Titre : L'Universel : l'Évangile c'est la liberté ! / direction H. Huchet
Auteur : Mouvement pacifique chrétien de langue française. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1904-06-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32885496v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 juin 1904 01 juin 1904
Description : 1904/06/01 (N14)-1904/06/30. 1904/06/01 (N14)-1904/06/30.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4565386r
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-45090
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2017
Guerre à la Guerre
0 e Année. — N a 14.
MENSUEL
Cincj Centimes le INTVLiiaéuo
Organe du Mouvement Pacifique Chrétien
de Langue Française
“ PAIX SUR IsA TERRE ! ”
ABONNEMENTS
France 1 Fr.
Union Postale... 2 —
RÉDACTION
D1KECTIOI :
ADMINISTRATION
PROPAGANDE
Iï. BBxcLet
Paul ALLÉGRET
Yves Le Bail
Des abonnements Gratuits
seront servis à tous ceux
M me H. TT 11 cliet
AU HAVRE
M 1 ™ Yves Le Bail
qui en feront la demande.
Pour tout ce qui concerne la RÉDACTION et l’ADMINlSTRATION, s’adresser au Bureau de l’UNIVERSEL, 19, Place de l’Hôtel-de-Ville. — LE HAVRE
BERNE ET LUCERNE
C’est un plaisir, quand on arrive à Berne,
Kononemveg 12, d’être accueilli par l’aimable
sourire et la cordiale poignée de main de M.
Ducommun, le secrétaire honoraire du Bureau
International de la Paix, .le n’apprendrai à au
cun de mes lecteurs ce qu’est le bureau de Berne,
cet organisme central du mouvement pacifique ;
et ce n’est un secret pour personne que M. Du
commun en est l’âme.
Voici tout d’abord, en entrant, la grande salle
des délibérations de la Commission Permanente.
Tout autour les murs sont littéralement couverts
de dossiers portant des indications par chiffres
et par lettres.
Ces indications correspondent à un répertoire
soigneusement tenu à jour. Voulez-vous connaî
tre tout ce qui a été publié ou délibéré au sujet
d’une des questions concernant notre cause?
En quelques secondes M. Ducommun mettra
la main sur le dossier demandé. Tout est réuni
là : rapprochement des peuples, législation in
ternationale ; réduction des armées; développe
ment des Congrès de la Paix; propagande; ac
tualités politiques... etc. En quelque coin du
monde ou en quelque langue qu’un penseur ou
un homme d’Etat ait écrit un article, ou une
œuvre quelconque, ayant trait aux problèmes
qui nous préoccupent, tout cela a été recueilli,
classé et peut être mis immédiatement à votre
disposition. Dans deux salles annexes d’autres
documents sont catalogués : vues pour projec
tions, ouvrages de Jean de Bloch, archives et
travaux de la Commission Permanente, corres
pondance avec les Sociétés Pacifiques. Les fenê
tres s’ouvrent sur un large et calme horizon :
devant nous, Berne étend ses claires maisons,
assises au pied du palais fédéral, dominées par
la flèche de la cathédrale. C’est un lieu d’élection
pour un paneil sanctuaire. Sur la table du milieu,
le dossier en formation de la fameuse question
d’Alsace-Lorraine ouvre ses cartons multicolo
res. 11 est déjà prêt à partir pour Boston où les
délégués du XIII e Congrès International auront
à en prendre connaissance. Comment y suffiront-
ils? Mystère. Il faut plus d’une bonne journée
pour le lire à tête reposée !
Le parti pacifique peut être fier et reconnais
sant du dévouement désintéressé et inlassable
que lui apporte M. Ducommun. 11 y a en lui un
cœur d’apôtre : son contact réchauffe et fait du
bien. Il porte vaillamment le poids des années :
il prétend qu’elles pèsent tout de même sur ses
épaules. Il faut bien le croire, puisqu’il le dit.
11 voudrait trouver un ((jeune» qui, formé à
son école, continuerait sa tâche : quel est le nou
vel Elisée qui relèvera le manteau de cel Elie?
*
* *
Lé musée international de Lucerne s’appelle
le Musée de la Guerre et de la. Paix. Pour l’ins
tant il est plutôt un musée de la Guerre ; espé
rons qu’avec le temps il deviendra plus pacifi
que. L’initiative en est due à M. Jean de Bloch :
partant de cette idée qu’aucun souverain ne
pourrait aujourd’hui faire la guerre sans l’as
sentiment de sou peuple, M. de Bloch a voulu
prévenir les emballements populaires toujours
faciles à provoquer. Il s’est donc proposé d’éclai
rer les peuples sur les conditions et les consé
quences d’une guerre, soit pour leur patrie, soit
pour celle de leur adversaire. Qui ne se rappelle
l’enthousiasme (pii s’empara de Paris au mo-
ment de la déclaration de la guerre 1870, et ces
bandes d’hommes et de femmes qui parcou
raient les boulevards de la capitale en criant : à
Berlin ! Si chacun de ceux-là avait pu préalable
ment visiter un musée comme celui de Lucerne,
il eût assurément moins crié et davantage ré
fléchi.
L’exposition passagère des conditions d’une
guerre actuelle, qu’avait rêvée M. de Bloch pour
1000, a été remplacée par le Musée Permanent
de la Guerre et de la Paix. Des officiers, des
fonctionnaires, des médecins et des artistes suis
ses ont édifié l’œuvre pour laquelle M. de Bloch
et les citoyens de Lucerne avaient fourni les
ressources nécessaires.
Guidé par l’actif et intelligent directeur du
musée, M. Zimmermann, j’en ai visité avec
grand profit et intérêt les vastes et nombreuses
salles. Ici, dans d’innombrables graphiques, ta
bleaux et reproductions diverses, nous avons
l’histoire de la guerre depuis les Grecs et les
Romains jusqu’à la campagne du Transvaal et à
celle de Chine ; plus loin, c’est l’histoire d’une
forteresse d’après Viollet-le-Duc, à laquelle est
joint a comme annexe, la fortification des
champs de bataille.
Ces tableaux et diagrammes nous montrent
les terribles elléts des armes actuelles, compa
rés aux blessures produites par les anciens ar
mements; et comme corollaire, voici l’organisa
tion de plus en plus compliquée des services
auxiliaires, et des secours sanitaires. Dans une
vaste salle nous nous heurtons à des canons,
des masses de canons, tapis à terre ou haut per
chés sur leurs affûts de campagne, canons à la
gueule béante, de tous les temps et de tous les
modèles, jusqu’à la moderne et formidable mi
trailleuse tirant je 11c sais plus combien de coups
à la minute. Tous ces énormes et terrifiants en
gins de destruction poussent à la méditation:
que de temps, d’efforts et de science les hom
mes ont dépensé pour perfectionner l’art de
s’entretuer ! Et je n’ai rien dit des tableaux de
plans de campagne, des reconstitutions de
champs de bataille, des flottes et des cuirassés,
des torpilleurs et des torpilles, des mines dor
mantes et des mines flottantes...
On est humilié, on frémit, on détourne la
tête : bonne et suggestive visite à recommander
à tous ceux qui ne nous comprennent pas, et rê
vent encore de conquêtes militaires. C’est ici
qu’on peut philosopher à l’aise sur « l’envers
de la gloire » !
Mais voici le coin reposant, le Musée de la
Paix. Sous la présidence de quelques grands pa
cifiques, dont la figure aimée s’enlève entre
d’émouvants tableaux guerriers, nous trouvons
enfin quelque chose qui nous parle de l’avenir :
c’est la section d’économie politique, l’exposi
tion des progrès de la Paix, la recontitution des
séances et des résultats de la Conférence de La
Haye, 1’ avènement du Droit des gens. Cela, c’est
enfin le soulagement de notre cœur oppressé :
nos yeux, dépassant les murs du musée de Lu
cerne, contemplent la vision qui nous enthou
siasme. A l’aube d’une journée qu’aucun reflet
sanglant ne souille plus de sa teinte de pourpre,
la douce image de la Paix monte à l’horizon.
P. Allégret.
P.-S. — On me demande ce que je pense du récent
jugement rendu par le Conseil de guerre du 9 e corps,
siégeant à Tours. On se rappelle qu’il avait à juger
les 5 officiers du 116 e de ligne qui s’étaient rendus
coupables de refus d’obéissance par scrupule de cons
cience.
L’un des 5 coupables, le lieutenant de Torquat,a dit
ceci aux sept officiers devant lesquels il avait à rendre
compte de sa conduite : « J’ai fait le sacrifice de mon
intelligence et de ma vie au pays ; mais le pays n’exige
pas le sacrifice de ma conscience...» Le Conseil de
guerre, sanctionnant cette théorie, a acquitté les 5 offi
ciers.
C’est parfait. — Mais alors qu’on nous permette
d’avouer ceci : nous ne comprenons plus les reproches
qu’on adresse à notre candide et simplette proposition
d’envoyer à Saint-Louis ou à Cayenne, soigner leurs
camarades atteints de la fièvre jaune, les simples sol
dats qui ont le même scrupule de conscience et qui,
n’étant pas officiers, 11 ’ont pas, eux, la suprême res
source de démissionner ! Les véritables « démolisseurs
de la discipline », ce n'est pas chez nous qu’il faut les
chercher : qu’on veuille bien s’adresser aux officiers
de Tours. P- A.
AVIS
‘ Tous ceux de nos abonnés qui nous en feront la
demande , recevront gratuitement un exemplaire de
la Déclaration de la Délégation Permanente tle Paris
sur l'attitude du parti pacifique dans la question
d’Alsace-Lorraine.
i
CS
0 e Année. — N a 14.
MENSUEL
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Iï. BBxcLet
Paul ALLÉGRET
Yves Le Bail
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AU HAVRE
M 1 ™ Yves Le Bail
qui en feront la demande.
Pour tout ce qui concerne la RÉDACTION et l’ADMINlSTRATION, s’adresser au Bureau de l’UNIVERSEL, 19, Place de l’Hôtel-de-Ville. — LE HAVRE
BERNE ET LUCERNE
C’est un plaisir, quand on arrive à Berne,
Kononemveg 12, d’être accueilli par l’aimable
sourire et la cordiale poignée de main de M.
Ducommun, le secrétaire honoraire du Bureau
International de la Paix, .le n’apprendrai à au
cun de mes lecteurs ce qu’est le bureau de Berne,
cet organisme central du mouvement pacifique ;
et ce n’est un secret pour personne que M. Du
commun en est l’âme.
Voici tout d’abord, en entrant, la grande salle
des délibérations de la Commission Permanente.
Tout autour les murs sont littéralement couverts
de dossiers portant des indications par chiffres
et par lettres.
Ces indications correspondent à un répertoire
soigneusement tenu à jour. Voulez-vous connaî
tre tout ce qui a été publié ou délibéré au sujet
d’une des questions concernant notre cause?
En quelques secondes M. Ducommun mettra
la main sur le dossier demandé. Tout est réuni
là : rapprochement des peuples, législation in
ternationale ; réduction des armées; développe
ment des Congrès de la Paix; propagande; ac
tualités politiques... etc. En quelque coin du
monde ou en quelque langue qu’un penseur ou
un homme d’Etat ait écrit un article, ou une
œuvre quelconque, ayant trait aux problèmes
qui nous préoccupent, tout cela a été recueilli,
classé et peut être mis immédiatement à votre
disposition. Dans deux salles annexes d’autres
documents sont catalogués : vues pour projec
tions, ouvrages de Jean de Bloch, archives et
travaux de la Commission Permanente, corres
pondance avec les Sociétés Pacifiques. Les fenê
tres s’ouvrent sur un large et calme horizon :
devant nous, Berne étend ses claires maisons,
assises au pied du palais fédéral, dominées par
la flèche de la cathédrale. C’est un lieu d’élection
pour un paneil sanctuaire. Sur la table du milieu,
le dossier en formation de la fameuse question
d’Alsace-Lorraine ouvre ses cartons multicolo
res. 11 est déjà prêt à partir pour Boston où les
délégués du XIII e Congrès International auront
à en prendre connaissance. Comment y suffiront-
ils? Mystère. Il faut plus d’une bonne journée
pour le lire à tête reposée !
Le parti pacifique peut être fier et reconnais
sant du dévouement désintéressé et inlassable
que lui apporte M. Ducommun. 11 y a en lui un
cœur d’apôtre : son contact réchauffe et fait du
bien. Il porte vaillamment le poids des années :
il prétend qu’elles pèsent tout de même sur ses
épaules. Il faut bien le croire, puisqu’il le dit.
11 voudrait trouver un ((jeune» qui, formé à
son école, continuerait sa tâche : quel est le nou
vel Elisée qui relèvera le manteau de cel Elie?
*
* *
Lé musée international de Lucerne s’appelle
le Musée de la Guerre et de la. Paix. Pour l’ins
tant il est plutôt un musée de la Guerre ; espé
rons qu’avec le temps il deviendra plus pacifi
que. L’initiative en est due à M. Jean de Bloch :
partant de cette idée qu’aucun souverain ne
pourrait aujourd’hui faire la guerre sans l’as
sentiment de sou peuple, M. de Bloch a voulu
prévenir les emballements populaires toujours
faciles à provoquer. Il s’est donc proposé d’éclai
rer les peuples sur les conditions et les consé
quences d’une guerre, soit pour leur patrie, soit
pour celle de leur adversaire. Qui ne se rappelle
l’enthousiasme (pii s’empara de Paris au mo-
ment de la déclaration de la guerre 1870, et ces
bandes d’hommes et de femmes qui parcou
raient les boulevards de la capitale en criant : à
Berlin ! Si chacun de ceux-là avait pu préalable
ment visiter un musée comme celui de Lucerne,
il eût assurément moins crié et davantage ré
fléchi.
L’exposition passagère des conditions d’une
guerre actuelle, qu’avait rêvée M. de Bloch pour
1000, a été remplacée par le Musée Permanent
de la Guerre et de la Paix. Des officiers, des
fonctionnaires, des médecins et des artistes suis
ses ont édifié l’œuvre pour laquelle M. de Bloch
et les citoyens de Lucerne avaient fourni les
ressources nécessaires.
Guidé par l’actif et intelligent directeur du
musée, M. Zimmermann, j’en ai visité avec
grand profit et intérêt les vastes et nombreuses
salles. Ici, dans d’innombrables graphiques, ta
bleaux et reproductions diverses, nous avons
l’histoire de la guerre depuis les Grecs et les
Romains jusqu’à la campagne du Transvaal et à
celle de Chine ; plus loin, c’est l’histoire d’une
forteresse d’après Viollet-le-Duc, à laquelle est
joint a comme annexe, la fortification des
champs de bataille.
Ces tableaux et diagrammes nous montrent
les terribles elléts des armes actuelles, compa
rés aux blessures produites par les anciens ar
mements; et comme corollaire, voici l’organisa
tion de plus en plus compliquée des services
auxiliaires, et des secours sanitaires. Dans une
vaste salle nous nous heurtons à des canons,
des masses de canons, tapis à terre ou haut per
chés sur leurs affûts de campagne, canons à la
gueule béante, de tous les temps et de tous les
modèles, jusqu’à la moderne et formidable mi
trailleuse tirant je 11c sais plus combien de coups
à la minute. Tous ces énormes et terrifiants en
gins de destruction poussent à la méditation:
que de temps, d’efforts et de science les hom
mes ont dépensé pour perfectionner l’art de
s’entretuer ! Et je n’ai rien dit des tableaux de
plans de campagne, des reconstitutions de
champs de bataille, des flottes et des cuirassés,
des torpilleurs et des torpilles, des mines dor
mantes et des mines flottantes...
On est humilié, on frémit, on détourne la
tête : bonne et suggestive visite à recommander
à tous ceux qui ne nous comprennent pas, et rê
vent encore de conquêtes militaires. C’est ici
qu’on peut philosopher à l’aise sur « l’envers
de la gloire » !
Mais voici le coin reposant, le Musée de la
Paix. Sous la présidence de quelques grands pa
cifiques, dont la figure aimée s’enlève entre
d’émouvants tableaux guerriers, nous trouvons
enfin quelque chose qui nous parle de l’avenir :
c’est la section d’économie politique, l’exposi
tion des progrès de la Paix, la recontitution des
séances et des résultats de la Conférence de La
Haye, 1’ avènement du Droit des gens. Cela, c’est
enfin le soulagement de notre cœur oppressé :
nos yeux, dépassant les murs du musée de Lu
cerne, contemplent la vision qui nous enthou
siasme. A l’aube d’une journée qu’aucun reflet
sanglant ne souille plus de sa teinte de pourpre,
la douce image de la Paix monte à l’horizon.
P. Allégret.
P.-S. — On me demande ce que je pense du récent
jugement rendu par le Conseil de guerre du 9 e corps,
siégeant à Tours. On se rappelle qu’il avait à juger
les 5 officiers du 116 e de ligne qui s’étaient rendus
coupables de refus d’obéissance par scrupule de cons
cience.
L’un des 5 coupables, le lieutenant de Torquat,a dit
ceci aux sept officiers devant lesquels il avait à rendre
compte de sa conduite : « J’ai fait le sacrifice de mon
intelligence et de ma vie au pays ; mais le pays n’exige
pas le sacrifice de ma conscience...» Le Conseil de
guerre, sanctionnant cette théorie, a acquitté les 5 offi
ciers.
C’est parfait. — Mais alors qu’on nous permette
d’avouer ceci : nous ne comprenons plus les reproches
qu’on adresse à notre candide et simplette proposition
d’envoyer à Saint-Louis ou à Cayenne, soigner leurs
camarades atteints de la fièvre jaune, les simples sol
dats qui ont le même scrupule de conscience et qui,
n’étant pas officiers, 11 ’ont pas, eux, la suprême res
source de démissionner ! Les véritables « démolisseurs
de la discipline », ce n'est pas chez nous qu’il faut les
chercher : qu’on veuille bien s’adresser aux officiers
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