Titre : L'Universel : l'Évangile c'est la liberté ! / direction H. Huchet
Auteur : Mouvement pacifique chrétien de langue française. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1902-11-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32885496v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 novembre 1902 01 novembre 1902
Description : 1902/11/01 (N7)-1902/11/30. 1902/11/01 (N7)-1902/11/30.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4565368t
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-45090
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2017
Organe du Mouvement Pacifique
de Langue Française
Chrétien
PAIX SUR LA TERRE !
—
- ... -
ABONNEMENTS
RÉDACTION
niKEtrno^ :
ADMINISTRATION
PROPAGANDE
France 1 Fr.
11. TI n cli et
Paul ALLÉGRET
Yves Le Bail
Des abonnements Gratuits
- seront servis à tous ceux
Union Postale... 2 — '
1
j\T" ie II. Il n eh. et
AU HAVRE
M“ ie Yves Le Bail
qui en feront la demande
Pour tout ce qui concerne la Rédaction et / Administration, s'adresser au bureau de /'Universel, 19, Place de Tllètel-de-Ville. LE HAVRE
SOMMAIRE
Un Progrès P ■ Allégret.
Le I e ' Congrès National français.. H. d’Allens.
Appel aux Femmes de cœur Blanc-Milsand
Programme d’Action W. Darby.
Chronique de la Paix.
Bibliographie Kellerman n.
, (R. Masson.
Tribune libre de 1 « Universel ....... „
(A. Freytag.
Echos H. Huche t.
Contre l’Alcoolisme.
UN PROGRÈS
Nous avons aujourd’hui une bonne nou
velle à annoncer à nos lecteurs : l’idée
d’arbitrage est en progrès au Havre ; et je
connais quelques-uns de ceux qui lui sont
aujourd’hui acquis — tout au moins offi
ciellement — qui ne lui étaient guère favo
rables il y a seulement un an. Voici dans
quelles circonstances une des causes que
nous défendons dans ce journal a reçu cette
décisive impulsion.
L’honorable M. Th. Barclay, ancien pré
sident de la Chambre de Commerce bri
tannique de Paris, vient de convoquer,
dans un des grands salons de l’Hôtel Fras-
cati, la plupart des notabilités commer
ciales et administratives de notre ville,
pour les entretenir d’un projet qui lui est
cher, celui d’un Ti'ciitêd’arbilrayeperma
nent à établir entre la France et l’Angle
terre. M. Barclay a exposé, devant une
centaine d’auditeurs, comment, depuis un
an, il a engagé des deux côtés du détroit
une campagne couronnée du plus splen
dide succès, en faveur de son idée. 11 s’est
assuré tout d’abord l’appui de toutes les
Chambres de Commerce et d’industrie du
Royaume-Uni, de l’alliance des Sociétés
coopératives et des Syndicats ouvriers ou
Trades-Unions, qui représentent en Angle
terre une des plus puissantes forces élec
torales. Il a voulu avoir avec lui égale
ment l’opinion intellectuelle de son pays,
et a reçu l’adhésion de professeurs de
droit, de littérateurs, de lords-maires,
d’amiraux, et de l’unanimité des corps reli
gieux. Il affirme que Y Angleterre entière
approuve hautement son projet.
Puis, se tournant vers la France, d a
sollicité et obtenu le concours des princi
pales Chambres de Commerce de - notre
pays. Maintenant, il veut lancer l’idée dans
la masse du peuple, et il commence cette
nouvelle campagne, en France, par le
Havre, une des villes les mieux placées
pour peser les bienfaits d’une paix assu
rée. Il a consacré à cette noble tâche toute
son âme, et il espère que son appel sera
entendu. Il demande donc qu’un impor
tant Comité de propagande en faveur d’un
traité d’arbitrage permanent à établir entre
la France et l’Angleterre, soit immédiate
ment constitué au Havre.
Séance tenante et pour répondre au désir
du conférencier, un Comité spécial a été
constitué. On a fait entrer tout d’abord
dans ce Comité — à tout seigneur tout
honneur — le président de la Société d’Ar
bitrage du Havre, M. Follin ; puis le pré
sident des Amis de la Paix , signataire de
cet article. On y a mis un autre pacifique
dévoué, le D'' Sorel ; des conseillers géné
raux, parmi lesquels le président de la
Conférence, AI. Génestal ; des membres
de la Municipalité, des membres de la
Chambre de Commerce ; le directeur du
plus répandu des journaux de notre ville,
M. HT F énoux ; un certain nombre de négo
ciants parmi Jes plus connus, tant Anglais
que Français; un représentant des Syndi
cats ouvriers, tout acquis à nos idées,
M. Philippe ; enfin les trois principaux
curés-doyens de la ville, entr’autres l’archi-
prêtre de Notre-Dame.
Nous estimons que la seule existence de
cet imposant et officiel Comité est un ré
jouissant signe des temps. L’idée d’arbi
trage fait bien ici sa solennelle entrée chez
nous par une porte un peu basse, puisqu’il
s’agit seulement d’une entente franco-an
glaise, mais peu importe : le spectre de la
guerre, une fois définitivement écarté
entre deux nations rivales depuis des siè
cles, on se tournera vers d’autres adver
saires. C’est toujours une réjouissante
réalisation de notre programme : Guerre
à la Guerre !
Nous sommes spécialement heureux, en
nous plaçant au point de vue chrétien que
nous défendons ici, de l’adhésion sollicitée
et obtenue* de trois des membres les plus
en vue du clergé catholique du Havre.
C’est bien sincèrement que nous avons pu
accepter la délégation qui nous a été con
fiée, avec deux autres membres du Comité,
d’aller leur exposer notre programme et
leur demander leur concours. Nous espé
rons qu’oubliant ce qui nous divise par
ailleurs, nous pourrons, sur ce terrain
spécial de la propagande pacifique, faire
œuvre commune de patriotes et de chré
tiens. Nous avons déjà des prêtres parmi
les abonnés de Y Universel, et ils nous sont
restés fidèles. Nous saluons avec joie l’en
trée dans nos rangs de leurs confrères
havrais ; il nous appartenait, et nous le
faisons de bon cœur, de leur souhaiter
cordialement la bienveuue dans la cohorte
des pacifiques chrétiens.
Paul Allégret.
Le f Coupés national français
DE LA PAIX
Ainsi que l’a annoncé Y Universel, le Congrès
de Toulouse s’est réuni du 16 au 19 octobre.
Disons tout de suite qu’il a pleinement
réussi, et qu’il n’a pas été seulement, comme
certains Congrès, l’occasion de discours ap
plaudis et de réceptions brillantes. Comme
l’a dit M. Passy, « ce Congrès s’est fait remar
quer par son sérieux », il a été le point de
départ de décisions qui promettent d’être
fécondes. Les discussions ont été intéressan
tes et documentées, les questions soigneuse
ment étudiées.
Telle est l’impression de ceux qui ont eu
le privilège d’y assister. Voyons maintenant
dans le détail les principaux résultats de ces
trois journées :
Le Plan du Congrès
Le jeudi matin, le Congrès ouvre ses séan
ces dans la grande salle de l’hôtel d’Assézat,
que décorent des drapeaux de toutes les
nations. Les autorités toulousaines sont pré
sentes. M. Frédéric Passy préside, assisté
de M. Mérignhac, président de l’Association
toulousaine, et de M. Feuga, adjoint au maire
de Toulouse.
Après un discours de bienvenue de M.
Feuga, au nom de la municipalité, M. Passy
répond avec une grande éloquence, puis
M. Mérignhac expose, dans un discours
remarquable de précision et de clarté, le but
du Congrès qui, dit-il, est double : but inter
national , par la préparation des questions qui
seront étudiées dans les grands Congrès
pacifiques; but national , par l’organisation de
nos Sociétés françaises. Ce plan a inspiré le
choix des travaux du Congrès de Toulouse qui
peuvent se classer sous ces deux catégories.
On nomme présidents d’honneur les som
mités du monde pacifique et les autorités de
Toulouse. M. Frédéric Passy est élu prési
dent d’honneur effectif, et M. Mérignhac,
président du Congrès.
Dès la seconde séance, des résolutions très
importantes étaient prises.
Un Ministère de la Paix
Le rapport de M. Langlade (Montauban)
sur les Sociétés françaises'de la Paix pose la
question de l’organisation de nos Associa
tions et des rapports qui doivent exister entre
elles, question de la plus haute importance
et qui donne lieu à une discussion nourrie et
animée. Doit-on laisser aux diverses Associa
tions leur autonomie, doit-on nommèr un
comité directeur, ou doit-on chercher un
système mixte ? Les Sociétés de la Paix doi
vent-elles agir chacune de leur côté, ou se
fédérer pour donner au mouvement plus
d’unité ?
Le Congrès a décidé, pour résoudre le pro
blème, de nommer une délégation permanente
provisoire composée de neuf membres, et
représentant les Sociétés françaises de la
Paix jusqu’au prochain Congrès. C’est en
quelque sorte le pouvoir exécutif du Congrès,
un véritable Ministère de la Paix, que le
Congrès de Toulouse a institué et qui pourra
rendre les plus grands services à la cause pa
cifique (1). Voici, d’après le texte même de la
(1) Nous tenons h exprimer ici le regret que le
Congrès de Toulouse ait oublié de faire entrer dans
cette délégation permanente provisoire au moins
un représentant du parti pacifique chrétien. Nous
espérons que cet oubli sera réparé au prochain
Congrès. (Réd.)
wmÊmm
de Langue Française
Chrétien
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11. TI n cli et
Paul ALLÉGRET
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1
j\T" ie II. Il n eh. et
AU HAVRE
M“ ie Yves Le Bail
qui en feront la demande
Pour tout ce qui concerne la Rédaction et / Administration, s'adresser au bureau de /'Universel, 19, Place de Tllètel-de-Ville. LE HAVRE
SOMMAIRE
Un Progrès P ■ Allégret.
Le I e ' Congrès National français.. H. d’Allens.
Appel aux Femmes de cœur Blanc-Milsand
Programme d’Action W. Darby.
Chronique de la Paix.
Bibliographie Kellerman n.
, (R. Masson.
Tribune libre de 1 « Universel ....... „
(A. Freytag.
Echos H. Huche t.
Contre l’Alcoolisme.
UN PROGRÈS
Nous avons aujourd’hui une bonne nou
velle à annoncer à nos lecteurs : l’idée
d’arbitrage est en progrès au Havre ; et je
connais quelques-uns de ceux qui lui sont
aujourd’hui acquis — tout au moins offi
ciellement — qui ne lui étaient guère favo
rables il y a seulement un an. Voici dans
quelles circonstances une des causes que
nous défendons dans ce journal a reçu cette
décisive impulsion.
L’honorable M. Th. Barclay, ancien pré
sident de la Chambre de Commerce bri
tannique de Paris, vient de convoquer,
dans un des grands salons de l’Hôtel Fras-
cati, la plupart des notabilités commer
ciales et administratives de notre ville,
pour les entretenir d’un projet qui lui est
cher, celui d’un Ti'ciitêd’arbilrayeperma
nent à établir entre la France et l’Angle
terre. M. Barclay a exposé, devant une
centaine d’auditeurs, comment, depuis un
an, il a engagé des deux côtés du détroit
une campagne couronnée du plus splen
dide succès, en faveur de son idée. 11 s’est
assuré tout d’abord l’appui de toutes les
Chambres de Commerce et d’industrie du
Royaume-Uni, de l’alliance des Sociétés
coopératives et des Syndicats ouvriers ou
Trades-Unions, qui représentent en Angle
terre une des plus puissantes forces élec
torales. Il a voulu avoir avec lui égale
ment l’opinion intellectuelle de son pays,
et a reçu l’adhésion de professeurs de
droit, de littérateurs, de lords-maires,
d’amiraux, et de l’unanimité des corps reli
gieux. Il affirme que Y Angleterre entière
approuve hautement son projet.
Puis, se tournant vers la France, d a
sollicité et obtenu le concours des princi
pales Chambres de Commerce de - notre
pays. Maintenant, il veut lancer l’idée dans
la masse du peuple, et il commence cette
nouvelle campagne, en France, par le
Havre, une des villes les mieux placées
pour peser les bienfaits d’une paix assu
rée. Il a consacré à cette noble tâche toute
son âme, et il espère que son appel sera
entendu. Il demande donc qu’un impor
tant Comité de propagande en faveur d’un
traité d’arbitrage permanent à établir entre
la France et l’Angleterre, soit immédiate
ment constitué au Havre.
Séance tenante et pour répondre au désir
du conférencier, un Comité spécial a été
constitué. On a fait entrer tout d’abord
dans ce Comité — à tout seigneur tout
honneur — le président de la Société d’Ar
bitrage du Havre, M. Follin ; puis le pré
sident des Amis de la Paix , signataire de
cet article. On y a mis un autre pacifique
dévoué, le D'' Sorel ; des conseillers géné
raux, parmi lesquels le président de la
Conférence, AI. Génestal ; des membres
de la Municipalité, des membres de la
Chambre de Commerce ; le directeur du
plus répandu des journaux de notre ville,
M. HT F énoux ; un certain nombre de négo
ciants parmi Jes plus connus, tant Anglais
que Français; un représentant des Syndi
cats ouvriers, tout acquis à nos idées,
M. Philippe ; enfin les trois principaux
curés-doyens de la ville, entr’autres l’archi-
prêtre de Notre-Dame.
Nous estimons que la seule existence de
cet imposant et officiel Comité est un ré
jouissant signe des temps. L’idée d’arbi
trage fait bien ici sa solennelle entrée chez
nous par une porte un peu basse, puisqu’il
s’agit seulement d’une entente franco-an
glaise, mais peu importe : le spectre de la
guerre, une fois définitivement écarté
entre deux nations rivales depuis des siè
cles, on se tournera vers d’autres adver
saires. C’est toujours une réjouissante
réalisation de notre programme : Guerre
à la Guerre !
Nous sommes spécialement heureux, en
nous plaçant au point de vue chrétien que
nous défendons ici, de l’adhésion sollicitée
et obtenue* de trois des membres les plus
en vue du clergé catholique du Havre.
C’est bien sincèrement que nous avons pu
accepter la délégation qui nous a été con
fiée, avec deux autres membres du Comité,
d’aller leur exposer notre programme et
leur demander leur concours. Nous espé
rons qu’oubliant ce qui nous divise par
ailleurs, nous pourrons, sur ce terrain
spécial de la propagande pacifique, faire
œuvre commune de patriotes et de chré
tiens. Nous avons déjà des prêtres parmi
les abonnés de Y Universel, et ils nous sont
restés fidèles. Nous saluons avec joie l’en
trée dans nos rangs de leurs confrères
havrais ; il nous appartenait, et nous le
faisons de bon cœur, de leur souhaiter
cordialement la bienveuue dans la cohorte
des pacifiques chrétiens.
Paul Allégret.
Le f Coupés national français
DE LA PAIX
Ainsi que l’a annoncé Y Universel, le Congrès
de Toulouse s’est réuni du 16 au 19 octobre.
Disons tout de suite qu’il a pleinement
réussi, et qu’il n’a pas été seulement, comme
certains Congrès, l’occasion de discours ap
plaudis et de réceptions brillantes. Comme
l’a dit M. Passy, « ce Congrès s’est fait remar
quer par son sérieux », il a été le point de
départ de décisions qui promettent d’être
fécondes. Les discussions ont été intéressan
tes et documentées, les questions soigneuse
ment étudiées.
Telle est l’impression de ceux qui ont eu
le privilège d’y assister. Voyons maintenant
dans le détail les principaux résultats de ces
trois journées :
Le Plan du Congrès
Le jeudi matin, le Congrès ouvre ses séan
ces dans la grande salle de l’hôtel d’Assézat,
que décorent des drapeaux de toutes les
nations. Les autorités toulousaines sont pré
sentes. M. Frédéric Passy préside, assisté
de M. Mérignhac, président de l’Association
toulousaine, et de M. Feuga, adjoint au maire
de Toulouse.
Après un discours de bienvenue de M.
Feuga, au nom de la municipalité, M. Passy
répond avec une grande éloquence, puis
M. Mérignhac expose, dans un discours
remarquable de précision et de clarté, le but
du Congrès qui, dit-il, est double : but inter
national , par la préparation des questions qui
seront étudiées dans les grands Congrès
pacifiques; but national , par l’organisation de
nos Sociétés françaises. Ce plan a inspiré le
choix des travaux du Congrès de Toulouse qui
peuvent se classer sous ces deux catégories.
On nomme présidents d’honneur les som
mités du monde pacifique et les autorités de
Toulouse. M. Frédéric Passy est élu prési
dent d’honneur effectif, et M. Mérignhac,
président du Congrès.
Dès la seconde séance, des résolutions très
importantes étaient prises.
Un Ministère de la Paix
Le rapport de M. Langlade (Montauban)
sur les Sociétés françaises'de la Paix pose la
question de l’organisation de nos Associa
tions et des rapports qui doivent exister entre
elles, question de la plus haute importance
et qui donne lieu à une discussion nourrie et
animée. Doit-on laisser aux diverses Associa
tions leur autonomie, doit-on nommèr un
comité directeur, ou doit-on chercher un
système mixte ? Les Sociétés de la Paix doi
vent-elles agir chacune de leur côté, ou se
fédérer pour donner au mouvement plus
d’unité ?
Le Congrès a décidé, pour résoudre le pro
blème, de nommer une délégation permanente
provisoire composée de neuf membres, et
représentant les Sociétés françaises de la
Paix jusqu’au prochain Congrès. C’est en
quelque sorte le pouvoir exécutif du Congrès,
un véritable Ministère de la Paix, que le
Congrès de Toulouse a institué et qui pourra
rendre les plus grands services à la cause pa
cifique (1). Voici, d’après le texte même de la
(1) Nous tenons h exprimer ici le regret que le
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