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- TABLE ANALYTIQUE DE L'ANNEE 1900
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lame de 6 centimètres pendant plusieurs jours avec quelques
légères variations.
Cette hauteur au-dessus du barrage, pour une largeur de
2 mètres, correspond à un débit journalier de 4,500 mètres
cubes au lieu des 100.000 mètres cubes trouvés en octobre,
mais comme nous le verrons plus loin, la fuite, le renard pour
employer l'expression consacrée, absorbait la différence.
Le 14 décembre, l'eau se mit subitement à monter.
On ferma à nouveau le barrage jusqu'à 5 mètres de hauteur.
Après être restée stationnaire les 16, 17 et 18, la source monta
en 24 heures à 5 m. 82, déversant alors son eau de 82 centi-
mètres par dessus le barrage et même d'une quarantaine de
centimètres au-dessus de la crête du mur sur une longueur
d'une douzaine de mètres.
M. Güell expliquait l'arrêt de la montée du 29 Novembre, la
Fig. 6.
descente, puis la montée nouvelle, en supposant des cavernes
C (fig. 6) que la source ne remplit pas dans les conditions nor-
males, mais qu'elle serait allée remplir par déversement quand
elle aurait atteint le niveau de 2 mètres 61; elle aurait baissé
lors du remplissage de ces cavernes, et quand celles-ci auraient
été pleines, l'eau serait montée à nouveau.
Cette explication nous semble peu plausible, car s'il était
exact que la source put remplir des cavernes par déversement
pendant tout le temps qu'aurait demandé ce remplissage, on
pourrait admettre que le niveau ne montât pas, mais il n'aurait
pas dû descendre de trente-cinq centimètres. La descente
s'explique mieux par l'existence et l'agrandissement d'un
renard et la montée subite par de grandes pluies. Du reste,
lame de 6 centimètres pendant plusieurs jours avec quelques
légères variations.
Cette hauteur au-dessus du barrage, pour une largeur de
2 mètres, correspond à un débit journalier de 4,500 mètres
cubes au lieu des 100.000 mètres cubes trouvés en octobre,
mais comme nous le verrons plus loin, la fuite, le renard pour
employer l'expression consacrée, absorbait la différence.
Le 14 décembre, l'eau se mit subitement à monter.
On ferma à nouveau le barrage jusqu'à 5 mètres de hauteur.
Après être restée stationnaire les 16, 17 et 18, la source monta
en 24 heures à 5 m. 82, déversant alors son eau de 82 centi-
mètres par dessus le barrage et même d'une quarantaine de
centimètres au-dessus de la crête du mur sur une longueur
d'une douzaine de mètres.
M. Güell expliquait l'arrêt de la montée du 29 Novembre, la
Fig. 6.
descente, puis la montée nouvelle, en supposant des cavernes
C (fig. 6) que la source ne remplit pas dans les conditions nor-
males, mais qu'elle serait allée remplir par déversement quand
elle aurait atteint le niveau de 2 mètres 61; elle aurait baissé
lors du remplissage de ces cavernes, et quand celles-ci auraient
été pleines, l'eau serait montée à nouveau.
Cette explication nous semble peu plausible, car s'il était
exact que la source put remplir des cavernes par déversement
pendant tout le temps qu'aurait demandé ce remplissage, on
pourrait admettre que le niveau ne montât pas, mais il n'aurait
pas dû descendre de trente-cinq centimètres. La descente
s'explique mieux par l'existence et l'agrandissement d'un
renard et la montée subite par de grandes pluies. Du reste,
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