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de notre collègue, M. René Bossière, sur le Mal économique, et
dit que ce manuscrit est, conformément au désir exprimé par
l'auteur, à la disposition des Membres de la Société qui vou-
draient le lire et signaler les obscurités et les erreurs de
forme.
M. Acher en demande la communication. Le manuscrit lui
est remis.
M. le Dr Loir informe la Société qu'il a été question récem-
ment de désigner un représentant au Havre de l'Association
pour l'avancement des Sciences, et que quelques personnes
ont pensé confier cette mission à M. le Dr Leroy.
M. Loir croit qu'il serait utile de faire confirmer les pouvoirs
de M. Leroy par les Membres associés havrais (Sociétés et parti-
culiers), et, pour cela, le Secrétaire du Comité local a l'inten-
tion de convoquer individuellement ces Membres à une réu-
nion. Il indiquerait le but de la convocation et soumettrait à
la ratification de l'Assemblée la désignation de M. le Dr Leroy
comme représentant dans notre ville de ladite Association.
M. Neveu est de cet avis, et dit que la guerre est seule cause
du désintéressement constaté de certaines Sociétés havraises
vis-à-vis du Comité local de l'Association, créé au moment de
l'organisation du Congrès de 1914 et qui, suivant lui, doit
subsister. Son fonctionnement actif pourra être de nouveau
assuré après les hostilités.
M. Acher pense que nombre de personnes — comme il l'a
fait lui-même, —n'ont donné leur adhésion et versé leur
cotisation que pour une année, celle au cours de laquelle eut
lieu le Congrès. Il lui semble donc difficile de faire encore,
aujourd'hui, état des souscripteurs de 1914.
L'Assemblée prend acte de cette communication.
Les enquêtes ordonnées par les pouvoirs publics au cours de
la Révolution afin de connaître les aspirations du commerce et
des manufactures, ont fourni l'occasion à M. Barrey de nous
retracer Les débuts de l'Industrie dans la région havraise. C'est
particulièrement l'enquête de l'an VI qui est intéressante à cet
égard, car elle contient les renseignements les plus circons-
tanciés sur des entreprises nouvellement formées et, en
l'absence d'une Presse locale digne de ce nom, c'est là seule-
de notre collègue, M. René Bossière, sur le Mal économique, et
dit que ce manuscrit est, conformément au désir exprimé par
l'auteur, à la disposition des Membres de la Société qui vou-
draient le lire et signaler les obscurités et les erreurs de
forme.
M. Acher en demande la communication. Le manuscrit lui
est remis.
M. le Dr Loir informe la Société qu'il a été question récem-
ment de désigner un représentant au Havre de l'Association
pour l'avancement des Sciences, et que quelques personnes
ont pensé confier cette mission à M. le Dr Leroy.
M. Loir croit qu'il serait utile de faire confirmer les pouvoirs
de M. Leroy par les Membres associés havrais (Sociétés et parti-
culiers), et, pour cela, le Secrétaire du Comité local a l'inten-
tion de convoquer individuellement ces Membres à une réu-
nion. Il indiquerait le but de la convocation et soumettrait à
la ratification de l'Assemblée la désignation de M. le Dr Leroy
comme représentant dans notre ville de ladite Association.
M. Neveu est de cet avis, et dit que la guerre est seule cause
du désintéressement constaté de certaines Sociétés havraises
vis-à-vis du Comité local de l'Association, créé au moment de
l'organisation du Congrès de 1914 et qui, suivant lui, doit
subsister. Son fonctionnement actif pourra être de nouveau
assuré après les hostilités.
M. Acher pense que nombre de personnes — comme il l'a
fait lui-même, —n'ont donné leur adhésion et versé leur
cotisation que pour une année, celle au cours de laquelle eut
lieu le Congrès. Il lui semble donc difficile de faire encore,
aujourd'hui, état des souscripteurs de 1914.
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Les enquêtes ordonnées par les pouvoirs publics au cours de
la Révolution afin de connaître les aspirations du commerce et
des manufactures, ont fourni l'occasion à M. Barrey de nous
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particulièrement l'enquête de l'an VI qui est intéressante à cet
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