Titre : L'Universel : l'Évangile c'est la liberté ! / direction H. Huchet
Auteur : Mouvement pacifique chrétien de langue française. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1900-12-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32885496v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 décembre 1900 01 décembre 1900
Description : 1900/12/01 (N8)-1900/12/31. 1900/12/01 (N8)-1900/12/31.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k45653467
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-45090
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/09/2017
GKCIERJRE A. LA GUERRE
Celui qui m’aime, dit Jésus, gardera ma Parole,
\m
L’ÉVANGILE, O’ES
JL, _A. LIBERTÉ !
X
ABONNEMENTS :
France 1 Fr.
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DIRECTION :
H. HUCHET et C. HÉBERT
Evangélistes
43, rue Frédéric-Bellanger (Le Havre)
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100 exemplaires pris au Havre.. 1 Fr. 25
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UNION ÉVANGÉLIQUE FRANÇAISE
Renseignements
M. II. HUCHET reçoit chez lui, le Samedi,
de 1 h. 1/2 à 3 h.
43, rue Frédéric-Bellanger, Le Ila^ re
M. C. HÉBERT reçoit chez lui, le Mardi,
de I h. 1/2 à 3 h.
43, rue Félix-Faure, Sanvic
VIVE LA PAIX
Paris tout entier est sur les boulevards;
la haie vivante qui s’étend de la gare de
Lyon à l’Opéra, attend haletante, le passage
du vieillard, représentant d’une nation,
d’une race qui défend son individualité avec
une opiniâtreté vraiment remarquable. Il y
a dans l’air comme un frisson d’enthou
siasme... Un escadron passe comme un éclair,
encadrant un landeau... la vision ne dure
qu’un instant et mille cris de « Vive Ivrüger,
vivent les Buërs » ont déjà fait écho à mille
autres exclamations qu’ont emporté la se
conde précédente.
Une autre vision passe devant mes yeux...
Je vois les cadavres gisant sans sépulture
sur le versant de Spion-Kop ou emportés par
les flots de la Tugela et du Vaal.
J’entends les pleurs des mères, des épou
ses, des fiancées du côté des vainqueurs
comme de celui des vaincus. J’aperçois la
fumée qui s’élève des fermes incendiées, les
familles sans pain, sans gîte, les enfants,
orphelins s’enfuyant on ne sait où, devenant
on ne sait quoi.
Partout c’est le sang qui coule, la flamme
qui dévore, la misère qui ruine, la maladie
qui ravage...
C'est la guerre, en un mot ! Jusqu’à quand,
Seigneur !
Jusqu’à quand, chrétiens? Et je m’écrie :
Vive la Paix quand même !
E. A.
IL VOUS EST NÉ
Il vous est nè un Sauveur
qui est le Christ.
(St Luc, II, il)
I
Il fait nuit. Dans un champ de la Palestine
dorment quelques bergers, des humbles de
ce monde, des travailleurs dont l’unique
ressource consiste dans le salaire quotidien
péniblement gagné et que, cette nuit-là, le
labeur commun a réunis. Ils dorment tandis
que leurs troupeaux broutent le sol desséché
de cette terre d’Orient. Quel soulagement
après une journée de travail de pouvoir se
livrer à un sommeil réparateur, que vient
embellir des rêves, rêves d’un avenir meil
leur, où l'injustice ne régnera plus, où on
ignorera les différences sociales, où les plain
tes et les pleurs ne seront même plus un sou
venir.
Et voici que l’atmosphère s’illumine. Et
voici qu’une musique harmonieuse, aux ac
cents si doux, si mélodieux, si célestes qu’ils
émeuvent l’âme jusqu’en ses fibres les plus
intimes, retentit dans les airs. C’est le rêve
qui se poursuit sans doute. Quelques voix
s’élèvent, des voix comme on n’entend point
ici-bas, des voix... plutôt un torrent d’har
monie.
Ce n’est pas un songe. C’est la réalité
inattendue, inouïe.. . Les bergers s’éveillent
en sursaut, mais éblouis partant de lumière
leurs yeux se referment bientôt. Surpris au
tant qu’effrayés, ignorant encore le message
qui leur est annoncé, ils reculent, ils chan
cellent, ils tombent à genoux.
II
Rassurez-vous, bergers, les êtres purs et
radieux qui viennent vous réveiller n’ont
pas pour mission de vous épouvanter. Ce
sont des messagers de paix, de salut. De
paix, parce qu’il n’est pas de salut sans la
paix. De salut, parce qu’il n’est pas de paix
sans le salut. Le salut, c’est la paix établie
dans le cœur déchiré jusqu’alors par la ba
taille jamais interrompue des passions viles
et des bas appétits, c’est la voix de Dieu
planant sur ce champ de bataille qu’est une
âme livrée au choc des mille manifestations
du péché. C’est là ce qu’ils sont venus vous
annoncer, pauvres travailleurs. Le Messie
de vos rêves est apparu. Il est né, le Libéra
teur du monde. Il est né dans une étable,
parce qu’il n’y avait point de place pour lui
à l’hôtellerie. Il est né, le Sauveur, le Christ,
Jésus, le compagnon de» pauvres, l’ami des
gens de mauvaise vie. Il est né et le ciel est
en fête, car sa venue n’a-t-elle pas eu pour
objet de rapprocher l’homme de Dieu en rap
prochant Dieu de l’homme, en rétablissant
la paix entre le Créateur et la créature.
III
Il est né... et il nait encore, après vingt
siècles, dans tout cœur qui veut bien s’éveil
ler. Vous les avez rencontré comme moi
ceux qui dorment , dans toutes les classes de
la Société : le travailleur absorbé par ses
dures occupations, l’homme d’affaires en
traîné par le flot toujours montant des entre
prises que suscite la concurrence, le savant
étourdi par l’avalanche des découvertes de
l’esprit humain. Mais ce n’est pas seulement
à l’atelier, à l’usine, au bureau ou dans un
laboratoire que j’ai aperçu ceux qui dor
ment. Je les ai vus au cabaret, attablés
devant une bouteille et laissant s’écouler les
heures précieuses en s’alcoolisant affreuse
ment. Je les ai vus entrer dans les maisons
de débauche, ou bien encore se plonger dans
la lecture d’ouvrages immoraux ou de ro
mans insipides. Je les ai vus dans quelque
café-concert se délectant de la récitation de
couplets bravant aussi bien le bon sens que
l’honnêteté. Je les ai même vus pénétrer
dans les églises ou dans les temples, fei
gnant de venir adorer un Dieu dont ils n’ont
jamais mis en’pratique le moind.e enseigne
ment.
IV
Et ils dorment, non sans que de temps en
temps un rêve, une aspiration, vienne
troubler leur sommeil. Ils attendent, eux
aussi, le Messie. Us ont comme une sorte
d’intuition qu’il doit exister quelque part un
Libérateur, une terre nouvelle, une terre de
pureté, un port assuré. Et parfois ils cher
chent de gauche, de droite, la solution du
mystère. Ils s’imaginent l’avoir trouvé...
hélas ! ce n’était qu’un mirage, qu’une con
ception de cet esprit de l’homme qui ne sau
rait apporter ni la paix ni le calme.
Ils dorment, comme les pâtres de Bethléem,
tandis qu’à côté d’eux, les disciples du Christ
Rédempteur, les rachetés, les âmes amenées
à la vie font retentir les échos de leurs can
tiques, de leurs témoignages, de leurs actions
de grâce. Ils sont plongés dans les ténèbres et
la lumière brille, éclatante, éblouissante. Ils
pleurent et le remède est à leur portée. Ils
meurent quand la vie, la vie éternelle est à
leur disposition.
Perdus quand ils pourraient être sauvés,
mourant quand ils pourraient vivre, puis-
qu 'Il est né pour leur assurer la vie.
Une merveilleuse aurore
Eclaire l’humanité...
Chant d’amour, résonne encore !
Ebranle l’immensité !
Aux âmes sans espérance.
Aux cœurs pliant sous le faix
Annonce la délivrance
Accents de grâce et de paix.
Des ci eux, radieux abîmes,
On entend descendre un chant.
Cantique aux accords sublimes,
Hymne d’amour triomphant.
Espoir pour tous, pauvres pécheurs
Dieu vient à vous, séchez vos pleurs
A son amour, ouvrez vos cœurs,
Un Sauveur vous est né.
C’est pour vous, lecteurs, cela ; est -Il né
pour vous ?
E. Armand.
Celui qui m’aime, dit Jésus, gardera ma Parole,
\m
L’ÉVANGILE, O’ES
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M. II. HUCHET reçoit chez lui, le Samedi,
de 1 h. 1/2 à 3 h.
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M. C. HÉBERT reçoit chez lui, le Mardi,
de I h. 1/2 à 3 h.
43, rue Félix-Faure, Sanvic
VIVE LA PAIX
Paris tout entier est sur les boulevards;
la haie vivante qui s’étend de la gare de
Lyon à l’Opéra, attend haletante, le passage
du vieillard, représentant d’une nation,
d’une race qui défend son individualité avec
une opiniâtreté vraiment remarquable. Il y
a dans l’air comme un frisson d’enthou
siasme... Un escadron passe comme un éclair,
encadrant un landeau... la vision ne dure
qu’un instant et mille cris de « Vive Ivrüger,
vivent les Buërs » ont déjà fait écho à mille
autres exclamations qu’ont emporté la se
conde précédente.
Une autre vision passe devant mes yeux...
Je vois les cadavres gisant sans sépulture
sur le versant de Spion-Kop ou emportés par
les flots de la Tugela et du Vaal.
J’entends les pleurs des mères, des épou
ses, des fiancées du côté des vainqueurs
comme de celui des vaincus. J’aperçois la
fumée qui s’élève des fermes incendiées, les
familles sans pain, sans gîte, les enfants,
orphelins s’enfuyant on ne sait où, devenant
on ne sait quoi.
Partout c’est le sang qui coule, la flamme
qui dévore, la misère qui ruine, la maladie
qui ravage...
C'est la guerre, en un mot ! Jusqu’à quand,
Seigneur !
Jusqu’à quand, chrétiens? Et je m’écrie :
Vive la Paix quand même !
E. A.
IL VOUS EST NÉ
Il vous est nè un Sauveur
qui est le Christ.
(St Luc, II, il)
I
Il fait nuit. Dans un champ de la Palestine
dorment quelques bergers, des humbles de
ce monde, des travailleurs dont l’unique
ressource consiste dans le salaire quotidien
péniblement gagné et que, cette nuit-là, le
labeur commun a réunis. Ils dorment tandis
que leurs troupeaux broutent le sol desséché
de cette terre d’Orient. Quel soulagement
après une journée de travail de pouvoir se
livrer à un sommeil réparateur, que vient
embellir des rêves, rêves d’un avenir meil
leur, où l'injustice ne régnera plus, où on
ignorera les différences sociales, où les plain
tes et les pleurs ne seront même plus un sou
venir.
Et voici que l’atmosphère s’illumine. Et
voici qu’une musique harmonieuse, aux ac
cents si doux, si mélodieux, si célestes qu’ils
émeuvent l’âme jusqu’en ses fibres les plus
intimes, retentit dans les airs. C’est le rêve
qui se poursuit sans doute. Quelques voix
s’élèvent, des voix comme on n’entend point
ici-bas, des voix... plutôt un torrent d’har
monie.
Ce n’est pas un songe. C’est la réalité
inattendue, inouïe.. . Les bergers s’éveillent
en sursaut, mais éblouis partant de lumière
leurs yeux se referment bientôt. Surpris au
tant qu’effrayés, ignorant encore le message
qui leur est annoncé, ils reculent, ils chan
cellent, ils tombent à genoux.
II
Rassurez-vous, bergers, les êtres purs et
radieux qui viennent vous réveiller n’ont
pas pour mission de vous épouvanter. Ce
sont des messagers de paix, de salut. De
paix, parce qu’il n’est pas de salut sans la
paix. De salut, parce qu’il n’est pas de paix
sans le salut. Le salut, c’est la paix établie
dans le cœur déchiré jusqu’alors par la ba
taille jamais interrompue des passions viles
et des bas appétits, c’est la voix de Dieu
planant sur ce champ de bataille qu’est une
âme livrée au choc des mille manifestations
du péché. C’est là ce qu’ils sont venus vous
annoncer, pauvres travailleurs. Le Messie
de vos rêves est apparu. Il est né, le Libéra
teur du monde. Il est né dans une étable,
parce qu’il n’y avait point de place pour lui
à l’hôtellerie. Il est né, le Sauveur, le Christ,
Jésus, le compagnon de» pauvres, l’ami des
gens de mauvaise vie. Il est né et le ciel est
en fête, car sa venue n’a-t-elle pas eu pour
objet de rapprocher l’homme de Dieu en rap
prochant Dieu de l’homme, en rétablissant
la paix entre le Créateur et la créature.
III
Il est né... et il nait encore, après vingt
siècles, dans tout cœur qui veut bien s’éveil
ler. Vous les avez rencontré comme moi
ceux qui dorment , dans toutes les classes de
la Société : le travailleur absorbé par ses
dures occupations, l’homme d’affaires en
traîné par le flot toujours montant des entre
prises que suscite la concurrence, le savant
étourdi par l’avalanche des découvertes de
l’esprit humain. Mais ce n’est pas seulement
à l’atelier, à l’usine, au bureau ou dans un
laboratoire que j’ai aperçu ceux qui dor
ment. Je les ai vus au cabaret, attablés
devant une bouteille et laissant s’écouler les
heures précieuses en s’alcoolisant affreuse
ment. Je les ai vus entrer dans les maisons
de débauche, ou bien encore se plonger dans
la lecture d’ouvrages immoraux ou de ro
mans insipides. Je les ai vus dans quelque
café-concert se délectant de la récitation de
couplets bravant aussi bien le bon sens que
l’honnêteté. Je les ai même vus pénétrer
dans les églises ou dans les temples, fei
gnant de venir adorer un Dieu dont ils n’ont
jamais mis en’pratique le moind.e enseigne
ment.
IV
Et ils dorment, non sans que de temps en
temps un rêve, une aspiration, vienne
troubler leur sommeil. Ils attendent, eux
aussi, le Messie. Us ont comme une sorte
d’intuition qu’il doit exister quelque part un
Libérateur, une terre nouvelle, une terre de
pureté, un port assuré. Et parfois ils cher
chent de gauche, de droite, la solution du
mystère. Ils s’imaginent l’avoir trouvé...
hélas ! ce n’était qu’un mirage, qu’une con
ception de cet esprit de l’homme qui ne sau
rait apporter ni la paix ni le calme.
Ils dorment, comme les pâtres de Bethléem,
tandis qu’à côté d’eux, les disciples du Christ
Rédempteur, les rachetés, les âmes amenées
à la vie font retentir les échos de leurs can
tiques, de leurs témoignages, de leurs actions
de grâce. Ils sont plongés dans les ténèbres et
la lumière brille, éclatante, éblouissante. Ils
pleurent et le remède est à leur portée. Ils
meurent quand la vie, la vie éternelle est à
leur disposition.
Perdus quand ils pourraient être sauvés,
mourant quand ils pourraient vivre, puis-
qu 'Il est né pour leur assurer la vie.
Une merveilleuse aurore
Eclaire l’humanité...
Chant d’amour, résonne encore !
Ebranle l’immensité !
Aux âmes sans espérance.
Aux cœurs pliant sous le faix
Annonce la délivrance
Accents de grâce et de paix.
Des ci eux, radieux abîmes,
On entend descendre un chant.
Cantique aux accords sublimes,
Hymne d’amour triomphant.
Espoir pour tous, pauvres pécheurs
Dieu vient à vous, séchez vos pleurs
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E. Armand.
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