Titre : Journal du Havre : illustré hebdomadaire
Éditeur : [s.n.] (Havre)
Date d'édition : 1892-06-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32800934t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 160 Nombre total de vues : 160
Description : 19 juin 1892 19 juin 1892
Description : 1892/06/19. 1892/06/19.
Description : Collection numérique : BIPFPIG76 Collection numérique : BIPFPIG76
Description : Collection numérique : BIPFPIG76 Collection numérique : BIPFPIG76
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k959558t
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-86205 (BIS)
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 11/10/2012
Prix du Numéro. . . ÎO cent.
Pour les abonnés au
Journal du Havre 5 »
ILLUSTRÉ
HEBDOMADAIRE
BUREAUX
9 — Quai d'Orléans — 9
HAVRE
NOS GRAVURES
les rues merveilleusement de'corées de la capitale
lorraine, jusqu’à 1’Hôtel-de-Ville où les réceptions
avaient eu lieu.
Celles-ci terminées, le Président assista du haut
du balcon au défilé des troupes.
Malheureusement le beau temps n’était point de
la fête: l’averse faisait rage.
Malgré ce contretemps, la division de Nancy
a fait bonne figure, l’infanterie a passé devant
l’hôtel de ville par colonnes à une allure mar
tiale, avec des alignements parfaits. Le général
Brault et son état-major se tenaient immobiles
sur la place face au Président. La pluie tombe à
S. A. I. LE GRAND-LiUC CONSTANTIN.
torrents; tambours, clairons et musiques réson
nent quand même et marquent le pas aux deux
brigades d’infanterie commandées par les géné
raux Boitard et Jolivet, le 26 e — ce beau 26e, lié
à l’histoire patriotique de la ville par des souvenirs
qu’aucun Nancéien n’oubliera —les 69 e , 37 e et 79 e
régiments défilent successivement. Les officiers sa
luent de l’épée, les drapeaux s’inclinent, la foule qui
disparaît sous les parapluies pousse des hourras
ininterrompus et par là-dessus l’averse redouble.
Oh! cette averse! Du balcon de l’Hôtel-de-Ville
nous raconte un témoin oculaire, la place nous
apparaît comme un étang dans lequel nos petits
pioupious, toujours crânes quand même, barbo
tent stoïques; ils en ont supporté biep d’autres,
ces braves soldats, et ils font songer à cedessinde
Raffet où l’on voit les vieux grognards deSambre-
et-Meuse goguenarder les pieds dans l’eau. Ceux-
ci sont bien de la même race. Ils le prouveront
quand on voudra.
Le lendemain, lundi, avait lieu dans ce magni
fique parc de la Pépinière, qui est une des nom
breuses merveilles de Nancy, le grand concours de
gymnastique, suivi de l’inauguration de la statue de
Claude le Lorrain. Rodin, le sculpteur, a fait une
oeuvre pleine de pittoresque et très artistique en
représentant le maître illustre en costume de tra
vail, tenant sa palette et ses brosses : sur le pié
destal, un Apollon, dieu des arts et du soleil,
personnifie le génie du grand ancêtre des luministes.
M. Français a prononcé à cette occasion un dis
cours fort applaudi.
C’est au moment où se terminait cette
inauguration que l’arrivée du grand-duc
Constantin a été officiellement annon
cée : la nouvelle s’est répandue immé
diatement dans la foule qui remplissait
les places et les rues, et y a produit
une impression profonde.
Fl est 3 heures 35, quand le grand-duc,
vêtu d’une longue redingote noire et
portant la rosette de la Légion d’hon
neur, descend de wagon; il est accom
pagné de son aide de camp, le baron de
Ramsay. Le colonel Chamoin salue le
grand-duc à sa descente de wagon et lui
souhaite la bienvenue au nom de M. Car
not; au même moment des cris répétés
de : Vive la Russie ! éclatent dans la
foule massée sur le quai.
A mesure que le cortège pénètre dans
la ville, la population s’associe à la ma
nifestation qui devient à chaque minute
plus nombreuse et plus vibrante; le»cris
de : Vive la Russie! redoublent d’inten
sité dans la rue des Dominicains.
C’est à peine si le bataillon du 69 e ré
giment de ligne, commandé pour rendre
les honneurs militaires, a eu le temps de
prendre ses positions quand le grand-duc
descend de voiture, et la musique ne
peut commencer l’hymne russe qu’au
moment où il pénètre à la préfecture.
Il est quatre heures quand le colonel
Chamoin introduit le prince dans le
salon réservé, où il attendra M. Carnot,
retenu par l’inauguration de la statue
de Claude le Lorrain. . •
A quatre heures et demie, le Prési
dent de la République, en proie à une
émotion qu’il n’arrive pas à dissimuler,
monte le grand escalier d’honneur.
Personne n’est admis dans le salon;
l’aide de camp du grand-duc et le gé
néral Brugère eux-mêmes se retirent,
et c’est en tête-à-tête que le grand-duc
et M. Carnot ont un entretien de vingt
minutes, à la suite duquel M. Carnot
reconduit son auguste visiteur jusqu’au
bas de l’escalier; les troupes font la haie,
la musique joue une seconde fois
l’hymne russe et le grand-duc très ému, le chapeau
à la main, se dirige vers sa voiture.
Le trajet de la préfecture à la gare a donné lieu
à une ovation ininterrompue. La foule, qui ignorait
l’arrivée du grand-duc et qui avait été prévenue
en même temps de son arrivée et de son départ,
remplissait les rues et jetait des fleurs.
Le colonel Chamoin accompagnait le grand-duc
et est resté dans son wagon jusqu’au départ qui
a eu lieu à 5 h. 22.
Et pendant toute la soirée, ce furent des cris
ininterrompus de : Vive la France 1 Je ne jurerais
pas qu’on ne pensât un peu au voisin, qui est à quel
ques lieues de là, et qu’on n’ait crié plus fort : Vive
la France ! dans l’espoir d’être entendu de toute la
Lorraine, et même de l’Alsace, mais la fête n’en
a pas moins été une fête absolument pacifique,
comme il convenait qu’elle fût.
Le voyage du Président de la République
à Nancy.
Un événement imprévu et qui aura en France
comme dans toute l’Europe un retentissement
énorme est venu donner un caractère particulier à
ce voyage de Nancy qui avait à l’avance tant ému
l’opinion. 11 s’agit, nos lecteurs le savent, de la
visite faite à M. Carnot par le grand-duc Constan
tin en séjour aux eaux de Contrexéville.
L’intérêt de tous les autres incidents du
voyage a quelque peu disparu devant
celui-là. D’ailleurs nous n’avons pas à
récrire, par le détail, les différentes
cérémonies inscrites au programme :
au Nord comme au Midi, à l’Est comme
à l’Ouest, rien ne ressemble à une ré
ception officielle comme une autre ré
ception officielle. Il n’y a que les fonc
tionnaires et les discours qui chan
gent... et encore, cela n’est-il pas bien
sûr. Bornons-nous donc aux incidents
qui ont donné aux fêtes lorraines un
cachet spécial et particulièrement pit
toresque.
Dès samedi, une affluence énorme de
sociétés de gymnastique avait envahi la
ville. Toutes ont été bien reçues et bien
acclamées, mais le succès a été pour les
Sokols, ces jeunes gens tchèques venus
de Bohême pour fraterniser avec leurs
collègues de France.
Le gouvernement autrichien leur
avait interdit de venir chez nous en
-« corps ». Alors, qu’ont-ils fait ? Ils ont
.voyagé isolément jusqu’à Avricourt où
les attendaient, sous un arc triomphal,
aux couleurs de France et de Bohême,
M. Sansbœuf, président des sociétés de
.gymnastique de France, et quatre délé
gués des fêtes de Nancy. Sokol veut
dire faucon, aussi tous les membres de
la Sokol, au nombre de soixante-quinze,
ont-ils sur le bonnet noir une plume
de faucon. Deux députés et huit dames
patronnesses les accompagnent.
Dès que l’arrivée du train est signalée
à Nancy, les délégués des étudiants et
des Sociétés de gymnastique se groupent
sur les quais. Un immense bouquet est
hissé à droite de la voie, un autre à
gauche. La gare est envahie. Le train
s’arrête ; les Tchèques, qui regardent
par les portières, crient : Vive la France !
Les Français crient: Na-Zdar! — c’est-
à-dire salut, en langue tchèque. On se
serre les mains, on s’embrasse On offre
aux nouveaux arrivés un splendide dra
peau aux couleurs tchèques, surmonté
d’un faucon empaillé, qui tient entre ses griffes
une banderole sur laquelle on lit : Les Nancéiens
aux Sokols.
1 rès pittoresque le costume de ces derniers :
casaque chamois sur gilet rouge, culotte chamois
iur bas noirs. Ils jettent en l’air leurs bonnets en
criant: Vive la France! On leur offre des rieurs.
Les étudiants dressent sur leursépaules M. Peroux,
président de leur association. Les gymnastes por
tent à côté, sur leurs épaules, M. Polipny, député
tchèque.
On est venu pour fraterniser et on fraternise.
On les a retrouvés, ces braves tchèques, pleins
d’enthousiasme et d’ardeur, au moment du défilé
des troupes sur la place Stanislas, le dimanche à
cinq heures du soir. Le train présidentiel était
entré en gare vers quatre heures, et M. Carnot
s’était rendu, sous les arcs de triomphe, à travers
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BUREAUX
9 — Quai d'Orléans — 9
HAVRE
NOS GRAVURES
les rues merveilleusement de'corées de la capitale
lorraine, jusqu’à 1’Hôtel-de-Ville où les réceptions
avaient eu lieu.
Celles-ci terminées, le Président assista du haut
du balcon au défilé des troupes.
Malheureusement le beau temps n’était point de
la fête: l’averse faisait rage.
Malgré ce contretemps, la division de Nancy
a fait bonne figure, l’infanterie a passé devant
l’hôtel de ville par colonnes à une allure mar
tiale, avec des alignements parfaits. Le général
Brault et son état-major se tenaient immobiles
sur la place face au Président. La pluie tombe à
S. A. I. LE GRAND-LiUC CONSTANTIN.
torrents; tambours, clairons et musiques réson
nent quand même et marquent le pas aux deux
brigades d’infanterie commandées par les géné
raux Boitard et Jolivet, le 26 e — ce beau 26e, lié
à l’histoire patriotique de la ville par des souvenirs
qu’aucun Nancéien n’oubliera —les 69 e , 37 e et 79 e
régiments défilent successivement. Les officiers sa
luent de l’épée, les drapeaux s’inclinent, la foule qui
disparaît sous les parapluies pousse des hourras
ininterrompus et par là-dessus l’averse redouble.
Oh! cette averse! Du balcon de l’Hôtel-de-Ville
nous raconte un témoin oculaire, la place nous
apparaît comme un étang dans lequel nos petits
pioupious, toujours crânes quand même, barbo
tent stoïques; ils en ont supporté biep d’autres,
ces braves soldats, et ils font songer à cedessinde
Raffet où l’on voit les vieux grognards deSambre-
et-Meuse goguenarder les pieds dans l’eau. Ceux-
ci sont bien de la même race. Ils le prouveront
quand on voudra.
Le lendemain, lundi, avait lieu dans ce magni
fique parc de la Pépinière, qui est une des nom
breuses merveilles de Nancy, le grand concours de
gymnastique, suivi de l’inauguration de la statue de
Claude le Lorrain. Rodin, le sculpteur, a fait une
oeuvre pleine de pittoresque et très artistique en
représentant le maître illustre en costume de tra
vail, tenant sa palette et ses brosses : sur le pié
destal, un Apollon, dieu des arts et du soleil,
personnifie le génie du grand ancêtre des luministes.
M. Français a prononcé à cette occasion un dis
cours fort applaudi.
C’est au moment où se terminait cette
inauguration que l’arrivée du grand-duc
Constantin a été officiellement annon
cée : la nouvelle s’est répandue immé
diatement dans la foule qui remplissait
les places et les rues, et y a produit
une impression profonde.
Fl est 3 heures 35, quand le grand-duc,
vêtu d’une longue redingote noire et
portant la rosette de la Légion d’hon
neur, descend de wagon; il est accom
pagné de son aide de camp, le baron de
Ramsay. Le colonel Chamoin salue le
grand-duc à sa descente de wagon et lui
souhaite la bienvenue au nom de M. Car
not; au même moment des cris répétés
de : Vive la Russie ! éclatent dans la
foule massée sur le quai.
A mesure que le cortège pénètre dans
la ville, la population s’associe à la ma
nifestation qui devient à chaque minute
plus nombreuse et plus vibrante; le»cris
de : Vive la Russie! redoublent d’inten
sité dans la rue des Dominicains.
C’est à peine si le bataillon du 69 e ré
giment de ligne, commandé pour rendre
les honneurs militaires, a eu le temps de
prendre ses positions quand le grand-duc
descend de voiture, et la musique ne
peut commencer l’hymne russe qu’au
moment où il pénètre à la préfecture.
Il est quatre heures quand le colonel
Chamoin introduit le prince dans le
salon réservé, où il attendra M. Carnot,
retenu par l’inauguration de la statue
de Claude le Lorrain. . •
A quatre heures et demie, le Prési
dent de la République, en proie à une
émotion qu’il n’arrive pas à dissimuler,
monte le grand escalier d’honneur.
Personne n’est admis dans le salon;
l’aide de camp du grand-duc et le gé
néral Brugère eux-mêmes se retirent,
et c’est en tête-à-tête que le grand-duc
et M. Carnot ont un entretien de vingt
minutes, à la suite duquel M. Carnot
reconduit son auguste visiteur jusqu’au
bas de l’escalier; les troupes font la haie,
la musique joue une seconde fois
l’hymne russe et le grand-duc très ému, le chapeau
à la main, se dirige vers sa voiture.
Le trajet de la préfecture à la gare a donné lieu
à une ovation ininterrompue. La foule, qui ignorait
l’arrivée du grand-duc et qui avait été prévenue
en même temps de son arrivée et de son départ,
remplissait les rues et jetait des fleurs.
Le colonel Chamoin accompagnait le grand-duc
et est resté dans son wagon jusqu’au départ qui
a eu lieu à 5 h. 22.
Et pendant toute la soirée, ce furent des cris
ininterrompus de : Vive la France 1 Je ne jurerais
pas qu’on ne pensât un peu au voisin, qui est à quel
ques lieues de là, et qu’on n’ait crié plus fort : Vive
la France ! dans l’espoir d’être entendu de toute la
Lorraine, et même de l’Alsace, mais la fête n’en
a pas moins été une fête absolument pacifique,
comme il convenait qu’elle fût.
Le voyage du Président de la République
à Nancy.
Un événement imprévu et qui aura en France
comme dans toute l’Europe un retentissement
énorme est venu donner un caractère particulier à
ce voyage de Nancy qui avait à l’avance tant ému
l’opinion. 11 s’agit, nos lecteurs le savent, de la
visite faite à M. Carnot par le grand-duc Constan
tin en séjour aux eaux de Contrexéville.
L’intérêt de tous les autres incidents du
voyage a quelque peu disparu devant
celui-là. D’ailleurs nous n’avons pas à
récrire, par le détail, les différentes
cérémonies inscrites au programme :
au Nord comme au Midi, à l’Est comme
à l’Ouest, rien ne ressemble à une ré
ception officielle comme une autre ré
ception officielle. Il n’y a que les fonc
tionnaires et les discours qui chan
gent... et encore, cela n’est-il pas bien
sûr. Bornons-nous donc aux incidents
qui ont donné aux fêtes lorraines un
cachet spécial et particulièrement pit
toresque.
Dès samedi, une affluence énorme de
sociétés de gymnastique avait envahi la
ville. Toutes ont été bien reçues et bien
acclamées, mais le succès a été pour les
Sokols, ces jeunes gens tchèques venus
de Bohême pour fraterniser avec leurs
collègues de France.
Le gouvernement autrichien leur
avait interdit de venir chez nous en
-« corps ». Alors, qu’ont-ils fait ? Ils ont
.voyagé isolément jusqu’à Avricourt où
les attendaient, sous un arc triomphal,
aux couleurs de France et de Bohême,
M. Sansbœuf, président des sociétés de
.gymnastique de France, et quatre délé
gués des fêtes de Nancy. Sokol veut
dire faucon, aussi tous les membres de
la Sokol, au nombre de soixante-quinze,
ont-ils sur le bonnet noir une plume
de faucon. Deux députés et huit dames
patronnesses les accompagnent.
Dès que l’arrivée du train est signalée
à Nancy, les délégués des étudiants et
des Sociétés de gymnastique se groupent
sur les quais. Un immense bouquet est
hissé à droite de la voie, un autre à
gauche. La gare est envahie. Le train
s’arrête ; les Tchèques, qui regardent
par les portières, crient : Vive la France !
Les Français crient: Na-Zdar! — c’est-
à-dire salut, en langue tchèque. On se
serre les mains, on s’embrasse On offre
aux nouveaux arrivés un splendide dra
peau aux couleurs tchèques, surmonté
d’un faucon empaillé, qui tient entre ses griffes
une banderole sur laquelle on lit : Les Nancéiens
aux Sokols.
1 rès pittoresque le costume de ces derniers :
casaque chamois sur gilet rouge, culotte chamois
iur bas noirs. Ils jettent en l’air leurs bonnets en
criant: Vive la France! On leur offre des rieurs.
Les étudiants dressent sur leursépaules M. Peroux,
président de leur association. Les gymnastes por
tent à côté, sur leurs épaules, M. Polipny, député
tchèque.
On est venu pour fraterniser et on fraternise.
On les a retrouvés, ces braves tchèques, pleins
d’enthousiasme et d’ardeur, au moment du défilé
des troupes sur la place Stanislas, le dimanche à
cinq heures du soir. Le train présidentiel était
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