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a, empecher Texecution d'un projet qui eut ruine ce
transit, et, sil tTavait pas reussi dans son dessein, on
eut pu craindre une guerre nouvelle.
Au cdngres international d'etudes des moyens de
percement delisthme americain, plusieurs plansfurent
proposes, et celui qui fut adopte etait Tceuvre de deux
savants francais. M. le President signala cet actehono-
rable pour notre pays, etfit observer que deux de nos
membres correspondants, MM. CAPITAINE et BOTKINE,
faisaient partie de Tassemblee, Tun comme secretaire,
Tautre comme representant la Societe havraise d'Etudes
diverses.
Puisque nous parlons geographie, signalons une bro-
chure dont vous fithoramageM. le general PARMENTIER.
Elle traite de Torthographe des noms geographiques.
Les Allemands, les Italiens, les Anglais, etc, etc, ont
un orthographe. Seuls, les Frangais n'en ont pas. Cest
pour combler cette lacune que ce travail a ete publie.
M. le Dr OBET, membre correspondant, a montre,
dans son histoire de la medecine aux Etats-Unis, que
toutes les mesures que nous prenons aujourd'hui en
France etaient connues en Amerique il y a longtemps.
Des 17S2, les medecins etablissent une taxe pour
leurs honoraires, creent un bureau cThygiene et font
un reglement sur les lazarets et les quarantaines.
Certaines chansons ont incontestablement uneorigine
commune. Cest ce qu'a prouve M. G^RARD dans la
comparaison quil a faite des rondes, qui se chantent a
la St-Jean, a Pont-TEveque, avec celles du pays Messin.
Vous avez ete a meme d'en juger.
a, empecher Texecution d'un projet qui eut ruine ce
transit, et, sil tTavait pas reussi dans son dessein, on
eut pu craindre une guerre nouvelle.
Au cdngres international d'etudes des moyens de
percement delisthme americain, plusieurs plansfurent
proposes, et celui qui fut adopte etait Tceuvre de deux
savants francais. M. le President signala cet actehono-
rable pour notre pays, etfit observer que deux de nos
membres correspondants, MM. CAPITAINE et BOTKINE,
faisaient partie de Tassemblee, Tun comme secretaire,
Tautre comme representant la Societe havraise d'Etudes
diverses.
Puisque nous parlons geographie, signalons une bro-
chure dont vous fithoramageM. le general PARMENTIER.
Elle traite de Torthographe des noms geographiques.
Les Allemands, les Italiens, les Anglais, etc, etc, ont
un orthographe. Seuls, les Frangais n'en ont pas. Cest
pour combler cette lacune que ce travail a ete publie.
M. le Dr OBET, membre correspondant, a montre,
dans son histoire de la medecine aux Etats-Unis, que
toutes les mesures que nous prenons aujourd'hui en
France etaient connues en Amerique il y a longtemps.
Des 17S2, les medecins etablissent une taxe pour
leurs honoraires, creent un bureau cThygiene et font
un reglement sur les lazarets et les quarantaines.
Certaines chansons ont incontestablement uneorigine
commune. Cest ce qu'a prouve M. G^RARD dans la
comparaison quil a faite des rondes, qui se chantent a
la St-Jean, a Pont-TEveque, avec celles du pays Messin.
Vous avez ete a meme d'en juger.
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