Titre : Le Petit Havre illustré
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1911-10-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32836503h
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 22 octobre 1911 22 octobre 1911
Description : 1911/10/22 (N43). 1911/10/22 (N43).
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Description : Collection numérique : BIPFPIG76 Collection numérique : BIPFPIG76
Description : Collection numérique : BIPFPIG76 Collection numérique : BIPFPIG76
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k32851020
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-87703
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/02/2020
-
K
Quelle annonce l’Arsenal a-t-il
page vous donnera la clef du mystère.
,4810
ELagTS.
cssas snsezsen
i
Lisez dans ce numéro : MIRAMAR, l’homme aux yeux de chat.
matin, le père Sonnerie dut appuyer une oreille dégoûtée
sur la poitrine de L’Arsenal.
A DM INI S THA TION
Régie de la publicité
35, Rue Fontenelle, LE HAVRE
1. — Jules Barsaème, dit Julot, en arrivant aux
Bat-d’Af, se fit tatouer le torse pour épa er les copains.
Ce fut un brai trazal qui exigea de longues heures
de patience ; mais quand ce fut fini, il n’y eut qu’un
cri d'admiration. Sur sa poitrine, ses bras, son dos,
des a tributs guerriers, artistement groupés, flattaient
l’œil par leur disposition savante, et Julot goûta les
joies d’une popularité naissante.
16, Rue Drouot
DE PUBLICITE,
L’ARSENAL VIVANT, par Blondeau.
2. — Cependant lorsque le père Sonnerie, le médecin -
ma or, aperçut l’anatomie de Julot ainsi constellée, il
poussa un formidable juron. « Mais ça n’est pas un
homme! hurla-t-il. C’est un Arsenal vivant. » Et il
cemanca quinze jours de salle de police pour cet homme
dont il ne pouvait voir la peai bariolée sans grincer
des dents... Julot devint sa 1ère noire... Pour embêr
le major, il se fit constamment porter malade et, chaque
EN VENTE
Dans tous les Dépôts du
3. — Le nom lui resta et, pendant les trois ans qu'il
passa anx « Joyeux » en fut une lutte homérique
entre l’Arsenal et le mélecin-major. Puis il fut libéré
et le père Sonnerie prit sa retraite. Tout semblait donc
devoir rentrer dans l’ordre et leurs griefs s'a aiser
dans l'onbli lorsque, un matin, Julot, dit l'Arsenal,
devenu s arçon de café, lut l’annonce suivante dans an
journal :
pu lire?... Le simple geste de tourner
K
Quelle annonce l’Arsenal a-t-il
page vous donnera la clef du mystère.
,4810
ELagTS.
cssas snsezsen
i
Lisez dans ce numéro : MIRAMAR, l’homme aux yeux de chat.
matin, le père Sonnerie dut appuyer une oreille dégoûtée
sur la poitrine de L’Arsenal.
A DM INI S THA TION
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35, Rue Fontenelle, LE HAVRE
1. — Jules Barsaème, dit Julot, en arrivant aux
Bat-d’Af, se fit tatouer le torse pour épa er les copains.
Ce fut un brai trazal qui exigea de longues heures
de patience ; mais quand ce fut fini, il n’y eut qu’un
cri d'admiration. Sur sa poitrine, ses bras, son dos,
des a tributs guerriers, artistement groupés, flattaient
l’œil par leur disposition savante, et Julot goûta les
joies d’une popularité naissante.
16, Rue Drouot
DE PUBLICITE,
L’ARSENAL VIVANT, par Blondeau.
2. — Cependant lorsque le père Sonnerie, le médecin -
ma or, aperçut l’anatomie de Julot ainsi constellée, il
poussa un formidable juron. « Mais ça n’est pas un
homme! hurla-t-il. C’est un Arsenal vivant. » Et il
cemanca quinze jours de salle de police pour cet homme
dont il ne pouvait voir la peai bariolée sans grincer
des dents... Julot devint sa 1ère noire... Pour embêr
le major, il se fit constamment porter malade et, chaque
EN VENTE
Dans tous les Dépôts du
3. — Le nom lui resta et, pendant les trois ans qu'il
passa anx « Joyeux » en fut une lutte homérique
entre l’Arsenal et le mélecin-major. Puis il fut libéré
et le père Sonnerie prit sa retraite. Tout semblait donc
devoir rentrer dans l’ordre et leurs griefs s'a aiser
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pu lire?... Le simple geste de tourner
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