Titre : L'Universel : l'Évangile c'est la liberté ! / direction H. Huchet
Auteur : Mouvement pacifique chrétien de langue française. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1903-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32885496v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 juillet 1903 01 juillet 1903
Description : 1903/07/01 (N3)-1903/07/31. 1903/07/01 (N3)-1903/07/31.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4565375z
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-45090
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/09/2017
Guerre à la Guerre
Cinq
MENSUEL
Centimes le Numéro
JUILLET 1903
ABONNEMENTS
France 1 Fr.
Union Postale... 2 —
Organe du Mouvement Pacifique Chrétien
de Langue Française.
“ PAIX SUR LA TERRE ! ”
RÉDACTION
DIRECTION :
ADMINISTRATION
H. Huchet
Paul ALLÉGRET
Yves Le Bail
]VE me H. Hncliet
AU HAVRE
M me Yves Le Bail
PROPAGANDE
Des abonnements Gratuits
seront servis à tous ceux
qui en feront la demande.
Pour tout ce qui concerne la RÉDACTION et l’ADMINISTRATION, s’adresser au Bureau de l’UNIVERSEL, 19, Place de rHôtel-de-Ville. — LE HAVRE
A nos Lecteurs
M. Henry Dartigur, rédacteur au Signal , dont les
« profils contemporains » ont été fort remarqués,
commencera, dans le numéro d’aout de 1 Universel ,
une biographie de M. Frédéric PASSA.
PRIMES DE PROPAGANDE
Offertes à tout lecteur qui nous trouvera
deux nouveaux abonnés en France ou
à l’étranger.
Au choix :
I. Le Péril Jésuitique, par M. de Schoulepnikow .
II. Appel pressant à nos frères Catholiques qui
cherchent la Vérité, par M. de Sciioulep-
NIKOW.
III. L’Armée du Salut et les Eglises, par M. le
pasteur D. Lortscii.
IV. Du Devoir de l’Evangélisation personnelle,
par M. Paul Monod.
Pour trois abonnements :
I. Notre Modèle, par Ch. Scheldon.
II. Un Miracle, par Cii. Scheldon.
III. Noblesse de Cœur, par Malverne.
IV. La Capitaine Donnadieu, par P. Neyret.
Pacifiques Chrétiens
Pour tous ceux qui aiment à suivre de près
le mouvement des idées, rien n’est plus intéres
sant à étudier que l’extension rapide de la pro
pagande pacifique en ces dernières années.
Hésitante et timide pendant tout un siècle, para
lysée par les préjugés et la routine, mal accueillie
comme inopportune, chimérique, voire même
dangereuse, limitée à quelques nobles esprits
que s’en firent les apôtres, elle a soudain déployé
ses ailes et pris son essor. Ce ne sont plus quel
ques groupements épars et inconnus, quelques
obscurs rêveurs dans leurs congrès ignorés qui
sacrifient à l’autel de la Paix universelle : les
journaux et les revues se sont emparés de leur
idée; les Chambres de commerce ou les Tribunes
nationales l’ont mise à la mode ; les ministres de
la guerre l’envisagent comme l’aboutissement
logique de leur effort ; les chefs d’Etat eux-
mêmes se déplacent pour la vulgariser, et ne
s’abordent plus qu’avec un rameau d’olivier à la
main. Alors même que la fameuse initiative du
tsar n’aurait eu que ce résultat, il faudrait rendre
grâces à l’impériale chiquenaude qui a amené
ce branle-bas de Paix.
Rien de plus curieux, à propos de cette ré
jouissante volte-face de l’opinion publique, que
les expériences des hommes qui, depuis quelques
années, ont consacré un peu de leur temps et
de leur labeur à la sainte croisade contre la
guerre. Tel journal qui, autrefois, affectait de
nous ignorer de parti-pris, ou ne parlait de nous
qu’avec une railleuse commisération, nous pro
digue aujourd’hui ses encouragements ; tel audi
toire populaire qui, il y a cinq ans, nous écoutait
avec impatience et réclamait le droit de nous
contredire, nous accueille aujourd’hui par d’en
thousiastes applaudissements, et même — qu’on
excuse notre immodestie ! — par de vibrantes
ovations. Les adhésions viennent, nombreuses,
à notre programme : rien qu’en France voici 55
à 6 o Sociétés pacifiques proprement dites ; 49
associations différentes, d’instituteurs ou d’ou
vriers ; 3 1 Chambres de commerce ou Universités
Populaires ; un nombre plus grand encore de
Bourses du Travail, et derrière elles l’armée non
encore dénombrée des eoopérateurs et des mu
tualistes ; sans compter le nouveau groupe par
lementaire de la Paix, avec ses 200 députés de
toutes nuances, groupés autour de M. d’Estour-
nelles de Constant. Eclose en ces milliers de
cerveaux, la vision de la Paix monte à l’horizon
de notre histoire contemporaine en ce commen
cement du 20 e siècle. Elle apparaît comme l’étape
actuelle à franchir sur la voie du progrès ; la
victoire, rendue nécessaire par les nécessités
économiques de la vie moderne, à remporter sur
les servitudes d’hier ; la solution première des
questions sociales. Elle se dresse aussi comme
l’Idéal nouveau d’une Conscience humaine mieux
éclairée, dégageant des obscurités de son édu
cation dans le passé, l’affirmation qu’il y a un
Droit et une Justice pour les nations comme
pour les individus.
Or, voici qui demeure pour certains chrétiens
dont je suis, un sujet d’étonnement : pourquoi
les disciples de Jésus-Christ restent-ils en grande
masse indifférents et passifs, au moment où se
livre cette grande bataille ? L’humanité se pose
aujourd’hui, enfin, cette émouvante question :
les solutions équitables et juridiques remplace
ront-elles à l’avenir les solutions brutales et san
glantes? J’ai pour ma part cette certitude que
c’est là une manifestation évidente de la présence
du levain déposé dans la pâte. L’Evangile du
salut besogne en cette matière-là comme en
toutes les autres afin de débarrasser la terre des
obstacles accumulés par le péché des hommes
pour entraver l’extension du Royaume de Dieu.
La cause de la Paix est un prolongement du
Christ dans lTiistoire : c’est du Calvaire que
rayonne, parmi d’autres, cette lumière.
Pourquoi donc, parmi tous ces, pacifiques
d’aujourd’hui, parmi tous ces philosophes, ces
juristes, ces sociologues, ces moralistes se ré
clamant de la libre-pensée, suis-je obligé de ten
dre l’oreille pour discerner à grand’peine, le
timide balbutiement de quelques chrétiens, dé
fenseurs de la gloire du « Prince de la Paix » ?
Pour la première fois peut-être, depuis que notre
globe porte l’empreinte des pas du Nazaréen,
une grande victoire sur le mal aura été remportée
— extérieurement— sans Lui, c’est-à-dire con
tre Lui : les ennemis du Christ ne se gênent pas
pour le proclamer ! II n’y a que ceux qui, ayant
des oreilles, 11e veulent pas entendre, qui puis
sent continuer à ne pas s’en apercevoir.
Les chrétiens seraient-ils moins bien informés
que les autres des conditions actuelles de notre
vie sociale et économique ? Seraient-ils moins
convaincus ou plus timorés? Ou bien seraient-
ils moins bons citoyens, j’entends moins bons
patriotes, et leur cœur vibrerait-il moins que
celui des « humanitaires désintéressés? » C’est-
à-dire, le sel aurait-il perdu sa saveur ? Chacune
de ces questions demanderait une réponse pra
tique et documentée que je ne puis fournir ici :
cela sera fait ailleurs. Je constate seulement un
fait : tout un profond travail se poursuit dans
les entrailles même des nations civilisées pour
supprimer définitivement du monde, ce cauche
mar qui s’appelle la guerre ; toute une cohorte
de vaillants lutteurs s’efforce de briser cette
« trêve armée », qui, comme une cuirasse de
venue trop étroite, nous oppresse et nous
étouffe. Au premier rang, donnant comme un
seul homme, il paraît naturel de chercher les
membres de toutes nos églises : or, je ne les y
trouve pas.
Je vois bien nos assemblées religieuses ins
crire à l’ordre du jour de leurs délibérations le
sanatorium contre la tuberculose et les ligues
anti-alcooliques. Mais je ne les vois pas se pré
occuper d’abord de bâillonner la guerre, de ré
pandre les idées d’arbitrage, et de mettre ainsi
un terme à la situation présente qui nous ruine
et nous paralyse. Et je dis que si cette besogne
n’est pas premièrement accomplie, toutes les
autres sont d’avance frappées d’impuissance.
Un ami, membre éminent de notre Eglise, me
disait il y a peu de temps : « A quoi bon une
Société chrétienne de la Paix ? Les Sociétés laï
ques et neutres me paraissent suffisantes ». —
Si je n’étais pas un des leurs, je me sentirais
pressé d’envoyer le témoignage de ma recon
naissance aux hommes qui, il y a cinq an&, sans
bruit, ont constitué le groupe des pacifiques
chrétiens. Leur bataillon s’avance à son rang
dans la grande armée des pacifiques. Sauvegar
dant la gloire du Maître, ils ont inscrit cette de
vise sur leur drapeau : « Pour la Paix, au nom
du Christ. »
Paul Allégret.
PENSÉES SUR L A PRESSE
Un journal est une victime publique. Il compte a
peu près autant de censeurs que de lecteurs.
J. Pédézert.
*
* *
Au nombre des moyens les plus aptes à défendre
la religion , il n'en est pas, h notre sens , déplus
approprié à l'époque actuelle , ni de plus efficace
que la presse. La bonne presse est l’œuvre des œu
vres. Léon XIII,
Cinq
MENSUEL
Centimes le Numéro
JUILLET 1903
ABONNEMENTS
France 1 Fr.
Union Postale... 2 —
Organe du Mouvement Pacifique Chrétien
de Langue Française.
“ PAIX SUR LA TERRE ! ”
RÉDACTION
DIRECTION :
ADMINISTRATION
H. Huchet
Paul ALLÉGRET
Yves Le Bail
]VE me H. Hncliet
AU HAVRE
M me Yves Le Bail
PROPAGANDE
Des abonnements Gratuits
seront servis à tous ceux
qui en feront la demande.
Pour tout ce qui concerne la RÉDACTION et l’ADMINISTRATION, s’adresser au Bureau de l’UNIVERSEL, 19, Place de rHôtel-de-Ville. — LE HAVRE
A nos Lecteurs
M. Henry Dartigur, rédacteur au Signal , dont les
« profils contemporains » ont été fort remarqués,
commencera, dans le numéro d’aout de 1 Universel ,
une biographie de M. Frédéric PASSA.
PRIMES DE PROPAGANDE
Offertes à tout lecteur qui nous trouvera
deux nouveaux abonnés en France ou
à l’étranger.
Au choix :
I. Le Péril Jésuitique, par M. de Schoulepnikow .
II. Appel pressant à nos frères Catholiques qui
cherchent la Vérité, par M. de Sciioulep-
NIKOW.
III. L’Armée du Salut et les Eglises, par M. le
pasteur D. Lortscii.
IV. Du Devoir de l’Evangélisation personnelle,
par M. Paul Monod.
Pour trois abonnements :
I. Notre Modèle, par Ch. Scheldon.
II. Un Miracle, par Cii. Scheldon.
III. Noblesse de Cœur, par Malverne.
IV. La Capitaine Donnadieu, par P. Neyret.
Pacifiques Chrétiens
Pour tous ceux qui aiment à suivre de près
le mouvement des idées, rien n’est plus intéres
sant à étudier que l’extension rapide de la pro
pagande pacifique en ces dernières années.
Hésitante et timide pendant tout un siècle, para
lysée par les préjugés et la routine, mal accueillie
comme inopportune, chimérique, voire même
dangereuse, limitée à quelques nobles esprits
que s’en firent les apôtres, elle a soudain déployé
ses ailes et pris son essor. Ce ne sont plus quel
ques groupements épars et inconnus, quelques
obscurs rêveurs dans leurs congrès ignorés qui
sacrifient à l’autel de la Paix universelle : les
journaux et les revues se sont emparés de leur
idée; les Chambres de commerce ou les Tribunes
nationales l’ont mise à la mode ; les ministres de
la guerre l’envisagent comme l’aboutissement
logique de leur effort ; les chefs d’Etat eux-
mêmes se déplacent pour la vulgariser, et ne
s’abordent plus qu’avec un rameau d’olivier à la
main. Alors même que la fameuse initiative du
tsar n’aurait eu que ce résultat, il faudrait rendre
grâces à l’impériale chiquenaude qui a amené
ce branle-bas de Paix.
Rien de plus curieux, à propos de cette ré
jouissante volte-face de l’opinion publique, que
les expériences des hommes qui, depuis quelques
années, ont consacré un peu de leur temps et
de leur labeur à la sainte croisade contre la
guerre. Tel journal qui, autrefois, affectait de
nous ignorer de parti-pris, ou ne parlait de nous
qu’avec une railleuse commisération, nous pro
digue aujourd’hui ses encouragements ; tel audi
toire populaire qui, il y a cinq ans, nous écoutait
avec impatience et réclamait le droit de nous
contredire, nous accueille aujourd’hui par d’en
thousiastes applaudissements, et même — qu’on
excuse notre immodestie ! — par de vibrantes
ovations. Les adhésions viennent, nombreuses,
à notre programme : rien qu’en France voici 55
à 6 o Sociétés pacifiques proprement dites ; 49
associations différentes, d’instituteurs ou d’ou
vriers ; 3 1 Chambres de commerce ou Universités
Populaires ; un nombre plus grand encore de
Bourses du Travail, et derrière elles l’armée non
encore dénombrée des eoopérateurs et des mu
tualistes ; sans compter le nouveau groupe par
lementaire de la Paix, avec ses 200 députés de
toutes nuances, groupés autour de M. d’Estour-
nelles de Constant. Eclose en ces milliers de
cerveaux, la vision de la Paix monte à l’horizon
de notre histoire contemporaine en ce commen
cement du 20 e siècle. Elle apparaît comme l’étape
actuelle à franchir sur la voie du progrès ; la
victoire, rendue nécessaire par les nécessités
économiques de la vie moderne, à remporter sur
les servitudes d’hier ; la solution première des
questions sociales. Elle se dresse aussi comme
l’Idéal nouveau d’une Conscience humaine mieux
éclairée, dégageant des obscurités de son édu
cation dans le passé, l’affirmation qu’il y a un
Droit et une Justice pour les nations comme
pour les individus.
Or, voici qui demeure pour certains chrétiens
dont je suis, un sujet d’étonnement : pourquoi
les disciples de Jésus-Christ restent-ils en grande
masse indifférents et passifs, au moment où se
livre cette grande bataille ? L’humanité se pose
aujourd’hui, enfin, cette émouvante question :
les solutions équitables et juridiques remplace
ront-elles à l’avenir les solutions brutales et san
glantes? J’ai pour ma part cette certitude que
c’est là une manifestation évidente de la présence
du levain déposé dans la pâte. L’Evangile du
salut besogne en cette matière-là comme en
toutes les autres afin de débarrasser la terre des
obstacles accumulés par le péché des hommes
pour entraver l’extension du Royaume de Dieu.
La cause de la Paix est un prolongement du
Christ dans lTiistoire : c’est du Calvaire que
rayonne, parmi d’autres, cette lumière.
Pourquoi donc, parmi tous ces, pacifiques
d’aujourd’hui, parmi tous ces philosophes, ces
juristes, ces sociologues, ces moralistes se ré
clamant de la libre-pensée, suis-je obligé de ten
dre l’oreille pour discerner à grand’peine, le
timide balbutiement de quelques chrétiens, dé
fenseurs de la gloire du « Prince de la Paix » ?
Pour la première fois peut-être, depuis que notre
globe porte l’empreinte des pas du Nazaréen,
une grande victoire sur le mal aura été remportée
— extérieurement— sans Lui, c’est-à-dire con
tre Lui : les ennemis du Christ ne se gênent pas
pour le proclamer ! II n’y a que ceux qui, ayant
des oreilles, 11e veulent pas entendre, qui puis
sent continuer à ne pas s’en apercevoir.
Les chrétiens seraient-ils moins bien informés
que les autres des conditions actuelles de notre
vie sociale et économique ? Seraient-ils moins
convaincus ou plus timorés? Ou bien seraient-
ils moins bons citoyens, j’entends moins bons
patriotes, et leur cœur vibrerait-il moins que
celui des « humanitaires désintéressés? » C’est-
à-dire, le sel aurait-il perdu sa saveur ? Chacune
de ces questions demanderait une réponse pra
tique et documentée que je ne puis fournir ici :
cela sera fait ailleurs. Je constate seulement un
fait : tout un profond travail se poursuit dans
les entrailles même des nations civilisées pour
supprimer définitivement du monde, ce cauche
mar qui s’appelle la guerre ; toute une cohorte
de vaillants lutteurs s’efforce de briser cette
« trêve armée », qui, comme une cuirasse de
venue trop étroite, nous oppresse et nous
étouffe. Au premier rang, donnant comme un
seul homme, il paraît naturel de chercher les
membres de toutes nos églises : or, je ne les y
trouve pas.
Je vois bien nos assemblées religieuses ins
crire à l’ordre du jour de leurs délibérations le
sanatorium contre la tuberculose et les ligues
anti-alcooliques. Mais je ne les vois pas se pré
occuper d’abord de bâillonner la guerre, de ré
pandre les idées d’arbitrage, et de mettre ainsi
un terme à la situation présente qui nous ruine
et nous paralyse. Et je dis que si cette besogne
n’est pas premièrement accomplie, toutes les
autres sont d’avance frappées d’impuissance.
Un ami, membre éminent de notre Eglise, me
disait il y a peu de temps : « A quoi bon une
Société chrétienne de la Paix ? Les Sociétés laï
ques et neutres me paraissent suffisantes ». —
Si je n’étais pas un des leurs, je me sentirais
pressé d’envoyer le témoignage de ma recon
naissance aux hommes qui, il y a cinq an&, sans
bruit, ont constitué le groupe des pacifiques
chrétiens. Leur bataillon s’avance à son rang
dans la grande armée des pacifiques. Sauvegar
dant la gloire du Maître, ils ont inscrit cette de
vise sur leur drapeau : « Pour la Paix, au nom
du Christ. »
Paul Allégret.
PENSÉES SUR L A PRESSE
Un journal est une victime publique. Il compte a
peu près autant de censeurs que de lecteurs.
J. Pédézert.
*
* *
Au nombre des moyens les plus aptes à défendre
la religion , il n'en est pas, h notre sens , déplus
approprié à l'époque actuelle , ni de plus efficace
que la presse. La bonne presse est l’œuvre des œu
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