Titre : Le Réveil du Havre : organe républicain ["puis" organe républicain-socialiste indépendant "puis" organe du Parti républicain démocratique]
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1892-01-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32854639q
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 30 janvier 1892 30 janvier 1892
Description : 1892/01/30 (N17). 1892/01/30 (N17).
Description : Collection numérique : BIPFPIG76 Collection numérique : BIPFPIG76
Description : Collection numérique : BIPFPIG76 Collection numérique : BIPFPIG76
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k32632181
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-89667
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/04/2019
1
i M Année — N° 17 — Samedi 30 Janvier 1892.
CINQ CENTIMES LE NUMÉRO
* ■. :
l pe Année —11 Pluviôse An 100 — N° 17.
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asJbflBrarnpo, ; 59 [ a*}tArot 7 rroq laaa.aThjB ■it'B
Travail dans les prisons et dans les
swe©«vents. — donenrrenee
libres. — Opinions des congrès
31 einr 1 -* ..
;La proposition***®! loi suj-v^t^’a été d
femi^éa^Bclai^^ns^e^<3>hèRï^il3WB,". :< A la sup-
« -ptôàdtatt dwtr&VéSLdàns leb ceutvsentâetou^Rôi«s,
mt général des
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congrès ouvrier, à Marseille, du
mi «si on du Travai
li
sf ns, par voie d’entreprise oji de régie indirecte,
t supprimé. Œ3E jn& “SjT
Art. 2. — La main d’œuvre pénale ne pourra
re uiOliée*
lis t
•au
ArtL 3.
lis établi s sei
ar voie de régie directe et pour
et§ .verve s défEfat.
îésftra^aiik exécu
' Æ l^immu
Au 3 me
| fenflas djlaira:
k r #(lka^ 1 ^ultr g JaiL#aftl : lê^ Pqri Pns et les;
» vents, vouloir émettre un vœu tendant
«€taefq#l§ er e& ce n ’ es
» l’effet, c’est la cause du mal qu’il faut détr
Le ^ç^g rès-^e onsidérant que les couvent;
» sont qu’un refuge offert à la paresse et à l
^-moralisation, concIut..à..laui:-snppr.e.ssipn.
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Dans le dernier numéro de # 4a_^?m^'ne
’ 1 1 sur le cardinal Man-
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ft au droit proportionnel des pa
Art. 4. — Les minmtrea de lin
(Q <$ultes seront chargôsfcnacun'nn
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q“ | Le travail dans les priso«É4Pfêl^Ébl^enft^®^ x iïâ'â &<2 IL.: FRANCE
(î Religieux a été-souvent l’occasion de plaintes,
émanant dê* ptlféBM 1
jT| iombre d’années surtout, le commerce et l’indus-
^ «rie se sont vivement émus delà 'sTtufi
WëSIP-'O
» à Saint Jérome. L*expression était si belle
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» san$g» A \ g; gVyesb EKQiàmàdO
c; ,,IX- étpuit d^a,i|f
proclamation du .Rosine
Basé ja ènmcroimaMac
M. Génestal propose donc de prendre une déli
bération autorisant l’administration à imputer sur
le crédit inscrit à l’article 225 du budget primitif
de l’exercice courant, la somme de 459,247 fr. 62,
correspondant au premier terme des annuités dues
en 1892 au Crédit Foncier par suite des six em-
t-prùnts contractés auprès de cet établissement par
les traités des 19 mars 1880, 20 juillet 4885, 25
-janvier 1887, 23 septembre 1887, 3 novembre 1888
nstil & juillet 1890.
uLéfObéêit Foncier refuse de supprimer la clause
obd’M4é$dibttoïi de remboursement,
ni oJu.àiRtgpabniemande que l’administration con
tinue à négocier avec le Crédit Foncier, et il ajoute
Qfléroyeiit pas consentira la sup-
sipfles^dn, îâfVTfie 1 pourrait se contenter de deman-
que de délai Soit ràmené à 5 ans.
ob MvlCfetei^si fait ob3teÇVèr que les Villes sont de
véritables minéurtes eb qu’elles doivent suivre les
%qnsteilè:d 0 rinêd p5t.fe'itutear légal^qui est le Mi
nistre. La majorité de la Combiission ides finances
tbuj^s-’ëté* ppjjôëétei àiTmterâiofcidndenembour-
e r l’Thiaï
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papale, ^1, ^TO^^^gà^rsaires que .
» pour f Hs^meu^'iet’F^md'0it'8î)' 7 rfffeeanehef ideïi'ièi‘ejle..Mi-
j~ dst faite
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^ it 892 - — La Ch|
des ‘Députés a terminé l’examen du bud ”
1|’é|ifep|ble a été voté le 24 j
dans une séance de soir
par 381 voix
contré 3S-.
.'i> ; déposer:êla reine Victoria ». —Bref, |1
éfaîç r â r; tefbi^“^aivant"suff ! %
» s'ubtil,
la $emciiiï
demtmde quèf’Fbn c/onfie ' ntt' cléfgè
lé *tH
'eligieute
nstruc-
l’m- at f *>»' la j'èafte^ /Sfeàii R Ktf flëÈineaitnt,
1.6 février
C’est qu i! ÿ
qmstm
lustrie des prisons et «oaraot». «« ïi^m. mt-1 ^*üuSf?5l‘s!° te réu,,lssal:t 393 voix I,
ûdérable. / 0 , , , . , . . , ii ; !
Le benat s est egalement ajourne au 16 f ivrieit.
■■ - ■•{‘■•Il '-:v ■ ■ ,•
Les Cardinaux. — Les journaux "rëïïgieux
■ÿublfëïit.^liste^ijj^jp|(^| ■ff(Hi^si|ttfrynvovées
comme on voit,
’+- :vv. 1 , -
i «toi re : .
SRmBnRK&ISI
lîwinterview quMq rédacteur»^& ba Pa^r-a œu
dernièrement avec *51. Salis, nous met au couralT
des arguments principaux qu’il fait valoir'"en
faveur de sa proposition. 5l^?wtoi0@nrSifcntj
concluants et no us avons l’espoir que le Parle
ra sanctiqu fiera j dé son, vp,lç.
-IîfÀT
*.nt
Of* qui CQncerg^eïes prisons^ il semble cïnqdmipiblè,
— fomme l’a dit]M. Saliqà-sén int-ërloèfitédr, ««qu’aju
_ l^moJnenfôiTles granji^' ipdustpiels^qiq disposent
go -ilde rtcapiUîutt considérables, demandent à être
9* l^prdtégéî’^cpntré la ^n|urre*fice ë|rângèï*e, lep
Soient ruinéfij pqr lq cofi-
ïêüp fait darf$ sés proprè^o
, (r
« j i
de changer le régime actuel
■exemple
'fe'Mployêr
.nde défrichement de terrespde confection de routed
81 .â accomplir les ^Tteéta' lions en-Mtur#?d hoqôb
g7 | t On*supî|^iji^rai{ airsTci knx.« «b n « km il « h h
gô >> petits iq^ugtriels se
8i 8 currencfcâqde l’Etat
~ >V étab! issëüi^ts. >
Il y aurait donc lieu
-'-qféa nrîsô n s r Ne i,J péayraàt-on- pas, par ’Sê
employer les détenus a des trav aux d agriculture
vt: g
06 à
81 9
(ir.
ji la ffêblaration des cardinal
Les archevêques d’Aix, d’Auch, de Besançofi
:U(îRdrdèéuxr 3 MiGo,nïiidard, coadjuteur de Rennes;
les évêques d’Annecy, Autun, Bayeux, Bayonne,
Beaqyqis, BqUeyBlois, Caiyassonne, 'Clerfifont,
-Conta n ce^y-Di g-ney-Ev ; ‘eux,- ér enoblé, 6,LamI^..L i -
'"tnoges, Luçbfi, Marseille, :, Nancy, Nantes, Nevers,
f^jm'epb (||l|anb^ -R'c dëz, Saînt-BrieucJ : baint-
Ciaude, Saint-Di4, S|e2, {Sois^ons^fT^oyefl, Va
lence? Tr
.et Viviers. . , .
t * |#Q Si « 0 «
Mort de M. Pierife Joigneau^, sénateur.
rr- Oq amïç^ilje la înoijîde;: M. Pieiqb |bigi?eauxj,
sénateur républicain defla^Côté-d’Og^ ‘
_;Né*à Vareimes,*en &15^ M.« PieffieOJoigneaux
• fit partie, la |lépuï)|i|jie d*e 1848; l’Assem
blée constituante «et dn llAss^mbléa législative. (
Après? le coup d’Etat fl ~fut êxilé-pendant huit
FAsséfiiblééOfidtiWUale ; depuisff'anOôte 4’£)r lui -
^ôïïsërvirsqgr siège "dëPtîépTltô' jwgu-teir 1891,
; éipoqu^à l^qqell^qlle, .’eiiypya^iégef'au Sépat. ■
jnkifcER -j
0»
8 Poqr le^jCqmmilnaut^g Jeligîeusejs,’ |a ccpcui
60 Mnce« n’est ÿ>às moins m4floufeable<>à ül’industmi
pfivcé, aupofitraife. ~ " “ ~ ” \ '■ '
__ LL’Ltat a donc à «prendre les mesures néceasair
pour que les ateliers c e charité rentrent dans
droit commun et supportent, notamment, lèfe
mêmes charges que les ateliers libres.
:r ^~- : C'ë'tîé“questTcm' iïôüs'‘pafaîF'dünc r cïü'"}ff^
intérêt.
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i3ü_ijivr
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mpUfi|fi]ï
illeurs, eîlo
fa
préoccupé
Son interview
, parle de
. Dé pu i s: 1 an gtem ps, : d’n
™ pla.intés qui sq sont produites flàiis des réunions
_ etlciongrès ré'cèlits. Ilaiùiait pu dire qué c’est du sein
des congrès ouvriers que sont parties les premières
-protestations, il y a déjè une cfuinzaino dfumeos.
.3 : A. H U A 3 J ,gi î .J ,J [ V
jrioc; Ainsi, au 1 er 'Congrès ouvrier, tenu à Paris en
_ •octobre 1 876, la l 1 ' 1 ' . commission (Travail des
femmes) a conclu.à la création d’ouvroirs laïques
3 ^"jdestinés à fairê concurrence aux couvents et
_ » établissements' du,même genre, cléricaux. »
* rjp ,y i •
Au 2 me congrès, tenu à 4 Lyqp dé ,28; jaqy\QT);ç,u.
8 février 1878, la commission du Travail des
Dan# sa;degwIérte#épneêrJe gaç^Mjnunicipal
discRté,:Une
sion. NoOS 3 'regrett ons q ue ce débat ait eu lieu ei
confiné sfcreCear rien ne jfistâfiqifcumiqioareilb
i 7 preS;UTÇ t 7 ”Ëfiq ; étaït^la^ ois impolitique et contraire
■^u-xipréeéc emfs-qe-n-etr
ile suppriifiré ^e contrôle des j$p&^p<$é
ce ri’est pas poui le remplacer par l’ombre et 1
iliySferè? Jo !~ *' • .ôiianiunid L,
g CfiaigpaiteoTi
Çonjseil , r
produit^à
commencé-k-d-iscussiojn-diiprojet deg|oitorgq,niquè
sur rênseipiqmeiïî; pirfiqiipe. Ote préjjjetTepo 1 se su
. une hase essentiellement èonfe§sion^çlJe ; ij rend
obligatoire : Penseignemefit religiâtïxO dans le
, qqele| prinfiai^es. 4 b j* 5 * ]; *
—L’on voit- que les pays .protestants fie sont pa
aussi avancés qu’on lp'.ppétend généralement.
—--DisQ ns T ..to ntftfois < .qdeJmqn ëstibn“ne semble pas
3F plqvpjr, tonte.. ( seple et sans opposition, car
nous apprenons qu'une crise politique est prés;;
d’éclater en ÀUemagne ; SI7 Miguel, ministre dejs ?
fïfiaàcës 1 , èn désâccofid aVec- plusieurs' dé sés' col--
lègues,, a offert; Sfi.‘démission fi Fémpereur, qui a
; réussi à lq lui faiie- retirer, pour .Le moment du
moins. J '
: Dans la.Cbainbre, les opinions paraissent très
-partagée». . ^...> 1
Portugal. On.sait que la situation finafi-'
cière de ce pays est dos plus.mauvaise.. Une pro-
pqsiiiop fiete faite ; ,fi la Chambre des..Députés, de.
vendre une partie.des.colonies portugaises.
Mort du Grajid - Duc Constantin de
Russie. — Le grand-duc Constantin Nicolaïevitch,
frère du tzar Alexandre IL oncle’ du tzar actuel,
.vient dè rnÔürir. ap rès une longue maladie.
.'j «Jfi.êfetiti né. le 9/21 septembre 1827; iT"éfaTt Je
second fils de Nicolas I er . - 1
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NîSSBBBjB,
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Séance du Vendredi" 22 Janvier Î8V2
H .‘"*3 /- --
s | \§o ^
«Si R W & I toS %.J>
Les cachotteries de la co>n^ei
procès-VéThal ihcdrhjprèt.
rsion. — Un j
Résumé
m îàèdisohfefe-ion^-'i'r t «îueünoH
6fii'L9iinéWéfitê)!iér Wgftfe #8 adoiTO-.ppréyçir, , L’an-
fan» nnnnw, h iipinntion doln ml »l4 nVstpas app.ÇflHyé^r^MwMce, v g g
d€ Tpip. .certains, _nigpibî es ] J
qu’ils ont déj
de
épéterj les. .arguments
pliïsiéürs repHsèS ‘contre’ îe so
Mi. Géftestiü'?g NbttsMommes .portése i
éjffej:, que la îpnjqritq ,qui avait voté ,fi préqipi
tampient bë projet’ ma.gré’ Tôppds'itiorfi aë fan
L ciedne -Gopiifiis’sipn-ées finances,. aütrdnv# désa
gréable lanÇefspective jl’une discussion publiqu
sur j ce pojnt. La Cojnmis'sion démissionnair
aTait~WâimenT’Troirf5eau3ou œTr“pif:^eTrce de
obj ectrêfib-diiv’ M fin fistfie Mal l’iB Série un qui, avec
Fautm-ité que fui Gorrfërtmt^ ses-forRitknsçxarîf'e^
leurs arguments. j
; <3eux qfii ont. assisté à la . séance oui pu
n’y a été dit qui ne pi'it
nistre'pour obtenir 'sa-üi-sfiictionl, alors qiCéinsomme
uiUdéfefidTèoütrè M 1 '0î'édfiJ Fonciep leseiâtérêtMde
la Ville. injiffii/fn i&iè
M. Acher falFTémarquer que la conversion
n’est ^ÈEfcsE)âvaBta^^sox’4 ,1 ^ 0i ^ aebiHi voulu le
’ï / et :» pour, une .différence ^rfiérê^be 1 ) ; 0, f ^n-
times, il ne convenait pas de se lier ^ps.l-tqajns
uoljaibniXTO": al «pov-xoiqe.ooA «
H'UTfibpfige ; d’pbserv^tipn$ ; [ éntrô
M. Génestal et "M. jQe/^^’pÂer. : cqpq^jjler.
.^ienfe^bipp çqnsta(er que les avqntageSi,;e|pqe qui
j acopqftnipfleiçhapgqrnent dp dafie du paiepjipflt/des
apnqités, :) n’onfc TÎeq ; coûté au :Grédit.Fqnçjer >JV £
ei ilo M■ g@i? e il|J^-.^ppte' que, la délibéffitipn, qi/e»va
prendre le Conseil ppurfieï paiement dejl’éCihp^pce
ldj§n^48bipT iftUrPuPRM: QQfiséquaneej dg fiéfiiûire
ris -
s 3
7f! ^-. r re, ppmpte, qup ; ,riqn n'v a ete ait qui ne
-stippouter ia-lumière-ée; La-publtci-tc. Aussi,-rfioai
ils pas jétq peu smpnfis de. voir le secrétariat qom
iAiàiqtrer aux joipTiafix un .Gompte-refidn vràimér t
trop ''îneûacU. et fitppp ; 'incomplet pour. qu’on le ~
laisse passer-«ans pnoteatatiop..
y En dépit.de.tout èènjiité* seciœfi, - nofis éroyoïjs
donc être agrécàbles à jnos ‘ lèctéüfs ! èn rectifiant,
cet'étrange procès-verbal qui nu prat mairquér •
d’être robjétfyobsefivaïions quafifi il sera soumis,
nu Conseil. Loin d’en-souffrir, les intérêts de ja-
ville lie pe uvent qu e pr ofiter de cette publicité. ; '
Voici donc le résuméj de cëtte : discussion :
M, Génestal expose que le Ministre de l’Inté
rieur n’a pas ratifié le traité intervenu entre la -
Ville et le Créait Foncier .et qu’il' demande la
•suppresion de la clause inteixlisant tout rfimbonr-
seifient avant 10 ans. Le Minisfrë fait iemafquër
:quïai^ofi" d’fin taux d’intérêt' réduit;, çè qui, dafis
l’espèce ne se rencontre' pas puisque le Crépit
Foncier a déjà prêté à ce taux à d’autres villes, i
fWÆ%m\ qpnqpo^ruuo npuypUe,pififfWitût
ciÇrAîf njtSjfcip §utqpi‘se;qe paiemqnt,; ifre.toujcqçra
lofioi y in
•iq M'o : ch est>une.que,stionj fiq tré-
sorerieî » n-U*
M. Génestal espère que cette affaire s’arrangera,
x,que/lq ministfftûfitqfisera.cp pai.enieîit.p^j[çjbud-
t ZLfBiiuôfi 83b
irpL ÇûqrfiUlPrQitqstp ,çolitre la v théori,e dç M,Tÿs-
pal sur la trj^f|^ |)ppjU^. ffîiqta ; e ; au ; ^. r sq^,i0es
M Pf ?- gym Ichangé, j malgré;)^àûre
l^qp f^dégci^i je.pepsiste,à. penser,,.diÇi', que
apiP^ippaplfi japquifé eu vertu- d’aiicjens.l frai tés,
aura pour conséquence la nan-aqïprob^tipn' fiu
iujdgçfiq^iqdifiûl. Çcêfie,ial v ,est en l’air, piaijsera,
P al ‘ terre. » ; : "
Am’è ; $ epû .bjsqrvaiop^.un projet dé déiibérqtfon
aux ' Objections
.«feiSSoa - , . .
yoil^, rapport,ee aussi exaptenient que possuile,
îa discussion. relative a. 1^ conyersion. Poirit n'iétjait
, besoffi, en 'vérité,'Je faire tant de cncboUeiaeS' ni
dé flfinnér des ali tirés niystérîéüsèé'érbé défiafe.
f ’ m ■ trji i : : [ 9/d hjjî ri ; qèi
■ y -J-J TJJ . ^ '—=*©!»“ r r— ■-
ETfES-TEfflràS i
d'mdmngno'i i ,k a e fi ;-j fi ;fi ; m -j,'; ,, , r
ifious.
3D
recevons,, de nombreux correspôn-
:dants, de vives réclamations relativement
aux retards apportés dans la question des
Tramways'. ■ u;o7 uO
Il est, eh effet/regrettable qu’une question
de cette importance soit indéfiniment ajournée
et que M. de Goninék, adjoint, charge du
service, n’ait pas encore provoqué, de. la
part de la Compagnie, de propositions
sérieuses. La réduction des tarifs exdgércs
qui pèsent si -lourdement, jsnr notre pou
dation ÿ la création des nouvelles 1
méritent, T à coup sûr, l’attention de nos
administrateurs.
/
i M Année — N° 17 — Samedi 30 Janvier 1892.
CINQ CENTIMES LE NUMÉRO
* ■. :
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Art. 2. — La main d’œuvre pénale ne pourra
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ArtL 3.
lis établi s sei
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et§ .verve s défEfat.
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k r #(lka^ 1 ^ultr g JaiL#aftl : lê^ Pqri Pns et les;
» vents, vouloir émettre un vœu tendant
«€taefq#l§ er e& ce n ’ es
» l’effet, c’est la cause du mal qu’il faut détr
Le ^ç^g rès-^e onsidérant que les couvent;
» sont qu’un refuge offert à la paresse et à l
^-moralisation, concIut..à..laui:-snppr.e.ssipn.
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Dans le dernier numéro de # 4a_^?m^'ne
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Art. 4. — Les minmtrea de lin
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(î Religieux a été-souvent l’occasion de plaintes,
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jT| iombre d’années surtout, le commerce et l’indus-
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Basé ja ènmcroimaMac
M. Génestal propose donc de prendre une déli
bération autorisant l’administration à imputer sur
le crédit inscrit à l’article 225 du budget primitif
de l’exercice courant, la somme de 459,247 fr. 62,
correspondant au premier terme des annuités dues
en 1892 au Crédit Foncier par suite des six em-
t-prùnts contractés auprès de cet établissement par
les traités des 19 mars 1880, 20 juillet 4885, 25
-janvier 1887, 23 septembre 1887, 3 novembre 1888
nstil & juillet 1890.
uLéfObéêit Foncier refuse de supprimer la clause
obd’M4é$dibttoïi de remboursement,
ni oJu.àiRtgpabniemande que l’administration con
tinue à négocier avec le Crédit Foncier, et il ajoute
Qfléroyeiit pas consentira la sup-
sipfles^dn, îâfVTfie 1 pourrait se contenter de deman-
que de délai Soit ràmené à 5 ans.
ob MvlCfetei^si fait ob3teÇVèr que les Villes sont de
véritables minéurtes eb qu’elles doivent suivre les
%qnsteilè:d 0 rinêd p5t.fe'itutear légal^qui est le Mi
nistre. La majorité de la Combiission ides finances
tbuj^s-’ëté* ppjjôëétei àiTmterâiofcidndenembour-
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» pour f Hs^meu^'iet’F^md'0it'8î)' 7 rfffeeanehef ideïi'ièi‘ejle..Mi-
j~ dst faite
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^ it 892 - — La Ch|
des ‘Députés a terminé l’examen du bud ”
1|’é|ifep|ble a été voté le 24 j
dans une séance de soir
par 381 voix
contré 3S-.
.'i> ; déposer:êla reine Victoria ». —Bref, |1
éfaîç r â r; tefbi^“^aivant"suff ! %
» s'ubtil,
la $emciiiï
demtmde quèf’Fbn c/onfie ' ntt' cléfgè
lé *tH
'eligieute
nstruc-
l’m- at f *>»' la j'èafte^ /Sfeàii R Ktf flëÈineaitnt,
1.6 février
C’est qu i! ÿ
qmstm
lustrie des prisons et «oaraot». «« ïi^m. mt-1 ^*üuSf?5l‘s!° te réu,,lssal:t 393 voix I,
ûdérable. / 0 , , , . , . . , ii ; !
Le benat s est egalement ajourne au 16 f ivrieit.
■■ - ■•{‘■•Il '-:v ■ ■ ,•
Les Cardinaux. — Les journaux "rëïïgieux
■ÿublfëïit.^liste^ijj^jp|(^| ■ff(Hi^si|ttfrynvovées
comme on voit,
’+- :vv. 1 , -
i «toi re : .
SRmBnRK&ISI
lîwinterview quMq rédacteur»^& ba Pa^r-a œu
dernièrement avec *51. Salis, nous met au couralT
des arguments principaux qu’il fait valoir'"en
faveur de sa proposition. 5l^?wtoi0@nrSifcntj
concluants et no us avons l’espoir que le Parle
ra sanctiqu fiera j dé son, vp,lç.
-IîfÀT
*.nt
Of* qui CQncerg^eïes prisons^ il semble cïnqdmipiblè,
— fomme l’a dit]M. Saliqà-sén int-ërloèfitédr, ««qu’aju
_ l^moJnenfôiTles granji^' ipdustpiels^qiq disposent
go -ilde rtcapiUîutt considérables, demandent à être
9* l^prdtégéî’^cpntré la ^n|urre*fice ë|rângèï*e, lep
Soient ruinéfij pqr lq cofi-
ïêüp fait darf$ sés proprè^o
, (r
« j i
de changer le régime actuel
■exemple
'fe'Mployêr
.nde défrichement de terrespde confection de routed
81 .â accomplir les ^Tteéta' lions en-Mtur#?d hoqôb
g7 | t On*supî|^iji^rai{ airsT
gô >> petits iq^ugtriels se
8i 8 currencfcâqde l’Etat
~ >V étab! issëüi^ts. >
Il y aurait donc lieu
-'-qféa nrîsô n s r Ne i,J péayraàt-on- pas, par ’Sê
employer les détenus a des trav aux d agriculture
vt: g
06 à
81 9
(ir.
ji la ffêblaration des cardinal
Les archevêques d’Aix, d’Auch, de Besançofi
:U(îRdrdèéuxr 3 MiGo,nïiidard, coadjuteur de Rennes;
les évêques d’Annecy, Autun, Bayeux, Bayonne,
Beaqyqis, BqUeyBlois, Caiyassonne, 'Clerfifont,
-Conta n ce^y-Di g-ney-Ev ; ‘eux,- ér enoblé, 6,LamI^..L i -
'"tnoges, Luçbfi, Marseille, :, Nancy, Nantes, Nevers,
f^jm'epb (||l|anb^ -R'c dëz, Saînt-BrieucJ : baint-
Ciaude, Saint-Di4, S|e2, {Sois^ons^fT^oyefl, Va
lence? Tr
.et Viviers. . , .
t * |#Q Si « 0 «
Mort de M. Pierife Joigneau^, sénateur.
rr- Oq amïç^ilje la înoijîde;: M. Pieiqb |bigi?eauxj,
sénateur républicain defla^Côté-d’Og^ ‘
_;Né*à Vareimes,*en &15^ M.« PieffieOJoigneaux
• fit partie, la |lépuï)|i|jie d*e 1848; l’Assem
blée constituante «et dn llAss^mbléa législative. (
Après? le coup d’Etat fl ~fut êxilé-pendant huit
FAsséfiiblééOfidtiWUale ; depuisff'anOôte 4’£)r lui -
^ôïïsërvirsqgr siège "dëPtîépTltô' jwgu-teir 1891,
; éipoqu^à l^qqell^qlle, .’eiiypya^iégef'au Sépat. ■
jnkifcER -j
0»
8 Poqr le^jCqmmilnaut^g Jeligîeusejs,’ |a ccpcui
60 Mnce« n’est ÿ>às moins m4floufeable<>à ül’industmi
pfivcé, aupofitraife. ~ " “ ~ ” \ '■ '
__ LL’Ltat a donc à «prendre les mesures néceasair
pour que les ateliers c e charité rentrent dans
droit commun et supportent, notamment, lèfe
mêmes charges que les ateliers libres.
:r ^~- : C'ë'tîé“questTcm' iïôüs'‘pafaîF'dünc r cïü'"}ff^
intérêt.
If
1108 ‘HO
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i3ü_ijivr
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o r ri a :
kfij; |.; ii0 .' i
ru
mpUfi|fi]ï
illeurs, eîlo
fa
préoccupé
Son interview
, parle de
. Dé pu i s: 1 an gtem ps, : d’n
™ pla.intés qui sq sont produites flàiis des réunions
_ etlciongrès ré'cèlits. Ilaiùiait pu dire qué c’est du sein
des congrès ouvriers que sont parties les premières
-protestations, il y a déjè une cfuinzaino dfumeos.
.3 : A. H U A 3 J ,gi î .J ,J [ V
jrioc; Ainsi, au 1 er 'Congrès ouvrier, tenu à Paris en
_ •octobre 1 876, la l 1 ' 1 ' . commission (Travail des
femmes) a conclu.à la création d’ouvroirs laïques
3 ^"jdestinés à fairê concurrence aux couvents et
_ » établissements' du,même genre, cléricaux. »
* rjp ,y i •
Au 2 me congrès, tenu à 4 Lyqp dé ,28; jaqy\QT);ç,u.
8 février 1878, la commission du Travail des
Dan# sa;degwIérte#épneêrJe gaç^Mjnunicipal
discRté,:Une
sion. NoOS 3 'regrett ons q ue ce débat ait eu lieu ei
confiné sfcreCear rien ne jfistâfiqifcumiqioareilb
i 7 preS;UTÇ t 7 ”Ëfiq ; étaït^la^ ois impolitique et contraire
■^u-xipréeéc emfs-qe-n-etr
ile suppriifiré ^e contrôle des j$p&^p<$é
ce ri’est pas poui le remplacer par l’ombre et 1
iliySferè? Jo !~ *' • .ôiianiunid L,
g CfiaigpaiteoTi
Çonjseil , r
produit^à
commencé-k-d-iscussiojn-diiprojet deg|oitorgq,niquè
sur rênseipiqmeiïî; pirfiqiipe. Ote préjjjetTepo 1 se su
. une hase essentiellement èonfe§sion^çlJe ; ij rend
obligatoire : Penseignemefit religiâtïxO dans le
, qqele| prinfiai^es. 4 b j* 5 * ]; *
—L’on voit- que les pays .protestants fie sont pa
aussi avancés qu’on lp'.ppétend généralement.
—--DisQ ns T ..to ntftfois < .qdeJmqn ëstibn“ne semble pas
3F plqvpjr, tonte.. ( seple et sans opposition, car
nous apprenons qu'une crise politique est prés;;
d’éclater en ÀUemagne ; SI7 Miguel, ministre dejs ?
fïfiaàcës 1 , èn désâccofid aVec- plusieurs' dé sés' col--
lègues,, a offert; Sfi.‘démission fi Fémpereur, qui a
; réussi à lq lui faiie- retirer, pour .Le moment du
moins. J '
: Dans la.Cbainbre, les opinions paraissent très
-partagée». . ^...> 1
Portugal. On.sait que la situation finafi-'
cière de ce pays est dos plus.mauvaise.. Une pro-
pqsiiiop fiete faite ; ,fi la Chambre des..Députés, de.
vendre une partie.des.colonies portugaises.
Mort du Grajid - Duc Constantin de
Russie. — Le grand-duc Constantin Nicolaïevitch,
frère du tzar Alexandre IL oncle’ du tzar actuel,
.vient dè rnÔürir. ap rès une longue maladie.
.'j «Jfi.êfetiti né. le 9/21 septembre 1827; iT"éfaTt Je
second fils de Nicolas I er . - 1
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NîSSBBBjB,
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DU
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Séance du Vendredi" 22 Janvier Î8V2
H .‘"*3 /- --
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«Si R W & I toS %.J>
Les cachotteries de la co>n^ei
procès-VéThal ihcdrhjprèt.
rsion. — Un j
Résumé
m îàèdisohfefe-ion^-'i'r t «îueünoH
6fii'L9iinéWéfitê)!iér Wgftfe #8 adoiTO-.ppréyçir, , L’an-
fan» nnnnw, h iipinntion doln ml »l4 nVstpas app.ÇflHyé^r^MwMce, v g g
d€ Tpip. .certains, _nigpibî es ] J
qu’ils ont déj
de
épéterj les. .arguments
pliïsiéürs repHsèS ‘contre’ îe so
Mi. Géftestiü'?g NbttsMommes .portése i
éjffej:, que la îpnjqritq ,qui avait voté ,fi préqipi
tampient bë projet’ ma.gré’ Tôppds'itiorfi aë fan
L ciedne -Gopiifiis’sipn-ées finances,. aütrdnv# désa
gréable lanÇefspective jl’une discussion publiqu
sur j ce pojnt. La Cojnmis'sion démissionnair
aTait~WâimenT’Troirf5eau3ou œTr“pif:^eTrce de
obj ectrêfib-diiv’ M fin fistfie Mal l’iB Série un qui, avec
Fautm-ité que fui Gorrfërtmt^ ses-forRitknsçxarîf'e^
leurs arguments. j
; <3eux qfii ont. assisté à la . séance oui pu
n’y a été dit qui ne pi'it
nistre'pour obtenir 'sa-üi-sfiictionl, alors qiCéinsomme
uiUdéfefidTèoütrè M 1 '0î'édfiJ Fonciep leseiâtérêtMde
la Ville. injiffii/fn i&iè
M. Acher falFTémarquer que la conversion
n’est ^ÈEfcsE)âvaBta^^sox’4 ,1 ^ 0i ^ aebiHi voulu le
’ï / et :» pour, une .différence ^rfiérê^be 1 ) ; 0, f ^n-
times, il ne convenait pas de se lier ^ps.l-tqajns
uoljaibniXTO": al «pov-xoiqe.ooA «
H'UTfibpfige ; d’pbserv^tipn$ ; [ éntrô
M. Génestal et "M. jQe/^^’pÂer. : cqpq^jjler.
.^ienfe^bipp çqnsta(er que les avqntageSi,;e|pqe qui
j acopqftnipfleiçhapgqrnent dp dafie du paiepjipflt/des
apnqités, :) n’onfc TÎeq ; coûté au :Grédit.Fqnçjer >JV £
ei ilo M■ g@i? e il|J^-.^ppte' que, la délibéffitipn, qi/e»va
prendre le Conseil ppurfieï paiement dejl’éCihp^pce
ldj§n^48bipT iftUrPuPRM: QQfiséquaneej dg fiéfiiûire
ris -
s 3
7f! ^-. r re, ppmpte, qup ; ,riqn n'v a ete ait qui ne
-stippouter ia-lumière-ée; La-publtci-tc. Aussi,-rfioai
ils pas jétq peu smpnfis de. voir le secrétariat qom
iAiàiqtrer aux joipTiafix un .Gompte-refidn vràimér t
trop ''îneûacU. et fitppp ; 'incomplet pour. qu’on le ~
laisse passer-«ans pnoteatatiop..
y En dépit.de.tout èènjiité* seciœfi, - nofis éroyoïjs
donc être agrécàbles à jnos ‘ lèctéüfs ! èn rectifiant,
cet'étrange procès-verbal qui nu prat mairquér •
d’être robjétfyobsefivaïions quafifi il sera soumis,
nu Conseil. Loin d’en-souffrir, les intérêts de ja-
ville lie pe uvent qu e pr ofiter de cette publicité. ; '
Voici donc le résuméj de cëtte : discussion :
M, Génestal expose que le Ministre de l’Inté
rieur n’a pas ratifié le traité intervenu entre la -
Ville et le Créait Foncier .et qu’il' demande la
•suppresion de la clause inteixlisant tout rfimbonr-
seifient avant 10 ans. Le Minisfrë fait iemafquër
:quïai^ofi" d’fin taux d’intérêt' réduit;, çè qui, dafis
l’espèce ne se rencontre' pas puisque le Crépit
Foncier a déjà prêté à ce taux à d’autres villes, i
fWÆ%m\ qpnqpo^ruuo npuypUe,pififfWitût
ciÇrAîf njtSjfcip §utqpi‘se;qe paiemqnt,; ifre.toujcqçra
lofioi y in
•iq M'o : ch est>une.que,stionj fiq tré-
sorerieî » n-U*
M. Génestal espère que cette affaire s’arrangera,
x,que/lq ministfftûfitqfisera.cp pai.enieîit.p^j[çjbud-
t ZLfBiiuôfi 83b
irpL ÇûqrfiUlPrQitqstp ,çolitre la v théori,e dç M,Tÿs-
pal sur la trj^f|^ |)ppjU^. ffîiqta ; e ; au ; ^. r sq^,i0es
M Pf ?- gym Ichangé, j malgré;)^àûre
l^qp f^dégci^i je.pepsiste,à. penser,,.diÇi', que
apiP^ippaplfi japquifé eu vertu- d’aiicjens.l frai tés,
aura pour conséquence la nan-aqïprob^tipn' fiu
iujdgçfiq^iqdifiûl. Çcêfie,ial v ,est en l’air, piaijsera,
P al ‘ terre. » ; : "
Am’è ; $ epû .bjsqrvaiop^.un projet dé déiibérqtfon
aux ' Objections
.«feiSSoa - , . .
yoil^, rapport,ee aussi exaptenient que possuile,
îa discussion. relative a. 1^ conyersion. Poirit n'iétjait
, besoffi, en 'vérité,'Je faire tant de cncboUeiaeS' ni
dé flfinnér des ali tirés niystérîéüsèé'érbé défiafe.
f ’ m ■ trji i : : [ 9/d hjjî ri ; qèi
■ y -J-J TJJ . ^ '—=*©!»“ r r— ■-
ETfES-TEfflràS i
d'mdmngno'i i ,k a e fi ;-j fi ;fi ; m -j,'; ,, , r
ifious.
3D
recevons,, de nombreux correspôn-
:dants, de vives réclamations relativement
aux retards apportés dans la question des
Tramways'. ■ u;o7 uO
Il est, eh effet/regrettable qu’une question
de cette importance soit indéfiniment ajournée
et que M. de Goninék, adjoint, charge du
service, n’ait pas encore provoqué, de. la
part de la Compagnie, de propositions
sérieuses. La réduction des tarifs exdgércs
qui pèsent si -lourdement, jsnr notre pou
dation ÿ la création des nouvelles 1
méritent, T à coup sûr, l’attention de nos
administrateurs.
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