KPITRK
A Hrssieirj lt$ fotas At U Swirtè Hitrû* Jil*ks Hun**
& l«ct«siw 4* u cUnuaU ries* U Tm 4* * MVSmt.
m H BNTUt lilU
jVvn M. I/ABHK l'I('AIU).
Messieurs, Moteurs», «les Kiudtt Umrxt,
lu seul IIIOJ, s'il roui plaît... C'est connue par averses
Que vous faites pleuvoir sur noire vieux lioueu
. Vos VÎT*, j'en conviendrai, pleim de grâce, d'élan,
Mais, par-là même aussi, plu* piquants, plus rau*tk|ues.
Uouoii s'en est ému. Du fond de se» boutique*
(En liavrai* : Mngasim) il pousse un cri d'effroi.
Il se dit, étonné, plein de stupeur : • F.li! quoi.'
\ja Havre! Est-ce bien lui qui, d'une voix si forte.
Vient me stigmatiser, m'immoler de U sorte,
Moi. que l'on vit toujours si dou\, si patient ?
Lo Hat a- !... Mais, pour moi, ce n'est rien qu'un enfant
Son sol n'était pu mémo encor un roarèVagi*,
Il gisait, ignore, sou* la liquide plage,
Que, déjà, moi, rite des antiques Normands,
J élevais vers le Ciel mes tours, mes monuments !
C'est par trop de dédain, par trop d'ingratitude.
Qui pourrait supporter une attaque aussi rude ? >
Ainsi parle llouen. Vous, Messieurs les llavrais,
Veuillez en convenir, ses reproches sont vrais.
A Hrssieirj lt$ fotas At U Swirtè Hitrû* Jil*ks Hun**
& l«ct«siw 4* u cUnuaU ries* U Tm 4* * MVSmt.
m H BNTUt lilU
jVvn M. I/ABHK l'I('AIU).
Messieurs, Moteurs», «les Kiudtt Umrxt,
lu seul IIIOJ, s'il roui plaît... C'est connue par averses
Que vous faites pleuvoir sur noire vieux lioueu
. Vos VÎT*, j'en conviendrai, pleim de grâce, d'élan,
Mais, par-là même aussi, plu* piquants, plus rau*tk|ues.
Uouoii s'en est ému. Du fond de se» boutique*
(En liavrai* : Mngasim) il pousse un cri d'effroi.
Il se dit, étonné, plein de stupeur : • F.li! quoi.'
\ja Havre! Est-ce bien lui qui, d'une voix si forte.
Vient me stigmatiser, m'immoler de U sorte,
Moi. que l'on vit toujours si dou\, si patient ?
Lo Hat a- !... Mais, pour moi, ce n'est rien qu'un enfant
Son sol n'était pu mémo encor un roarèVagi*,
Il gisait, ignore, sou* la liquide plage,
Que, déjà, moi, rite des antiques Normands,
J élevais vers le Ciel mes tours, mes monuments !
C'est par trop de dédain, par trop d'ingratitude.
Qui pourrait supporter une attaque aussi rude ? >
Ainsi parle llouen. Vous, Messieurs les llavrais,
Veuillez en convenir, ses reproches sont vrais.
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