Titre : L'Universel : l'Évangile c'est la liberté ! / direction H. Huchet
Auteur : Mouvement pacifique chrétien de langue française. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1909-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32885496v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 février 1909 01 février 1909
Description : 1909/02/01 (N2)-1909/02/28. 1909/02/01 (N2)-1909/02/28.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k45654151
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-45090
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2017
à
la
11 e Année.— N° 2.
Querre
m ENSUE
Querre
L
Cinq Centimes le Numéro
FÉVRIER 1909
L’UNIVERSEL
Organe du Mouvement Pacifique Chrétien
“ PAIX SUR LA TERRE ! ”
De leurs glaives ils forgeront des bêches, et de leurs lances des serpes ; une nation ne lèvera plus l'épée contre une autre,
et l'on n'apprendra plus l’art de la guerre
ABONNEMENTS
RÉDACTION
»IRE€TIOH :
ADMINISTRATION
PROPAGANDE
France 1 Fr..
Union Postale... 2' —
Les opinions exprimées sont
libres et n’engagent que leurs
auteurs.
Henri HUCHET
il), Place de l’Hôlel-de-Ville
LE HAVRE
Les annonces ne sont reçues
que si elles présentent toutes
garanties.
Des conditions spéciales seront
offertes à ceux qui en feront la
demande.
SUR LES RUINES
« L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible
de la nature...» Quel relief prend cette parole
de Pascal devant l’épouvantable désastre de
Sicile ! En quelques secondes, des milliers et
des milliers d’hommes sont anéahtis. Les gigan
tesques forces de la nature se moquent de nos
travaux de fourmis. Les résultats du fusil à tir
rapide, de la bombe, de l’obus à mélinile et
toutes les inventions du génie destructeur de
l’homme reculent bien loin à l’arrière-plan si on
les compare aux effets des énergies sismiques.
Est-il besoin de dépenser tant d’intelligence,
de labeur, de ressources à perfectionner l’art de
s’entretuer quand la nature fait la besogne
incomparablement plus vite et mieux?
N’y a-t-il pas, au contraire, une tâche qui
sollicite le concours de toutes les énergies : la
conquête de ces forces naturelles, afin de
les utiliser pour le bien de l’homme. N’est-ce
pas la loi de l’évolution et du progrès humain
que la maîtrise progressive de l’homme sur
l’univers, la domination de l’esprit sur la ma
tière? Le roseau humain est un « roseau pensant »
et quand nous oublions que « toute notre dignité
consiste dans la pensée » el que notre œuvre
est de faire prédominer la raison sur les forces
brutales qui s’exercent autour de nous et en
nous, nous cessons d être des hommes et nous
devenons un vivant contresens.
La Vie a paru dans l’univers et la première
et la plus incoercible tendance de la vie est de
se propager. L’étude des sciences zoologiques
nous montre que chez tous les êtres vivants, la
reproduction est la fonction la plus assurée,
celle qui est entourée du plus grand nombre de
précautions. Avant tout, l’espèce tend à se
perpétuer. Et dans l’ordre de la vie intellec
tuelle et morale, il en va de même. La pensée
tend à se communiquer et la sainteté à se
répandre. C’est le feu jeté sur la terre et qui
doit embraser tout le globe.
Mais l’homme, mésusant de son intelligence
et de sa liberté, a créé des œuvres de mort et
ainsi il a péché contre la Vie.
L’élan fut certes admirable, quant on apprit
la catastrophe d’Italie. Dans toutes les parties
du monde, un sentiment de douloureuse
sympathie étreignit les cœurs et la pitié se
manifesta pour ces frères malheureux, victimes
du désastre. Nous nous sommes réjouis de voir
que la charité effaçait les frontières et que, de
tous les pays, les dons affluaient pour secourir
les sinistrés. Ce beau mouvement international
nous est un gage d’espoir, il montre que la
conscience de la solidarité humaine s’affirme
plus nettement et que l’esprit de caste est en
voie de régression.
Mais, si l’on ne peut qu’approuver les sous
criptions ouvertes, il est permis de se demander
s’il n’y avait pas mieux à faire. Des milliers
d’hommes gisaient vivants sous les décombres:
l’œuvre la plus urgente était de les dégager.
Que l’on songe aux affres que doit éprouver un
homme qui se sait muré vivant et se sent périr
peu à peu d’inanition ? Le point capital était
donc la rapidité dans l’organisation des secours.
Or, qu’a-t-on vu ? D’abord l’affolement, l’in
décision. A Messine, les marins russes se sont
prodigués avec un dévouement admirable, mais
ils étaient trop peu nombreux. Le désaccord
régnait entre les autorités civiles et militaires.
Les secours arrivaient avec une admirable
lenteur.
En Italie même, on a fait remarquer que le
ministre de la marine italienne se vantait, l’an
passé, de la mobilisation rapide qui eut lieu
lors de la démonstration navale contre la Turquie,
et celte année, après quatre jours, la marine
italienne n’était pas encore en mesure de porter
aux sinistrés les secours les plus urgents. Le
ministère s’est, excusé en disant que les navires
avaient, pour la plupart, des réparations à effec
tuer.
On peut toutefois se demander ce qu’il serait
advenu si, au lieu du tremblement de terre, le
télégraphe avait annoncé la nouvelle d’une
déclaration de guerre. L’armée de terre et
l’armée de mer n’auraient-elles pas été mobi
lisées plus rapidement ? Il n’est pas téméraire
de le croire.
Voici, ce me semble, ce que l’on eût pu, ce
que l’on eût du faire :
A l’annonce du sinistre, mobiliser immédia
tement, en Italie, en France, en Allemagne, en
Autriche, les régiments de génie, les soldats
habitués aux travaux de terrassement et de
déblaiement, les envoyer par trains spéciaux
rapides sur la Calabre. En moins de quarante-
huit heures, ils pouvaient être sur les lieux du
sinistre, et là, le déblaiement organisé métho
diquement, dirigé par des officiers compétents,
accompli par des travailleurs exercés et nom
breux eût été exécuté rapidement. On eût ainsi
sauvé la vie à des milliers d’hommes qui ont
péri sous les ruines au bout de plusieurs jours.
A la suite de ce premier corps, on eût envoyé
d’autres trains spéciaux transportant sur les
lieux de la catastrophe des médecins et infir
miers du service sanitaire, des vivres et des
vêlements pris dans les provisions de guerre,
des hommes du service de l’intendance. De la
sorte : soins, médicaments, vivres, vêtements
seraient arrivés beaucoup plus abondants et
beaucoup plus tôt
Je sais qu’un tel langage scandalisera nos
patriotes chauvins : ils le traiteront de chimère,
de folie. Et pourtant, je demande : « Ce qu’on
ferait pour aller tuer à la frontière les hommes
qui habitent de l’autre côté du fleuve ou de la
montagne, ne pourrait-on le faire pour secourir
les victimes, pour sauver des milliers de vies
au lieu de les détruire ? »
C’est une remarque souvent faite que les
hommes, pris individuellement ou collective
ment, savent trouver pour le mal des ressources
et des énergies qu’ils ignorent quand il s’agit
de travailler pour une cause supérieure. Vrai
ment, ce n’est pas à notre honneur et ces ten
dances féroces nous font retourner en arrière
vers l’animalité !
Progrès, Lumière, Civilisation, Solidarité !
Vains mots tant que durera l’ère du sang !
Ou plutôt, ces vocables saints deviennent de
ridicules exclamations qui flagellent notre hypo
crisie lorsque nous accomplissons les œuvres de
ténèbres, d’égoïsme et de barbarie.
« Le gorille lubrique et féroce », comme dit
un philosophe, qui demeure au fond de chaque
homme, n’est pas encore dompté; trop souvent,
il se montre dans toute sa laideur. L’humanité
n’existe guère, à vrai dire : elle se fait. Une
gestation longue et douloureuse prépare l’avène
ment d’une race meilleure ; il importe, par nos
efforts, d’en hâter le ternie.
C’est, en effet, par l’action des hommes
d’idéal, de ceux qui ont le désir du mieux, qui
rêvent de Justice et de Fraternité, que s’élabore,
peu à peu, l’humanité meilleure. Toujours il
faut, à l’avant-garde, des pionniers qui, s’éle
vant au-dessus des préjugés, des petitesses et
des vices de leur temps, entraînent à leur suite
la masse indolente ; toujours il faut des pro
phètes dont le regard aigu, perçant les nuages
du présent, entrevoit le soleil de l’avenir et de
l’éternité et dévoile aux foules les vraies lois de
la vie et la route plus sûre. Toujours il faut des
apôtres qui se donnent tout entiers au salut du
genre humain et qui, ayant jeté leur vie dans
le grand tourbillon, font cette vie croître et se
répandre et germer en de nouvelles terres.
Quand verrons-nous la grande ligue humaine
qui se portera au secours de toutes les fai
blesses, à l’allègement de tous les malheurs?
Quand verrons-nous, au lieu des cohortes guer
rières, la grande mobilisation internationale des
soldats de la Vérité et de la Justice pour l’ex
termination du mal?
Dites-nous quand ce jour viendra?
Hommes de petite foi, ce jour viendra quand,
par vos efforts répétés, vous aurez assez trans
formé chacun votre milieu, quand vous aurez
assez vécu les mœurs de paix, car, sachez-le
bien, l’Idéal ne demande qu’à devenir le Réel :
il sollicite seulement pour cela le secours de
notre action.
M. DUMESNIL.
la
11 e Année.— N° 2.
Querre
m ENSUE
Querre
L
Cinq Centimes le Numéro
FÉVRIER 1909
L’UNIVERSEL
Organe du Mouvement Pacifique Chrétien
“ PAIX SUR LA TERRE ! ”
De leurs glaives ils forgeront des bêches, et de leurs lances des serpes ; une nation ne lèvera plus l'épée contre une autre,
et l'on n'apprendra plus l’art de la guerre
ABONNEMENTS
RÉDACTION
»IRE€TIOH :
ADMINISTRATION
PROPAGANDE
France 1 Fr..
Union Postale... 2' —
Les opinions exprimées sont
libres et n’engagent que leurs
auteurs.
Henri HUCHET
il), Place de l’Hôlel-de-Ville
LE HAVRE
Les annonces ne sont reçues
que si elles présentent toutes
garanties.
Des conditions spéciales seront
offertes à ceux qui en feront la
demande.
SUR LES RUINES
« L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible
de la nature...» Quel relief prend cette parole
de Pascal devant l’épouvantable désastre de
Sicile ! En quelques secondes, des milliers et
des milliers d’hommes sont anéahtis. Les gigan
tesques forces de la nature se moquent de nos
travaux de fourmis. Les résultats du fusil à tir
rapide, de la bombe, de l’obus à mélinile et
toutes les inventions du génie destructeur de
l’homme reculent bien loin à l’arrière-plan si on
les compare aux effets des énergies sismiques.
Est-il besoin de dépenser tant d’intelligence,
de labeur, de ressources à perfectionner l’art de
s’entretuer quand la nature fait la besogne
incomparablement plus vite et mieux?
N’y a-t-il pas, au contraire, une tâche qui
sollicite le concours de toutes les énergies : la
conquête de ces forces naturelles, afin de
les utiliser pour le bien de l’homme. N’est-ce
pas la loi de l’évolution et du progrès humain
que la maîtrise progressive de l’homme sur
l’univers, la domination de l’esprit sur la ma
tière? Le roseau humain est un « roseau pensant »
et quand nous oublions que « toute notre dignité
consiste dans la pensée » el que notre œuvre
est de faire prédominer la raison sur les forces
brutales qui s’exercent autour de nous et en
nous, nous cessons d être des hommes et nous
devenons un vivant contresens.
La Vie a paru dans l’univers et la première
et la plus incoercible tendance de la vie est de
se propager. L’étude des sciences zoologiques
nous montre que chez tous les êtres vivants, la
reproduction est la fonction la plus assurée,
celle qui est entourée du plus grand nombre de
précautions. Avant tout, l’espèce tend à se
perpétuer. Et dans l’ordre de la vie intellec
tuelle et morale, il en va de même. La pensée
tend à se communiquer et la sainteté à se
répandre. C’est le feu jeté sur la terre et qui
doit embraser tout le globe.
Mais l’homme, mésusant de son intelligence
et de sa liberté, a créé des œuvres de mort et
ainsi il a péché contre la Vie.
L’élan fut certes admirable, quant on apprit
la catastrophe d’Italie. Dans toutes les parties
du monde, un sentiment de douloureuse
sympathie étreignit les cœurs et la pitié se
manifesta pour ces frères malheureux, victimes
du désastre. Nous nous sommes réjouis de voir
que la charité effaçait les frontières et que, de
tous les pays, les dons affluaient pour secourir
les sinistrés. Ce beau mouvement international
nous est un gage d’espoir, il montre que la
conscience de la solidarité humaine s’affirme
plus nettement et que l’esprit de caste est en
voie de régression.
Mais, si l’on ne peut qu’approuver les sous
criptions ouvertes, il est permis de se demander
s’il n’y avait pas mieux à faire. Des milliers
d’hommes gisaient vivants sous les décombres:
l’œuvre la plus urgente était de les dégager.
Que l’on songe aux affres que doit éprouver un
homme qui se sait muré vivant et se sent périr
peu à peu d’inanition ? Le point capital était
donc la rapidité dans l’organisation des secours.
Or, qu’a-t-on vu ? D’abord l’affolement, l’in
décision. A Messine, les marins russes se sont
prodigués avec un dévouement admirable, mais
ils étaient trop peu nombreux. Le désaccord
régnait entre les autorités civiles et militaires.
Les secours arrivaient avec une admirable
lenteur.
En Italie même, on a fait remarquer que le
ministre de la marine italienne se vantait, l’an
passé, de la mobilisation rapide qui eut lieu
lors de la démonstration navale contre la Turquie,
et celte année, après quatre jours, la marine
italienne n’était pas encore en mesure de porter
aux sinistrés les secours les plus urgents. Le
ministère s’est, excusé en disant que les navires
avaient, pour la plupart, des réparations à effec
tuer.
On peut toutefois se demander ce qu’il serait
advenu si, au lieu du tremblement de terre, le
télégraphe avait annoncé la nouvelle d’une
déclaration de guerre. L’armée de terre et
l’armée de mer n’auraient-elles pas été mobi
lisées plus rapidement ? Il n’est pas téméraire
de le croire.
Voici, ce me semble, ce que l’on eût pu, ce
que l’on eût du faire :
A l’annonce du sinistre, mobiliser immédia
tement, en Italie, en France, en Allemagne, en
Autriche, les régiments de génie, les soldats
habitués aux travaux de terrassement et de
déblaiement, les envoyer par trains spéciaux
rapides sur la Calabre. En moins de quarante-
huit heures, ils pouvaient être sur les lieux du
sinistre, et là, le déblaiement organisé métho
diquement, dirigé par des officiers compétents,
accompli par des travailleurs exercés et nom
breux eût été exécuté rapidement. On eût ainsi
sauvé la vie à des milliers d’hommes qui ont
péri sous les ruines au bout de plusieurs jours.
A la suite de ce premier corps, on eût envoyé
d’autres trains spéciaux transportant sur les
lieux de la catastrophe des médecins et infir
miers du service sanitaire, des vivres et des
vêlements pris dans les provisions de guerre,
des hommes du service de l’intendance. De la
sorte : soins, médicaments, vivres, vêtements
seraient arrivés beaucoup plus abondants et
beaucoup plus tôt
Je sais qu’un tel langage scandalisera nos
patriotes chauvins : ils le traiteront de chimère,
de folie. Et pourtant, je demande : « Ce qu’on
ferait pour aller tuer à la frontière les hommes
qui habitent de l’autre côté du fleuve ou de la
montagne, ne pourrait-on le faire pour secourir
les victimes, pour sauver des milliers de vies
au lieu de les détruire ? »
C’est une remarque souvent faite que les
hommes, pris individuellement ou collective
ment, savent trouver pour le mal des ressources
et des énergies qu’ils ignorent quand il s’agit
de travailler pour une cause supérieure. Vrai
ment, ce n’est pas à notre honneur et ces ten
dances féroces nous font retourner en arrière
vers l’animalité !
Progrès, Lumière, Civilisation, Solidarité !
Vains mots tant que durera l’ère du sang !
Ou plutôt, ces vocables saints deviennent de
ridicules exclamations qui flagellent notre hypo
crisie lorsque nous accomplissons les œuvres de
ténèbres, d’égoïsme et de barbarie.
« Le gorille lubrique et féroce », comme dit
un philosophe, qui demeure au fond de chaque
homme, n’est pas encore dompté; trop souvent,
il se montre dans toute sa laideur. L’humanité
n’existe guère, à vrai dire : elle se fait. Une
gestation longue et douloureuse prépare l’avène
ment d’une race meilleure ; il importe, par nos
efforts, d’en hâter le ternie.
C’est, en effet, par l’action des hommes
d’idéal, de ceux qui ont le désir du mieux, qui
rêvent de Justice et de Fraternité, que s’élabore,
peu à peu, l’humanité meilleure. Toujours il
faut, à l’avant-garde, des pionniers qui, s’éle
vant au-dessus des préjugés, des petitesses et
des vices de leur temps, entraînent à leur suite
la masse indolente ; toujours il faut des pro
phètes dont le regard aigu, perçant les nuages
du présent, entrevoit le soleil de l’avenir et de
l’éternité et dévoile aux foules les vraies lois de
la vie et la route plus sûre. Toujours il faut des
apôtres qui se donnent tout entiers au salut du
genre humain et qui, ayant jeté leur vie dans
le grand tourbillon, font cette vie croître et se
répandre et germer en de nouvelles terres.
Quand verrons-nous la grande ligue humaine
qui se portera au secours de toutes les fai
blesses, à l’allègement de tous les malheurs?
Quand verrons-nous, au lieu des cohortes guer
rières, la grande mobilisation internationale des
soldats de la Vérité et de la Justice pour l’ex
termination du mal?
Dites-nous quand ce jour viendra?
Hommes de petite foi, ce jour viendra quand,
par vos efforts répétés, vous aurez assez trans
formé chacun votre milieu, quand vous aurez
assez vécu les mœurs de paix, car, sachez-le
bien, l’Idéal ne demande qu’à devenir le Réel :
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