Titre : Le Prolétaire normand : organe régional du Bloc ouvrier et paysan : ["puis" édité par le Parti communiste]
Auteur : Parti communiste français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Rouen)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Sotteville-lès-Rouen)
Date d'édition : 1932-04-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32844597d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 22 avril 1932 22 avril 1932
Description : 1932/04/22 (N293). 1932/04/22 (N293).
Description : Collection numérique : BIPFPIG76 Collection numérique : BIPFPIG76
Description : Collection numérique : BIPFPIG76 Collection numérique : BIPFPIG76
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k45715800
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-94118 (BIS)
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/11/2017
%
7" ANNEE. — N“ 293.
LE NUMERO : « CENTIMES. VENDREDI 22 AVRIL 1932.
Organe Régional
du Bloc Ouvrière! Ÿaysz
EDITE PAR LE PARTI COMMUNISTE
ABONNEMENTS :
Un an
Six mois
Pour la campagne
—o—
Gomment la faire
o——
La campagne des élections législatives bat
son plein.
Partout, les réunions se multiplient. Les
militants communistes qui, au contraire des
bourgeois ou chefs socialistes, travaillent dans
la journée, n’ont plus que quelques heures de'
sommeil, pas un instant de repos dans leur
longue journée.
Les déplacements se multiplient.
Il va falloir assurer le maximum d’afficha
ge dans les deux départements d’Eure et Seine-
Inférieure.
Il faut transporter des camarades.
Il faut payer des afficheurs municipaux là
où nous n’aurons pas la possibilité de nous
rendre.
Il faut organiser les réunions publiques.
Tracts, papillons, affiches, brochures, un ma
tériel très important doit être affiché, distri
bué en quelques jours.
Si 1 activité, le dévouement, l’énergie de
tous les meilleurs communistes cl sympathi
sants constituent pour 1 ebudget de notre cam
pagne la plus grande des économies, il n’en
est pas moins vrai que tout notre travail doit
reposer sur une solide base financière.
Les ouvriers qui sont avec nous ine sont pas
riches.
Mais ils sont des milliers. Il y a du chôma
ge partout, des salaires diminués. La misère
est grande, le porte-monnaie vide.
Mais les travailleurs peuvent quand même
manifester, même par les gros sous, la sympa
thie qu’ils éprouvent pour l’action de classe
du Parti communiste.
Nous en donnons la preuve par quelques
exemples qui prouvent que, même dans les
pires situations, les ouvriers sont prêts aux plus
grands sacrifices pour leur Parti.
Pont-de-1’Arche, Charleval (montrent la
voie aux autres localités.
Pas Je réunion sans collecte sérieusement
Pas d’usine sans collecte,
organisée.
Pas de communiste sans liste de souscrip
tion sans carnet de souscription, sans cartes
du B.O.P.
Rentrez vite les listes et remplacez-les par
de nouvelles.
Pas de réunions, pas d’usines ou ateliers
sans vente de brochures en masse.
Si tous s’y mettent dare dare, en quelques
jours nous aurons des milliers de francs.
Déjà, cette semaine, les camarades sem
blent décidés à faire un plus gros effort pour
les ressources financièrse.
Sans pessimisme, tous en action !
Et disons-nous bien que les résultats ne dé
pendent pas de la plus ou moins grande in
différence des ouvriers, mais, au contraire, de
l’activité des camarades, aussi bien en ce qui
concerne les résultats financiers que les ré
sultats électoraux.
Vite, vite, vite, des résultats.
A. CoSTENTIN.
: >-•••-< -
A tous les communistes,
à tous les sympathisants
La permanence fonctionne sans interrup
tion à Sotteville,, 323. rue de la République,
jusqu’à 7 heures du soir.
PASSEZ-Y.
MEMBRE DU PARTI ET DES J. C,,
que! travail pratique fais-tu dans la campa
gne?
AM! SYMPATHISANT, nous avons be
soin de toi; mets-toi à la disposition des ca
marades responsables en indiquant tes heu
res.
DIMANCHE PROCHAIN, es-tu dans les
groupes de propagandistes qui vont visiter
les campagnes? Propose-toi?
Tous les CYCLISTES, MOTOCYCLIS
TES, AUTOMOBILISTES sont priés do se
faire connaître d’URGENCE.
Demandez tracts et papillons dans les per
manences, aux responsables.
Indiqucz nous les communes non affi
chées.
Tenez-nous au courant; écrivez à A. Cos-
tentin, 323, rue d 2 < la République, Sottevil-
le-lès-Rouen. Téléphonez au 69-03, à Rouen.
Groupez-vous dans les meetings des ad
versaires.
Assurez la CONTRADICTION DE MAS
SE par de nombreuses questions précises.
18 francs
10 francs
RÉDACTION & ADMINISTRATION
323, rue de la République, SOTTEVILLE-LES-ROUEN
Adresser le montant des abonnements et tous fonds au PROLEI AIRE,
C. C. P. Rouen 122-90. R. C. A. 218.44
Pour la rédaction et tous renseignements concernant Le Havre,
s’adresser au » PROLETAIRE », Cercle Franklin, Le Havre, 2*
étage).
Soas le signe des barricades de Vienne
En avant partout pour un puissant premier Mai !
Ab î not? pas ceux là î
Hypocrisie socialiste
C’est sous le signe des luttes ouvriè
res contre les diminutions de salaire,
de la lutte contre le chômage, contre
la misère et la guerre que se place le
1 er Mai 1932.
La crise s’aggrave. Les efforts de la
bourgeoisie redoublent pour imposer
ses solutions.
L’ère de la prospérité vantée par
Tardieu est bien loin maintenant. Les
bateleurs de la bourgeoisie surenché
rissent au cours de la campagne élec
torale sur le choix des remèdes capa
bles d’éviter la catastrophe.
Réduction des prix de revient, c’est-
à-dire diminution des salaires; aug
mentation des barrières douanières,
c’est-à-dire augmentation du coût de
la vie. Solutions de misère pour la
classe ouvrière. !
Recherche de nouveaux débouchés,
c’est-à-dire course- insensée aux arme
ments, déclanchement rapide de la
guerre contre l’U. R. S. S., la patrie
de tous les travailleurs.
Contre toutes ces solutions de la
bourgeoisie, le prolétariat organise la
lutte. Le Premier Mai doit marquer
une étape importante dans la bataille
engagée entre les deux classes pour
l’issue de la crise.
Nos organisations syndicales unitai- '
res ne peuvent se contenter de voir la
journée du Premier Mai sous l’angle
des meetings et manifestations tradi
tionnels. Elle doit être l’aboutissement
de toute une série de démonstrations
et de manifestations au sein même des
usines et des entreprises.
En particulier no» sections syndica
les d’usines et nos syndicats marque
ront la préparation du l or Mai par une
préparation intensive dans les usines
au cours de la semaine du 24 au 30
avril, et le dépôt des cahiers de reven
dications.
La campagne électorale actuelle
nous fournit l’occasion de poser de
vant de vastes auditoires la nécessité
de la lutte des travailleurs contre les
diminutions de salaires, contre le chô
mage et la guerre qui est là. Et aussi
contre la répression qui frappe les mi
litants unitaires dont les meilleurs
d’entre nous sont condamnés à de
lourdes peines et emprisonnés.
La décision du gouvernement de
fixer le scrutin le I er Mai ne peut en
aucune façon atténuer pour nous le
caractère de lutte que nos organisa
tions entendent donner à cette jour
née.
Elle favorisera au contraire les ras
semblements des masses exploitées et
les manifestations de rues n’en seront
que plus fortes.
Quinze jours nous séparent du I 01
Mai. Nous n’avons pas un instant à
perdre.
Sous le signe des barricades de
Vienne, des luttes des chômeurs de
Rouen et du Havre et de la récente ba
taille de Pont-de-1’Arche, en avant
dans toute la région pour un puissant
1 er Mai. R. Barette.
U?j
lie? 1.200 gréviste? de porçf-de-I’/lrobe
?or)t rentré?, nrçai? pa? Vair)cü?
Après sept semaines de lutte pour la dé
fense de leurs salaires, les ouvriers et ouvriè
res en chaussure de Pont-de-1’Arche ont dû
rentrer la rage au cœur sans avoir obtenu sa
tisfaction.
Les grévistes de Pont-de-l’Arche ont été
battus, parce que leur bataille n’avait pas eu
la préparation nécessaire et indispensable,
parce qu’ils n’étaient pas assez solidement
organisés.
La liaison entre les gars de Pont-de-1’Ar
che et ceux des campagnes environnantes ne
fut pas suffisante ; ces derniers m’étaient pas
représentés dans le comité central de grève
qui était seulement l’expression des usines,
alors qu’il eut dû également compter dans
son sein des délégués des différentes locali
tés. C’est une faute dans laquelle nous avons
en tant que militants notre grande part de
responsabilité. Cette fissure dans l’organisa
tion de la lutte a été mise à profit par l'en
nemi. Le patronal est allé à 20 et 23 kilomè
tres, quelquefois plus, chercher des inscon-
scients, troubler les résistants par de fausses
nouvelles et sous la protection des cosaques à
Renaudel, réaliser quelques centaines de ren
trées.
Les grévistes de Ponl-de-1’Arche sont éga
lement victimes de leur respect excessif de
la légalité bourgeoise, courant entretenu
sournoisement par les politiciens de gauche
de la localité. Les gardes mobiles, au
moment décidé par les patrons, n’ont
pas hésité à briser la légalité ; ils ont atta
qué et chargé sauvagement les femmes et les
enfants : ils ont eu le bénéfice de l’offen
sive.
Avec les travailleurs de Pont-de l’Arche,
les militaires unitaires feront très prochaine
ment cette autocritique du mouvement dans
un grand meeting intersyndical.
xxx
Le patronal affameur de Pont-de l’Arche
peut momentanément crier victoire. Ses mé
thodes de corruption et de division des tra
vailleurs ont triomphé. 11 lui a fallu pour ce
la des centaines de gardes mobiles, l’instau
ration d’un régime de terreur inouï, la compli
cité des pouvoirs publics, celle d’une munici
palité à ses ordres n’hésitant pas à arrêter
btusquemenl tout secours aux grévistes.
11 a été servi également par toutes les ma
nœuvres sournoises des différents clans poli
tiques de la bourgeoisie, depuis les plus réac
tionnaires jusqu’aux plus « gauches », dont
le but principal fut de retarder le plus pos
sible la création du syndicat unitaire, espé
rant ainsi paralyser le développement de la
grève.
I out puissant — très momentanément, qu’il
en soit persuadé —les engagements signés
par le patronal devant le juge de paix sont
restés — ce qu’ils étaient — des chiffons
de papier. La basse vengeance des Morel,
Nyon, Prieur et Ouin, s’est abailue sur les
ouvriers et la répression patronale sévit. C’est
pourquoi la solidarité pour les grévistes de
Ponl-de-l’Arche doit continuer et les listes
en circulation rentrer très rapidement.
Les patrons affameurs ont déjà imposé à
quelques-uns des diminutions qui dépassent
les 10 %. Ils accentuent les manoeuvres de i
division à 1 intérieur de l’usine : leurs efforts
vont maintenant tendre à briser par tous les
moyens le syndicat unitaire. Ils n’y parvien
dront pas. La grande majorité des grévistes
reste fermement attachée à 1 organisation syn
dicale. Elle a qualifié, avec juste raison, les
propositions doucereuses qui ont été faites sur
ce terrain.
Pas de syndicat des patrons ! mot d’ordre
juste, qui exprime qu’au travers de son évo
lution rapide, la population ouvrière de Pont-
de-1 Arche est devenue clairvoyante.
Oui, camarades, pas de syndicat des pa
trons, mais le syndicat unitaire toujours plus
solidement ancré dans chaque usine, prépa
rant la bataille méticuleusement par l’élabo
ration d’un cahier de revendications soigneu
sement établi.
Car la revanche victorieuse doit venir. Il
faut la préparer avec votre syndical unitaire.
Puis, au moment choisi par vous, l’attaque.
Cette fois-ci, camarades de Pont-de-1’Ar
che, plus de sentiment, n’est-ce pas ! La
lutte doit être rapide, énergique, sans merci
pour le patronat affameur.
Comme hier, nous serons avec vous et nous
/aincrons. R. BARETTE. i
Il paraît que Messieurs les chefs socialistes
s émeuvent de ma condamnation.
Morel en particulier a voulu en parler dans
des réunions publiques et a même annoncé
qu’il en saisirait sa Ligue des Droits de
l’Homme cartelliste.
Le « Progrès Social » de la Fédération
S.F .1.0. de Seine-Inférieure a publié une
protestation.
Alors, ce sont ces gens-là qui prendraient
la défense d’un communiste condamne à 2
ans de prison !
Non. et non. L’afîajre est assez scandaleuse
sans y faire entrer la jésuiterie des chefs so
cialistes.
Ces gens-là, protester contre les scandales
de la police et de la justice bourgeoise ?
Voyons donc.
Morel ? petit toutou électoral de Métayer
et qui va se désister pour l’ami des archevê
ques et des maréchaux, pour l’assommeur de
chômeurs et l’emprisonneur de Rivière.
i îlloy ? qui m’appelait le « maître d’éco
le à la manque » et qui n’a que basses insul
tes pour les militants communistes ? qui les
fait arrêter les jeunesses Communistes qui
collent des papillons antimilitaristes ?
Lcbret ? qui m’a fait condamner à I jour
de prison pour chant de 1’ « Internationale »
et a fait enfermer à Bonne-Nouvelle de bons
camarades d’Llbeuf } Lebret, qui a fait im
primer à des milliers d’exemplaires que je
disposais de fortes sommes venues de Mos
cou ?
Morel, I illoy, Lebret, anus des flics ?
Et des juges ?
Et des patrons ?
lit des banquiers voleurs ?
Et des G.D.V ?
Des social-patriotards, protester pour une
condamnation contre la guerre ?
Et Karl Liebknech ?
Et la trahison de 1914 'P
El à la prochaine ?
Des social-patriotes d’arrière comme Le
bret et 1 illoy, protester ?
Un décoré pour son dévouement à la pa
trie capitaliste, comme Morel ? protester ?
Non, Messieurs, gardez vos déclarations
hypocrites. Vous pourriez chagriner quelques,
uns de vos amis.
Petite opération politique électorale. Mais
nous ne marchons pas.
La répression, chefs socialistes, voiis y avez
votre bonne part, non pour la subir, vous êtes
bien à l’abri, mais pour l’aider, et la prati
quer vous-mêmes au besoin.
La protestation des ouvriers socialistes de
la base, oui, celle-là, de grand cœur, nous
l’acceptons, mous la joignons à celle des ou
vriers communistes, nous la demandons.
Ouvriers qui entendez les déclamations des
chefs socialistes sur l’affaire Coslentin, rap-
pelezdes à un peu de pudeur.
Les communistes n’acceptent qu’un défen
seur : la classe ouvrière. C’est elle qui libé
rera les emprisonnés et rompra les jugements
de cl asse, contre les bourgeois et chefs so
cialistes.
Le prolétariat l’a déjà fait. 11 recommen
cera .
A. COSTENTIN.
HH A FO J
VOILA DES QUETES :
les gars de Pont de-l’Arche
au Meeting du Parti
après six semaines de grève
43
à Pefcit-Quevilly
à la réunion Lebret
109 fr -
à Charleval
Cars de la Chaussure,
Chômeurs du Textile
35 fr.
à Amfreville-la- Mie-Voie
53 fr.
A QUI LE TOUR ?
VITE DES GROS SOUS
POUR LA CAMPAGNE ! !
s
Préparatifs de guerre
Renforçons notre Intte
Sur le port de Rouen, la semaine derniè
re, la Maison Evrard débarquait des auto-
mitrailleusîs. Ce sont encore des engins
qui ne serviront pas à labourer la terre.
Le vapeur français « Penerf » J de la Com
pagnie Nantaise, avait dans sa cargaison
chargée à Bordeaux i une auto-mitrailleuse
Panhard en transit pour la gare de Bas-
sens, appontement poste n° 3, plusieurs
caisses énormes renfermant des avions Po
ts* de rechange, type n° 25. Dans le deuxiè
me entrepont s’y trouvaient plusieurs mil
liers de manches de pioches et une quanti
té de sacs vides pour construire des pa*a-
pets, A bord sa trouvait également une ctis-
se de décorations de 70 kilos et plusieurs
caisses rie galons et attributs divers.
Tout cela est destiné à l'intendance de
Casablanca,
Un vrai chargement pacifiste, de quoi ci
vilise»" nos frères coloniaux!
Travailleurs, voilà le bluff du désarme
ment.
L’agression
contre la Russie des Soviets
Le moment est grave, P impérialis
me japonais multiplie les provocations
à la frontière russe contre l’Etat ou
vrier.
Provocations, mensonges diplomati
ques, campagne de presse, tout est mis
en œuvre par les impérialistes pour
montrer la Russie soviétique comme
,préparant l’agression contre les Japo
nais en Mandchourie. La social-démo-
cratie, avec son « Populaire », est au
premier plan, contestant aux travail
leurs russes le droit de s’organiser
pour riposter à ceux qui tenteront de
P agresser à nouveau.
Les travailleurs russes ne seront pas
désarmés devant l’attaque depuis long
temps prévue, et avec eux se dresse
ront tous les ouvriers des pays capita
listes.
La République soviétique, seule pa
trie des travailleurs du monde entier,
est en danger. Tous debout pour arrê
ter les desseins criminels de notre en
nemi commun, le capitalisme.
Dans les usines, dans les chantiers,
partout, semez l’alerte. Préparez la ri
poste.
Le l u Mai, votez et faites voter
communiste. En masse participez aux
démonstrations organisées par les or
ganisations révolutionnaires.
—
Pour le fonds électoral du Parti
3° Liste de Souscriptions
reçues par la Région de Basse-Seine
(Listes vertes)
Liste 18.252, Douanes Le aHvre, 81,50;
Caruet, 74.07^ Cheminots Sotteville Buthli-
com, 43; Listes 18.203, 84; 18.211, ig; 18.206,
126; 18.204, Versé par la Cellule des
Cheminots de Sotteviîle-Buddicom, liste
18.12g, 56, des Ouvriers de chez Varnier, à
Rouen; Listes 18.325 et 18326, cellule Ezy,
78; Liste 18.381, un groupe de sympathi-
saoûts de Petit-Quevilly, 107; Anonyme
Rouen, versé par Capelin, 10; Levavasseur,
7,50; Carnet 75.741, versé par Clorec,
Evreux, 80; Sétif, à Grand-Quevilly, 10; Tas-
serie, à Boisguillaume, v 10; Listes 18.202,
52,25; 18.208, 27; 18.210, 35, versé par la
cellule des Cheminots de Sotteville-Pud li-
com; Liste 18.217, cellule Cheminots Sotte-
ville Quatre-Mares, 46; Liste 18.436, Sim< n
Sotteville, 37; Liste 18.488, cellule Crand-
Quevilly > 58,50; Liste 18.516, versé par Mcu.
chcl, Sotteville, 5; Carnet 71.00T, ctU. V
Sotteviîle-Buddicom, 70
Total de la troisième ’iste ; :.-Ç
! Total à ce jour : 2.316 fr. ic.
7" ANNEE. — N“ 293.
LE NUMERO : « CENTIMES. VENDREDI 22 AVRIL 1932.
Organe Régional
du Bloc Ouvrière! Ÿaysz
EDITE PAR LE PARTI COMMUNISTE
ABONNEMENTS :
Un an
Six mois
Pour la campagne
—o—
Gomment la faire
o——
La campagne des élections législatives bat
son plein.
Partout, les réunions se multiplient. Les
militants communistes qui, au contraire des
bourgeois ou chefs socialistes, travaillent dans
la journée, n’ont plus que quelques heures de'
sommeil, pas un instant de repos dans leur
longue journée.
Les déplacements se multiplient.
Il va falloir assurer le maximum d’afficha
ge dans les deux départements d’Eure et Seine-
Inférieure.
Il faut transporter des camarades.
Il faut payer des afficheurs municipaux là
où nous n’aurons pas la possibilité de nous
rendre.
Il faut organiser les réunions publiques.
Tracts, papillons, affiches, brochures, un ma
tériel très important doit être affiché, distri
bué en quelques jours.
Si 1 activité, le dévouement, l’énergie de
tous les meilleurs communistes cl sympathi
sants constituent pour 1 ebudget de notre cam
pagne la plus grande des économies, il n’en
est pas moins vrai que tout notre travail doit
reposer sur une solide base financière.
Les ouvriers qui sont avec nous ine sont pas
riches.
Mais ils sont des milliers. Il y a du chôma
ge partout, des salaires diminués. La misère
est grande, le porte-monnaie vide.
Mais les travailleurs peuvent quand même
manifester, même par les gros sous, la sympa
thie qu’ils éprouvent pour l’action de classe
du Parti communiste.
Nous en donnons la preuve par quelques
exemples qui prouvent que, même dans les
pires situations, les ouvriers sont prêts aux plus
grands sacrifices pour leur Parti.
Pont-de-1’Arche, Charleval (montrent la
voie aux autres localités.
Pas Je réunion sans collecte sérieusement
Pas d’usine sans collecte,
organisée.
Pas de communiste sans liste de souscrip
tion sans carnet de souscription, sans cartes
du B.O.P.
Rentrez vite les listes et remplacez-les par
de nouvelles.
Pas de réunions, pas d’usines ou ateliers
sans vente de brochures en masse.
Si tous s’y mettent dare dare, en quelques
jours nous aurons des milliers de francs.
Déjà, cette semaine, les camarades sem
blent décidés à faire un plus gros effort pour
les ressources financièrse.
Sans pessimisme, tous en action !
Et disons-nous bien que les résultats ne dé
pendent pas de la plus ou moins grande in
différence des ouvriers, mais, au contraire, de
l’activité des camarades, aussi bien en ce qui
concerne les résultats financiers que les ré
sultats électoraux.
Vite, vite, vite, des résultats.
A. CoSTENTIN.
: >-•••-< -
A tous les communistes,
à tous les sympathisants
La permanence fonctionne sans interrup
tion à Sotteville,, 323. rue de la République,
jusqu’à 7 heures du soir.
PASSEZ-Y.
MEMBRE DU PARTI ET DES J. C,,
que! travail pratique fais-tu dans la campa
gne?
AM! SYMPATHISANT, nous avons be
soin de toi; mets-toi à la disposition des ca
marades responsables en indiquant tes heu
res.
DIMANCHE PROCHAIN, es-tu dans les
groupes de propagandistes qui vont visiter
les campagnes? Propose-toi?
Tous les CYCLISTES, MOTOCYCLIS
TES, AUTOMOBILISTES sont priés do se
faire connaître d’URGENCE.
Demandez tracts et papillons dans les per
manences, aux responsables.
Indiqucz nous les communes non affi
chées.
Tenez-nous au courant; écrivez à A. Cos-
tentin, 323, rue d 2 < la République, Sottevil-
le-lès-Rouen. Téléphonez au 69-03, à Rouen.
Groupez-vous dans les meetings des ad
versaires.
Assurez la CONTRADICTION DE MAS
SE par de nombreuses questions précises.
18 francs
10 francs
RÉDACTION & ADMINISTRATION
323, rue de la République, SOTTEVILLE-LES-ROUEN
Adresser le montant des abonnements et tous fonds au PROLEI AIRE,
C. C. P. Rouen 122-90. R. C. A. 218.44
Pour la rédaction et tous renseignements concernant Le Havre,
s’adresser au » PROLETAIRE », Cercle Franklin, Le Havre, 2*
étage).
Soas le signe des barricades de Vienne
En avant partout pour un puissant premier Mai !
Ab î not? pas ceux là î
Hypocrisie socialiste
C’est sous le signe des luttes ouvriè
res contre les diminutions de salaire,
de la lutte contre le chômage, contre
la misère et la guerre que se place le
1 er Mai 1932.
La crise s’aggrave. Les efforts de la
bourgeoisie redoublent pour imposer
ses solutions.
L’ère de la prospérité vantée par
Tardieu est bien loin maintenant. Les
bateleurs de la bourgeoisie surenché
rissent au cours de la campagne élec
torale sur le choix des remèdes capa
bles d’éviter la catastrophe.
Réduction des prix de revient, c’est-
à-dire diminution des salaires; aug
mentation des barrières douanières,
c’est-à-dire augmentation du coût de
la vie. Solutions de misère pour la
classe ouvrière. !
Recherche de nouveaux débouchés,
c’est-à-dire course- insensée aux arme
ments, déclanchement rapide de la
guerre contre l’U. R. S. S., la patrie
de tous les travailleurs.
Contre toutes ces solutions de la
bourgeoisie, le prolétariat organise la
lutte. Le Premier Mai doit marquer
une étape importante dans la bataille
engagée entre les deux classes pour
l’issue de la crise.
Nos organisations syndicales unitai- '
res ne peuvent se contenter de voir la
journée du Premier Mai sous l’angle
des meetings et manifestations tradi
tionnels. Elle doit être l’aboutissement
de toute une série de démonstrations
et de manifestations au sein même des
usines et des entreprises.
En particulier no» sections syndica
les d’usines et nos syndicats marque
ront la préparation du l or Mai par une
préparation intensive dans les usines
au cours de la semaine du 24 au 30
avril, et le dépôt des cahiers de reven
dications.
La campagne électorale actuelle
nous fournit l’occasion de poser de
vant de vastes auditoires la nécessité
de la lutte des travailleurs contre les
diminutions de salaires, contre le chô
mage et la guerre qui est là. Et aussi
contre la répression qui frappe les mi
litants unitaires dont les meilleurs
d’entre nous sont condamnés à de
lourdes peines et emprisonnés.
La décision du gouvernement de
fixer le scrutin le I er Mai ne peut en
aucune façon atténuer pour nous le
caractère de lutte que nos organisa
tions entendent donner à cette jour
née.
Elle favorisera au contraire les ras
semblements des masses exploitées et
les manifestations de rues n’en seront
que plus fortes.
Quinze jours nous séparent du I 01
Mai. Nous n’avons pas un instant à
perdre.
Sous le signe des barricades de
Vienne, des luttes des chômeurs de
Rouen et du Havre et de la récente ba
taille de Pont-de-1’Arche, en avant
dans toute la région pour un puissant
1 er Mai. R. Barette.
U?j
lie? 1.200 gréviste? de porçf-de-I’/lrobe
?or)t rentré?, nrçai? pa? Vair)cü?
Après sept semaines de lutte pour la dé
fense de leurs salaires, les ouvriers et ouvriè
res en chaussure de Pont-de-1’Arche ont dû
rentrer la rage au cœur sans avoir obtenu sa
tisfaction.
Les grévistes de Pont-de-l’Arche ont été
battus, parce que leur bataille n’avait pas eu
la préparation nécessaire et indispensable,
parce qu’ils n’étaient pas assez solidement
organisés.
La liaison entre les gars de Pont-de-1’Ar
che et ceux des campagnes environnantes ne
fut pas suffisante ; ces derniers m’étaient pas
représentés dans le comité central de grève
qui était seulement l’expression des usines,
alors qu’il eut dû également compter dans
son sein des délégués des différentes locali
tés. C’est une faute dans laquelle nous avons
en tant que militants notre grande part de
responsabilité. Cette fissure dans l’organisa
tion de la lutte a été mise à profit par l'en
nemi. Le patronal est allé à 20 et 23 kilomè
tres, quelquefois plus, chercher des inscon-
scients, troubler les résistants par de fausses
nouvelles et sous la protection des cosaques à
Renaudel, réaliser quelques centaines de ren
trées.
Les grévistes de Ponl-de-1’Arche sont éga
lement victimes de leur respect excessif de
la légalité bourgeoise, courant entretenu
sournoisement par les politiciens de gauche
de la localité. Les gardes mobiles, au
moment décidé par les patrons, n’ont
pas hésité à briser la légalité ; ils ont atta
qué et chargé sauvagement les femmes et les
enfants : ils ont eu le bénéfice de l’offen
sive.
Avec les travailleurs de Pont-de l’Arche,
les militaires unitaires feront très prochaine
ment cette autocritique du mouvement dans
un grand meeting intersyndical.
xxx
Le patronal affameur de Pont-de l’Arche
peut momentanément crier victoire. Ses mé
thodes de corruption et de division des tra
vailleurs ont triomphé. 11 lui a fallu pour ce
la des centaines de gardes mobiles, l’instau
ration d’un régime de terreur inouï, la compli
cité des pouvoirs publics, celle d’une munici
palité à ses ordres n’hésitant pas à arrêter
btusquemenl tout secours aux grévistes.
11 a été servi également par toutes les ma
nœuvres sournoises des différents clans poli
tiques de la bourgeoisie, depuis les plus réac
tionnaires jusqu’aux plus « gauches », dont
le but principal fut de retarder le plus pos
sible la création du syndicat unitaire, espé
rant ainsi paralyser le développement de la
grève.
I out puissant — très momentanément, qu’il
en soit persuadé —les engagements signés
par le patronal devant le juge de paix sont
restés — ce qu’ils étaient — des chiffons
de papier. La basse vengeance des Morel,
Nyon, Prieur et Ouin, s’est abailue sur les
ouvriers et la répression patronale sévit. C’est
pourquoi la solidarité pour les grévistes de
Ponl-de-l’Arche doit continuer et les listes
en circulation rentrer très rapidement.
Les patrons affameurs ont déjà imposé à
quelques-uns des diminutions qui dépassent
les 10 %. Ils accentuent les manoeuvres de i
division à 1 intérieur de l’usine : leurs efforts
vont maintenant tendre à briser par tous les
moyens le syndicat unitaire. Ils n’y parvien
dront pas. La grande majorité des grévistes
reste fermement attachée à 1 organisation syn
dicale. Elle a qualifié, avec juste raison, les
propositions doucereuses qui ont été faites sur
ce terrain.
Pas de syndicat des patrons ! mot d’ordre
juste, qui exprime qu’au travers de son évo
lution rapide, la population ouvrière de Pont-
de-1 Arche est devenue clairvoyante.
Oui, camarades, pas de syndicat des pa
trons, mais le syndicat unitaire toujours plus
solidement ancré dans chaque usine, prépa
rant la bataille méticuleusement par l’élabo
ration d’un cahier de revendications soigneu
sement établi.
Car la revanche victorieuse doit venir. Il
faut la préparer avec votre syndical unitaire.
Puis, au moment choisi par vous, l’attaque.
Cette fois-ci, camarades de Pont-de-1’Ar
che, plus de sentiment, n’est-ce pas ! La
lutte doit être rapide, énergique, sans merci
pour le patronat affameur.
Comme hier, nous serons avec vous et nous
/aincrons. R. BARETTE. i
Il paraît que Messieurs les chefs socialistes
s émeuvent de ma condamnation.
Morel en particulier a voulu en parler dans
des réunions publiques et a même annoncé
qu’il en saisirait sa Ligue des Droits de
l’Homme cartelliste.
Le « Progrès Social » de la Fédération
S.F .1.0. de Seine-Inférieure a publié une
protestation.
Alors, ce sont ces gens-là qui prendraient
la défense d’un communiste condamne à 2
ans de prison !
Non. et non. L’afîajre est assez scandaleuse
sans y faire entrer la jésuiterie des chefs so
cialistes.
Ces gens-là, protester contre les scandales
de la police et de la justice bourgeoise ?
Voyons donc.
Morel ? petit toutou électoral de Métayer
et qui va se désister pour l’ami des archevê
ques et des maréchaux, pour l’assommeur de
chômeurs et l’emprisonneur de Rivière.
i îlloy ? qui m’appelait le « maître d’éco
le à la manque » et qui n’a que basses insul
tes pour les militants communistes ? qui les
fait arrêter les jeunesses Communistes qui
collent des papillons antimilitaristes ?
Lcbret ? qui m’a fait condamner à I jour
de prison pour chant de 1’ « Internationale »
et a fait enfermer à Bonne-Nouvelle de bons
camarades d’Llbeuf } Lebret, qui a fait im
primer à des milliers d’exemplaires que je
disposais de fortes sommes venues de Mos
cou ?
Morel, I illoy, Lebret, anus des flics ?
Et des juges ?
Et des patrons ?
lit des banquiers voleurs ?
Et des G.D.V ?
Des social-patriotards, protester pour une
condamnation contre la guerre ?
Et Karl Liebknech ?
Et la trahison de 1914 'P
El à la prochaine ?
Des social-patriotes d’arrière comme Le
bret et 1 illoy, protester ?
Un décoré pour son dévouement à la pa
trie capitaliste, comme Morel ? protester ?
Non, Messieurs, gardez vos déclarations
hypocrites. Vous pourriez chagriner quelques,
uns de vos amis.
Petite opération politique électorale. Mais
nous ne marchons pas.
La répression, chefs socialistes, voiis y avez
votre bonne part, non pour la subir, vous êtes
bien à l’abri, mais pour l’aider, et la prati
quer vous-mêmes au besoin.
La protestation des ouvriers socialistes de
la base, oui, celle-là, de grand cœur, nous
l’acceptons, mous la joignons à celle des ou
vriers communistes, nous la demandons.
Ouvriers qui entendez les déclamations des
chefs socialistes sur l’affaire Coslentin, rap-
pelezdes à un peu de pudeur.
Les communistes n’acceptent qu’un défen
seur : la classe ouvrière. C’est elle qui libé
rera les emprisonnés et rompra les jugements
de cl asse, contre les bourgeois et chefs so
cialistes.
Le prolétariat l’a déjà fait. 11 recommen
cera .
A. COSTENTIN.
HH A FO J
VOILA DES QUETES :
les gars de Pont de-l’Arche
au Meeting du Parti
après six semaines de grève
43
à Pefcit-Quevilly
à la réunion Lebret
109 fr -
à Charleval
Cars de la Chaussure,
Chômeurs du Textile
35 fr.
à Amfreville-la- Mie-Voie
53 fr.
A QUI LE TOUR ?
VITE DES GROS SOUS
POUR LA CAMPAGNE ! !
s
Préparatifs de guerre
Renforçons notre Intte
Sur le port de Rouen, la semaine derniè
re, la Maison Evrard débarquait des auto-
mitrailleusîs. Ce sont encore des engins
qui ne serviront pas à labourer la terre.
Le vapeur français « Penerf » J de la Com
pagnie Nantaise, avait dans sa cargaison
chargée à Bordeaux i une auto-mitrailleuse
Panhard en transit pour la gare de Bas-
sens, appontement poste n° 3, plusieurs
caisses énormes renfermant des avions Po
ts* de rechange, type n° 25. Dans le deuxiè
me entrepont s’y trouvaient plusieurs mil
liers de manches de pioches et une quanti
té de sacs vides pour construire des pa*a-
pets, A bord sa trouvait également une ctis-
se de décorations de 70 kilos et plusieurs
caisses rie galons et attributs divers.
Tout cela est destiné à l'intendance de
Casablanca,
Un vrai chargement pacifiste, de quoi ci
vilise»" nos frères coloniaux!
Travailleurs, voilà le bluff du désarme
ment.
L’agression
contre la Russie des Soviets
Le moment est grave, P impérialis
me japonais multiplie les provocations
à la frontière russe contre l’Etat ou
vrier.
Provocations, mensonges diplomati
ques, campagne de presse, tout est mis
en œuvre par les impérialistes pour
montrer la Russie soviétique comme
,préparant l’agression contre les Japo
nais en Mandchourie. La social-démo-
cratie, avec son « Populaire », est au
premier plan, contestant aux travail
leurs russes le droit de s’organiser
pour riposter à ceux qui tenteront de
P agresser à nouveau.
Les travailleurs russes ne seront pas
désarmés devant l’attaque depuis long
temps prévue, et avec eux se dresse
ront tous les ouvriers des pays capita
listes.
La République soviétique, seule pa
trie des travailleurs du monde entier,
est en danger. Tous debout pour arrê
ter les desseins criminels de notre en
nemi commun, le capitalisme.
Dans les usines, dans les chantiers,
partout, semez l’alerte. Préparez la ri
poste.
Le l u Mai, votez et faites voter
communiste. En masse participez aux
démonstrations organisées par les or
ganisations révolutionnaires.
—
Pour le fonds électoral du Parti
3° Liste de Souscriptions
reçues par la Région de Basse-Seine
(Listes vertes)
Liste 18.252, Douanes Le aHvre, 81,50;
Caruet, 74.07^ Cheminots Sotteville Buthli-
com, 43; Listes 18.203, 84; 18.211, ig; 18.206,
126; 18.204, Versé par la Cellule des
Cheminots de Sotteviîle-Buddicom, liste
18.12g, 56, des Ouvriers de chez Varnier, à
Rouen; Listes 18.325 et 18326, cellule Ezy,
78; Liste 18.381, un groupe de sympathi-
saoûts de Petit-Quevilly, 107; Anonyme
Rouen, versé par Capelin, 10; Levavasseur,
7,50; Carnet 75.741, versé par Clorec,
Evreux, 80; Sétif, à Grand-Quevilly, 10; Tas-
serie, à Boisguillaume, v 10; Listes 18.202,
52,25; 18.208, 27; 18.210, 35, versé par la
cellule des Cheminots de Sotteville-Pud li-
com; Liste 18.217, cellule Cheminots Sotte-
ville Quatre-Mares, 46; Liste 18.436, Sim< n
Sotteville, 37; Liste 18.488, cellule Crand-
Quevilly > 58,50; Liste 18.516, versé par Mcu.
chcl, Sotteville, 5; Carnet 71.00T, ctU. V
Sotteviîle-Buddicom, 70
Total de la troisième ’iste ; :.-Ç
! Total à ce jour : 2.316 fr. ic.
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