Titre : "Les Petites A" : organe de la Fédération régionale havraise des amicales laïques : journal mensuel / rédaction M. M. Pimon
Auteur : Fédération régionale havraise des amicales laïques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1937-12-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328381105
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 décembre 1937 01 décembre 1937
Description : 1937/12/01 (N132)-1937/12/31. 1937/12/01 (N132)-1937/12/31.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k982770w
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-46425
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 08/06/2015
ll me Année. — N° 132.
LIGUE FRANÇAISE DE L’ENSEIGNEMENT
CONFEDERATION GENERALE DES ŒUVRES LAÏQUES (reconnue d’utilité publique)
Décembre 1937.
MALUMi
le Bijoutier delà Place Thiers
ô côté du Printemps
LE MIEUX AIIORTI ZZ
en MONTRE J ET BIJOUX
ffca/ijc 10 °/o 3 nos ^Sociétaires
Publicité: M. CANDELLIER
5, Rue des Etoupiéres - LE HAVRE
" n - >tc^vi^e^v oie
S. A. O. K* 3702
Organe de la Fédération Régionale Havraise des Œuvres Laïques
Rédaction : M. PIMONT Tél.. 54.02
119, rue de Tourneville — LE HAVRE
Président actif :
Secrétaire Général de la Fédération :
Trésorier Général de la Fédération :
Secrétariat administratif:
M. ARNAUDTIZON
M. CANDELLIER, Ecole des Etoupiéres - LE HAVRE
M. ROUSSEL, 34, rue de la République — SANVIC
Ecole de Garçons
19, Bd Foch, LE HAVRE Tél. 66-51
Xélôplioxxe 46.38
Tél. 76-80 Chèques Postaux Bouen 62.34
Rue des Etoupiéres - LE HAVRE |
Ligue Française de FEnseignement
O
coûtés HtlKUUL DE 1931
O
Le 54 me Congrès National de la Confédé
ration Générale des Œuvres Laïques (Ligue
de l’Enseignement) aura lieu à la Pentecôte
1938. Les deux grandes questions mues à
l’étude pour ce Congrès sont :
I. - L’organisation des Loisirs dans une Dé
mocratie (Rapporteur : M. J. BRENIER, Pre
sident de la Ligue de l'Enseignement >.
II. - Les rapports de l’Education Nationale
et de l’Education humaine (Rapporteur : M.
H. LUC, Président de la Fédération des Œu
vres laïques de la Seine).
Les questionnaires introductifs relatifs à
ces deux problèmes sont publiés en fascicu
les séparés. Chacune de ces brochures sera
envoyée sur demande, en autant d’exemplai
res qu’il est nécessaire pour permettre à tou
tes les Sociétés confédérées de participer à
cette étude. Il est rappelé- qu’il appartient
aux Fédérations d’adresser les commandes
groupées et d’assurer la répartition. Les So
ciétés rédigeront leurs réponses qui devront
être envoyées au Secrétariat avant le 31 Jan
vier.
Nous insistons sur la date, car le rapport
fédéral devra être rédigé assez vite de ma
nière à être présenté à la Fédération Dépar
tementale et après mise au point parvenir
au Rapporteur général à Paris avant le
1 er Mars.
Noter aussi que les vœux divers à sou
mettre aü Congrès doivent être reçus par le
Secrétariat général au Havre avant le 20
Février.
En ce qui concerne ces vœux, il y a lieu
d’en limiter le nombre pour augmenter les
chances de les voir aboutir. Conformément
à l’opinion de M. K. Seguin, rapporteur con
fédéral, les vœux émis, contrairement aux
errements habituels, devraient davantage
porter sur des suggestions que sur des récri
minations.
DÉTACHEMENT
—O
Il y a déjà un an, notre actif Ministre de
l’Education Nationale, Jean Zay, annonçait
qu’un projet de loi prévoyait « qu’un insti
tuteur détaché sera, dans chaque départe
ment, chargé du Secrétariat des œuvres com
plémentaires de l’Ecole ».
Cette initiative, qui jusqu’à présent, n’a
produit son effet — le vote n’étant pas en
core acquis — que dans de rares cas parti
culiers, répond trop à un vœu plusieurs fois
formulé par les Fédérations et la Ligue elle-
même pour n’avoir pas rempli de satisfaction
et d’espoir les Œuvres Laïques.
Pourtant, au moment de voir nos désirs
réalisés, des craintes et des scrupules vien
nent troubler notre joie.
Comment se fera ce détachement ? Qui
sera détaché, c’est-à-dire qui désignera le
titulaire d’une charge que nous estimons de
très grosse importance ? Quels seront ses
moyens d’action et ses possibilités ? Dans
quelle mesure cette aide matérielle à nos
Œuvres respectera-t-elle notre liberté ? Com
ment s’établira la collaboration du délégué
avec l’Administration universitaire et avec
les groupements en plein fonctionnement ?
Quel est le contrôle prévu et comment
s’exercera-t-il ? Quelles qualités et qu’elles
références demandera-t-on au titulaire ?
Dans quelles limites pourra-t-il se mouvoir
et quel accueil lui réserveront les différents
ordres d’enseignement et les autorités diver
ses auprès desquelles il sera accrédité ?
Sera-t-il un Secrétaire administratif nou
veau commis d’inspection académique ?
Sera-t-il un personnage officiel ambulant
chargé d’animer par sa présence et sa pa
role les manifestations innombrables dans
son district immense ? Jouera-t-il le rôle
d’un animateur ou celui d’un inspecteur
sorte de contrôleur de subventions ? Il ne
faut pas oublier que l’action post-scolaire
relève de l’initiative privée. Les Œuvres
— fédérées et confédérées — continuent à
être gérées par la masse des sociétaires. La
majorité est souveraine et ne peut admettre
une intervention étrangère.
La collaboration suppose l’entente. Si le
« détaché » travaille sous la seule responsa
bilité des œuvres intéressées, si son action
n’est pas mise en tutelle par les Adminis
trations, ni dictée par les représentants du
Gouvernement, ni influencée par les politi
ciens, on peut escompter le développement
de nos œuvres et l’accroissement de leur
activité.
S’il doit dépendre de l’Inspection acadé
mique, il ne pourra tenir compte des direc
tives venues des laïques groupés dans les
Sociétés nombreuses, diverses dans leur
fonctionnement, leurs conceptions et leurs
traditions.
Voilà qui doit être bien déterminé avant
que nous puissions accepter ce détachement
qui pourra être si fécond s’il ne veut pas
dire contrôle officiel et subordination.
N.-B. - A-t-on d’ailleurs bien réfléchi que
les divers départements français ne peuvent
pas être traités d’une façon identique, leur
étendue, leur population, leur activité étant
incomparablement diverses ? Il y a des ré
gions où il faudrait plusieurs détachés :
Seine, Seine-et-Oise, Nord, Rhône, Loire par
exemple. Quant à l’activité sportive, à elle
seule, elle demanderait presque partout un
« détachement » spécial. On voit que la ques
tion est plus complexe qu’elle n’apparaît au
premier abord.
CARTES CONFÉDÉRALES 1938
O
Nous faisons comme chaque année un appel
en faveur de la Carte Confédérale qui est
adressée à nos Sociétés.
Nous engageons vivement MM. les Prési
dents à ne pas garder ces cartes dans leurs
archives. Vendez-les à vos Sociétaires à qui
elles peuvent servir de carte de votre pro
pre Société.
Nous nous ferons même un devoir de vous
en adresser autant que vous le désirerez, si
vous voulez en munir tous vos Sociétaires,
comme l’ont fait différentes Sociétés laïques,
qui s’en servent de carte pour leurs adhé
rents.
Un certain nombre de nos Sociétés adhé
rentes se sont ainsi créé une ressource inté
ressante en revendant 2 francs cette carte
facturée 1 franc.
De ce fait, les mêmes Sociétés rendent un
service inappréciable à la Confédération Na
tionale des Œuvres laïques de France, qui
n’a pour ressource que la vente de cette
carte.
En 1935 (nous n’avons pas les chiffres de
1936), il en a été vendu 180.000 dans toute
la France, dont 17.000 dans la Loire, 10.000
dans les Bouches-du-Rhône, 9.000 dans le
Nord, 9.500 dans le Rhône, 3.000 dans la
Seine-Inférieure, ce qui est loin, ailleurs
comme dans notre département; de représen
ter les effectifs laïques de nos organisations.
En face de ces 180.000 cotisants, la Fédé
ration Nationale Catholique du général de
Castelnau dresse une masse compacte de
2.700.000 cotisants, lesquels versent, eux aussi,
une somme de 1 franc ou 2 francs.
Au lieu de répéter : « Ils trouvent tou
jours de l’argent ! » est-il impossible que
nous arrivions à ce résultat ?
Nous vous faisons conüance, assurés que
nous sommés de votre esprit fédéral et de
votre foi laïque.
Nous publions très volontiers cette circu
laire de la Ligue de l’Enseignement en sou
haitant que soient nombreux les documents
qui nous seront envoyés. Nous serions même
heureux de reproduire dans notre organe
les clichés très nets et avec des contrastes
très accentués qu’on voudrait bien nous con
fier.
« Nous constituons actuellement une docu
mentation photographique importante con
cernant les diverses activités de la Confédé
ration. Nous serions heureux d’avoir dans
cette tâche votre précieux concours d’autant
plus qu’un certain nombre de photographies
étant susceptibles d’être reproduites votre
Fédération et les Sociétés qui lui sont affi
liées seraient ainsi particulièrement à l’hon
neur.
Ces photos concernent principalement :
Les fêtes et manifestations laïques, fêtes
de jeunesse, fêtes sportives, fêtes théâtrales,
musicales, expositions, kermesses...
Les réunions de patronages laïques ;
Les coopératives scolaires ;
Les cantines scolaires ;
Les colonies scolaires de vacances ; les
sections d’Aviation populaire ;
Les Auberges de jeunesse, camps de va
cances, camping, scoutisme ;
Toutes Organisations destinées aux loisirs
de l’enfant, à l’adulte, etc...
Nous insistons sur l’intérêt que représen
tent spécialement des photographies pitto
resques et vivantes, aussi nettes que possi
ble.
Enfin, nous demandons à nos amis de pren
dre l’habitude de photographier toutes les
manifestations locales ou régionales auxquel
les la Confédération est associée. Ces docu
ments seront conservés dans nos archives
et fréquemment utilisés pour notre propa
gande. Nous exposerons en outre les meil
leurs envois, périodiquement, rue Récamier.
Nous vous remercions d’avance de ce que
vous ferez.
Le Secrétaire général administratif,
J. Dyard.
Les Festivals Jean Zay
O
RÈGLEMENT
Article Premier. — La Ligue de l’Ensei
gnement en accord avec sa Section nationale
de l’U.F.O.L.E.A. organisera, à partir du 15
Janvier 1938 et jusqu’au Dimanche 10 Avril
inclus, des Manifestations artistiques desti
nées à être radiodiffusées, au moins en partie.
Art. 2. — Chaque Fédération à jour de
ses cotisations au 31 Décembre 1937 et pos
sédant une Section régulière de l’U. F. O. L.
E. A. peut demander l’organisation d’un et
même de plusieurs de ces festivals.
Art. 3. — La Fédération proposera la date
et le lieu de la manifestation envisagée, l’u
tilisation du micro étant subordonnée aux
possibilités d’émission et de transmission.
Une entente entre les organisateurs et les
services locaux des P.T.T. devra intervenir
pour fixer notamment l’heure à laquelle l’é
mission commencera et quelle sera sa durée.
Art. 4. — C’est à la Fédération qu’il ap
partient de composer son programme, compte
tenu des indications données dans l’exposé
qui précède. On devra utiliser de préférence
les pièces de théâtres, comédies, opérettes,
ainsi que les chœurs et chants dont il est fait
mention dans « L’Action Laïque » n° 50 Sep
tembre-Octobre-Novembre 1937, et les mor
ceaux de musique orchestrale dont la liste
paraît dans « L’Action Laïque » n° 51 Dé
cembre 1937.
La Fédération doit donner la composition
exacte du programme proposé, le nombre
des exécutants pour chacune des parties, les
conditions de présentation, la date, l’heure,
et tous autres renseignements qu’elle jugera
utiles.
Le cas échéant, les Fédérations devront
soumettre les manuscrits des pièces inédites
et le texte des commentaires qui pourront
s’intercaler entre les exécutions.
Art. 5. — Les diverses parties des pro
grammes peuvent être exécutées par des œu
vres, sections, écoles appartenant à des loca
lités différentes.
Art. 6. — Les frais inhérents à l’organisa
tion de chacun de ces festivals incombent en
totalité à la Fédération qui perçoit à son pro
fit les recettes éventuelles : prix d’entrée,
vestiaire, ventes diverses, etc...
Art. 7. — Les demandes des Fédérations
accompagnées des programmes et renseigne
ments mentionnés à l’article 4 devront par
venir au Secrétariat administratif de l’U.F.O.
L.E.A., 3, rue Récamier, le 3 Janvier, dernier
délai ; le Bureau de l’U.F.O.L.E.A., complété
par les Secrétaires des Commissions : Théâ
tre. Musique, Chant, les examinera et déci
dera de l’acceptation ou du rejet des propo
sitions soumises par les Fédérations, lesquel
les seront informées aussitôt.
Art. 8. — Des récompenses comprenant
diplômes, médailles, allocations en espèces
d’une valeur de 500 francs minimum à 3.000
francs maximum, seront attribuées aux Fédé
rations en fonction de la valeur artistique des
manifestations présentées, compte tenu des
dépenses engagées par elles, notamment pour
couvrir les frais de voyage des Sections trans
portées de leur commune au lieu du festival.
La répartition éventuelle des allocations en
espèces attribuées à la Fédération entre les
divers groupements ayant participé au festi
val sera effectuée par la Fédération elle-
même.
Art. 9. — Un délégué désigné par le Bu
reau de l’U.F.O.L.E.A., assistera à chacun des
festivals ; il établira un rapport écrit et fera
des propositions de récompenses à la Com
mission dont il est parlé à l’article 7 ; celle-
ci centralisera tous les rapports et, après
examen, attribuera les récompenses.
Art. 10. — L’Administration des P. T. T.
s’étant réservé le droit d’entendre, avant l’é
mission, la partie du programme qui sera
radiodiffusée, les organisateurs devront in
former les services locaux compétents de
cette Administration, de la date, de l’heure,
du local où sera présenté en première audi
tion le programme ; un accord sera ensuite
établi sur la partie du programme à diffuser
et la date, l’heure et le lieu de l’émission.
Art. 11. — La Commission prévue à l’arti
cle 7, est qualifiée pour prendre toutes déci
sions non prévues dans le présent règlement
et que ls circonstances motiveraient, sous la
seule réserve qu’elles n’entraîneront aucune
augmentation des crédits affectés par la Li
gue à l’organisation de ces festivals.
Le Président de la Ligue :
J. Brenier.
Le Commissaire général
de l’U.F.O.L.E.A. :
H. Luc.
DATES A PRÉVOIR
Assemblée Générale ; 30 Janvier.
Conférence Le Foyer : 23 Février.
Cycle Fédéral : 15 au 30 Février.
Concours Fédéraux : 2 Mai.
Fête Fédérale et Petit Congrès : 9 Mai.
Kermesse des Petites « A » : 12 Juin.
Fête du Plein Air, à Etretat ; 3 Juillet.
Cours de Sténographie
O
EXAMENS DU 31 JUILLET 1937
La Commission Centrale de l’Institut In
ternational de Sténographie à Paris, qui a
procédé à la correction des épreuves de sté
nographie qui lui furent transmises par le
Centre du Havre, à la suite des examens de
Juillet dernier, communique les résultats
suivants :
100 mots par minute : Mlles Jacqueline
Le Baillif et Lucienne Palfray (toutes deux
avec mention très bien).
80 mots par minute : Mlles Lucienne Ba-
chelet (T. B.), Adrienne Lefebvre (B.), Ma
deleine Lucas.
60 mots par minute : Georgette Catelain
(T. B.), Simone Polet.
50 mots par minutes : Mlle Roberte Roc-
chia (T. B.).
Calligraphie (théorie-métagraphie) ; Mlles
Nelly Adde, Gisèle Lesueur et Marie Moy-
san (toutes avec mention très bien) ; Yvette
Deschamps, Denise Duhamel, Renée Kernoa
et Hélène Longuet (toutes avec mention bien).
Les lauréates sont informées que les diplô
més qui leur ont été délivrés leur seront re
mis par la Fédération des Petites « A », lors
d’une réunion dont la date sera indiquée ul
térieurement, ou par M. Larridon, professeur
du Cours de la Fédération, 11, rue Siegfried.
En outre, des récompenses supplémentaires
seront données aux élèves qui ont suiVi ré
gulièrement les Cours pendant l’année sco
laire 1936-1937.
Nous devons mentionner que 3 jeunes filles
n’ayant pas suivi les cours ont été autorisées
à subir les épreuves avec nos élèves ; Mlles
Métayer, Eude, Lehoux.
xxx
Nous sommes allés rendre visite à l’excel
lent professeur et nous avons été pleinement
satisfaits.
Nous l’avons retrouvé comme chaque an
née depuis quatorze ans, à peine vieilli, doux,
patient et persuasif. Il n’a plus l’utile colla
boration d'une dame comme jusqu’à présent.
Mlle Gérard a dû renoncer après ses devan
cières à venir deux fois par semaine pendant
9 mois lui apporter une aide précieuse.
Et voilà qu’il est pourtant récompensé de
sa persévérance. Après quelques années de
crise, il a cette année plus d’élèves que ja
mais. Elles sont plus de cinquante en ce début
de saison. Nous les avons vues, les aînées,
celles qui font leur 2 e , leur 3?, leur ¥ année
même, et les débutantes, jeunes, mais coura
geuses, venues pour apprendre. Elles ont un
petit air réfléchi et grave, que n’avaient pas
toujours leurs devancières. Elles comprennent
que la vie est de plus en plus dure, qu’elles
doivent se « défendre », et elles se défendent
bien. Elles n’ont pas craint, pour gagner du
temps, de s'attaquer tout de suite à la méta-
graphie.
Elles arrivent là, sérieuses, avec juste ce
qu il faut de sourire pour qu’on ne les prenne
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LIGUE FRANÇAISE DE L’ENSEIGNEMENT
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Décembre 1937.
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ffca/ijc 10 °/o 3 nos ^Sociétaires
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Organe de la Fédération Régionale Havraise des Œuvres Laïques
Rédaction : M. PIMONT Tél.. 54.02
119, rue de Tourneville — LE HAVRE
Président actif :
Secrétaire Général de la Fédération :
Trésorier Général de la Fédération :
Secrétariat administratif:
M. ARNAUDTIZON
M. CANDELLIER, Ecole des Etoupiéres - LE HAVRE
M. ROUSSEL, 34, rue de la République — SANVIC
Ecole de Garçons
19, Bd Foch, LE HAVRE Tél. 66-51
Xélôplioxxe 46.38
Tél. 76-80 Chèques Postaux Bouen 62.34
Rue des Etoupiéres - LE HAVRE |
Ligue Française de FEnseignement
O
coûtés HtlKUUL DE 1931
O
Le 54 me Congrès National de la Confédé
ration Générale des Œuvres Laïques (Ligue
de l’Enseignement) aura lieu à la Pentecôte
1938. Les deux grandes questions mues à
l’étude pour ce Congrès sont :
I. - L’organisation des Loisirs dans une Dé
mocratie (Rapporteur : M. J. BRENIER, Pre
sident de la Ligue de l'Enseignement >.
II. - Les rapports de l’Education Nationale
et de l’Education humaine (Rapporteur : M.
H. LUC, Président de la Fédération des Œu
vres laïques de la Seine).
Les questionnaires introductifs relatifs à
ces deux problèmes sont publiés en fascicu
les séparés. Chacune de ces brochures sera
envoyée sur demande, en autant d’exemplai
res qu’il est nécessaire pour permettre à tou
tes les Sociétés confédérées de participer à
cette étude. Il est rappelé- qu’il appartient
aux Fédérations d’adresser les commandes
groupées et d’assurer la répartition. Les So
ciétés rédigeront leurs réponses qui devront
être envoyées au Secrétariat avant le 31 Jan
vier.
Nous insistons sur la date, car le rapport
fédéral devra être rédigé assez vite de ma
nière à être présenté à la Fédération Dépar
tementale et après mise au point parvenir
au Rapporteur général à Paris avant le
1 er Mars.
Noter aussi que les vœux divers à sou
mettre aü Congrès doivent être reçus par le
Secrétariat général au Havre avant le 20
Février.
En ce qui concerne ces vœux, il y a lieu
d’en limiter le nombre pour augmenter les
chances de les voir aboutir. Conformément
à l’opinion de M. K. Seguin, rapporteur con
fédéral, les vœux émis, contrairement aux
errements habituels, devraient davantage
porter sur des suggestions que sur des récri
minations.
DÉTACHEMENT
—O
Il y a déjà un an, notre actif Ministre de
l’Education Nationale, Jean Zay, annonçait
qu’un projet de loi prévoyait « qu’un insti
tuteur détaché sera, dans chaque départe
ment, chargé du Secrétariat des œuvres com
plémentaires de l’Ecole ».
Cette initiative, qui jusqu’à présent, n’a
produit son effet — le vote n’étant pas en
core acquis — que dans de rares cas parti
culiers, répond trop à un vœu plusieurs fois
formulé par les Fédérations et la Ligue elle-
même pour n’avoir pas rempli de satisfaction
et d’espoir les Œuvres Laïques.
Pourtant, au moment de voir nos désirs
réalisés, des craintes et des scrupules vien
nent troubler notre joie.
Comment se fera ce détachement ? Qui
sera détaché, c’est-à-dire qui désignera le
titulaire d’une charge que nous estimons de
très grosse importance ? Quels seront ses
moyens d’action et ses possibilités ? Dans
quelle mesure cette aide matérielle à nos
Œuvres respectera-t-elle notre liberté ? Com
ment s’établira la collaboration du délégué
avec l’Administration universitaire et avec
les groupements en plein fonctionnement ?
Quel est le contrôle prévu et comment
s’exercera-t-il ? Quelles qualités et qu’elles
références demandera-t-on au titulaire ?
Dans quelles limites pourra-t-il se mouvoir
et quel accueil lui réserveront les différents
ordres d’enseignement et les autorités diver
ses auprès desquelles il sera accrédité ?
Sera-t-il un Secrétaire administratif nou
veau commis d’inspection académique ?
Sera-t-il un personnage officiel ambulant
chargé d’animer par sa présence et sa pa
role les manifestations innombrables dans
son district immense ? Jouera-t-il le rôle
d’un animateur ou celui d’un inspecteur
sorte de contrôleur de subventions ? Il ne
faut pas oublier que l’action post-scolaire
relève de l’initiative privée. Les Œuvres
— fédérées et confédérées — continuent à
être gérées par la masse des sociétaires. La
majorité est souveraine et ne peut admettre
une intervention étrangère.
La collaboration suppose l’entente. Si le
« détaché » travaille sous la seule responsa
bilité des œuvres intéressées, si son action
n’est pas mise en tutelle par les Adminis
trations, ni dictée par les représentants du
Gouvernement, ni influencée par les politi
ciens, on peut escompter le développement
de nos œuvres et l’accroissement de leur
activité.
S’il doit dépendre de l’Inspection acadé
mique, il ne pourra tenir compte des direc
tives venues des laïques groupés dans les
Sociétés nombreuses, diverses dans leur
fonctionnement, leurs conceptions et leurs
traditions.
Voilà qui doit être bien déterminé avant
que nous puissions accepter ce détachement
qui pourra être si fécond s’il ne veut pas
dire contrôle officiel et subordination.
N.-B. - A-t-on d’ailleurs bien réfléchi que
les divers départements français ne peuvent
pas être traités d’une façon identique, leur
étendue, leur population, leur activité étant
incomparablement diverses ? Il y a des ré
gions où il faudrait plusieurs détachés :
Seine, Seine-et-Oise, Nord, Rhône, Loire par
exemple. Quant à l’activité sportive, à elle
seule, elle demanderait presque partout un
« détachement » spécial. On voit que la ques
tion est plus complexe qu’elle n’apparaît au
premier abord.
CARTES CONFÉDÉRALES 1938
O
Nous faisons comme chaque année un appel
en faveur de la Carte Confédérale qui est
adressée à nos Sociétés.
Nous engageons vivement MM. les Prési
dents à ne pas garder ces cartes dans leurs
archives. Vendez-les à vos Sociétaires à qui
elles peuvent servir de carte de votre pro
pre Société.
Nous nous ferons même un devoir de vous
en adresser autant que vous le désirerez, si
vous voulez en munir tous vos Sociétaires,
comme l’ont fait différentes Sociétés laïques,
qui s’en servent de carte pour leurs adhé
rents.
Un certain nombre de nos Sociétés adhé
rentes se sont ainsi créé une ressource inté
ressante en revendant 2 francs cette carte
facturée 1 franc.
De ce fait, les mêmes Sociétés rendent un
service inappréciable à la Confédération Na
tionale des Œuvres laïques de France, qui
n’a pour ressource que la vente de cette
carte.
En 1935 (nous n’avons pas les chiffres de
1936), il en a été vendu 180.000 dans toute
la France, dont 17.000 dans la Loire, 10.000
dans les Bouches-du-Rhône, 9.000 dans le
Nord, 9.500 dans le Rhône, 3.000 dans la
Seine-Inférieure, ce qui est loin, ailleurs
comme dans notre département; de représen
ter les effectifs laïques de nos organisations.
En face de ces 180.000 cotisants, la Fédé
ration Nationale Catholique du général de
Castelnau dresse une masse compacte de
2.700.000 cotisants, lesquels versent, eux aussi,
une somme de 1 franc ou 2 francs.
Au lieu de répéter : « Ils trouvent tou
jours de l’argent ! » est-il impossible que
nous arrivions à ce résultat ?
Nous vous faisons conüance, assurés que
nous sommés de votre esprit fédéral et de
votre foi laïque.
Nous publions très volontiers cette circu
laire de la Ligue de l’Enseignement en sou
haitant que soient nombreux les documents
qui nous seront envoyés. Nous serions même
heureux de reproduire dans notre organe
les clichés très nets et avec des contrastes
très accentués qu’on voudrait bien nous con
fier.
« Nous constituons actuellement une docu
mentation photographique importante con
cernant les diverses activités de la Confédé
ration. Nous serions heureux d’avoir dans
cette tâche votre précieux concours d’autant
plus qu’un certain nombre de photographies
étant susceptibles d’être reproduites votre
Fédération et les Sociétés qui lui sont affi
liées seraient ainsi particulièrement à l’hon
neur.
Ces photos concernent principalement :
Les fêtes et manifestations laïques, fêtes
de jeunesse, fêtes sportives, fêtes théâtrales,
musicales, expositions, kermesses...
Les réunions de patronages laïques ;
Les coopératives scolaires ;
Les cantines scolaires ;
Les colonies scolaires de vacances ; les
sections d’Aviation populaire ;
Les Auberges de jeunesse, camps de va
cances, camping, scoutisme ;
Toutes Organisations destinées aux loisirs
de l’enfant, à l’adulte, etc...
Nous insistons sur l’intérêt que représen
tent spécialement des photographies pitto
resques et vivantes, aussi nettes que possi
ble.
Enfin, nous demandons à nos amis de pren
dre l’habitude de photographier toutes les
manifestations locales ou régionales auxquel
les la Confédération est associée. Ces docu
ments seront conservés dans nos archives
et fréquemment utilisés pour notre propa
gande. Nous exposerons en outre les meil
leurs envois, périodiquement, rue Récamier.
Nous vous remercions d’avance de ce que
vous ferez.
Le Secrétaire général administratif,
J. Dyard.
Les Festivals Jean Zay
O
RÈGLEMENT
Article Premier. — La Ligue de l’Ensei
gnement en accord avec sa Section nationale
de l’U.F.O.L.E.A. organisera, à partir du 15
Janvier 1938 et jusqu’au Dimanche 10 Avril
inclus, des Manifestations artistiques desti
nées à être radiodiffusées, au moins en partie.
Art. 2. — Chaque Fédération à jour de
ses cotisations au 31 Décembre 1937 et pos
sédant une Section régulière de l’U. F. O. L.
E. A. peut demander l’organisation d’un et
même de plusieurs de ces festivals.
Art. 3. — La Fédération proposera la date
et le lieu de la manifestation envisagée, l’u
tilisation du micro étant subordonnée aux
possibilités d’émission et de transmission.
Une entente entre les organisateurs et les
services locaux des P.T.T. devra intervenir
pour fixer notamment l’heure à laquelle l’é
mission commencera et quelle sera sa durée.
Art. 4. — C’est à la Fédération qu’il ap
partient de composer son programme, compte
tenu des indications données dans l’exposé
qui précède. On devra utiliser de préférence
les pièces de théâtres, comédies, opérettes,
ainsi que les chœurs et chants dont il est fait
mention dans « L’Action Laïque » n° 50 Sep
tembre-Octobre-Novembre 1937, et les mor
ceaux de musique orchestrale dont la liste
paraît dans « L’Action Laïque » n° 51 Dé
cembre 1937.
La Fédération doit donner la composition
exacte du programme proposé, le nombre
des exécutants pour chacune des parties, les
conditions de présentation, la date, l’heure,
et tous autres renseignements qu’elle jugera
utiles.
Le cas échéant, les Fédérations devront
soumettre les manuscrits des pièces inédites
et le texte des commentaires qui pourront
s’intercaler entre les exécutions.
Art. 5. — Les diverses parties des pro
grammes peuvent être exécutées par des œu
vres, sections, écoles appartenant à des loca
lités différentes.
Art. 6. — Les frais inhérents à l’organisa
tion de chacun de ces festivals incombent en
totalité à la Fédération qui perçoit à son pro
fit les recettes éventuelles : prix d’entrée,
vestiaire, ventes diverses, etc...
Art. 7. — Les demandes des Fédérations
accompagnées des programmes et renseigne
ments mentionnés à l’article 4 devront par
venir au Secrétariat administratif de l’U.F.O.
L.E.A., 3, rue Récamier, le 3 Janvier, dernier
délai ; le Bureau de l’U.F.O.L.E.A., complété
par les Secrétaires des Commissions : Théâ
tre. Musique, Chant, les examinera et déci
dera de l’acceptation ou du rejet des propo
sitions soumises par les Fédérations, lesquel
les seront informées aussitôt.
Art. 8. — Des récompenses comprenant
diplômes, médailles, allocations en espèces
d’une valeur de 500 francs minimum à 3.000
francs maximum, seront attribuées aux Fédé
rations en fonction de la valeur artistique des
manifestations présentées, compte tenu des
dépenses engagées par elles, notamment pour
couvrir les frais de voyage des Sections trans
portées de leur commune au lieu du festival.
La répartition éventuelle des allocations en
espèces attribuées à la Fédération entre les
divers groupements ayant participé au festi
val sera effectuée par la Fédération elle-
même.
Art. 9. — Un délégué désigné par le Bu
reau de l’U.F.O.L.E.A., assistera à chacun des
festivals ; il établira un rapport écrit et fera
des propositions de récompenses à la Com
mission dont il est parlé à l’article 7 ; celle-
ci centralisera tous les rapports et, après
examen, attribuera les récompenses.
Art. 10. — L’Administration des P. T. T.
s’étant réservé le droit d’entendre, avant l’é
mission, la partie du programme qui sera
radiodiffusée, les organisateurs devront in
former les services locaux compétents de
cette Administration, de la date, de l’heure,
du local où sera présenté en première audi
tion le programme ; un accord sera ensuite
établi sur la partie du programme à diffuser
et la date, l’heure et le lieu de l’émission.
Art. 11. — La Commission prévue à l’arti
cle 7, est qualifiée pour prendre toutes déci
sions non prévues dans le présent règlement
et que ls circonstances motiveraient, sous la
seule réserve qu’elles n’entraîneront aucune
augmentation des crédits affectés par la Li
gue à l’organisation de ces festivals.
Le Président de la Ligue :
J. Brenier.
Le Commissaire général
de l’U.F.O.L.E.A. :
H. Luc.
DATES A PRÉVOIR
Assemblée Générale ; 30 Janvier.
Conférence Le Foyer : 23 Février.
Cycle Fédéral : 15 au 30 Février.
Concours Fédéraux : 2 Mai.
Fête Fédérale et Petit Congrès : 9 Mai.
Kermesse des Petites « A » : 12 Juin.
Fête du Plein Air, à Etretat ; 3 Juillet.
Cours de Sténographie
O
EXAMENS DU 31 JUILLET 1937
La Commission Centrale de l’Institut In
ternational de Sténographie à Paris, qui a
procédé à la correction des épreuves de sté
nographie qui lui furent transmises par le
Centre du Havre, à la suite des examens de
Juillet dernier, communique les résultats
suivants :
100 mots par minute : Mlles Jacqueline
Le Baillif et Lucienne Palfray (toutes deux
avec mention très bien).
80 mots par minute : Mlles Lucienne Ba-
chelet (T. B.), Adrienne Lefebvre (B.), Ma
deleine Lucas.
60 mots par minute : Georgette Catelain
(T. B.), Simone Polet.
50 mots par minutes : Mlle Roberte Roc-
chia (T. B.).
Calligraphie (théorie-métagraphie) ; Mlles
Nelly Adde, Gisèle Lesueur et Marie Moy-
san (toutes avec mention très bien) ; Yvette
Deschamps, Denise Duhamel, Renée Kernoa
et Hélène Longuet (toutes avec mention bien).
Les lauréates sont informées que les diplô
més qui leur ont été délivrés leur seront re
mis par la Fédération des Petites « A », lors
d’une réunion dont la date sera indiquée ul
térieurement, ou par M. Larridon, professeur
du Cours de la Fédération, 11, rue Siegfried.
En outre, des récompenses supplémentaires
seront données aux élèves qui ont suiVi ré
gulièrement les Cours pendant l’année sco
laire 1936-1937.
Nous devons mentionner que 3 jeunes filles
n’ayant pas suivi les cours ont été autorisées
à subir les épreuves avec nos élèves ; Mlles
Métayer, Eude, Lehoux.
xxx
Nous sommes allés rendre visite à l’excel
lent professeur et nous avons été pleinement
satisfaits.
Nous l’avons retrouvé comme chaque an
née depuis quatorze ans, à peine vieilli, doux,
patient et persuasif. Il n’a plus l’utile colla
boration d'une dame comme jusqu’à présent.
Mlle Gérard a dû renoncer après ses devan
cières à venir deux fois par semaine pendant
9 mois lui apporter une aide précieuse.
Et voilà qu’il est pourtant récompensé de
sa persévérance. Après quelques années de
crise, il a cette année plus d’élèves que ja
mais. Elles sont plus de cinquante en ce début
de saison. Nous les avons vues, les aînées,
celles qui font leur 2 e , leur 3?, leur ¥ année
même, et les débutantes, jeunes, mais coura
geuses, venues pour apprendre. Elles ont un
petit air réfléchi et grave, que n’avaient pas
toujours leurs devancières. Elles comprennent
que la vie est de plus en plus dure, qu’elles
doivent se « défendre », et elles se défendent
bien. Elles n’ont pas craint, pour gagner du
temps, de s'attaquer tout de suite à la méta-
graphie.
Elles arrivent là, sérieuses, avec juste ce
qu il faut de sourire pour qu’on ne les prenne
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