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Le manque de bras est un fait notoire. La protee-
tion ou le libre-echange fera-t-il cesser cet etat de
choses deplorable ?
Non, dit M. EBRAN. Le seul moyen de salut pour
Pagriculture, c'est de rendre la vigueur aux terres
epuisees.
La culture est un art aujourdiiui. Pourquoi notre
pays n'aurait-il pas des ecoles d'agriculture aussi re-
pandues quen Angleterre?... Le grand art du cultiva-
teur est de faire se succeder sur la meme terre des cul-
tures diverses, et, de cette facon seule, il peut reussir,
a la condition que Taisance existe chez lui, quil ait
plus d'argent que de terre. Un seul champ bien fume,
ajoute M. EBRAN, produit plus de profit net que deux
champs mal fumes.
II faut aussi choisir les cultures qui conviennent le
mieux, ce qui n'estpas difficile. La nature nous a mis
sous la main les plantes que nous devons cultiver. Les
especes qui poussent naturellement sur le sol, sont
celles quil faut prendre. Ce serait faire fausse route
que de vouloir acclimater cTautres plantes fourrageres,
bonnes en elles-memes, mais qui ne conviennent pas
aux terrains ou Ton veut les ensemencer.
M. ROUETTE a dit encore que sil y avait tant de
terre en jachere, c'est qu'on manquait d'engrais, parce
qu'on a trop neglige Televe du betail.
Au point de vue du consommateur, l.e libre-echange
est preferable. II porte une atteinte grave aux cultiva-
teurs,, les fermages etant trop eleves. Aux proprietaires
Le manque de bras est un fait notoire. La protee-
tion ou le libre-echange fera-t-il cesser cet etat de
choses deplorable ?
Non, dit M. EBRAN. Le seul moyen de salut pour
Pagriculture, c'est de rendre la vigueur aux terres
epuisees.
La culture est un art aujourdiiui. Pourquoi notre
pays n'aurait-il pas des ecoles d'agriculture aussi re-
pandues quen Angleterre?... Le grand art du cultiva-
teur est de faire se succeder sur la meme terre des cul-
tures diverses, et, de cette facon seule, il peut reussir,
a la condition que Taisance existe chez lui, quil ait
plus d'argent que de terre. Un seul champ bien fume,
ajoute M. EBRAN, produit plus de profit net que deux
champs mal fumes.
II faut aussi choisir les cultures qui conviennent le
mieux, ce qui n'estpas difficile. La nature nous a mis
sous la main les plantes que nous devons cultiver. Les
especes qui poussent naturellement sur le sol, sont
celles quil faut prendre. Ce serait faire fausse route
que de vouloir acclimater cTautres plantes fourrageres,
bonnes en elles-memes, mais qui ne conviennent pas
aux terrains ou Ton veut les ensemencer.
M. ROUETTE a dit encore que sil y avait tant de
terre en jachere, c'est qu'on manquait d'engrais, parce
qu'on a trop neglige Televe du betail.
Au point de vue du consommateur, l.e libre-echange
est preferable. II porte une atteinte grave aux cultiva-
teurs,, les fermages etant trop eleves. Aux proprietaires
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