Titre : L'Universel : l'Évangile c'est la liberté ! / direction H. Huchet
Auteur : Mouvement pacifique chrétien de langue française. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1900-06-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32885496v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 juin 1900 01 juin 1900
Description : 1900/06/01 (N2)-1900/06/30. 1900/06/01 (N2)-1900/06/30.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4565340r
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-45090
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/09/2017
Q-UERRB -A. LA Œ UEJJRJRJS
O-
L’ÉVANGILE, C'EST HLA. LIBERTÉ !
M M MW •• M HfjHS
JUIN 1900.
j 1
DEPOT LÉGAL
1900
m’aime, dit Jésus, gardera ma Parole,
Celui qui
ABONNEMENTS :
France 1 Fr.
Etranger 2 »
Supplément trimestriel
DIRECTION :
H. HUCHET et C. HÉBERT
Evangélistes
43, rue Frédéric-Bellanger (Le Havre)
PROPAGANDE :
100 exemplaires pris au Havre.. 1 Fr. 25
» franco à domicile 2 » 50
Supplément trimestriel
UNION ÉVANGÉLIQUE FRANÇAISE
Conférences publiques
à 8 heures 1/4 du soir
LesMar«lis et Vendredis, 35, r.d’Estimau-
ville (quartier Notre-Dame— Le Havre)
Les 1 ers et 3 ,nes Jeudis de chaque mois
Réunions de dames (Croix blanche )
Les Mercredis, r. de l’Orphelinat (quartier
de la Mare-aux-Clercs — Sanvic)
Réunions de Tempérance
Les Dimanches, à 8 h. 1/4 du'soir
6, rue Cassard, G
ENTRÉE GRATUITE
À propos du Roi des Fléaux
Ec CRS DE GUERRE, « bulletin offi
ciel de l’Armée du Salut dans la
Suisse romande », reproduit dans
son numéro du 19 Mai, l’article qui
a paru dans l’UNIVERSEE «lu mois de
Mars, sous ce titre : ILE RDI DES
T LÉAUX.
L’autorisation de cette reproduc
tion n’a été demandée ni à l’auteur
«le l’article, ni à nous. Nous me pense
rions pas à nous en étonner, si le CRI
DE GUERRE indiquait que l'article a
été emprunté à l’U AT VERSEE. Mais 51
ne l’indique pas.
C’est un oubli que nous le prions de
vouloir bien réparer.
Nous lui demandons également de
rétablir le texte complet «ïc l'intro
duction, portant que ladite allocution
a été prononcée à la SECTION RÉFOR
MÉE, 6, rue Cassard, Ee Havre (SEC
TION DE LA CROIX BLEUE).
LA DIRECTION
ROME ET LES JÉSUITES
Le hasard des lectures a placé côte à côte,
sur ma table de travail, les Provinciales et
le Drame des poisons, l’œuvre immortelle
de Pascal et le livre si riche d’érudition
dans sa simplicité, du savant bibliothécaire
de l’Arsenal.
Ce dernier ouvrage est tiré des papiers de
la Bastille... Qu’était la sinistre forteresse,
dont il ne reste aucune trace auprès de celle
qui, toujours debout, hélas ! retient les âmes
captives, les condamnante l’éternelle nuit?
Quand se lèvera-t-il le jour radieux éclai
rant les ruines du jésuitisme à jamais
anéanti ?...
Il fait toujours bon relire les pages ven
geresses dans lesquelles Pascal a mis toute
l’indignation de son âme. Elles n’ont pas
vieilli ; elles ne vieilliront pas, aussi long
temps que l’esprit de mensonge et de servi
tude qu’elles ont flagellé, n'aura pas été
vaincu. Elles restent la protestation magni
fique de la conscience chrétienne contre ce
a machinisme moral », dont parlait élo
quemment Michelet, et qui est la négation
de TEvangile, lequel est lumière et vie.
La protestation!... qui n’a rien arrêté.
C’est le cœur serré qu’en relisant ce réquisi
toire enflammé, l’on revit par la pensée les
deux siècles et demi qui nous séparent de
cette joute mémorable. Le Jansénisme, ce
champion de la conscience au sein du catho
licisme, a été réduit en poussière. Le Galli
canisme a courbé la tête et s’est suicidé. Les
églises protestantes ont traversé la four
naise. en y laissant un lambeau de leur
chair et, seules d’entre les victimes du Jé
suitisme, ont survécu à la persécution. Les
Jésuites, eux, sont toujours debout... plus
fort qu’ils n’ont jamais été, car le termite a
lentement poursuivi son œuvre. Religieuse
ment et moralement, l’église romaine est un
édifice vermoulu, mais elle est un parti poli
tique, et les Jésuites y régnent en maîtres.
Ils ont si bien façonné l’église à leur
image, brisé les résistances et tout plié sous
leur joug, qu’aujourd’hui catholicisme et
jésuitisme se confondent. Les Jésuites sont
tout dans l’église, et l’église, c’est eux. Leur
chute entraînera celle de l’église ; mais il ne
faut pas moins que la chute du romanisme
pour enlever l’empire des âmes aux fils de
Loyola. Et c’est là la donnée terrible du pro
blème qui se dresse devant la démocratie, et
auquel il lui est impossible d’échapper.
Les Jésuites ont renversé la morale chré
tienne. Relisez Pascal. Ils ont réduit les fi
dèles à être des instruments passifs entre
leurs mains. Ils tiennent l’homme par la
femme, l’avenir par l’enfant, le foyer et la
cité par le confessionnal. Quand vous aurez
analysé les éléments qui composent toutes
les réactions, de quelque nom qu’elles se dé
corent, vous trouverez toujours devant vous
l’homme noir, véritable Protée, qui change
de forme et de langage, mais qui est tou
jours le même dans sa haine de la liberté.
C’est l’ennemi d’hier, celui d’aujourd’hui,
celui de demain.
Maîtres de la morale, ils se sont établis en
maîtres dans le dogme. La piété catholique
•n’a d’autre nourriture que les superstitions
et les folies écloses dans ces cerveaux, qui
se jouent de la raison comme ils se jouent de
la conscience. Qu’aurait pensé Pascal, s’il
avait pu contempler dans une vision pro
phétique, le catholicisme de notre fin de
siècle : infaillibilité papale — relisez encore
les Provinciales — le culte idolâtrique de
Marie, les fantasmagories du Sacré-Cœur,
les jongleries de Saint-Antoine de Padoue ?
Ah ! il bondissait le grand homme de bien,
quand ses adversaires lui jetaient à la face
l’épithète de « calvinisme », parce qu’il dé
masquait le jésuitisme ; mais il aurait répété, /
lui aussi, dans le deuil de son âme, en je
tant un regard sur l’église : « On a enlevé
mon Seigneur, et je ne sais où on l’a mis ! »
Et une voix satanique lui aurait répondu
dans l’ombre que, pour être chrétien à notre
époque, il faut tourner le dos à ce que Jésus
a dit et enseigné...
Et le Drame des poisons ?... Justement,
nous y sommes.
Lisez donc le livre de M. F. Funck-Bren-
tano. Vous y verrez, non pas quelques cri
minels seulement, mais toute une société
emportée dans le tourbillon du crime, une
folie de poison tournant les cervelles, depuis
le dernier manant jusqu’aux plus huppés de
la cour de Louis XIV. C’est l’évocation la
plus effroyable des abîmes où peut rouler la
bête humaine, quand aucun frein moral
n’est plus là pour la retenir, la confirmation
de cette vérité qu’aucun roman n’atteint au
dramatique de l’histoire.
Or, presque tous ces gens-là, dont les
crimes effraient l’imagination, étaient « re
ligieux » à leur manière. Mme de Montes-
pan n’était pas seule, croyez-le bien, à « fil
trer le moucheron et à avaler le chameau »,
comme disait Jésus. Tous les autres faisaient
comme elle, et ce sont certains mots échap
pés en confession, qui mirent la justice sur
la trace des forfaits. Et quels forfaits !...
Assurément, le clergé frémit d’horreur à
l’ouïe de révélations immondes, et seconda
la justice dans sou œuvre. Mais qui donc
avait créé l’état d’âme qui rendait ces for
faits possibles, sinon ceux qui avaient ruiné
la morale en lui substituant les subtilités de
la casuistique, et enseigné dans leurs écrits
que l’on peut, quand on sait habilement s’y
prendre, tuer son ennemi sans se souiller
d’un péché ? Cette page honteuse, diabo
lique, de nos annales, est l’œuvre indirecte,
je le veux bien, mais certaine — de ceux qui,
en détruisant la conscience, ont renversé les
notions du bien et du mal. C’est la condam
nation écrasante d’un système, d’un ordre,
d’une religion..,
(Du Signal). Jean d’Arvay.
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JUIN 1900.
j 1
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1900
m’aime, dit Jésus, gardera ma Parole,
Celui qui
ABONNEMENTS :
France 1 Fr.
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DIRECTION :
H. HUCHET et C. HÉBERT
Evangélistes
43, rue Frédéric-Bellanger (Le Havre)
PROPAGANDE :
100 exemplaires pris au Havre.. 1 Fr. 25
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Conférences publiques
à 8 heures 1/4 du soir
LesMar«lis et Vendredis, 35, r.d’Estimau-
ville (quartier Notre-Dame— Le Havre)
Les 1 ers et 3 ,nes Jeudis de chaque mois
Réunions de dames (Croix blanche )
Les Mercredis, r. de l’Orphelinat (quartier
de la Mare-aux-Clercs — Sanvic)
Réunions de Tempérance
Les Dimanches, à 8 h. 1/4 du'soir
6, rue Cassard, G
ENTRÉE GRATUITE
À propos du Roi des Fléaux
Ec CRS DE GUERRE, « bulletin offi
ciel de l’Armée du Salut dans la
Suisse romande », reproduit dans
son numéro du 19 Mai, l’article qui
a paru dans l’UNIVERSEE «lu mois de
Mars, sous ce titre : ILE RDI DES
T LÉAUX.
L’autorisation de cette reproduc
tion n’a été demandée ni à l’auteur
«le l’article, ni à nous. Nous me pense
rions pas à nous en étonner, si le CRI
DE GUERRE indiquait que l'article a
été emprunté à l’U AT VERSEE. Mais 51
ne l’indique pas.
C’est un oubli que nous le prions de
vouloir bien réparer.
Nous lui demandons également de
rétablir le texte complet «ïc l'intro
duction, portant que ladite allocution
a été prononcée à la SECTION RÉFOR
MÉE, 6, rue Cassard, Ee Havre (SEC
TION DE LA CROIX BLEUE).
LA DIRECTION
ROME ET LES JÉSUITES
Le hasard des lectures a placé côte à côte,
sur ma table de travail, les Provinciales et
le Drame des poisons, l’œuvre immortelle
de Pascal et le livre si riche d’érudition
dans sa simplicité, du savant bibliothécaire
de l’Arsenal.
Ce dernier ouvrage est tiré des papiers de
la Bastille... Qu’était la sinistre forteresse,
dont il ne reste aucune trace auprès de celle
qui, toujours debout, hélas ! retient les âmes
captives, les condamnante l’éternelle nuit?
Quand se lèvera-t-il le jour radieux éclai
rant les ruines du jésuitisme à jamais
anéanti ?...
Il fait toujours bon relire les pages ven
geresses dans lesquelles Pascal a mis toute
l’indignation de son âme. Elles n’ont pas
vieilli ; elles ne vieilliront pas, aussi long
temps que l’esprit de mensonge et de servi
tude qu’elles ont flagellé, n'aura pas été
vaincu. Elles restent la protestation magni
fique de la conscience chrétienne contre ce
a machinisme moral », dont parlait élo
quemment Michelet, et qui est la négation
de TEvangile, lequel est lumière et vie.
La protestation!... qui n’a rien arrêté.
C’est le cœur serré qu’en relisant ce réquisi
toire enflammé, l’on revit par la pensée les
deux siècles et demi qui nous séparent de
cette joute mémorable. Le Jansénisme, ce
champion de la conscience au sein du catho
licisme, a été réduit en poussière. Le Galli
canisme a courbé la tête et s’est suicidé. Les
églises protestantes ont traversé la four
naise. en y laissant un lambeau de leur
chair et, seules d’entre les victimes du Jé
suitisme, ont survécu à la persécution. Les
Jésuites, eux, sont toujours debout... plus
fort qu’ils n’ont jamais été, car le termite a
lentement poursuivi son œuvre. Religieuse
ment et moralement, l’église romaine est un
édifice vermoulu, mais elle est un parti poli
tique, et les Jésuites y régnent en maîtres.
Ils ont si bien façonné l’église à leur
image, brisé les résistances et tout plié sous
leur joug, qu’aujourd’hui catholicisme et
jésuitisme se confondent. Les Jésuites sont
tout dans l’église, et l’église, c’est eux. Leur
chute entraînera celle de l’église ; mais il ne
faut pas moins que la chute du romanisme
pour enlever l’empire des âmes aux fils de
Loyola. Et c’est là la donnée terrible du pro
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auquel il lui est impossible d’échapper.
Les Jésuites ont renversé la morale chré
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l’homme noir, véritable Protée, qui change
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C’est l’ennemi d’hier, celui d’aujourd’hui,
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Maîtres de la morale, ils se sont établis en
maîtres dans le dogme. La piété catholique
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siècle : infaillibilité papale — relisez encore
les Provinciales — le culte idolâtrique de
Marie, les fantasmagories du Sacré-Cœur,
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mon Seigneur, et je ne sais où on l’a mis ! »
Et une voix satanique lui aurait répondu
dans l’ombre que, pour être chrétien à notre
époque, il faut tourner le dos à ce que Jésus
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Et le Drame des poisons ?... Justement,
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Lisez donc le livre de M. F. Funck-Bren-
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folie de poison tournant les cervelles, depuis
le dernier manant jusqu’aux plus huppés de
la cour de Louis XIV. C’est l’évocation la
plus effroyable des abîmes où peut rouler la
bête humaine, quand aucun frein moral
n’est plus là pour la retenir, la confirmation
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dramatique de l’histoire.
Or, presque tous ces gens-là, dont les
crimes effraient l’imagination, étaient « re
ligieux » à leur manière. Mme de Montes-
pan n’était pas seule, croyez-le bien, à « fil
trer le moucheron et à avaler le chameau »,
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