Titre : L'Universel : l'Évangile c'est la liberté ! / direction H. Huchet
Auteur : Mouvement pacifique chrétien de langue française. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1910-03-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32885496v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 mars 1910 01 mars 1910
Description : 1910/03/01 (N3)-1910/03/31. 1910/03/01 (N3)-1910/03/31.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4565425d
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-45090
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/09/2017
Guerre à la Guerre
12 e Année.— N° 3.
MENSUEL
Oincj Centimes le Numéro
MARS 1910
SEL
Organe du üliouvement Pacifique Chrétien
“ PAIX SUR LA TERRE ! ”
De leurs glaives ils forgeront des bêches, et de leurs lances des serpes ; une nation ne lèvera plus l’épée contre une autre,
et l’on n’apprendra plus l’art de la guerre
ABONNEMENTS
RÉDACTION
ADMINISTRATION
PROPAGANDE
France 1 Fr..
Union Postale... 2 —
Les opinions exprimées sont
libres et n’engagent (jne leurs
auteurs.
Henri HUCHET
19. Place de l’Hôtel-de-Ville, 1!)
LE HAVRE
Les souscriptions sont reçues
avec reconnaissance.
lies conférences sont données
sur la paix, l’abstinence et
l’évangile.
DatfLuinisfne
et Pacifisme
Chacun connaît l’ingénieuse hypothèse du
naturaliste anglais Charles Darwin. D’après ce
savant, la cause efficiente de la transformation
des êtres organisés se trouve dans la concur
rence qui se fait naturellement entre eux ou la
lutte pour l’existence (struggle for life), concur
rence dont l’effet est celui d’une sélection de
tout point semblable à la sélection artificielle au
moyen de laquelle l’horticulteur ou l’éleveur
obtiennent leurs variétés.
Cette lutte, en effet, opère entre les êtres un
triage, une sorte de choix ; les uns, c’est-à-dire
les plus forts ou les plus adroits arrivent à se
reproduire ; les autres, incapables d’échapper
à la destruction, périssent. Ceux-ci sont les ré
prouvés, ceux-là les élus de la nature, les sé-
lecti de la concurrence.
Herbert Spencer nous décrit admirablement
comment s’accomplit la sélection naturelle par
mi les animaux. 11 brosse le tableau suivant :
« Les animaux carnivores non seulement sup
priment, dans les troupeaux des herbivores,
les individus qui vieillissent, mais ils extirpent
ceux qui sont malades, mal conformés, c’est-à-
dire les moins forts et les moins rapides. Parce
procédé de purification et aussi parles combats
si fréquents à l’époque de l’accouplement, la
viciation de la race par la multiplication des
exemplaires de qualité inférieure se trouve em
pêchée et ainsi se trouve assurée la préserva
tion d’une constitution complètement adaptée
aux conditions environnantes et faite, par con
séquent, pour produire la plus grande somme
de félicité. »
Le principe de la sélection qui rajeunit et re
nouvela l’histoire naturelle fit irruption dans
d’autres domaines et on essaya de l’appliquer
aux groupements humains. Les partisans ou les
défenseurs de la guerre exultèrent. N’avaient-iis
pas trouvé dans le Darwinisme un moyen de
légitimer scicnlifiquemeni les massacres inter
nationaux ? Les conflits armés ne représentent-
ils pas la concurrence vitale, la lutte pour la
vie ? La victoire remportée est, en dernière ana
lyse, la simple traduction de ce principe natu
raliste : la survie des plus aptes — the survi
tal of the fiitest. Dans l’ordre international, la
nation qui dispose de peu de ressources en hom
mes et en argent, doit être absorbée fatalement
par le peuple voisin, nombreux et bien armé.
C'est une application de cette loi naturelle qui
veut que le petit soit mangé par le fort, le
maigre par le gras.
Est-il légitime, demanderons-nous aux défen
seurs du Darwinisme social, d’appliquer une
loi biologique aux collectivités humaines ? Quelle
différence entre la Nature et l’Humanité !
Dans celle-ci, nous voyons l’homme — cet être
ondoyant et divers — doué de sensibilité, d’in
telligence, de volonté, ayant ces glorieux attri
buts : la liberté et la responsabilité. Dans celle-
là, l’animal apparaît dominé et lié par cette
force aveugle : l’instinct. L’homme peut-il être
assimilé au végétal ? Que voyons-nous encore
dans la nature? L’automatisme, l’habitude, l’as
servissement au milieu, quelques lueurs de la
vie consciente, un manque total de progrès ré
fléchi — le renard n'est pas devenu plus rusé,
depuis qu’il est renard — des besoins surtout
instinctifs, etc. L’Humanité, même aux stades
inférieurs de son évolution, nous présente un
autre aspect. La raison, à ses heures de défail
lance, est toujours et quand même la raison ;
c’est bien là l’élément spécifique de la race hu
maine. Chez l’homme, la spontanéité remplace
l’automatisme ; l’intelligence domine l'instinct ;
le milieu ne détermine plus l’individu , au con
traire, celui-ci s’en affranchit et peut s’engager
sur les fuyantes perspectives du progrès.
Les lois naturelles ne sauraient donc régir,
avec une force inéluctable, l’Humanité qui, en
vertu de ses éléments psychiques et moraux, se
dérobe à leur emprise.
Pour ceux qui essayent de justifier la guerre
au point de vue du Darwinisme, l’Histoire n'est
plus que la lutte zoologique des nations et le
prolongement de l’histoire naturelle.
Or, toute notre civilisation tend justement à
remplacer le règne de la force par celui de la
justice. Les fameuses lois biologiques nous ra
mèneraient sous le joug de la nature, et comme a
dit Renan : la nature est l’injustice même.
En effet, le végétal arborescent finit, avec
son ombre épaisse, par détruire la frêle plante
et le brin de mousse ; l’aigle fond sur le passe
reau ; la pierre qui tombe écrase l’honnête hom
me tout aussi bien que le coquin. Et alors ?
Nos sociétés, à mesure que le Droit et la
Justice y rayonnent, s’éloignent de la nature, ef
facent le reflet de la nature. Le principe de la
survie des plus aptes et des mieux armés, qui
consacre le culte de la force, subit de plus en
plus d’heureuses dérogations. L’apache, infini
ment mieux armé que le paisible bourgeois,
est traqué par les agents de la force publique.
Le commerçant véreux qui pratique la concur
rence déloyale est traduit devant les tribunaux.
Et c’est ainsi qu’à travers toute notre civilisa-
lion nous suivons l’effort tenace et douloureux
des moralistes et des législateurs, fait en vue
d’améliorer le sort des faibles. C’est un fil rou
ge mêlé au tissu serré de l’Histoire et qui de
vient de plus en plus visible à mesure que nos
sociétés laissent loin derrière elles la nature.
A cette lutte pour la vie, nous opposons la
coopération et l’entraide. Grâce à ces nouvelles
notions, le carnage ne saurait être le principe,
le nerf du progrès. La raison, qui devient elle-
même en brisant sa dépendance vis-à-vis de la
nature, proclame la nécessité impérieuse de
l’union pour la vie. A la lutte des classes, elle
substitue la pénétration des classes.
Les carnassiers qui s’entredévorent pour as
surer la survie des plus robustes, seraient-ils un
modèle de société idéale ? Les hommes, de
plus en plus conscients de leurs véritables inté
rêts, tendront à remplacer la guerre — dernier
vestige d’une époque rapprochée de la nature
— par l’arbitrage.
Une dernière remarque s’impose : Ceux qui
combattent le Pacifisme, au nom des lois natu
relles, tombent tout d’abord dans le fatalisme
en s’inclinant devant les faits, et dans un opti-
nisme béat ensuite, parce que ces lois sont par
faites. Le Cosmos est divin à leurs yeux. Ils
répètent volontiers, après Marc Aurèle : « Tout
ce qui t’arrange, ô Cosmos, m’arrange. Rien
ne m’est prématuré ou tardif de ce qui pour toi
vient à l'heure. Je fais mon fruit de ce que por
tent les saisons, ô nature ! De toi vient tout. En
toi est tout. Vers toi va tout » .
Résignés et satisfaits, voilà les traits caracté
ristiques de la psychologie des défenseurs des
lois naturelles.
Si le Darwinisme a fait d’importantes trou
vailles dans le champ de la biologie, il se mon
tre impuissant dans le domaine social. 11 va à
l'encontre de la justice et de cette religion de
la pitié qui émeut et secoue les plus scepti
ques de nos contemporains.
C’est le cas de répéter le mot de Voltaire
qui, en parlant de l’histoire naturelle de Ruffon,
avait dit malicieusement : Pas tant naturelle
que çà !
Lois naturelles, pas tant naturelles que çà.
Jules HENZI.
PENSÉE
« J estime qu’il y a d’excellentes choses dans le
socialisme tel qu'on le prêche en Angleterre. Ici,
du moins, la propagande socialiste s’inspire et se
réclame de l’Evangile ; et c’est là du reste, la raison
pour laquelle cette propagande fait tant de con
versions dans tous les milieux. Les nombreux pas
teurs de l’« lndependent Labour Party », des pro
pagandistes remarquables pour la plupart, ont
contribué puissamment au développement du
socialisme, ralliant au « red flag » quantité de gens,
foncièrement anti-révolutionnaires, mais animés
d un désir ardent de voir un jour réalisés les ensei
gnements du Christ. »
Sir Charles Dilke.
♦
/
12 e Année.— N° 3.
MENSUEL
Oincj Centimes le Numéro
MARS 1910
SEL
Organe du üliouvement Pacifique Chrétien
“ PAIX SUR LA TERRE ! ”
De leurs glaives ils forgeront des bêches, et de leurs lances des serpes ; une nation ne lèvera plus l’épée contre une autre,
et l’on n’apprendra plus l’art de la guerre
ABONNEMENTS
RÉDACTION
ADMINISTRATION
PROPAGANDE
France 1 Fr..
Union Postale... 2 —
Les opinions exprimées sont
libres et n’engagent (jne leurs
auteurs.
Henri HUCHET
19. Place de l’Hôtel-de-Ville, 1!)
LE HAVRE
Les souscriptions sont reçues
avec reconnaissance.
lies conférences sont données
sur la paix, l’abstinence et
l’évangile.
DatfLuinisfne
et Pacifisme
Chacun connaît l’ingénieuse hypothèse du
naturaliste anglais Charles Darwin. D’après ce
savant, la cause efficiente de la transformation
des êtres organisés se trouve dans la concur
rence qui se fait naturellement entre eux ou la
lutte pour l’existence (struggle for life), concur
rence dont l’effet est celui d’une sélection de
tout point semblable à la sélection artificielle au
moyen de laquelle l’horticulteur ou l’éleveur
obtiennent leurs variétés.
Cette lutte, en effet, opère entre les êtres un
triage, une sorte de choix ; les uns, c’est-à-dire
les plus forts ou les plus adroits arrivent à se
reproduire ; les autres, incapables d’échapper
à la destruction, périssent. Ceux-ci sont les ré
prouvés, ceux-là les élus de la nature, les sé-
lecti de la concurrence.
Herbert Spencer nous décrit admirablement
comment s’accomplit la sélection naturelle par
mi les animaux. 11 brosse le tableau suivant :
« Les animaux carnivores non seulement sup
priment, dans les troupeaux des herbivores,
les individus qui vieillissent, mais ils extirpent
ceux qui sont malades, mal conformés, c’est-à-
dire les moins forts et les moins rapides. Parce
procédé de purification et aussi parles combats
si fréquents à l’époque de l’accouplement, la
viciation de la race par la multiplication des
exemplaires de qualité inférieure se trouve em
pêchée et ainsi se trouve assurée la préserva
tion d’une constitution complètement adaptée
aux conditions environnantes et faite, par con
séquent, pour produire la plus grande somme
de félicité. »
Le principe de la sélection qui rajeunit et re
nouvela l’histoire naturelle fit irruption dans
d’autres domaines et on essaya de l’appliquer
aux groupements humains. Les partisans ou les
défenseurs de la guerre exultèrent. N’avaient-iis
pas trouvé dans le Darwinisme un moyen de
légitimer scicnlifiquemeni les massacres inter
nationaux ? Les conflits armés ne représentent-
ils pas la concurrence vitale, la lutte pour la
vie ? La victoire remportée est, en dernière ana
lyse, la simple traduction de ce principe natu
raliste : la survie des plus aptes — the survi
tal of the fiitest. Dans l’ordre international, la
nation qui dispose de peu de ressources en hom
mes et en argent, doit être absorbée fatalement
par le peuple voisin, nombreux et bien armé.
C'est une application de cette loi naturelle qui
veut que le petit soit mangé par le fort, le
maigre par le gras.
Est-il légitime, demanderons-nous aux défen
seurs du Darwinisme social, d’appliquer une
loi biologique aux collectivités humaines ? Quelle
différence entre la Nature et l’Humanité !
Dans celle-ci, nous voyons l’homme — cet être
ondoyant et divers — doué de sensibilité, d’in
telligence, de volonté, ayant ces glorieux attri
buts : la liberté et la responsabilité. Dans celle-
là, l’animal apparaît dominé et lié par cette
force aveugle : l’instinct. L’homme peut-il être
assimilé au végétal ? Que voyons-nous encore
dans la nature? L’automatisme, l’habitude, l’as
servissement au milieu, quelques lueurs de la
vie consciente, un manque total de progrès ré
fléchi — le renard n'est pas devenu plus rusé,
depuis qu’il est renard — des besoins surtout
instinctifs, etc. L’Humanité, même aux stades
inférieurs de son évolution, nous présente un
autre aspect. La raison, à ses heures de défail
lance, est toujours et quand même la raison ;
c’est bien là l’élément spécifique de la race hu
maine. Chez l’homme, la spontanéité remplace
l’automatisme ; l’intelligence domine l'instinct ;
le milieu ne détermine plus l’individu , au con
traire, celui-ci s’en affranchit et peut s’engager
sur les fuyantes perspectives du progrès.
Les lois naturelles ne sauraient donc régir,
avec une force inéluctable, l’Humanité qui, en
vertu de ses éléments psychiques et moraux, se
dérobe à leur emprise.
Pour ceux qui essayent de justifier la guerre
au point de vue du Darwinisme, l’Histoire n'est
plus que la lutte zoologique des nations et le
prolongement de l’histoire naturelle.
Or, toute notre civilisation tend justement à
remplacer le règne de la force par celui de la
justice. Les fameuses lois biologiques nous ra
mèneraient sous le joug de la nature, et comme a
dit Renan : la nature est l’injustice même.
En effet, le végétal arborescent finit, avec
son ombre épaisse, par détruire la frêle plante
et le brin de mousse ; l’aigle fond sur le passe
reau ; la pierre qui tombe écrase l’honnête hom
me tout aussi bien que le coquin. Et alors ?
Nos sociétés, à mesure que le Droit et la
Justice y rayonnent, s’éloignent de la nature, ef
facent le reflet de la nature. Le principe de la
survie des plus aptes et des mieux armés, qui
consacre le culte de la force, subit de plus en
plus d’heureuses dérogations. L’apache, infini
ment mieux armé que le paisible bourgeois,
est traqué par les agents de la force publique.
Le commerçant véreux qui pratique la concur
rence déloyale est traduit devant les tribunaux.
Et c’est ainsi qu’à travers toute notre civilisa-
lion nous suivons l’effort tenace et douloureux
des moralistes et des législateurs, fait en vue
d’améliorer le sort des faibles. C’est un fil rou
ge mêlé au tissu serré de l’Histoire et qui de
vient de plus en plus visible à mesure que nos
sociétés laissent loin derrière elles la nature.
A cette lutte pour la vie, nous opposons la
coopération et l’entraide. Grâce à ces nouvelles
notions, le carnage ne saurait être le principe,
le nerf du progrès. La raison, qui devient elle-
même en brisant sa dépendance vis-à-vis de la
nature, proclame la nécessité impérieuse de
l’union pour la vie. A la lutte des classes, elle
substitue la pénétration des classes.
Les carnassiers qui s’entredévorent pour as
surer la survie des plus robustes, seraient-ils un
modèle de société idéale ? Les hommes, de
plus en plus conscients de leurs véritables inté
rêts, tendront à remplacer la guerre — dernier
vestige d’une époque rapprochée de la nature
— par l’arbitrage.
Une dernière remarque s’impose : Ceux qui
combattent le Pacifisme, au nom des lois natu
relles, tombent tout d’abord dans le fatalisme
en s’inclinant devant les faits, et dans un opti-
nisme béat ensuite, parce que ces lois sont par
faites. Le Cosmos est divin à leurs yeux. Ils
répètent volontiers, après Marc Aurèle : « Tout
ce qui t’arrange, ô Cosmos, m’arrange. Rien
ne m’est prématuré ou tardif de ce qui pour toi
vient à l'heure. Je fais mon fruit de ce que por
tent les saisons, ô nature ! De toi vient tout. En
toi est tout. Vers toi va tout » .
Résignés et satisfaits, voilà les traits caracté
ristiques de la psychologie des défenseurs des
lois naturelles.
Si le Darwinisme a fait d’importantes trou
vailles dans le champ de la biologie, il se mon
tre impuissant dans le domaine social. 11 va à
l'encontre de la justice et de cette religion de
la pitié qui émeut et secoue les plus scepti
ques de nos contemporains.
C’est le cas de répéter le mot de Voltaire
qui, en parlant de l’histoire naturelle de Ruffon,
avait dit malicieusement : Pas tant naturelle
que çà !
Lois naturelles, pas tant naturelles que çà.
Jules HENZI.
PENSÉE
« J estime qu’il y a d’excellentes choses dans le
socialisme tel qu'on le prêche en Angleterre. Ici,
du moins, la propagande socialiste s’inspire et se
réclame de l’Evangile ; et c’est là du reste, la raison
pour laquelle cette propagande fait tant de con
versions dans tous les milieux. Les nombreux pas
teurs de l’« lndependent Labour Party », des pro
pagandistes remarquables pour la plupart, ont
contribué puissamment au développement du
socialisme, ralliant au « red flag » quantité de gens,
foncièrement anti-révolutionnaires, mais animés
d un désir ardent de voir un jour réalisés les ensei
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