Massillon - LE HAVRE - Tél. 96.9 I
Secrétaire Général de la Fédération :
Président actif :
Secrétariat administratif:
Trésorier Général de la Fédération :
M. CANDELLIER. Ecole des Etoupières - LE HAVRE
M. ARNAUDTIZON *
Ecole de Filles
M. ROUSSEL, 36, rue Sadi-Carnot, SANVIC - Tél. 60-18
Téléphone 46.38
19, Bd Foch, LE HAVRE Tel. 66-51
Rue Dauphine - LE HAVRE
Chècrues Postaux Rouen 6234
LA VIE CONFÉDÉRALE
LIGUE DE L’ENSEIGNEMENT
REUNION DU CONSEIL GENERAL
25 et 26 Octobre 1933
Le Conseil général de la Ligue de l’Ensei
gnement s’est réuni, rue Récamier, les a5 et
26 Octobre, «ous la présidence de M. Brenier,
vice-président de la Ligue.
La journée du Mercredi fut entièrement
consacrée à l’organisation de la Section Na
tionale du Cinéma Educateur qui s’occupa :
i° - Du fonctionnement des Offices régio
naux et départementaux ;
2 0 - Des films muets, sonores, parlants,
flammes et non flammes ;
3° - Des films d’Enseignement ;
4° - Des films éducatifs et récréatifs ;
5° - Des appareils ;
6° - Du concours et des subventions des
Pouvoirs publics pour les Offices, Appareils
et Films.
Sous le titre U. F. 0. C. E. L., il est formé
au sein de la Ligue F « Union Française des
Offices du Cinéma Educateur Laïque » grou
pant, dès maintenant 21 Offices et 3.725 ap
pareils. La cotisation par Office est fixée par
an à 100 francs.et à 2 francs par appareil.
Le Bureau du Comité National du # Cinéma
Educateur Laïque est ainsi constitué :
Commissaire général, M. Brenier, vice-pré
sident de la Ligue ;
Cohimissaires généraux adjoints, MM. Luc,
directeur de l’Enseignement technique; Bar-
rier, inspecteur général de l’Instruction Publi
que ;
Secrétaire, M. Lebrun, directeur adjoint du
Musée pédagogique ;
Trésorier, M. Soleil, rédacteur au Ministère
de l’I. P.;
10 Commissaires, MM. Colin, Besson et
Glay, pour la Seine ; Merchier et Gautier, pour
le Nord ; Cauvin, pour le Rhône ; Candellier,
pour la Seine-Inférieure; Charleu, pour Ro-
chefort et deux Délégués pour Auch et Nice.
Le Comité National du Cinéma Educateur
fera des démarches pour obtenir que l’Etat
subventionne les appareils réduits 16 m / m ,
ainsi que lqs films parlants ou muets de ce
format réduit international. Ces appareils
16 m / m devront pouvoir donner également la
projection fixe.
D’autre part, on devra rechercher l’organi
sation d’Offices par régions de manière à
rayonner, si possible, sur toute une académie.
11 sera établi un Catalogue des bons films
et les Discothèques seront rattachées au Ciné
ma Educateur.
U. F. O. L. E. A. — La première réunion
de l’U.F.O.L.E. A. avait lieu le jeudi matin et
fut présidée par M. Luc, directeur de l’Ensei
gnement technique et vice-président de la
Ligue.
La question du contrat avec la Société des
Auteurs reçut satisfaction : le montant annuel
de l’abonnement sera de 25 francs par Ami
cale et la Ligue fera immédiatement l’avance
de 2.5oo francs pour 100 contrats.
T^e plan d’organisation de l’U.F.O.L.E.A.
est ensuite adopté :
i° - Inventaire de tout ce qui existe sur le
plan artistique ;
2 0 - Etablir la cohésion entre toutes lqs Œu
vres ;
3° - Organiser les Commissions par bran
ches d’activité.
Une manifestation de l’U. F. O. L. E. A. a
été envisagée pour le Congrès de Reims (Pen
tecôte 1934).
Voyage en Pologne. — Notre Conseiller
général, M. Arnaudtizon, soumit d’autre part
Faites vos Achats chez
à la Ligue un projet de voyage en Pologne
en iy34 p,ouvant grouper, sous les auspices
de la Ligue, 100 Instituteurs ou Institutrices,
dirigeants dé la Ligue ou militants de nos
Œuvres laïques.
Le Bureau de la Ligue étudiera les modali
tés de réalisation de ce projet.
-
Coups national 11931
Le 5o me Congrès National de la Ligue Fran
çaise de l’Enseignement aura lieu à Reims du
17 au 20 Mai 1934 (Pentecôte).
QUESTIONS A ÉTUDIER (1)
I. — La préparation des Maîtres au 1 er
degré (dans le cadre de l’Ecole
unique).
(Rapporteur ; M. GLAY, Membre du
Conseil Général.)
II. — Les oeuvres de vacances : leur or
ganisation, leur contrôle.
(Rapporteur : M. BELLIOT, Secrétaire
général adjoint de la Confédéra
tion.)
COMMUNICATIONS (1)
I. — L’Œuvre des Pupilles de l’Ecole
publique, par Mme CHOCARNE,
Vice-Présidente de l’Office National
' des Pupilles dé la Nation, Vice-Pré
sidente de la Confédération.
II. — L’action laïque internationale, par
M. Marceau PIVERT, Professeur,
Membre du Conseil Général.
Le Rapporteur» général sera désigné ulté
rieurement.
»o«
QUESTIONS SOUMISES
au Congrès de 1934
1. — UES ŒUVRES DE VACANCES
Leur Organisation, leur Contrôle
En mettant cette question à l’ordre du jour
de son prochain Congrès, la Confédération a
entendu provoquer et faciliter des réalisations
pratiques. Le présent Questionnaire introduc
tif s’inspire exclusivement de cette préoccu
pation.
Il se divise en trois parties :
I. — Documentation sur les Œuvres de
Vacances actuellement existantes,
et les possibilités de création et
développement.
II. — L’organisation des Œuvres de Va
cances.
III. — Le contrôle des Œuvres de Va
cances.
I. — Documentation sur les Œuvres
de Vacances
a) - Renseignements statistiques sur les
Œuvres de Vacances.
Il nous faut d’abord connaître aussi exacte
ment que possible quelle est l’organisation
actuelle des Œuvres de Vacances. Indépen
damment des renseignements généraux qui
pourront nous être fournis par les organis
mes officiels ou privés qualifiés, il nous serait
utile de connaître :
i° Le nombre et, si possible, la liste des
Œuvres de Vacances qui fonctionnent dans
votre département (2), en les classant par ca
tégorie :
a) Œuvres confessionnelles (c'est-à-dire
où les enfants sont tenus d'assister
aux exercices d'un culte déterminé) ;
b) Œuvres neutres (où les enfants peu
vent suivre les exercices d’un culte
à leur choix) ;
c) Œuvres laïques (où aucun exercice re
ligieux n'est prévu).
(1) Les rapports sur chacune des deux ques
tions, ainsi que tous renseignements concer
nant les communications, devront parvenir au
Siège de la Confédération, 3, rue Récamier,
Paris (7 me ), avant le i5 Février ig34.
Les vœux à soumettre au Congrès doivent
être adressés au Conseil Général deux mois à
l’avance, soit au plus tard le i5 Mars 1934.
(2) Signaler toutes les Œuvres de Vacances :
Colonies, Camps, Placement familial, Auber
ges de Jeunesse.
Le Bijoutier de la Place T hier s
(à côté du Printemps)
- »o« .
Le mieux assorti en Montres et Bijoux
Remise 10 % à nos Sociétaires.
Fédération Régionale Havraise des Œuvres Laïques
"A
DIMANCHE 3 DECEMBRE, à 14 h. 30
Salle des Fêtes, 11, rue Lord-Kitchener
m
v.
MATINÉE DANSANTE
Orchestre DUPRÉ
Prix d’Entrée : 5 fr. — Les Amicalistes, munis
de la Carte Confédérale, ne paieront que 3 francs. — La Cat te
Confédérale, valable pour toutes réductions pendant un an, est en
vente dans les Amicales, au Secrétariat général ou au Contrôle pour
le prix de un franc.
Donnez tous renseignements que vous croirez
utiles sur l'importance des diverses œuvres,
leurs ressources, leur succès auprès des usa-
g> rs, etc.
2° Le nombre, ou tout au moins des indi
cations sur les Groupements, Municipalités,
Œuvres, Caisses des Ecoles, etc., etc., qui,
sans posséder elles-mêmes de Colonie de Va
cances envoient des enfants dans d'autres œu
vres, nationales, régionales ou départementa
les.
Cette méthode donne-t-elle de bons résul
tats ? Est-elle appréciée favorablement par
les usagers ?
b) Développement des Œuvres de Vacan
ces par nos Fédérations et la
Ligue.
Il est certain que les Œuvres de Vacances
actuellement existantes sont très insuffisantes ;
leur création n’a guère été méthodique jus
qu’à présent.
Pour leur développement ' rationnel, on
pourrait songer aux Pouvoirs publies, mais
on sait par expérience avec quelle lenteur un
Gouvernement (même de gauche) réalise les
plus minces des réformes qu’il a promises
dans l’opposition ; aussi, paraît-il sage-de ne
pas faire fonds sur l’initiative officielle, et
préférable de compter surtout sur l’initiative
de nos organisations laïque^.
C’est pourquoi nous demanderons d’abord,
à chacune de nos Fédérations :
de, « changer d'air » même les enfants des
campagnes ? Et en dehors de l'intérêts que ce
voyage présente pour leur santé, n’est-ce pas
les éduquer que leur faire connaître des sites
différents de ceux qu'ils ont coutume de voir?
leur faire connaître par exemple, ta mer ou
la montagne ?
11 n’est pas interdit cependant d’en profiter
pour parfaire l’éducation de cette jeunesse.
Quelles règles suivre? Quels moyens utili
ser ? Nous demandons à nos amis de nous le
dire ; et, s’ils ont pu expérimenter eux-mê
mes les moyens proposés, de nous indiquer les
résultats qu’ils ont pu obtenir.
i° Si les Œuvres laïques de Vacances de
son département lui sont affiliées ;
2° Dans la négative, pour quelle mison (par
principe ? refus des dites œuvres ? ignorance
mutuelle ?) et si elle envisage cette affiliation
comme sou imitable ou possible ?
3° Si elle possède, à l'usage de ses Sociétés
affiliées, une organisation pour les vadances ?
ou si, tout au moins, elle aide par une docu
mentation, ou de toute autre manière, les So
ciétés fédérées à envoyer leurs enfants en va
cances ? Si elle envisage la possibilité de faire
plus dans T'avenir ?
4° Quel rôle la Confédération pourrait jouer
selon vous, dans le développement et l'orga
nisation des Œuvres de Vacances ?
c) Aide à demander aux Pouvoirs Publics.
S’il est illusoire de compter sur eux pour
organiser les Œuvres de Vacances, encore
pent-on leur demander d’aider nos initiatives.
i° Pau des subventions : Votre département
accorde-t-il des subventions aux Œuvres de
Vacances ? Suivant quelles règles ? Ces règles
vous donnent-elles satisfactions ?
Que pensez-vous du régime actuel de dis
tribution des subventions d’Etat ? Quelles
modifications proposez-vous d'y apporter ?
2° Par la mise a notre disposition de ba
timents publics inutilisés : connaissez-vous
des Œuvres qui aient pu en obtenir ? Dans
quelles conditions ? En ont-elles été satisfai
tes ? Connaissez-vous des Œuvres à qui on
en ait refusé ? Pourquoi ? Connaissez-vous
des bâtiments qui pourraient être utilisés et
ne le sont pas ?
D'une façon générale, donnez-nous sur ce
point tous les renseignements que vous pos
sédez et vos suggestions.
3° Par la fourniture de matériel: tentes,
literie, matériel de cuisine appartenant à l’Ar
mée, à l’Assistance publique, etc...
Mêmes questions qu'au paragraphe précé
dent.
II. — L’organisation des Œuvres
de Vacances
a) Utilité des Œuvres de Vacances.
Nous demanderons d'abord à nos Fédéra
tions comment elles conçoivent l’utilité, !a
nécessité des Œuvres de Vacances.
Elles s'imposent surtout pour la santé des
enfants des villes. Mais croyez-vous nécessaire
TRAVAUX & PRODUITS
pour
AMATEURS PHOTOGRAPHES
B. MILLET
112 et 114, rue Maréchal-Joffre
■Cÿl
Développement du Film.
6/9 8 poses •
b) Méthodes d’organisation.
Certaines grandes villes, Caisses des Ecoles
riches, Œuvres laïques puissantes, possèdent
leurs. Colonies de Vacances propres.
D’autres, soit par principe, soit parce qu’el
les ne peuvent pas acquérir un immeuble côîT-
teux, envoient leurs enfants dans des organi-
salions spécialisées qui reçoivent les enfants
venant de partout.
Indépendamment de la question de possibi
lité, quels avantages gl inconvénients voyez-
vous à l’une et l'autre méthode ?
c) Différents types d’Œuvres de Vacan
ces.
On peut classer les Œuvres des Vacances
en quatre catégories :
i° Les Colonies de Vacances, immeubles
durables, spécialement aménagés pour loger
en commun un grand nombre d’enfants (dor
toirs, réfectoires, etc...) et dotés, non seule
ment de surveillants, mais, encore du person
nel suffisant pour assurer toutes les besognes
domestiques ; -
2° Les Camps de Vacances, qui diffèrent des
Colonies de Vacances proprement dites en ce
que les bâtiments sont sommaires et légers
(des baraquements ou même des tentes), et
qu’une partie au moins des besognes domes
tiques est assurée par les campeurs eux-mê
mes ;
3° Le Placement familial, qui consiste à
confier les enfants à des familles paysannes,
où ils vivent comme les enfants de la maison,
' mais sous la surveillance discrète des repré
sentants de l’Œuvre, qui contrôlent la vie
des familles nourrices d’une commune ou
d’une région.
4° Les Auberges de Jeunesse, qui sont
moins des lieux de séjour que des gîtes d’éta
pe pour les jeunes gens qui circulent de pays
en pays ; ils y trouvent dn lit et du maté
riel de cuisine, mais ont la charge d’assurer
eux-mêmes la propreté de l’auberge et la pré
paration de leurs repas.
Chacun de ces types d'organisation possède
évidemment ses avantages et ses inconvénients.
Nous prions les Sociétés confédérées qui les
ont expérimentés, les uns ou les autres, de
nous faire connaître ce qu'elles en pensent.
Il y aurait lieu de rechercher en outre la
possibilité de créer un cinquième type d’Œu-
vre de Vacances : la Colonie familiale, orga
nisée pour fournir un séjour de vacances ac
cessible aux bourses modestes, non seulement
pour les enfants, mais pour les familles entiè
res.
Peut-être des œuvres de cette nature exis
tent-elles ? Certains de nos amis peuvent peut-
être nous renseigner à leur sujet ? En tout
cas, nous dire ce qu’ils pensent de l’idée, les
avantages ou inconvénients qu’ils verraient,
a priori, à une telle organisation.
d) L’Education dans les Œuvres de Va
cances.
Les Œuvres de Vaci/nces ont un but bien
précis : la santé et la joie des enfants et jeu
nes gens qui leur sont confiés.
III. — Le Contrôle des Œuvres
de Vacances.
«) Organisation du Contrôle.
Actuellement, une Œuvre de Vacances n’est
pas plus contrôlée qu’un hôtel ou une pen-
ion de famille. Il faudrait qu’un accident
grave y survînt pour qu’on en inquiétât les
dirigeants ; la bonne renommée d’une Colo
nie s’établit comme celle d’une hôtellerie, par
la satisfaction de ceux qui y sont passés.
Un contrôle est nécessaire. Devons-nous de
mander la création d’un contrôle officiel ?
Les « inspecteurs » chargés de ce contrôle
devront-ils pénétrer partout, c’est-à-dire sur
veiller également les organisations purement
privées comme celles qui ont des attaches offi
cielles (Colonies appartenant à des villes, à
des Caisses des Ecoles, aux Pupilles de la Na
tion, etc...), ou ces dernières seulement ? Les
Œuvres confessionnelles comme les Œuvres
laïques, ou ces dernières seulement ?
Ou bien devons-nous nous borner à recom
mander aux Œuvres elles-mêmes de prévoir
des règles de contrôle, énoncer ces règles et
inviter les usagers à n'accorder leur confiance
qu’à celles qui s’y conformeront ?
b) Objet du Contrôle.
Le premier des contrôles à assurer est le
contrôle médical.
D’abord, pour le choix des colonies : tel
enfant a besoin d’aller à la mer; pour un au
tre, elle serait nuisible; tel enfant profitera
davantage de la montagne ; tel autre de la
plaine ou de la forêt.
Ln enfant peut porter une affection latent»!
qui risque de se déclencher après le départ et
contaminer les autres enfants.
faut-il imposer la consultation médicale au
départ ? Subordonner le départ de l'enfant à
ses conclusions favorables ?
Le contrôle doit se poursuivre pendant œ
séjour des enfants, contrôle médical, contrôle
de la nourriture, de l’hygiène des locaux, etc.
Comment le concevez-vous ? Dans quelle
mesure doit-il être imposé ? Quelles en seront
les sanctions ?
Telles sont les questions que nous soumet
tons à toutes les Fédérations et, par elles, à
toutes les Sociétés confédérées. Nous avons es
sayé de prévoir tous les aspects du problème,
VÊTEMENTS
Uns m mmwim K GRAND
Lft HAVRE — 131. Du* é•
Ce Journal ne doit pas être vendu
Le réclamer au Siège de chaque Amicale
Novembre 1933.
?.é idents d’Honneur :
MM. BACH et L. MEYER.
Vice-Présidents d'Honneur:
MM. E. VITTECO0
N. CAPPERON
G. LEF- BVRE
J. CANTOIS
L. DURIEZ
H. PIMONT
A. BOULINGUE
Organe de la Fédération Régionale Havraise des
Amicales et des
Œuvres Laïques
Publicité: A. CANDELLIER
5, Rue des Etoupières - LE HAVRE
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JOURNAL MENSUEL
Rédaction : M. PIMONT
109, rue Massillon - LE HAVRE - Tél. 96.9 I
Secrétaire Général de la Fédération :
Président actif :
Secrétariat administratif:
Trésorier Général de la Fédération :
M. CANDELLIER. Ecole des Etoupières - LE HAVRE
M. ARNAUDTIZON *
Ecole de Filles
M. ROUSSEL, 36, rue Sadi-Carnot, SANVIC - Tél. 60-18
Téléphone 46.38
19, Bd Foch, LE HAVRE Tel. 66-51
Rue Dauphine - LE HAVRE
Chècrues Postaux Rouen 6234
LA VIE CONFÉDÉRALE
LIGUE DE L’ENSEIGNEMENT
REUNION DU CONSEIL GENERAL
25 et 26 Octobre 1933
Le Conseil général de la Ligue de l’Ensei
gnement s’est réuni, rue Récamier, les a5 et
26 Octobre, «ous la présidence de M. Brenier,
vice-président de la Ligue.
La journée du Mercredi fut entièrement
consacrée à l’organisation de la Section Na
tionale du Cinéma Educateur qui s’occupa :
i° - Du fonctionnement des Offices régio
naux et départementaux ;
2 0 - Des films muets, sonores, parlants,
flammes et non flammes ;
3° - Des films d’Enseignement ;
4° - Des films éducatifs et récréatifs ;
5° - Des appareils ;
6° - Du concours et des subventions des
Pouvoirs publics pour les Offices, Appareils
et Films.
Sous le titre U. F. 0. C. E. L., il est formé
au sein de la Ligue F « Union Française des
Offices du Cinéma Educateur Laïque » grou
pant, dès maintenant 21 Offices et 3.725 ap
pareils. La cotisation par Office est fixée par
an à 100 francs.et à 2 francs par appareil.
Le Bureau du Comité National du # Cinéma
Educateur Laïque est ainsi constitué :
Commissaire général, M. Brenier, vice-pré
sident de la Ligue ;
Cohimissaires généraux adjoints, MM. Luc,
directeur de l’Enseignement technique; Bar-
rier, inspecteur général de l’Instruction Publi
que ;
Secrétaire, M. Lebrun, directeur adjoint du
Musée pédagogique ;
Trésorier, M. Soleil, rédacteur au Ministère
de l’I. P.;
10 Commissaires, MM. Colin, Besson et
Glay, pour la Seine ; Merchier et Gautier, pour
le Nord ; Cauvin, pour le Rhône ; Candellier,
pour la Seine-Inférieure; Charleu, pour Ro-
chefort et deux Délégués pour Auch et Nice.
Le Comité National du Cinéma Educateur
fera des démarches pour obtenir que l’Etat
subventionne les appareils réduits 16 m / m ,
ainsi que lqs films parlants ou muets de ce
format réduit international. Ces appareils
16 m / m devront pouvoir donner également la
projection fixe.
D’autre part, on devra rechercher l’organi
sation d’Offices par régions de manière à
rayonner, si possible, sur toute une académie.
11 sera établi un Catalogue des bons films
et les Discothèques seront rattachées au Ciné
ma Educateur.
U. F. O. L. E. A. — La première réunion
de l’U.F.O.L.E. A. avait lieu le jeudi matin et
fut présidée par M. Luc, directeur de l’Ensei
gnement technique et vice-président de la
Ligue.
La question du contrat avec la Société des
Auteurs reçut satisfaction : le montant annuel
de l’abonnement sera de 25 francs par Ami
cale et la Ligue fera immédiatement l’avance
de 2.5oo francs pour 100 contrats.
T^e plan d’organisation de l’U.F.O.L.E.A.
est ensuite adopté :
i° - Inventaire de tout ce qui existe sur le
plan artistique ;
2 0 - Etablir la cohésion entre toutes lqs Œu
vres ;
3° - Organiser les Commissions par bran
ches d’activité.
Une manifestation de l’U. F. O. L. E. A. a
été envisagée pour le Congrès de Reims (Pen
tecôte 1934).
Voyage en Pologne. — Notre Conseiller
général, M. Arnaudtizon, soumit d’autre part
Faites vos Achats chez
à la Ligue un projet de voyage en Pologne
en iy34 p,ouvant grouper, sous les auspices
de la Ligue, 100 Instituteurs ou Institutrices,
dirigeants dé la Ligue ou militants de nos
Œuvres laïques.
Le Bureau de la Ligue étudiera les modali
tés de réalisation de ce projet.
-
Coups national 11931
Le 5o me Congrès National de la Ligue Fran
çaise de l’Enseignement aura lieu à Reims du
17 au 20 Mai 1934 (Pentecôte).
QUESTIONS A ÉTUDIER (1)
I. — La préparation des Maîtres au 1 er
degré (dans le cadre de l’Ecole
unique).
(Rapporteur ; M. GLAY, Membre du
Conseil Général.)
II. — Les oeuvres de vacances : leur or
ganisation, leur contrôle.
(Rapporteur : M. BELLIOT, Secrétaire
général adjoint de la Confédéra
tion.)
COMMUNICATIONS (1)
I. — L’Œuvre des Pupilles de l’Ecole
publique, par Mme CHOCARNE,
Vice-Présidente de l’Office National
' des Pupilles dé la Nation, Vice-Pré
sidente de la Confédération.
II. — L’action laïque internationale, par
M. Marceau PIVERT, Professeur,
Membre du Conseil Général.
Le Rapporteur» général sera désigné ulté
rieurement.
»o«
QUESTIONS SOUMISES
au Congrès de 1934
1. — UES ŒUVRES DE VACANCES
Leur Organisation, leur Contrôle
En mettant cette question à l’ordre du jour
de son prochain Congrès, la Confédération a
entendu provoquer et faciliter des réalisations
pratiques. Le présent Questionnaire introduc
tif s’inspire exclusivement de cette préoccu
pation.
Il se divise en trois parties :
I. — Documentation sur les Œuvres de
Vacances actuellement existantes,
et les possibilités de création et
développement.
II. — L’organisation des Œuvres de Va
cances.
III. — Le contrôle des Œuvres de Va
cances.
I. — Documentation sur les Œuvres
de Vacances
a) - Renseignements statistiques sur les
Œuvres de Vacances.
Il nous faut d’abord connaître aussi exacte
ment que possible quelle est l’organisation
actuelle des Œuvres de Vacances. Indépen
damment des renseignements généraux qui
pourront nous être fournis par les organis
mes officiels ou privés qualifiés, il nous serait
utile de connaître :
i° Le nombre et, si possible, la liste des
Œuvres de Vacances qui fonctionnent dans
votre département (2), en les classant par ca
tégorie :
a) Œuvres confessionnelles (c'est-à-dire
où les enfants sont tenus d'assister
aux exercices d'un culte déterminé) ;
b) Œuvres neutres (où les enfants peu
vent suivre les exercices d’un culte
à leur choix) ;
c) Œuvres laïques (où aucun exercice re
ligieux n'est prévu).
(1) Les rapports sur chacune des deux ques
tions, ainsi que tous renseignements concer
nant les communications, devront parvenir au
Siège de la Confédération, 3, rue Récamier,
Paris (7 me ), avant le i5 Février ig34.
Les vœux à soumettre au Congrès doivent
être adressés au Conseil Général deux mois à
l’avance, soit au plus tard le i5 Mars 1934.
(2) Signaler toutes les Œuvres de Vacances :
Colonies, Camps, Placement familial, Auber
ges de Jeunesse.
Le Bijoutier de la Place T hier s
(à côté du Printemps)
- »o« .
Le mieux assorti en Montres et Bijoux
Remise 10 % à nos Sociétaires.
Fédération Régionale Havraise des Œuvres Laïques
"A
DIMANCHE 3 DECEMBRE, à 14 h. 30
Salle des Fêtes, 11, rue Lord-Kitchener
m
v.
MATINÉE DANSANTE
Orchestre DUPRÉ
Prix d’Entrée : 5 fr. — Les Amicalistes, munis
de la Carte Confédérale, ne paieront que 3 francs. — La Cat te
Confédérale, valable pour toutes réductions pendant un an, est en
vente dans les Amicales, au Secrétariat général ou au Contrôle pour
le prix de un franc.
Donnez tous renseignements que vous croirez
utiles sur l'importance des diverses œuvres,
leurs ressources, leur succès auprès des usa-
g> rs, etc.
2° Le nombre, ou tout au moins des indi
cations sur les Groupements, Municipalités,
Œuvres, Caisses des Ecoles, etc., etc., qui,
sans posséder elles-mêmes de Colonie de Va
cances envoient des enfants dans d'autres œu
vres, nationales, régionales ou départementa
les.
Cette méthode donne-t-elle de bons résul
tats ? Est-elle appréciée favorablement par
les usagers ?
b) Développement des Œuvres de Vacan
ces par nos Fédérations et la
Ligue.
Il est certain que les Œuvres de Vacances
actuellement existantes sont très insuffisantes ;
leur création n’a guère été méthodique jus
qu’à présent.
Pour leur développement ' rationnel, on
pourrait songer aux Pouvoirs publies, mais
on sait par expérience avec quelle lenteur un
Gouvernement (même de gauche) réalise les
plus minces des réformes qu’il a promises
dans l’opposition ; aussi, paraît-il sage-de ne
pas faire fonds sur l’initiative officielle, et
préférable de compter surtout sur l’initiative
de nos organisations laïque^.
C’est pourquoi nous demanderons d’abord,
à chacune de nos Fédérations :
de, « changer d'air » même les enfants des
campagnes ? Et en dehors de l'intérêts que ce
voyage présente pour leur santé, n’est-ce pas
les éduquer que leur faire connaître des sites
différents de ceux qu'ils ont coutume de voir?
leur faire connaître par exemple, ta mer ou
la montagne ?
11 n’est pas interdit cependant d’en profiter
pour parfaire l’éducation de cette jeunesse.
Quelles règles suivre? Quels moyens utili
ser ? Nous demandons à nos amis de nous le
dire ; et, s’ils ont pu expérimenter eux-mê
mes les moyens proposés, de nous indiquer les
résultats qu’ils ont pu obtenir.
i° Si les Œuvres laïques de Vacances de
son département lui sont affiliées ;
2° Dans la négative, pour quelle mison (par
principe ? refus des dites œuvres ? ignorance
mutuelle ?) et si elle envisage cette affiliation
comme sou imitable ou possible ?
3° Si elle possède, à l'usage de ses Sociétés
affiliées, une organisation pour les vadances ?
ou si, tout au moins, elle aide par une docu
mentation, ou de toute autre manière, les So
ciétés fédérées à envoyer leurs enfants en va
cances ? Si elle envisage la possibilité de faire
plus dans T'avenir ?
4° Quel rôle la Confédération pourrait jouer
selon vous, dans le développement et l'orga
nisation des Œuvres de Vacances ?
c) Aide à demander aux Pouvoirs Publics.
S’il est illusoire de compter sur eux pour
organiser les Œuvres de Vacances, encore
pent-on leur demander d’aider nos initiatives.
i° Pau des subventions : Votre département
accorde-t-il des subventions aux Œuvres de
Vacances ? Suivant quelles règles ? Ces règles
vous donnent-elles satisfactions ?
Que pensez-vous du régime actuel de dis
tribution des subventions d’Etat ? Quelles
modifications proposez-vous d'y apporter ?
2° Par la mise a notre disposition de ba
timents publics inutilisés : connaissez-vous
des Œuvres qui aient pu en obtenir ? Dans
quelles conditions ? En ont-elles été satisfai
tes ? Connaissez-vous des Œuvres à qui on
en ait refusé ? Pourquoi ? Connaissez-vous
des bâtiments qui pourraient être utilisés et
ne le sont pas ?
D'une façon générale, donnez-nous sur ce
point tous les renseignements que vous pos
sédez et vos suggestions.
3° Par la fourniture de matériel: tentes,
literie, matériel de cuisine appartenant à l’Ar
mée, à l’Assistance publique, etc...
Mêmes questions qu'au paragraphe précé
dent.
II. — L’organisation des Œuvres
de Vacances
a) Utilité des Œuvres de Vacances.
Nous demanderons d'abord à nos Fédéra
tions comment elles conçoivent l’utilité, !a
nécessité des Œuvres de Vacances.
Elles s'imposent surtout pour la santé des
enfants des villes. Mais croyez-vous nécessaire
TRAVAUX & PRODUITS
pour
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B. MILLET
112 et 114, rue Maréchal-Joffre
■Cÿl
Développement du Film.
6/9 8 poses •
b) Méthodes d’organisation.
Certaines grandes villes, Caisses des Ecoles
riches, Œuvres laïques puissantes, possèdent
leurs. Colonies de Vacances propres.
D’autres, soit par principe, soit parce qu’el
les ne peuvent pas acquérir un immeuble côîT-
teux, envoient leurs enfants dans des organi-
salions spécialisées qui reçoivent les enfants
venant de partout.
Indépendamment de la question de possibi
lité, quels avantages gl inconvénients voyez-
vous à l’une et l'autre méthode ?
c) Différents types d’Œuvres de Vacan
ces.
On peut classer les Œuvres des Vacances
en quatre catégories :
i° Les Colonies de Vacances, immeubles
durables, spécialement aménagés pour loger
en commun un grand nombre d’enfants (dor
toirs, réfectoires, etc...) et dotés, non seule
ment de surveillants, mais, encore du person
nel suffisant pour assurer toutes les besognes
domestiques ; -
2° Les Camps de Vacances, qui diffèrent des
Colonies de Vacances proprement dites en ce
que les bâtiments sont sommaires et légers
(des baraquements ou même des tentes), et
qu’une partie au moins des besognes domes
tiques est assurée par les campeurs eux-mê
mes ;
3° Le Placement familial, qui consiste à
confier les enfants à des familles paysannes,
où ils vivent comme les enfants de la maison,
' mais sous la surveillance discrète des repré
sentants de l’Œuvre, qui contrôlent la vie
des familles nourrices d’une commune ou
d’une région.
4° Les Auberges de Jeunesse, qui sont
moins des lieux de séjour que des gîtes d’éta
pe pour les jeunes gens qui circulent de pays
en pays ; ils y trouvent dn lit et du maté
riel de cuisine, mais ont la charge d’assurer
eux-mêmes la propreté de l’auberge et la pré
paration de leurs repas.
Chacun de ces types d'organisation possède
évidemment ses avantages et ses inconvénients.
Nous prions les Sociétés confédérées qui les
ont expérimentés, les uns ou les autres, de
nous faire connaître ce qu'elles en pensent.
Il y aurait lieu de rechercher en outre la
possibilité de créer un cinquième type d’Œu-
vre de Vacances : la Colonie familiale, orga
nisée pour fournir un séjour de vacances ac
cessible aux bourses modestes, non seulement
pour les enfants, mais pour les familles entiè
res.
Peut-être des œuvres de cette nature exis
tent-elles ? Certains de nos amis peuvent peut-
être nous renseigner à leur sujet ? En tout
cas, nous dire ce qu’ils pensent de l’idée, les
avantages ou inconvénients qu’ils verraient,
a priori, à une telle organisation.
d) L’Education dans les Œuvres de Va
cances.
Les Œuvres de Vaci/nces ont un but bien
précis : la santé et la joie des enfants et jeu
nes gens qui leur sont confiés.
III. — Le Contrôle des Œuvres
de Vacances.
«) Organisation du Contrôle.
Actuellement, une Œuvre de Vacances n’est
pas plus contrôlée qu’un hôtel ou une pen-
ion de famille. Il faudrait qu’un accident
grave y survînt pour qu’on en inquiétât les
dirigeants ; la bonne renommée d’une Colo
nie s’établit comme celle d’une hôtellerie, par
la satisfaction de ceux qui y sont passés.
Un contrôle est nécessaire. Devons-nous de
mander la création d’un contrôle officiel ?
Les « inspecteurs » chargés de ce contrôle
devront-ils pénétrer partout, c’est-à-dire sur
veiller également les organisations purement
privées comme celles qui ont des attaches offi
cielles (Colonies appartenant à des villes, à
des Caisses des Ecoles, aux Pupilles de la Na
tion, etc...), ou ces dernières seulement ? Les
Œuvres confessionnelles comme les Œuvres
laïques, ou ces dernières seulement ?
Ou bien devons-nous nous borner à recom
mander aux Œuvres elles-mêmes de prévoir
des règles de contrôle, énoncer ces règles et
inviter les usagers à n'accorder leur confiance
qu’à celles qui s’y conformeront ?
b) Objet du Contrôle.
Le premier des contrôles à assurer est le
contrôle médical.
D’abord, pour le choix des colonies : tel
enfant a besoin d’aller à la mer; pour un au
tre, elle serait nuisible; tel enfant profitera
davantage de la montagne ; tel autre de la
plaine ou de la forêt.
Ln enfant peut porter une affection latent»!
qui risque de se déclencher après le départ et
contaminer les autres enfants.
faut-il imposer la consultation médicale au
départ ? Subordonner le départ de l'enfant à
ses conclusions favorables ?
Le contrôle doit se poursuivre pendant œ
séjour des enfants, contrôle médical, contrôle
de la nourriture, de l’hygiène des locaux, etc.
Comment le concevez-vous ? Dans quelle
mesure doit-il être imposé ? Quelles en seront
les sanctions ?
Telles sont les questions que nous soumet
tons à toutes les Fédérations et, par elles, à
toutes les Sociétés confédérées. Nous avons es
sayé de prévoir tous les aspects du problème,
VÊTEMENTS
Uns m mmwim K GRAND
Lft HAVRE — 131. Du* é•
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