Titre : L'Universel : l'Évangile c'est la liberté ! / direction H. Huchet
Auteur : Mouvement pacifique chrétien de langue française. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1902-05-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32885496v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 mai 1902 01 mai 1902
Description : 1902/05/01 (N1)-1902/05/31. 1902/05/01 (N1)-1902/05/31.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4565362b
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-45090
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/09/2017
m
fj
5 e Année.
N°
MENSUEL
Cinq Centimes le IST vimér*o
MAI I902
Organe du Mouvement Pacifique Chrétien
de Langue Française
“ PAIX SUR LA TERRE ! ”
ABONNEMENTS
RÉDACTION
iMitanYrioit :
ADMINISTRATION
PROPAGANDE :
France 1 Fr.
Unicn Postale... 2 —
JL. II uc U et
]\L me I F. ILuclret
Paul ALLÊGRET
AU HAVRE
Yves Le Bail
AI me Yves Le Bail
Des abonnements Gratuits
seront servis à tous ceux
qui en feront la demande
Pour tout ce qui concerne la Rédaction et /Administration, s’adresser au bureau de /'Universel, 1!), Place de l’H«tol-de-Vill«. L!î IMVIIE
à
c
Aux Amis de “ L UNIVERSEL .. II. Iluchet.
Appel-Programme P. Allêgret.
Malentendus W. Monod.
La Propagande pacifique (Extrait). C.Notîgarède.
Pour les Sections nouvelles.
L’Arbitrage et les Elections.
Chronique de la Paix.
Opinions.
Parabole Jean de Bloch
( Maillard.
Tribune de “ L’UNIVERSEL ’ ■ • • , L Comte, etc.
■■ imn^UÊsmmmmamrsssmaBam
Am Amis de « l’Oniversel »
//Universel se présente aujourd'hui
à ses lecteurs avec une transformation
dans son comité directeur. Ifn deman tant
a M. Paul Allétjret , président de la Société
chrétienne des A mis de la Paix, cle prendre
à parlir d'aujourd hui la direction de ce
journal , son fondateur a désiré donner
une nouvelle impulsion à l'idée première
qui a présidé à sa création : Guerre à la
Guerre !
Sans déserter les lionnes causes dont il
s'est efforcé d'être jusqu'ici un champion
fidèle et auxquelles sa Tribune reste
ouverte , /'Universel devient spécialement
l'organe du mouvement pacifique
chrétien de langue française.
Je sais que je puis compter sur l’appui
persévérant de tous les vieux amis et de
tous les •collaborateurs de la première
heure dont le concours m'a été si précieux.
Tous ensemble , avec le secours de Dieu,
nous allons marcher maintenant avec notre
litre , mieux à sa place que jamais, h de
nouvelles batailles !
II. IIU CH ET.
AFFEL-FROSRAMIE
Le premier progrès que l’Humanité ait
le devoir de réaliser ati cours du XX 0 siè
cle, c’est la suppression de la guerre.
La guerre, voile», en effet, l’iniquité ac
tuelle, l'obstacle monstrueux que nous
rencontrons dans notre marche en avant
vers l’Idéal de Justice et de Fraternité
que nous entrevoyons tous dans nos
rêves. Non seulement quand elle est dé
clarée, la guerre porte avec elle la ruine
et la mort; non seulement elle déchaîne
tous les appétits de la bête humaine ;
mais elle est en soi la négation de toutes
les lois qui président à nos relations entre
hommes, loi religieuse, loi sociale et loi
morale ; et même quand elle n’existe
pas, dans cet état bienheureux que notre
Europe civilisée appelle, sans doute par
ironie, l’étal de paix armée, le spectre
de la guerre possible absorbe et dévore
sans aucun profit les énergies, les forces
vives, le meilleur des efforts et du tra
vail des peuples. Aussi sont-ils rares au
jourd’hui ceux qui souscriraient encore
à l’opinion fameuse de Joseph de Maistre,
reprise par le feld-maréchal de Moltke :
a La guerre est une loi divine, car la
terre crie et demande du sang ! » Et nous
voyons de toutes parts aujourd’hui, sur
noire Europe et notre monde qui furent
déshonorés par tant de tueries, surgir
des hommes vaillants qui s’écrient ;
(c lias les armes ! Il n’est pas trop tôt
pourtant, au XX e siècie de l’ère chré
tienne, de remplacer la haine par l’a
mour : que 1 arbitrage succède à la
güerre ! »
Dans cette nécessaire autant que sainte
croisade, quel sera le rôle des chrétiens ?
S’il esl une idée qui puisse stimuler leur
zèle et entraîner leur unanime appro
bation, n’est-ce pas celle de la Paix, pre
mier fondement et première condition
du Royaume de Pieu fondé par Jésus-
Christ ?
Cela est si vrai qu’à ses débuts le
mouvement pacifique eut un caractère
essentiellement religieux. Les premières
sociétés de la Paix qui furent fondées,
en 1815 et en 1 SI6, à Londres et à New-
York, le lurent au nom de Jésus-Christ,
et même en France le premier de la Paix » se créait à Paris en 1841 au
sein d’une élite de bons Français, qui
s’étaient groupés en « Comité de la mo
rale chrétienne ». On regardait en ce
temps là aux chrétiens comme aux ini
tiateurs naturels de tous les grands et
nobles mouvements pour les progrès de
l’Humanité.
Et voici qu’aujourd’hui nous nous
sommes laissés dépasser; bien plus, on
a l’air de nous considérer comme des
adversaires. Les Pacifiques les plus mar
quants écrivent dans leurs journaux et
dans leurs revues : « La religion chré
tienne légitime la guerre ; elle n’est donc
qu’hypocrisie et mensonge, car la guerre
nie Dieu ! Qu’ils le sachent ou qu’ils
I ignorent, les prêtres qui invoquent le
Dieu des Armées, ne croient plus au
Dieu d’Amour, au Dieu Père de Ions les
hommes, qui ne pourrait que détourner
sa face de leurs luîtes fratricides « (G.
Sôailles ) Un autre pacifique, après avoir
indiqué que 1 Eglise catholique était in
fidèle à l’esprit évangélique, et que pas
mal de pasteurs protestants étaient par
fois eux aussi fanatiquement belliqueux,
ajoute ; « 11 faut donc qu’en dehors de
lout clergé, qu’il soit catholique ou pro
testant, nous fassions nous-mêmes nos
affaires. »
Eh bien non, nousne pouvons plus res
ter ainsi immobiles au bord du chemin,
quand devant nous marchent, nous mon
trant l’exemple, des libre-penseurs de
toute école ! Pour l'honneur môme de
notre Maître, cela ne nous est plus per
mis. Car il est un fondateur des Sociétés
de la'Paix, il est un prédicateur de l’u
niversel Amour, dont nous ne pouvons
pas laisser usurper la place. C’est celui
que les Prophètes avaient baptisé, des cen
taines d’années à l’avance, du litre de
la naissance a été saluée par le chant des
Anges, penchant leur sourire de joie sur
noire globe ensanglanté : « Paix sur la
terre! )) C’e>t celui qui a prononcé le
sermon sur la monlagne et promis la
terre aux doux, et l’adoption divine aux
pacifiques! C’est celui qui a laissé à tous
les siens ce commandement, qui est
notre règle d’or : « Aime\-vous les uns
les autres ! »
Dans les luttes engagées contre les
traditions et les oppressions séculaires,
pour faire franchir à l’humanité cette
étape décisive qui verra la fin de la
guerre, c’est au nom du Christ que doi
vent être prononcées les paroles déci
sives.
Or, je sais qu’il y a aujourd’hui parmi
nos chrétiens de langue française nom
bre de cœurs qui vibrent à l’unisson des
nôtres. Pacifiques chrétiens, nous vous
offrons notre Universel tel qu’il vous
arrive aujourd’hui, pour être entre vous
le lien nécessaire qui coordonnera les
efforts. Nous vous l’apportons comme
une tribune d’où la Parole de Paix et
d’Amour devra retentir au loin. Pour
entraîner derrière vous ceux qui hési
tent encore parce qu’ils ne vous ont pas
compris, le journal est aujourd’hui,
mieux que les livres ou les conférences
lemoyen de propagande par excellence.
Que tout lecteur de Y Universel de
vienne un disciple de Christ; que tout
disciple de Christ devienne un apôtre
de la Paix !
P. ALLEGRET.
Pour les nouvelles Sections
de la Société des « Amis de la Paix »
La Société des Amis de la Paix décide :
1° Toutes facilités seront données, par
l’envoi de statuts et d'imprimés divers,
aux nouvelles sections qui voudout se
créer;
2° Elles seront autonomes et li'^res de
s'organiser pour leur règlement intérieur
comme elles l'entendront , sauf l'accepta
tion des articles /, III, IV et V qui sont
considérés comme fondamentaux et don
nant à la fédération son caractère spécifi
quement chrétien ;
3° On ne leur imposera aucune cotisa
tion obligatoire à envoyer à la société mère
du Havre. Elles seront pourtant i citées
à défrayer celle-ci , dans une proportion
qu'elles seront libres de fixer elles-mêmes,
de ses frais d'imprimés el de propayande ;
4° Le lien fédéral sera établi par un
rapport annuel qui sera envoyé par chaque
section à la fin de l'exercice. Ce rapport
sera inséré en tout ou partie dans « i Uni
versel », organe du mouvement pacifique
chrétien.
Cette délibération a été prise à l’una
nimité par la Société de> Amis de la
Paix dans son assemblée générale du
7 mai 1902. Quatre-vingts membres ac
tifs étaient présents (Extrait du procès-
verbal.)
fj
5 e Année.
N°
MENSUEL
Cinq Centimes le IST vimér*o
MAI I902
Organe du Mouvement Pacifique Chrétien
de Langue Française
“ PAIX SUR LA TERRE ! ”
ABONNEMENTS
RÉDACTION
iMitanYrioit :
ADMINISTRATION
PROPAGANDE :
France 1 Fr.
Unicn Postale... 2 —
JL. II uc U et
]\L me I F. ILuclret
Paul ALLÊGRET
AU HAVRE
Yves Le Bail
AI me Yves Le Bail
Des abonnements Gratuits
seront servis à tous ceux
qui en feront la demande
Pour tout ce qui concerne la Rédaction et /Administration, s’adresser au bureau de /'Universel, 1!), Place de l’H«tol-de-Vill«. L!î IMVIIE
à
c
Aux Amis de “ L UNIVERSEL .. II. Iluchet.
Appel-Programme P. Allêgret.
Malentendus W. Monod.
La Propagande pacifique (Extrait). C.Notîgarède.
Pour les Sections nouvelles.
L’Arbitrage et les Elections.
Chronique de la Paix.
Opinions.
Parabole Jean de Bloch
( Maillard.
Tribune de “ L’UNIVERSEL ’ ■ • • , L Comte, etc.
■■ imn^UÊsmmmmamrsssmaBam
Am Amis de « l’Oniversel »
//Universel se présente aujourd'hui
à ses lecteurs avec une transformation
dans son comité directeur. Ifn deman tant
a M. Paul Allétjret , président de la Société
chrétienne des A mis de la Paix, cle prendre
à parlir d'aujourd hui la direction de ce
journal , son fondateur a désiré donner
une nouvelle impulsion à l'idée première
qui a présidé à sa création : Guerre à la
Guerre !
Sans déserter les lionnes causes dont il
s'est efforcé d'être jusqu'ici un champion
fidèle et auxquelles sa Tribune reste
ouverte , /'Universel devient spécialement
l'organe du mouvement pacifique
chrétien de langue française.
Je sais que je puis compter sur l’appui
persévérant de tous les vieux amis et de
tous les •collaborateurs de la première
heure dont le concours m'a été si précieux.
Tous ensemble , avec le secours de Dieu,
nous allons marcher maintenant avec notre
litre , mieux à sa place que jamais, h de
nouvelles batailles !
II. IIU CH ET.
AFFEL-FROSRAMIE
Le premier progrès que l’Humanité ait
le devoir de réaliser ati cours du XX 0 siè
cle, c’est la suppression de la guerre.
La guerre, voile», en effet, l’iniquité ac
tuelle, l'obstacle monstrueux que nous
rencontrons dans notre marche en avant
vers l’Idéal de Justice et de Fraternité
que nous entrevoyons tous dans nos
rêves. Non seulement quand elle est dé
clarée, la guerre porte avec elle la ruine
et la mort; non seulement elle déchaîne
tous les appétits de la bête humaine ;
mais elle est en soi la négation de toutes
les lois qui président à nos relations entre
hommes, loi religieuse, loi sociale et loi
morale ; et même quand elle n’existe
pas, dans cet état bienheureux que notre
Europe civilisée appelle, sans doute par
ironie, l’étal de paix armée, le spectre
de la guerre possible absorbe et dévore
sans aucun profit les énergies, les forces
vives, le meilleur des efforts et du tra
vail des peuples. Aussi sont-ils rares au
jourd’hui ceux qui souscriraient encore
à l’opinion fameuse de Joseph de Maistre,
reprise par le feld-maréchal de Moltke :
a La guerre est une loi divine, car la
terre crie et demande du sang ! » Et nous
voyons de toutes parts aujourd’hui, sur
noire Europe et notre monde qui furent
déshonorés par tant de tueries, surgir
des hommes vaillants qui s’écrient ;
(c lias les armes ! Il n’est pas trop tôt
pourtant, au XX e siècie de l’ère chré
tienne, de remplacer la haine par l’a
mour : que 1 arbitrage succède à la
güerre ! »
Dans cette nécessaire autant que sainte
croisade, quel sera le rôle des chrétiens ?
S’il esl une idée qui puisse stimuler leur
zèle et entraîner leur unanime appro
bation, n’est-ce pas celle de la Paix, pre
mier fondement et première condition
du Royaume de Pieu fondé par Jésus-
Christ ?
Cela est si vrai qu’à ses débuts le
mouvement pacifique eut un caractère
essentiellement religieux. Les premières
sociétés de la Paix qui furent fondées,
en 1815 et en 1 SI6, à Londres et à New-
York, le lurent au nom de Jésus-Christ,
et même en France le premier
sein d’une élite de bons Français, qui
s’étaient groupés en « Comité de la mo
rale chrétienne ». On regardait en ce
temps là aux chrétiens comme aux ini
tiateurs naturels de tous les grands et
nobles mouvements pour les progrès de
l’Humanité.
Et voici qu’aujourd’hui nous nous
sommes laissés dépasser; bien plus, on
a l’air de nous considérer comme des
adversaires. Les Pacifiques les plus mar
quants écrivent dans leurs journaux et
dans leurs revues : « La religion chré
tienne légitime la guerre ; elle n’est donc
qu’hypocrisie et mensonge, car la guerre
nie Dieu ! Qu’ils le sachent ou qu’ils
I ignorent, les prêtres qui invoquent le
Dieu des Armées, ne croient plus au
Dieu d’Amour, au Dieu Père de Ions les
hommes, qui ne pourrait que détourner
sa face de leurs luîtes fratricides « (G.
Sôailles ) Un autre pacifique, après avoir
indiqué que 1 Eglise catholique était in
fidèle à l’esprit évangélique, et que pas
mal de pasteurs protestants étaient par
fois eux aussi fanatiquement belliqueux,
ajoute ; « 11 faut donc qu’en dehors de
lout clergé, qu’il soit catholique ou pro
testant, nous fassions nous-mêmes nos
affaires. »
Eh bien non, nousne pouvons plus res
ter ainsi immobiles au bord du chemin,
quand devant nous marchent, nous mon
trant l’exemple, des libre-penseurs de
toute école ! Pour l'honneur môme de
notre Maître, cela ne nous est plus per
mis. Car il est un fondateur des Sociétés
de la'Paix, il est un prédicateur de l’u
niversel Amour, dont nous ne pouvons
pas laisser usurper la place. C’est celui
que les Prophètes avaient baptisé, des cen
taines d’années à l’avance, du litre de
Anges, penchant leur sourire de joie sur
noire globe ensanglanté : « Paix sur la
terre! )) C’e>t celui qui a prononcé le
sermon sur la monlagne et promis la
terre aux doux, et l’adoption divine aux
pacifiques! C’est celui qui a laissé à tous
les siens ce commandement, qui est
notre règle d’or : « Aime\-vous les uns
les autres ! »
Dans les luttes engagées contre les
traditions et les oppressions séculaires,
pour faire franchir à l’humanité cette
étape décisive qui verra la fin de la
guerre, c’est au nom du Christ que doi
vent être prononcées les paroles déci
sives.
Or, je sais qu’il y a aujourd’hui parmi
nos chrétiens de langue française nom
bre de cœurs qui vibrent à l’unisson des
nôtres. Pacifiques chrétiens, nous vous
offrons notre Universel tel qu’il vous
arrive aujourd’hui, pour être entre vous
le lien nécessaire qui coordonnera les
efforts. Nous vous l’apportons comme
une tribune d’où la Parole de Paix et
d’Amour devra retentir au loin. Pour
entraîner derrière vous ceux qui hési
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compris, le journal est aujourd’hui,
mieux que les livres ou les conférences
lemoyen de propagande par excellence.
Que tout lecteur de Y Universel de
vienne un disciple de Christ; que tout
disciple de Christ devienne un apôtre
de la Paix !
P. ALLEGRET.
Pour les nouvelles Sections
de la Société des « Amis de la Paix »
La Société des Amis de la Paix décide :
1° Toutes facilités seront données, par
l’envoi de statuts et d'imprimés divers,
aux nouvelles sections qui voudout se
créer;
2° Elles seront autonomes et li'^res de
s'organiser pour leur règlement intérieur
comme elles l'entendront , sauf l'accepta
tion des articles /, III, IV et V qui sont
considérés comme fondamentaux et don
nant à la fédération son caractère spécifi
quement chrétien ;
3° On ne leur imposera aucune cotisa
tion obligatoire à envoyer à la société mère
du Havre. Elles seront pourtant i citées
à défrayer celle-ci , dans une proportion
qu'elles seront libres de fixer elles-mêmes,
de ses frais d'imprimés el de propayande ;
4° Le lien fédéral sera établi par un
rapport annuel qui sera envoyé par chaque
section à la fin de l'exercice. Ce rapport
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chrétien.
Cette délibération a été prise à l’una
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