Titre : L'Universel : l'Évangile c'est la liberté ! / direction H. Huchet
Auteur : Mouvement pacifique chrétien de langue française. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1906-08-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32885496v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 août 1906 01 août 1906
Description : 1906/08/01 (N8)-1906/08/31. 1906/08/01 (N8)-1906/08/31.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4565411c
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-45090
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/09/2017
8 e Année. — N° 8.
—— ■ - ■ .
Guerre à la Guerre
MENSUEL
Cinq Centimes le Numéro
AOUT 1906
Organe du
Mouvement Pacifique
de Langue Française
Chrétien
“ PAIX SUR LA TERRE 1 ”
ABONNEMENTS
RÉDACTION
DIRECTION :
ADMINISTRATION
PROPAGANDE
France 1 Fr
—
Paul ALLÉGRET
—
Des conditions spéciales se
ront offertes à tous ceux
Union Postale... 2 —
Henri lin civet
jVE me if I-IncTiet
qui en feront la demande.
Pour tout ce qui concerne la RÉDACTION et l’ADMINISTRATION, s’adresser au Bureau de l’UNIVERSEL, 19, Place de l’Hôtel-de-Ville. — LE HAVRE
La Cüflîérence Interparlementaire
DE LONDRES
Le grand événement du mois est la réunion
à Londres de la i4 e conférence interparlemen
taire. Dans ce milieu très propice, venant après
la déclaration retentissante de Sir Henry Camp
bell Bannermann et de Sir Edward Grey, com
me après les manifestations nettement pacifistes
des grands organes de la vie anglaise, celte
assemblée devait avoir une importance et une
portée toutes spéciales.
Environ six cents délégués étrangers, aux
quels s’étaient joints de nombreux députés
anglais, ont pris part aux travaux de la confé
rence. Les principaux sujets inscrits à l’ordre
du jour étaient les suivants :
i°) Proposition des Etats-Unis tendant à ré
tablissement d’un parlement international ;
2°) Clauses d’un traité type de Paiæ et déAr
bitrage. Pour ces deux sujets, les rapporteurs
pétaient: Lord Weardale, président de la Con
férence, et M. de Plener, député autrichien.
Ces sujets avaient été renvoyés par la i3 e Con
férence, à l’examen d’une commission, dont le
rapporteurs devaient présumer les travaux ;
2°) Ordre du jour de la deuxième confé
rence de La Haye. M. d’Estournelles de Cons
tant a demandé que conformément au vœu du
parlement anglais, au désir des gouvernements
d’Italie et des Etats-Unis, la question de la limi
tation des forces et des défenses militaires fut
incorporée à l’ordre du jour de la deuxième
Conférence de La Haye.
4°) Droits et devoirs des neutres (Orateur :
D 1 ' Gobât) ; Inviolabilité de la propriété privée
sur mer , en temps cle Guerre. (Orateur : M.
Brunialti, député italien) ; Usage de nouveaux
fusils, canons et cuirassés ; bombardement des
ports, villes et villages, par une force navale
(Orateur , M. Beernaert, député belge).
La Conférence a été ouverte le 2,3 Juillet, par
un discours en français, du premier Ministre
anglais. Sir Henry Campdell Bannermann a
rendu hommage à l’amour du roi Edouard pour
la paix ; parlant des 33 conditions d’arbi
trage conclues, depuis la dernière conférence
interparlementaire, il a salué l’avénement des
temps nouveaux, destinés à mettre fin à l’état
ancien c< où le monde était semblable à un vaste
camp militaire ” ; il a dénoncé le « paradoxe
sinistre de la paix armée » et proclamé sa haine
de « la guerre et du militarisme ». Puis, se
tournant vers les délégués de la Douma russe,
il leur a souhaité la bienvenue, en ajoutant :
« La Douma est morte, mais elle renaîtra. Vive
la Douma ! » Ces paroles ont provoqué une
profonde sensation.
M. Kovalewsky, chef de la mission russe a
déclaré que ses collègues et lui étaient venus au
nom de la nation russe, prendre part à une
grande œuvre. Le peuple russe désire expri
mer ses sentiments de paix. La mission de la
Douma était d’arracher un grand peuple au
régime de la violence.» Nous espérions, dit-il,
prendre part à vos travaux, mais notre mission
a maintenant pris fin. Notre sympathie vous
suit ; nous rentrons chez nous, résolus à conti
nuer la lutte pour la liberté et la justice. »
M. Bryan, délégué des Etats-Unis, dit que
c’est la suspicion qui pousse les nations à exa
gérer leurs armements. Puisse quelque nation
déclarer un jour aux autres qu’elle entend con
férer à ses citoyens le bonheur d’ètre assez forts
sans armée ni marine. Craignons l’autocratie
de l’argent ! Saluons la démocratie de cœur, qui
seule rendra la paix possible.
Qu’est-ce que le courage de la force brutale
auprès du courage moral ? Comment pourrait-
on aimer Dieu, s’il faisait de l’effusio n de sang
la condition du progrès ?
Le jeudi 2G, le roi Edouard a reçu au palais
de Buckingham, le président et le secrétaire de
chaque groupe parlementaire, présentés par le
comité organisateur de la Conférence. Au cours
de cette réception, on a remis au roi une
médaille en or, portant d’un côté son effigie,
avec cette légende : “ A Edouard VII, le
Pacifique ”, et de l’autre, une figure allégori
que de la Paix, offrant une couronne d’olivier
aux membres de l’Union interparlementaire du
monde ent ier. Une reproduction en vieil argent
de cette médaille a été donnée à tous les mem
bres de la Conférence.
On ne peut s’empêcher de mesurer du regard
le chemin parcouru depuis le premier essai de
conférence interparlementaire, dû aux efforts
de MM. Frédéric Passy et Grenier qui grou
paient, à Paris, il y'a 17 ans, quelques députés
anglais et français seulement. Dans les parle
ments, aussi les temps sont changés, et les
idées marchent. L’assemblée de Londres aura
un grand retentissement : c’est une belle
préface aux travaux de Milan et de La Haye.
Paul Allégret.
NOS CARRIÈRES PACIFISTES
L’histoire du monde, telle qu’on l’écrit et comme
on l’apprend, ne raconte pas toujours les efforts de
ceux qui furent les principaux artisans du progrès.
Notre attention se fixe en général sur les person
nages du premier plan. Leurs moindres actes
prennent.de l’importance en raison même de la
situation qu'ils occupent, cependant qu’au dessous
d’eux luttent et agissent les serviteurs modestes
de l'idéal, grâce auxquels l’humanité de demain
revêtira une figure nouvelle et meilleure. Il suffit
d’une poignée de ces hommes-là, on l’a vu chez
nous dans une heure tragique, pour que de gran
des victoires morales soient remportées, et quede
décisives étapes sont franchies sans violentes se
cousses ; ce sont eux qui font les révolutions paci
fiques. Les journaux ne racontent pas leurs ex
ploits ; leur nom, d’ordinaire, ne franchit pas les
limites d’un cercle restreint d’amis qui furent les
témoins de leur action. Mais comme ils attachè-
1 ent leur ambition à être avant tout des éducateurs
et qu’ils aimèrent leurs frères, ils mirent en mou
vement dans le cœur et la conscience de leurs
contemporains des désirs meilleurs et des ambi
tions plus hautes : ils déchaînèrent ainsi la grande
puissance, d’émancipation et de transformation,
l’idée féconde, qui chemine lentement dans la
masse profonde et la soulève au-dessus d’elle-
même.
Nous avons présenté quelques-uns de ces hom
mes à nos lecteurs et ce qui précède suffirait à
légitimer la publication ici faite de quelques
“ carrières pacifistes ”. Nous n’avons pas choisi
d’après un plan ou un ordre de préférence quel
conque ceux dont nous avons parlé. Nous avons
simplementutiliséparmi les notices biographiques
demandées celles que de bénévoles collaborateurs
nous ont adressées. Nous espérons qu’on nous
aidera à compléter cette galerie des apôtres con
temporains de ta Paix : ils sont nombreux, et nous
en bénissons Dieu, ceux dont il est utile et récon
fortant défaire reconnaître l’exemple.
Est-il besoin de dire que nous n’avons guère la
préoccupation d’honorer ou d’exalter des hommes,
quels que puissent être les sentiments que nous
inspirent leur mémoire s’ils sont morts, ou dont
nous entourons leur personne s’ils sont encore
vivants et agissants au milieu de nous ? Ceux qui
nous lisent, les amis fidèles de ce journal consti
tuent une sorte de famille où l’on aime recher
cher entre soi des forces pour l’action, et pour
l’action bonne ; et se plaçant à ce point de vue
supérieur, ils veulent être armés pour la propa
gande autant par des faits et des vies que par des
idées et des raisonnements. lis savent qu’il est plus
que jamais nécessaire de proposer à une généra
tion trop passive, indolente et molle, attachée aux
jouissances matérielles, l’exemple de ceux qui
mirent leurs talents et leurs forces au service des
grandes causes. C’est du contact delà vie que naît
la vie.
C’est pourquoi nous aimerions que puissent
être continuées ici nos carrières pacifistes. C’est
pourquoi aussi je voudrais satisfaire un besoin
de mon cœur en ajoutant prochainement quelques
mots aux excellentes choses que M. Félix Moschelès
a bien voulu écrire sur un vétéran de la paix, qui
est en même temps un croyant, son ami et le nôtre,
M. Hodgson Pratt.
P. A.
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Guerre à la Guerre
MENSUEL
Cinq Centimes le Numéro
AOUT 1906
Organe du
Mouvement Pacifique
de Langue Française
Chrétien
“ PAIX SUR LA TERRE 1 ”
ABONNEMENTS
RÉDACTION
DIRECTION :
ADMINISTRATION
PROPAGANDE
France 1 Fr
—
Paul ALLÉGRET
—
Des conditions spéciales se
ront offertes à tous ceux
Union Postale... 2 —
Henri lin civet
jVE me if I-IncTiet
qui en feront la demande.
Pour tout ce qui concerne la RÉDACTION et l’ADMINISTRATION, s’adresser au Bureau de l’UNIVERSEL, 19, Place de l’Hôtel-de-Ville. — LE HAVRE
La Cüflîérence Interparlementaire
DE LONDRES
Le grand événement du mois est la réunion
à Londres de la i4 e conférence interparlemen
taire. Dans ce milieu très propice, venant après
la déclaration retentissante de Sir Henry Camp
bell Bannermann et de Sir Edward Grey, com
me après les manifestations nettement pacifistes
des grands organes de la vie anglaise, celte
assemblée devait avoir une importance et une
portée toutes spéciales.
Environ six cents délégués étrangers, aux
quels s’étaient joints de nombreux députés
anglais, ont pris part aux travaux de la confé
rence. Les principaux sujets inscrits à l’ordre
du jour étaient les suivants :
i°) Proposition des Etats-Unis tendant à ré
tablissement d’un parlement international ;
2°) Clauses d’un traité type de Paiæ et déAr
bitrage. Pour ces deux sujets, les rapporteurs
pétaient: Lord Weardale, président de la Con
férence, et M. de Plener, député autrichien.
Ces sujets avaient été renvoyés par la i3 e Con
férence, à l’examen d’une commission, dont le
rapporteurs devaient présumer les travaux ;
2°) Ordre du jour de la deuxième confé
rence de La Haye. M. d’Estournelles de Cons
tant a demandé que conformément au vœu du
parlement anglais, au désir des gouvernements
d’Italie et des Etats-Unis, la question de la limi
tation des forces et des défenses militaires fut
incorporée à l’ordre du jour de la deuxième
Conférence de La Haye.
4°) Droits et devoirs des neutres (Orateur :
D 1 ' Gobât) ; Inviolabilité de la propriété privée
sur mer , en temps cle Guerre. (Orateur : M.
Brunialti, député italien) ; Usage de nouveaux
fusils, canons et cuirassés ; bombardement des
ports, villes et villages, par une force navale
(Orateur , M. Beernaert, député belge).
La Conférence a été ouverte le 2,3 Juillet, par
un discours en français, du premier Ministre
anglais. Sir Henry Campdell Bannermann a
rendu hommage à l’amour du roi Edouard pour
la paix ; parlant des 33 conditions d’arbi
trage conclues, depuis la dernière conférence
interparlementaire, il a salué l’avénement des
temps nouveaux, destinés à mettre fin à l’état
ancien c< où le monde était semblable à un vaste
camp militaire ” ; il a dénoncé le « paradoxe
sinistre de la paix armée » et proclamé sa haine
de « la guerre et du militarisme ». Puis, se
tournant vers les délégués de la Douma russe,
il leur a souhaité la bienvenue, en ajoutant :
« La Douma est morte, mais elle renaîtra. Vive
la Douma ! » Ces paroles ont provoqué une
profonde sensation.
M. Kovalewsky, chef de la mission russe a
déclaré que ses collègues et lui étaient venus au
nom de la nation russe, prendre part à une
grande œuvre. Le peuple russe désire expri
mer ses sentiments de paix. La mission de la
Douma était d’arracher un grand peuple au
régime de la violence.» Nous espérions, dit-il,
prendre part à vos travaux, mais notre mission
a maintenant pris fin. Notre sympathie vous
suit ; nous rentrons chez nous, résolus à conti
nuer la lutte pour la liberté et la justice. »
M. Bryan, délégué des Etats-Unis, dit que
c’est la suspicion qui pousse les nations à exa
gérer leurs armements. Puisse quelque nation
déclarer un jour aux autres qu’elle entend con
férer à ses citoyens le bonheur d’ètre assez forts
sans armée ni marine. Craignons l’autocratie
de l’argent ! Saluons la démocratie de cœur, qui
seule rendra la paix possible.
Qu’est-ce que le courage de la force brutale
auprès du courage moral ? Comment pourrait-
on aimer Dieu, s’il faisait de l’effusio n de sang
la condition du progrès ?
Le jeudi 2G, le roi Edouard a reçu au palais
de Buckingham, le président et le secrétaire de
chaque groupe parlementaire, présentés par le
comité organisateur de la Conférence. Au cours
de cette réception, on a remis au roi une
médaille en or, portant d’un côté son effigie,
avec cette légende : “ A Edouard VII, le
Pacifique ”, et de l’autre, une figure allégori
que de la Paix, offrant une couronne d’olivier
aux membres de l’Union interparlementaire du
monde ent ier. Une reproduction en vieil argent
de cette médaille a été donnée à tous les mem
bres de la Conférence.
On ne peut s’empêcher de mesurer du regard
le chemin parcouru depuis le premier essai de
conférence interparlementaire, dû aux efforts
de MM. Frédéric Passy et Grenier qui grou
paient, à Paris, il y'a 17 ans, quelques députés
anglais et français seulement. Dans les parle
ments, aussi les temps sont changés, et les
idées marchent. L’assemblée de Londres aura
un grand retentissement : c’est une belle
préface aux travaux de Milan et de La Haye.
Paul Allégret.
NOS CARRIÈRES PACIFISTES
L’histoire du monde, telle qu’on l’écrit et comme
on l’apprend, ne raconte pas toujours les efforts de
ceux qui furent les principaux artisans du progrès.
Notre attention se fixe en général sur les person
nages du premier plan. Leurs moindres actes
prennent.de l’importance en raison même de la
situation qu'ils occupent, cependant qu’au dessous
d’eux luttent et agissent les serviteurs modestes
de l'idéal, grâce auxquels l’humanité de demain
revêtira une figure nouvelle et meilleure. Il suffit
d’une poignée de ces hommes-là, on l’a vu chez
nous dans une heure tragique, pour que de gran
des victoires morales soient remportées, et quede
décisives étapes sont franchies sans violentes se
cousses ; ce sont eux qui font les révolutions paci
fiques. Les journaux ne racontent pas leurs ex
ploits ; leur nom, d’ordinaire, ne franchit pas les
limites d’un cercle restreint d’amis qui furent les
témoins de leur action. Mais comme ils attachè-
1 ent leur ambition à être avant tout des éducateurs
et qu’ils aimèrent leurs frères, ils mirent en mou
vement dans le cœur et la conscience de leurs
contemporains des désirs meilleurs et des ambi
tions plus hautes : ils déchaînèrent ainsi la grande
puissance, d’émancipation et de transformation,
l’idée féconde, qui chemine lentement dans la
masse profonde et la soulève au-dessus d’elle-
même.
Nous avons présenté quelques-uns de ces hom
mes à nos lecteurs et ce qui précède suffirait à
légitimer la publication ici faite de quelques
“ carrières pacifistes ”. Nous n’avons pas choisi
d’après un plan ou un ordre de préférence quel
conque ceux dont nous avons parlé. Nous avons
simplementutiliséparmi les notices biographiques
demandées celles que de bénévoles collaborateurs
nous ont adressées. Nous espérons qu’on nous
aidera à compléter cette galerie des apôtres con
temporains de ta Paix : ils sont nombreux, et nous
en bénissons Dieu, ceux dont il est utile et récon
fortant défaire reconnaître l’exemple.
Est-il besoin de dire que nous n’avons guère la
préoccupation d’honorer ou d’exalter des hommes,
quels que puissent être les sentiments que nous
inspirent leur mémoire s’ils sont morts, ou dont
nous entourons leur personne s’ils sont encore
vivants et agissants au milieu de nous ? Ceux qui
nous lisent, les amis fidèles de ce journal consti
tuent une sorte de famille où l’on aime recher
cher entre soi des forces pour l’action, et pour
l’action bonne ; et se plaçant à ce point de vue
supérieur, ils veulent être armés pour la propa
gande autant par des faits et des vies que par des
idées et des raisonnements. lis savent qu’il est plus
que jamais nécessaire de proposer à une généra
tion trop passive, indolente et molle, attachée aux
jouissances matérielles, l’exemple de ceux qui
mirent leurs talents et leurs forces au service des
grandes causes. C’est du contact delà vie que naît
la vie.
C’est pourquoi nous aimerions que puissent
être continuées ici nos carrières pacifistes. C’est
pourquoi aussi je voudrais satisfaire un besoin
de mon cœur en ajoutant prochainement quelques
mots aux excellentes choses que M. Félix Moschelès
a bien voulu écrire sur un vétéran de la paix, qui
est en même temps un croyant, son ami et le nôtre,
M. Hodgson Pratt.
P. A.
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