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— 22 —
de faire quelques sacrifices, aux autres de perfection-
ner leur methode, cle ne laisser jamais leur champ sans
emploi. — II ne faut pas oublier que nous sommes tous
consommateurs.
Et c'est pour sauvegarder nos droits que, dans le
courant de Tannee qui nous occupe, Tadministration
municipale fut sur le point de retablir 1» taxe ofricieile
du pain et de la viande. Cette mesure eut-elle ete sage ?
Non, dit M. HAUMONT. Pourquoi taxer les boulangers
et les bouchers, quand cTautres professions, qui ne
sont pas moins essentielles a Texistence, sont absohi—
ment libres ?... Taxez donc aussi les proprietaires. Est-
ce que Tabaissement des prix n'est pas la consequence
de Tabondance des denrees ? Or, tant que ce dernier
resultat ne sera pas atteint, que peut faire la diminu-
tion des prix, sinon de priver Tun de ce qu'on donnera
a Tautre ?
La taxe constitue donc un remede inefficace. Car, le
vrai m.al n'existe pas dans le prix des produits, mais
dansleur rarete ; et Tabaissement des prix n'a pas alui
seul le pouvoir de produire la quantite !
Les terres frangaises, nous venons cle le voir, sont
epuisees. Les bras manquent meme pour les cultiver.
N'est-ce pas encore une raison de demander Tabo-
litlon de la guerre? Et si nous avons trop diiommes
en France, niivons—nous pas notre colonie d'Afriqu.e,
dontTetendue cles terres cultivables est de 17 millions
d'hectares ? Voila un debouche. pour le trop plein de la
France a dit M. YIAL. — Mais les Frangais n'aiment
pas a s'expatrier.
Du 1cr Mai 1847 au ler juin 4878, sont debarques
de faire quelques sacrifices, aux autres de perfection-
ner leur methode, cle ne laisser jamais leur champ sans
emploi. — II ne faut pas oublier que nous sommes tous
consommateurs.
Et c'est pour sauvegarder nos droits que, dans le
courant de Tannee qui nous occupe, Tadministration
municipale fut sur le point de retablir 1» taxe ofricieile
du pain et de la viande. Cette mesure eut-elle ete sage ?
Non, dit M. HAUMONT. Pourquoi taxer les boulangers
et les bouchers, quand cTautres professions, qui ne
sont pas moins essentielles a Texistence, sont absohi—
ment libres ?... Taxez donc aussi les proprietaires. Est-
ce que Tabaissement des prix n'est pas la consequence
de Tabondance des denrees ? Or, tant que ce dernier
resultat ne sera pas atteint, que peut faire la diminu-
tion des prix, sinon de priver Tun de ce qu'on donnera
a Tautre ?
La taxe constitue donc un remede inefficace. Car, le
vrai m.al n'existe pas dans le prix des produits, mais
dansleur rarete ; et Tabaissement des prix n'a pas alui
seul le pouvoir de produire la quantite !
Les terres frangaises, nous venons cle le voir, sont
epuisees. Les bras manquent meme pour les cultiver.
N'est-ce pas encore une raison de demander Tabo-
litlon de la guerre? Et si nous avons trop diiommes
en France, niivons—nous pas notre colonie d'Afriqu.e,
dontTetendue cles terres cultivables est de 17 millions
d'hectares ? Voila un debouche. pour le trop plein de la
France a dit M. YIAL. — Mais les Frangais n'aiment
pas a s'expatrier.
Du 1cr Mai 1847 au ler juin 4878, sont debarques
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