Titre : L'Universel : l'Évangile c'est la liberté ! / direction H. Huchet
Auteur : Mouvement pacifique chrétien de langue française. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1901-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32885496v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 février 1901 01 février 1901
Description : 1901/02/01 (N2)-1901/02/28. 1901/02/01 (N2)-1901/02/28.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k45653482
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-45090
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/09/2017
'V*.
K • r> -
3 e Année. N° 2.
QUJEERE ^A I.lA GUERRE
ME3VSUK T , ^
FÉVRIER 1901
Celui qui m’aime, dit Jésus, gardera ma Parole.
/*
_ [«tf
1 " i
L’ÉVANGILE, G’EST IL^_ LIBERTÉ !
ABONNEMENTS :
France 1 Fr.
.Etranger 2 »
• Société : La Croix-Bleue
DIRECTION :
H. HUCHET et C. HÉBERT
Evangélistes
43, rue Frédéric-Bellanger (Le Havre)
PROPAGANDE :
100 exemplaires pris au Havre.. 1 Fr. 25
» franco à domicile 2 » 50
Société : Les Amis de la Paix
Union évangélique française du Havre
Conférences publiques
à 8 heures du soir
Diinanciics, Hardi», Vendredis
35, rue d’Estimauville (Notre-Dame)
Mercredis
SanviG, ruede l’Orphelinat (Mare-aux-Clercs)
SUJETS :
L’Evangile , Le Christianisme social
La Paix , La Tempérance
Réunion de la Croix-Bleue
fl&iasaîBiBches
G, rue Cassard (Sainte-Marie)
Musique et Chants
Entrée Gratuite
Il n’est fait aucune collecte dans les salles
Vous serez les bienvenus
EN B RET AGNE
Lettre ouverte
Havre, le IG janvier 1901.
Dans votre journal l 'Echo paroissial de
Brest du 6 janvier 1901, vous avez inséré un
article n’ayant pour toute signature qu’une
simple initiale. Cet article ou mon nom
figure en toutes lettres, n’est qu’un tissu de
mensonges, d’insultes et de calomnies. Je
viens donc vous demander, conformément
aux droits que me donne l’article 13 de la loi
sur la presse de publier, dans votre pro
chain numéro et à la même place, la lettre
suivante, avec en tête la mention : Reli
gion d'argent.
A M. 1*. Thomas,
Gérant de Y Echo goaroissial de Brest.
Monsieur,
J’ai été très surpris de voir, dans votre
journal du G janvier 1901,1a manière dont
vous réfutez mon article, paru dans notre
organe évangélique l’ Universel de janvier,
sous le titre : Religion d’argent. Vos
lecteurs ont dû reconnaître que les argu
ments employés par votre correspondant qui
signe A... étaient bien mesquins, surtout
pour un homme qui prétend appartenir à la
religion vraiment chrétienne ( probablement
prêtre de l’Eglise Catholique Romaine ).
C’est dommage qu’il n’ait pas le courage
de signer ses écrits ; les protestants n’ont
pas honte de mettre leurs noms au bas de
leurs articles. La méthode dont se sert ce
saint homme n’étonnera cependant per
sonne : c’est celle d’Ignace de Loyola et de
ses disciples.
Donc M. A..., c’est à vous que je m’a
dresse, autant qu’aux lecteurs de ce journal,
pour leur montrer la vérité que vous avez
si habilement faussée.
★
* *
Vous me traitez de mal appris, derapace,
d'homme de mauvaise foi, etc., etc. Il est
^heureux que votre religion ne soit pas la
mienne, car elle me permettrait d’employer
o à votre égard des épithètes aussi malson
nantes que celles que vous employez au
mien ; ce serait alors œil pour œil et dent
pour dent. Grâce à Dieu, M. A... (j’allais
dire M. le Curé) je ne pratique et ne
veux suivre d’antre religion que celle
de .Hésias-Ourls^, dbantre christianis
me que ceîsai des apôtres, seuls in
terprètes anthentiqnes de la prédi
cation du Seigneur qnisc tronve dans
le .\o3svcan 'ffestameaBt. Ce livre, comme
vous le savez, contient les quatre évangi
les, les actes et les épîtres des apôtres,
ainsi que la révélation de saint Jean ou
Apocalypse. .
Je rejette naturellement, en matière reli
gieuse, toutes les autres doctrines qui ne
sont que des commandements d’hommes
(Math. XV, v. 9).
J’ai donc appris, dans ce livre, qu’on ap
pelle la Parole de Dieu, à ne pas rendre le
mal pour le mal, mais au contraire à bénir
ceux qui .nous maudissent et à prier pour
ceux qui nous outragent. C’est pourquoi je
n’ai pour vous, au lieu de la haine et du mé
pris, qu’une immense pitié. Je demande à
■Dieu que vous passiez des ténèbres, où vous
a plongé votre église, à sa merveilleuse
Eumière.
Mais revenons un peu à votre article, M.
A... Vous nous accusez d'être affiliés à
l'étranger , de recevoir des subsides des
■Sociétés'Bibliques anglaises et de marcher
sous la direction de M. Lccoat qui s’occupe
cl’une oeuvre d’évangélisation en Bretagne.
J’ai le plaisir de vous dire que vous êtes
mal informé et que vos accusations sont
■fausses sur tous les points.
Nous use dépendons d’ntucnsae œu
vre, i9o ses sommes absolument indé
pendants ; noti°é titre, pous* celeii qui
a des jeux pour voir, l’indique : Union
Evangélique Erançaise.
8 ‘obie* I’afi*gcnt, je tiens à vons elé-
cïarcB* que ebobbs aa’avosas jaaBBais reçu
aiicuisc somme venaist d'Aiigiclerec ;
mais je déclare en même temps que si des
chrétiens anglais, sans vouloir s’ingérer
dans notre œuvre, venaient à m’envoyer
des fonds, je ne me ferais aucun scrupule,
dans l’intérêt de mon pays et pour l’avance
ment du Règne de Dieu, de les accepter.
Vous est-il jamais arrivé, M. A... de vous
inquiéter de savoir si l’argent qui se trouve
dans les troncs de Saint-Antoine de Padoue
ou autres était toujours de l’argent déposé
uniquement par des Français ?
Savez-vous que c’est surprenant de votre
part de lancer une pareille accusation, car
votre titre même de Catholique RoEiiaiBB
devrait vous interdire de parler sur un
pareil sujet : Etre * ultramontain » ça n’est
pas très patriotique. Quant à nous, nous
sommes I'r«tr»l:uô» cvaiBgéliqBics et
français. Nous ne voudrions pas faire ce
que fait votre église qui enlève l’or et l’ar
gent de notre France pour l’envoyer à
Rome grossir la caisse du Vatican, pour le
'soi-disant denier de Saint-Pierre.
Vous allez me dire que vous êtes bien
forcé de vous conformer aux ordres des Su
périeurs de l'église. Il faut bien que vous
passiez par là, je le reconnais ; mais ce qu’il
y a de triste, c’est que vous, Français, vous
soyez obligé de vous laisser diriger par des
Chefs qui sont pour la plupart étrangers. Le
Pape, votre grand pontife, est BSalieia ; le
Général des Jésuites, Ludovic Martin, est
Espagnol; le Supérieur des Dominicains,
Fruhwii ih est Ramassa©»# ; le Général des
Franciscains, Aloyse Lauet, est également
Pa-aissiesB. Aucun de ces grands Chefs n’est
Fiançais et c’est à eux qu’obéissent ccrps et
.âme les moines qui habitent en France et
possèdent aujourd’hui en notre pays plus de
cinq milliards.
IVcst-c© pas là, M. A. iiib danger
national ? !
*
* ¥
Pour la question du purgatoire et de la
messe, comme pour tous les enseignements
de votre église, qui se trouvent en dehors du
Nouveau-Testament, il est bien entendu que
nous n’admettons pas de pareilles erreurs.
Jamais, pendant les trois ans de son minis
tère, Jésus-Christ n’a fait mention de sem
blables inventions, bien dignes de l’église
Romaine. Vous n’avez, pour vous en con
vaincre, qu’à lire attentivement les quatre
évangiles. Je ne veux pas pour aujourd’hui
m’étendre à démontrer toutes ces erreurs,
cela m’entraînerait trop loin et le journal
n’y suffirait pas. Mais vous ne perdrez rien
pour attendre, M. A., je vais, dans l’intérêt
de tous nos frères catholiques qui ont faim
et soif de justice et de vérité, qui veulent
obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes, leur dé
montrer les unes après les autres par les
Saintes Ecritures toutes les fausses doc
trines que l’église de Rome indique comme
articles de foi.
Les îbbbbcs sâaseèB*es saasrosBt faire
Icihb* choix ©astre les eKaselgnements
dire castre Sa S.sasBisIèr© et Ses ’fi’énè-
I>b*cs, esBts-e Se SauveaeB* et le Pape,
eflBts’c Sa rérité et l’ea’a’easa*.
*
* *
Je termine M. A., mais je vous demande
d’être un peu plus courtois à l’avenir, et de
mieux choisir vos expressions. Donc, à
bientôt, car j’ai à cœur de voir nos chers
Bretons dégagés de la superstition, du fana
tisme et de l’erreur, posai* accepter le
saBaat qsai est eau saotre Seigaaeur
«Jésgas - Chaâst aaotre seca! Maître.
(Math XXIII, v. 8).
C. HÉBERT,
Ex-catholique, converti par la grâce de
Jésus-Christ.
ENCORE LÀ RELIGION D’ARGENT !
Il paraît que Léon XIII est enchanté du
résultat de « l’année sainte », les divers pè
lerinages lui ont rapporté plus de 10 mil
lions. La moitié de cet argent est destiné à
la création d’un vaste hôtel, où l’on héber
gera les pèlerins.
Pour manifester sa satisfaction de la ma
nière dont le service de la Sûreté avait été
fait, le Pape a voulu distribuer 30,000 francs
comme gratification aux agents de la police
italienne qui étaient chargés de ce service.
Mais ce don n’a pas été accepté.
Il y a donc bénéfice net : et il est coquet I
K • r> -
3 e Année. N° 2.
QUJEERE ^A I.lA GUERRE
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FÉVRIER 1901
Celui qui m’aime, dit Jésus, gardera ma Parole.
/*
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L’ÉVANGILE, G’EST IL^_ LIBERTÉ !
ABONNEMENTS :
France 1 Fr.
.Etranger 2 »
• Société : La Croix-Bleue
DIRECTION :
H. HUCHET et C. HÉBERT
Evangélistes
43, rue Frédéric-Bellanger (Le Havre)
PROPAGANDE :
100 exemplaires pris au Havre.. 1 Fr. 25
» franco à domicile 2 » 50
Société : Les Amis de la Paix
Union évangélique française du Havre
Conférences publiques
à 8 heures du soir
Diinanciics, Hardi», Vendredis
35, rue d’Estimauville (Notre-Dame)
Mercredis
SanviG, ruede l’Orphelinat (Mare-aux-Clercs)
SUJETS :
L’Evangile , Le Christianisme social
La Paix , La Tempérance
Réunion de la Croix-Bleue
fl&iasaîBiBches
G, rue Cassard (Sainte-Marie)
Musique et Chants
Entrée Gratuite
Il n’est fait aucune collecte dans les salles
Vous serez les bienvenus
EN B RET AGNE
Lettre ouverte
Havre, le IG janvier 1901.
Dans votre journal l 'Echo paroissial de
Brest du 6 janvier 1901, vous avez inséré un
article n’ayant pour toute signature qu’une
simple initiale. Cet article ou mon nom
figure en toutes lettres, n’est qu’un tissu de
mensonges, d’insultes et de calomnies. Je
viens donc vous demander, conformément
aux droits que me donne l’article 13 de la loi
sur la presse de publier, dans votre pro
chain numéro et à la même place, la lettre
suivante, avec en tête la mention : Reli
gion d'argent.
A M. 1*. Thomas,
Gérant de Y Echo goaroissial de Brest.
Monsieur,
J’ai été très surpris de voir, dans votre
journal du G janvier 1901,1a manière dont
vous réfutez mon article, paru dans notre
organe évangélique l’ Universel de janvier,
sous le titre : Religion d’argent. Vos
lecteurs ont dû reconnaître que les argu
ments employés par votre correspondant qui
signe A... étaient bien mesquins, surtout
pour un homme qui prétend appartenir à la
religion vraiment chrétienne ( probablement
prêtre de l’Eglise Catholique Romaine ).
C’est dommage qu’il n’ait pas le courage
de signer ses écrits ; les protestants n’ont
pas honte de mettre leurs noms au bas de
leurs articles. La méthode dont se sert ce
saint homme n’étonnera cependant per
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ses disciples.
Donc M. A..., c’est à vous que je m’a
dresse, autant qu’aux lecteurs de ce journal,
pour leur montrer la vérité que vous avez
si habilement faussée.
★
* *
Vous me traitez de mal appris, derapace,
d'homme de mauvaise foi, etc., etc. Il est
^heureux que votre religion ne soit pas la
mienne, car elle me permettrait d’employer
o à votre égard des épithètes aussi malson
nantes que celles que vous employez au
mien ; ce serait alors œil pour œil et dent
pour dent. Grâce à Dieu, M. A... (j’allais
dire M. le Curé) je ne pratique et ne
veux suivre d’antre religion que celle
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me que ceîsai des apôtres, seuls in
terprètes anthentiqnes de la prédi
cation du Seigneur qnisc tronve dans
le .\o3svcan 'ffestameaBt. Ce livre, comme
vous le savez, contient les quatre évangi
les, les actes et les épîtres des apôtres,
ainsi que la révélation de saint Jean ou
Apocalypse. .
Je rejette naturellement, en matière reli
gieuse, toutes les autres doctrines qui ne
sont que des commandements d’hommes
(Math. XV, v. 9).
J’ai donc appris, dans ce livre, qu’on ap
pelle la Parole de Dieu, à ne pas rendre le
mal pour le mal, mais au contraire à bénir
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ceux qui nous outragent. C’est pourquoi je
n’ai pour vous, au lieu de la haine et du mé
pris, qu’une immense pitié. Je demande à
■Dieu que vous passiez des ténèbres, où vous
a plongé votre église, à sa merveilleuse
Eumière.
Mais revenons un peu à votre article, M.
A... Vous nous accusez d'être affiliés à
l'étranger , de recevoir des subsides des
■Sociétés'Bibliques anglaises et de marcher
sous la direction de M. Lccoat qui s’occupe
cl’une oeuvre d’évangélisation en Bretagne.
J’ai le plaisir de vous dire que vous êtes
mal informé et que vos accusations sont
■fausses sur tous les points.
Nous use dépendons d’ntucnsae œu
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Evangélique Erançaise.
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mais je déclare en même temps que si des
chrétiens anglais, sans vouloir s’ingérer
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ment du Règne de Dieu, de les accepter.
Vous est-il jamais arrivé, M. A... de vous
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dans les troncs de Saint-Antoine de Padoue
ou autres était toujours de l’argent déposé
uniquement par des Français ?
Savez-vous que c’est surprenant de votre
part de lancer une pareille accusation, car
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'soi-disant denier de Saint-Pierre.
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y a de triste, c’est que vous, Français, vous
soyez obligé de vous laisser diriger par des
Chefs qui sont pour la plupart étrangers. Le
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Espagnol; le Supérieur des Dominicains,
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Fiançais et c’est à eux qu’obéissent ccrps et
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de votre église, qui se trouvent en dehors du
Nouveau-Testament, il est bien entendu que
nous n’admettons pas de pareilles erreurs.
Jamais, pendant les trois ans de son minis
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Romaine. Vous n’avez, pour vous en con
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Les îbbbbcs sâaseèB*es saasrosBt faire
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I>b*cs, esBts-e Se SauveaeB* et le Pape,
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Je termine M. A., mais je vous demande
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