Titre : L'Universel : l'Évangile c'est la liberté ! / direction H. Huchet
Auteur : Mouvement pacifique chrétien de langue française. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1900-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32885496v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 septembre 1900 01 septembre 1900
Description : 1900/09/01 (N5)-1900/09/30. 1900/09/01 (N5)-1900/09/30.
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Haute-Normandie
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k45653430
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-45090
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2017
PMpnnp
GUERRE .A. LA GUERRE
—MB—8—11 <11
2 e Année. N’5. MENSUEL SEPTEMBRE 1900.
Celui qui m’aime, dit Jésus, gardera ma Parole.
L'ÉVANGILE, C’EST LA LIBERTÉ !
ABONNEMENTS :
France 1 Fr.
Etranger 2 »
Prime offerte aux abonnés
DIRECTION :
H. HUCHET et C. HÉBERT
Evangélistes
43, rue Frédéric-Bellanger (Le Havre)
PROPAGANDE :
100 exemplaires pris au Havre.. 1 Fr. 25
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DIEU est AMOUR
L’observation des comman
dements de Dieu est tout.
(1 Cor., VII, v. 19.)
Dans l’église de Corinthe, peu de temps
après sa fondation, on avait vu surgir de
grandes contestations. Tout Juif, d’après la
loi, devait se faire circoncire. Fallait-il que
les païens nouvellement convertis subissent
cette marque extérieure? De là, entre les
Juifs et ceux qui ne l’étaient pas, de pro
fondes divisions. Chacun était bien ancré
dans ses convictions, de telle sorte que ces
divergences d’opinion sur des points d’ail
leurs secondaires amenèrent ces gens adiré:
Pour moi, je suis disciple de Paul, pour moi
d’Appolos, etc... De nos jours, c’est exacte
ment la môme chose : l’un dit, pour moi, je
suis réformé; moi je suis libriste ; moi dar-
byste ; moi salutiste ; un autre méthodiste,
et ce serait trop long de nommer toutes les
dénominations en iste qui existent seule
ment en Europe, et, pour les catholiques,
c’est encore pire ; chaque fidèle est disciple
non-seulement du pape, mais présente ses
dévotions à plusieurs saints ou saintes : La
zaristes, Mai istes ...
Aussi, l’apôtre Paul a soin de dire qu’être
circoncis n’est rien, ni être incirconcis non
plus, ce qui revient à dire qu’appartenir à
une dénomination quelconque n’est rien,
mais l’observation des commandements de
Dieu est tout.
★
* ¥
Or, quels sont les commandements de
Dieu ?
1° Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de
tout ton cœur, de toute ton âme et de
toute ta pensée.
Tu aimeras ton Dieu, c’est le premier
commandement par son ancienneté ; les
anges s’y conformaient avant la fondation
du monde, Adam y fut soumis au jardin
d’Eden. Il est le premier par son impor
tance, car il s’agit de nos rapports avec
notre Créateur, et violer ce commandement
est une chose aussi grave que tuer ou voler.
Il l’est par sa justice ; nous recevons tout de
Dieu : la vie, la santé, la nourriture. Com
ment ne pas aimer un Dieu si bon ! Mais,
hélas ! combien nous le négligeons ! Nous
croyons bien qu’il y a un Dieu, mais nous
vivons comme s’il n’existait pas, et de fait,
nous pensons qu’à notre mort nous aurons
le temps de nous convertir, qu’en tous cas,
Dieu est trop bon et ne nous enverra pas en
enfer. Or, nous devons aimer Dieu de tout
notre cœur, c’est-à-dire avec chaleur, avec
vie. Il faut qu’il nous possède tout entier;
ensuite, nous devons l’aimer de toute notre
âme, jusqu’à la mort. Nous devons être prêts
à lui donner tout ce qu’il nous demande :
bien-être, réputation, fortune...
Enfin, nous devons aimer Dieu de toute no
tre pensée : les dons de l’intelligence ou de la
pensée doivent être consacrés à sa gloire et
si nous aimons Dieu de cette manière, nous
ne resterons pas les bras croisés, sans rien
faire ; nous travaillerons pour que le règne
de Dieu vienne s’établir dans les cœurs et
pour que Sa volonté soit faite ici-bas.
Qui a obéi à ce commandement ? Personne
assurément. Si nous l’avions observé, nous
n’aurions pas eu besoin d’un Sauveur, car
l’amour est l’accomplissement de la loi.
Jésus nous a été donné et IL a observé ce
commandement et tous les autres qui en
découlent, pour nous. Nous observerons
ce commandement, quand nous aurons reçu
ce Sauveur adorable dans notre cœur ; quand
nous aurons véritablement compris notre
impuissance, nous nous jetterons dans ses
bras, nous commencerons de comprendre
son amour et, quoique imparfaitement, nous
commencerons à l’aimer.
Ainsi, Dieu est au premier plan toujours
et partout, mais voici que notre personna
lité n’est pas au second, c’est notre prochain.
★
* ¥
2° Tu aimeras tou prochain comme
loi-même. Qui est mon prochain? C’est
toute personne qui vit près de moi : mon
mari, ma femme, mon père, mes frères
ou sœurs, mes voisins, les personnes de ma
commune, de ma patrie, et enfin, chaque
membre de la famille humaine, qu’il se
nomme Allemand, Chinois ou Basouto. Je
dois aimer mon prochain, quelles que soient
ses convictions politiques ou religieuses :
qu’il soit protestant, catholique, israélite,
musulman ou n’importe quoi. Je dois me
rappeler que c’est une créature de Dieu pour
laquelle Christ a versé son sang et qu’il a
aimée autant qu’il m’a aimée moi-même...
Que nos divergences d'opinions ne séparent
point nos cœurs : peut-être a-t-il raison,
peut-être a-t-il tort, mais je sais une chose,
c’est que celui qui aime le plus son prochain,
c’est celui qui pratique le mieux l’Évangile.
Nous ne devons pas seulement aimer ceux
qui ont une vie honnête, mais, comme notre
Maître, nous devons aimer les péagers et les
femmes de mauvaise vie de notre temps.
Ah ! si nous avions plus d’amour, nous fe
rions tout notre possible pour les ramener à
Dieu. Bien sûr, nous n’aimerions pas leurs
péchés, car ils sont détestables, mais nous
voudrions les voir heureux, heureuses comme
nous-mème. Voyez une mèi e, que de sacri
fices elle s’impose pour élever ses enfants,
pour leur procurer plus de bien-être qu’à
elle-même. Pourquoi? Parce qu’elle les aime.
★
¥ ¥
Le jour où ce commandement sera prati
qué par chaque enfant de Dieu, l’Évangile
commencera à porter des fruits, et je crois
que c’est parce que les premiers chrétiens
l’ont observé que tant de païens se sont con
vertis. L’apôtre Paul dit au chapitre XIV de
la même épître aux Corinthiens : « Quand
même je parlerais les langues des hommes
et même des anges, quand je donnerais tous
mes biens aux pauvres, quand je consenti
rais à être brûlé, tout cela, sans la charité
ou l’amour, rie me sert de rien ». Et l’apôtre
Jacques nous recommande de ne pas aimer
seulement en paroles ou de la langue, mais
d’aimer effectivement. Aussi, ne devons-nous
pas négliger notre prochain et dire : Tant
pis pour lui, cela ne me regarde pas. Ah !
oui, cela nous regarde. S’il est triste, ma
lade, abattu, allons le voir, le Seigneur
mettra dans notre bouche des paroles de
consolation.
Quelque lecteur érudit trouvera que je
suis bien loin de mon sujet. J’ai pensé qu’il
serait temps d’en finir avec le patois de Ca
naan ; nous avons assez de théorie, il est
urgent que nous commençions à la mettre
en pratique. J’aimerai mon prochain comme
moi-même quand je l’aiderai à sortir de la
misère comme je voudrais qu’on le fît pour
moi si j’étais dans sa situation. Je puis sou
vent l’aider par mes conseils et par mon
exemple bien plus efficacement que par mes
dons. Aimons notre prochain dans notre
propre intérêt et vouons à la mort l’égoïsme
qui est si fort ancré dans nos cœurs. Si nous
voulons être heureux, il nous faut rendre
les autres heureux ; l’amour supporte tout,
l’amour espère tout. Aimons parce que Jésus-
Christ nous a aimés et nous a laissé son
exemple pour que nous fassions comme Lui;
quand II nous a aimés, il n’y avait rien en
nous d’aimable, nous le méprisions, nous
l’insultions. Il a continué de nous aimer,
malgré nos chutes, nos péchés, nos ingrati
tudes.
« Nous avons connu l’amour, en ce qu’il a
donné sa vie pour nous ; nous aussi nous
devons donner notre vie pour nos frères. »
(I Jean , III, IG).
Elisabeth.
' tes?»
‘
GUERRE .A. LA GUERRE
—MB—8—11 <11
2 e Année. N’5. MENSUEL SEPTEMBRE 1900.
Celui qui m’aime, dit Jésus, gardera ma Parole.
L'ÉVANGILE, C’EST LA LIBERTÉ !
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DIEU est AMOUR
L’observation des comman
dements de Dieu est tout.
(1 Cor., VII, v. 19.)
Dans l’église de Corinthe, peu de temps
après sa fondation, on avait vu surgir de
grandes contestations. Tout Juif, d’après la
loi, devait se faire circoncire. Fallait-il que
les païens nouvellement convertis subissent
cette marque extérieure? De là, entre les
Juifs et ceux qui ne l’étaient pas, de pro
fondes divisions. Chacun était bien ancré
dans ses convictions, de telle sorte que ces
divergences d’opinion sur des points d’ail
leurs secondaires amenèrent ces gens adiré:
Pour moi, je suis disciple de Paul, pour moi
d’Appolos, etc... De nos jours, c’est exacte
ment la môme chose : l’un dit, pour moi, je
suis réformé; moi je suis libriste ; moi dar-
byste ; moi salutiste ; un autre méthodiste,
et ce serait trop long de nommer toutes les
dénominations en iste qui existent seule
ment en Europe, et, pour les catholiques,
c’est encore pire ; chaque fidèle est disciple
non-seulement du pape, mais présente ses
dévotions à plusieurs saints ou saintes : La
zaristes, Mai istes ...
Aussi, l’apôtre Paul a soin de dire qu’être
circoncis n’est rien, ni être incirconcis non
plus, ce qui revient à dire qu’appartenir à
une dénomination quelconque n’est rien,
mais l’observation des commandements de
Dieu est tout.
★
* ¥
Or, quels sont les commandements de
Dieu ?
1° Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de
tout ton cœur, de toute ton âme et de
toute ta pensée.
Tu aimeras ton Dieu, c’est le premier
commandement par son ancienneté ; les
anges s’y conformaient avant la fondation
du monde, Adam y fut soumis au jardin
d’Eden. Il est le premier par son impor
tance, car il s’agit de nos rapports avec
notre Créateur, et violer ce commandement
est une chose aussi grave que tuer ou voler.
Il l’est par sa justice ; nous recevons tout de
Dieu : la vie, la santé, la nourriture. Com
ment ne pas aimer un Dieu si bon ! Mais,
hélas ! combien nous le négligeons ! Nous
croyons bien qu’il y a un Dieu, mais nous
vivons comme s’il n’existait pas, et de fait,
nous pensons qu’à notre mort nous aurons
le temps de nous convertir, qu’en tous cas,
Dieu est trop bon et ne nous enverra pas en
enfer. Or, nous devons aimer Dieu de tout
notre cœur, c’est-à-dire avec chaleur, avec
vie. Il faut qu’il nous possède tout entier;
ensuite, nous devons l’aimer de toute notre
âme, jusqu’à la mort. Nous devons être prêts
à lui donner tout ce qu’il nous demande :
bien-être, réputation, fortune...
Enfin, nous devons aimer Dieu de toute no
tre pensée : les dons de l’intelligence ou de la
pensée doivent être consacrés à sa gloire et
si nous aimons Dieu de cette manière, nous
ne resterons pas les bras croisés, sans rien
faire ; nous travaillerons pour que le règne
de Dieu vienne s’établir dans les cœurs et
pour que Sa volonté soit faite ici-bas.
Qui a obéi à ce commandement ? Personne
assurément. Si nous l’avions observé, nous
n’aurions pas eu besoin d’un Sauveur, car
l’amour est l’accomplissement de la loi.
Jésus nous a été donné et IL a observé ce
commandement et tous les autres qui en
découlent, pour nous. Nous observerons
ce commandement, quand nous aurons reçu
ce Sauveur adorable dans notre cœur ; quand
nous aurons véritablement compris notre
impuissance, nous nous jetterons dans ses
bras, nous commencerons de comprendre
son amour et, quoique imparfaitement, nous
commencerons à l’aimer.
Ainsi, Dieu est au premier plan toujours
et partout, mais voici que notre personna
lité n’est pas au second, c’est notre prochain.
★
* ¥
2° Tu aimeras tou prochain comme
loi-même. Qui est mon prochain? C’est
toute personne qui vit près de moi : mon
mari, ma femme, mon père, mes frères
ou sœurs, mes voisins, les personnes de ma
commune, de ma patrie, et enfin, chaque
membre de la famille humaine, qu’il se
nomme Allemand, Chinois ou Basouto. Je
dois aimer mon prochain, quelles que soient
ses convictions politiques ou religieuses :
qu’il soit protestant, catholique, israélite,
musulman ou n’importe quoi. Je dois me
rappeler que c’est une créature de Dieu pour
laquelle Christ a versé son sang et qu’il a
aimée autant qu’il m’a aimée moi-même...
Que nos divergences d'opinions ne séparent
point nos cœurs : peut-être a-t-il raison,
peut-être a-t-il tort, mais je sais une chose,
c’est que celui qui aime le plus son prochain,
c’est celui qui pratique le mieux l’Évangile.
Nous ne devons pas seulement aimer ceux
qui ont une vie honnête, mais, comme notre
Maître, nous devons aimer les péagers et les
femmes de mauvaise vie de notre temps.
Ah ! si nous avions plus d’amour, nous fe
rions tout notre possible pour les ramener à
Dieu. Bien sûr, nous n’aimerions pas leurs
péchés, car ils sont détestables, mais nous
voudrions les voir heureux, heureuses comme
nous-mème. Voyez une mèi e, que de sacri
fices elle s’impose pour élever ses enfants,
pour leur procurer plus de bien-être qu’à
elle-même. Pourquoi? Parce qu’elle les aime.
★
¥ ¥
Le jour où ce commandement sera prati
qué par chaque enfant de Dieu, l’Évangile
commencera à porter des fruits, et je crois
que c’est parce que les premiers chrétiens
l’ont observé que tant de païens se sont con
vertis. L’apôtre Paul dit au chapitre XIV de
la même épître aux Corinthiens : « Quand
même je parlerais les langues des hommes
et même des anges, quand je donnerais tous
mes biens aux pauvres, quand je consenti
rais à être brûlé, tout cela, sans la charité
ou l’amour, rie me sert de rien ». Et l’apôtre
Jacques nous recommande de ne pas aimer
seulement en paroles ou de la langue, mais
d’aimer effectivement. Aussi, ne devons-nous
pas négliger notre prochain et dire : Tant
pis pour lui, cela ne me regarde pas. Ah !
oui, cela nous regarde. S’il est triste, ma
lade, abattu, allons le voir, le Seigneur
mettra dans notre bouche des paroles de
consolation.
Quelque lecteur érudit trouvera que je
suis bien loin de mon sujet. J’ai pensé qu’il
serait temps d’en finir avec le patois de Ca
naan ; nous avons assez de théorie, il est
urgent que nous commençions à la mettre
en pratique. J’aimerai mon prochain comme
moi-même quand je l’aiderai à sortir de la
misère comme je voudrais qu’on le fît pour
moi si j’étais dans sa situation. Je puis sou
vent l’aider par mes conseils et par mon
exemple bien plus efficacement que par mes
dons. Aimons notre prochain dans notre
propre intérêt et vouons à la mort l’égoïsme
qui est si fort ancré dans nos cœurs. Si nous
voulons être heureux, il nous faut rendre
les autres heureux ; l’amour supporte tout,
l’amour espère tout. Aimons parce que Jésus-
Christ nous a aimés et nous a laissé son
exemple pour que nous fassions comme Lui;
quand II nous a aimés, il n’y avait rien en
nous d’aimable, nous le méprisions, nous
l’insultions. Il a continué de nous aimer,
malgré nos chutes, nos péchés, nos ingrati
tudes.
« Nous avons connu l’amour, en ce qu’il a
donné sa vie pour nous ; nous aussi nous
devons donner notre vie pour nos frères. »
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