Presse et revues
12 pages
Titre : La Science à la maison et l'industrie en chambre : journal populaire illustré
Éditeur : Imprimerie du XXe siècle (Le Havre)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-06-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb45108212t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 521 Nombre total de vues : 521
Description : 01 juin 1918 01 juin 1918
Description : 1918/06/01 (A6,N95)-1918/06/30. 1918/06/01 (A6,N95)-1918/06/30.
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k54012748
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-66646
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/12/2008
La Science à la Maison, 72, Boulv. St-Marcel, Pakis (V*)
119
formule est : 1/4 solution de sulfate de
fer, 300 gr. ; eau de pluie- ou distillée, 1
litre et 8/4 solution d'oxalate de potasse,
800 gr. ; eau de pi. ou dist. 1 litre.
Pour fabriquer de l'encre avec ces
vieux bains îd suffira alors de mélanger
le contenu des deux bocaux dans les
pi oportions de 1 partie en volume du pre-
mier liquide (acide pyrogallique) et deux
parties du second (ter). Le mélange opéré
à froid, on le laise exposé à l'a r pendant
deux ou trois jours dans un vase non cou-
vert, puis on le imet en bouteille bou-
chée pour le conserver.
Cette émane ainsi obtenue avec des pro-
duits usés dont autrement on ne ferait
aucun !cuirs, très économique elle a de plus, les
qualités des encrée de bonne qualité qui
écrivent bien et ne forment pas de
dépôt au fond des encriers. Autre avan-
tage, «lie est communicative et peut servir
pour la correspondance à conserver au
copie-lettre. Son seul défaut est. d'atta-
quer un peu les plumes d'acier, mais
elle le partage avec iôutes les autres
encres du -commërbe a base de tanin, aus-
si ne peut-on raisonnablement lui en faire
, un grief. -
(à suivre) Gh. Lobe.
ÉGO^O/AIE DOAIES^IQUE
Gâteaux à la noix de coco dits :
< Rochers Congolais »
Nous avons déjà donné la manière d'uti-
liser-les blancs d'oeufs provenant de la
confection des mayonnaises, sauces à as-
perges, et».„ (Voir Mousse au chocoi-.
■titf Ile flottante, n° 72 de juillet 1916, p.
32) en voici deux autres qui ont de plus
l'avantage la première de demander peu
de sucre et toutes deux d'employer au
mieux la chair des noix de coco.
Prenez 2 blancs d'oeufs, et 20-à 25 gr. de
sucre vanillée — (le sucre vanillée s'ob-
tient très facilement en laissant dout sim-
plement séjo^raen une ou deux gousses
de' vanille dans la boîte qui le renferme)—
battez en neige et ajouter 100 gr. de coco
râpé. Ayez iensuite un papier beurré ou
îiuilé sur lequel vous déposez de place en
place un peu du mélange à l'aide d'une
cuiller à soupe ; faites cuire à feu doux
et décollez après reifroidissement.
2. — Autre recette réclamant plus de
sucre. —Mélangez 150 igr. de sucre vanil-
lé avec 2 blancs d'oeufs. Eaites chiaiuf-
fer, ajoutez quand c'est bien chaud, 100
gr. de coco râpé, dressez à la cuiller sur
papier et faites cuire comme ci-dessus.
3. — Autre recette avec le jaune des
oeufs. — 125 gr. de sucre, 125 gr. de coco
râpé, 2 oeufs entiers, 2 gr. vanille. Tra-
vaillez à froid en additionnant d'un peu
«lie iaiit pour ramollir. Dressez sur papier
Cuire à four très chaud d'abord, moins
chaud en.suiite, 25 minutes environ.
Philocaie.
LA CULTURE PRATIQUE
La Chicorée Sauvage « Barbe de
Capucin »
La Chicorée sait-
vage, commune
presque partout à
l'état spontané, à
été employée de tout
temps comme salade
et comme plante
médicinale. La cul-
ture en rend le pro-
duit plus abondant
et en améliore la
qualité en atténuant
Chicorée sauvage 1 »mprtnm«»di»qfpuil-
« Barbe-de-vapucfn » } ameriumeaesieuu
«rw.»., , les- Dans le type
sauvage, la Jleuu-
le est très découpée, alors que dans les
races cultivées actuellement, lafeuille est
à contour régulier, tout en étant beau-
coup moins large que dans la race dite '
améliorée. J ^
Forcée l'hiver, à l'abri de la lumière,
la Chicorée sauvage ordinaire fournit un
produit très estimé sous le nom de « Bar-
be-de-capucin ».
La Chicorée sauvage ordinaire est d'une
culture extrêmement facile. On la sème
au printemps eu place, en rayons et le
plus souvent en. bordures ; le semis se
fait d'ordinaire très dru; les feuilles de
Chicorée sont, par suite, très serrées les
mies contre les autres. On les récolte au
fur et à mesure des besoins, en les cou-
pant un peu au-dessus de terre avec une
faucille ou un couteau; elles peuvent ain-
si être coupées plusieurs fois dans l'an-
née. Il est lion de faire ohaque année de
nouveaux semis et de détruire les anciens,
dont le produit diminue et qui tendent
à monter à graine.
Barbe-de-capucin. -— Pour produire la
Barbe-de-capucin, on se sert de plantes
semées assez clair en pleine terre, d'avril
en juin, en rayons distants de 0m 30. Cette
Chicorée Mauvasc
Barbe-de-Capucui »
(ClicUJJilinorin).
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formule est : 1/4 solution de sulfate de
fer, 300 gr. ; eau de pluie- ou distillée, 1
litre et 8/4 solution d'oxalate de potasse,
800 gr. ; eau de pi. ou dist. 1 litre.
Pour fabriquer de l'encre avec ces
vieux bains îd suffira alors de mélanger
le contenu des deux bocaux dans les
pi oportions de 1 partie en volume du pre-
mier liquide (acide pyrogallique) et deux
parties du second (ter). Le mélange opéré
à froid, on le laise exposé à l'a r pendant
deux ou trois jours dans un vase non cou-
vert, puis on le imet en bouteille bou-
chée pour le conserver.
Cette émane ainsi obtenue avec des pro-
duits usés dont autrement on ne ferait
aucun !
qualités des encrée de bonne qualité qui
écrivent bien et ne forment pas de
dépôt au fond des encriers. Autre avan-
tage, «lie est communicative et peut servir
pour la correspondance à conserver au
copie-lettre. Son seul défaut est. d'atta-
quer un peu les plumes d'acier, mais
elle le partage avec iôutes les autres
encres du -commërbe a base de tanin, aus-
si ne peut-on raisonnablement lui en faire
, un grief. -
(à suivre) Gh. Lobe.
ÉGO^O/AIE DOAIES^IQUE
Gâteaux à la noix de coco dits :
< Rochers Congolais »
Nous avons déjà donné la manière d'uti-
liser-les blancs d'oeufs provenant de la
confection des mayonnaises, sauces à as-
perges, et».„ (Voir Mousse au chocoi-.
■titf Ile flottante, n° 72 de juillet 1916, p.
32) en voici deux autres qui ont de plus
l'avantage la première de demander peu
de sucre et toutes deux d'employer au
mieux la chair des noix de coco.
Prenez 2 blancs d'oeufs, et 20-à 25 gr. de
sucre vanillée — (le sucre vanillée s'ob-
tient très facilement en laissant dout sim-
plement séjo^raen une ou deux gousses
de' vanille dans la boîte qui le renferme)—
battez en neige et ajouter 100 gr. de coco
râpé. Ayez iensuite un papier beurré ou
îiuilé sur lequel vous déposez de place en
place un peu du mélange à l'aide d'une
cuiller à soupe ; faites cuire à feu doux
et décollez après reifroidissement.
2. — Autre recette réclamant plus de
sucre. —Mélangez 150 igr. de sucre vanil-
lé avec 2 blancs d'oeufs. Eaites chiaiuf-
fer, ajoutez quand c'est bien chaud, 100
gr. de coco râpé, dressez à la cuiller sur
papier et faites cuire comme ci-dessus.
3. — Autre recette avec le jaune des
oeufs. — 125 gr. de sucre, 125 gr. de coco
râpé, 2 oeufs entiers, 2 gr. vanille. Tra-
vaillez à froid en additionnant d'un peu
«lie iaiit pour ramollir. Dressez sur papier
Cuire à four très chaud d'abord, moins
chaud en.suiite, 25 minutes environ.
Philocaie.
LA CULTURE PRATIQUE
La Chicorée Sauvage « Barbe de
Capucin »
La Chicorée sait-
vage, commune
presque partout à
l'état spontané, à
été employée de tout
temps comme salade
et comme plante
médicinale. La cul-
ture en rend le pro-
duit plus abondant
et en améliore la
qualité en atténuant
Chicorée sauvage 1 »mprtnm«»di»qfpuil-
« Barbe-de-vapucfn » } ameriumeaesieuu
«rw.»., , les- Dans le type
sauvage, la Jleuu-
le est très découpée, alors que dans les
races cultivées actuellement, lafeuille est
à contour régulier, tout en étant beau-
coup moins large que dans la race dite '
améliorée. J ^
Forcée l'hiver, à l'abri de la lumière,
la Chicorée sauvage ordinaire fournit un
produit très estimé sous le nom de « Bar-
be-de-capucin ».
La Chicorée sauvage ordinaire est d'une
culture extrêmement facile. On la sème
au printemps eu place, en rayons et le
plus souvent en. bordures ; le semis se
fait d'ordinaire très dru; les feuilles de
Chicorée sont, par suite, très serrées les
mies contre les autres. On les récolte au
fur et à mesure des besoins, en les cou-
pant un peu au-dessus de terre avec une
faucille ou un couteau; elles peuvent ain-
si être coupées plusieurs fois dans l'an-
née. Il est lion de faire ohaque année de
nouveaux semis et de détruire les anciens,
dont le produit diminue et qui tendent
à monter à graine.
Barbe-de-capucin. -— Pour produire la
Barbe-de-capucin, on se sert de plantes
semées assez clair en pleine terre, d'avril
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