Titre : La Sirène : revue illustrée du Havre et de la région : actualités théâtrales, sportives, militaires, maritimes, commerciales ["puis" indépendante, humoristique, critique, satirique]
Éditeur : [s.n.] (Le Havre)
Date d'édition : 1914-08-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32868452j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 14 août 1914 14 août 1914
Description : 1914/08/14 (N20). 1914/08/14 (N20).
Description : Collection numérique : BIPFPIG76 Collection numérique : BIPFPIG76
Description : Collection numérique : BIPFPIG76 Collection numérique : BIPFPIG76
Description : Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque... Collection numérique : Nutrisco, bibliothèque numérique du Havre
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k3268807v
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-90292
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/05/2019
LA SIRENE
3
La France et l'Angleterre en état
de guerre avec l'Autriche
Après avoir déclaré la guerre à la
Serbie et pris ainsi la première initia
tive des hostilités en Europe, le gou
vernement austro-hongrois s’est mis sans
aucune provocation du gouvernement de
la République Française en létat de guer
re avec la France :
1° Après que l’Allemagne eut succes
sivement déclaré la guerre à la Russie
et à la France, F Autriche-Hongrie est
intervenue dans ce conflit en déclarant
la guerre à la Russie qui combattait
déjà aux côtés de la France ;
2° D’après de nombreuses informa
tions dignes de foi, F Autriche-Hongrie a
envoyé des troupes sur la frontière al
lemande dans des conditions qui cons
tituent une menace directe à l’égard de
la France.
En présence de cet ensemble défaits
le Gouvernement français se voit obli
gé de déclarer au Gouvernement austro-
hongrois, qu’il va prendre toutes les me
sures qui lui permettront de répondre
à ! ses actes et à ses menaces .
L’ambassadeur de France n’étant plus
à Vienne, l’ambassadeur d’Autriche-
Hongrie ayant quitté Paris, cette dé
claration a été remise hier 12 août par
sir Edward Grey à l’ambassadeur d’Au
triche à Londres. En la remettant sir
Edward Grey lui a dit que la Grande-
Bretagne s’y associait et qu’en consé
quence, l’état de guerre existerait entre
l’Angleterre et FAutriche-Hongrie à par
tir de minuit ; toutes ces mesures ont
été prises dans le plus parfait accord
entre la France et l’Angleterre.
Renseignements Utiles
Aujourd’hui Vendredi, 13 e jour de la
mobilisation.
Les lettres aux militaiies
Avis relatif à la manière d’adresser les
lettres aux militaires , et au retard à
prévoir dans Vacheminement des cor
respondances avec les militaires pen
dant la durée de la guerre.
Les correspondances adressées a des
militaires pendant la durée de la guer
re doivent toujours porter un lieu de
destination.
Pour connaître ce lieu de destination
fe public est prié de consulter l’affiche
spéciale du ministère de la Guerre ap
posée dans les Mairies ou les Bureaux
de Poste.
D’autre part, de profondes modifica
tions ayant été apportées à la marche
des trains affectés au service pos
tal, des retards très appréciables sont à
prévoir dans la transmission des corres
pondances et particulièrement dans les
relations avec les départements frontiè
res et avec l’Etranger.
Du Journal Officiel :
« Les lettres simples, c’est-à-dire ne
pesant pas plus de 20 grammes prove
nant ou à l’adresse de tous les militai
res et marins des armées de terre et de
mer, mobililées, sont admises à circuler
en franchise par la poste.
» Les mandats de poste dont le mon
tant ne dépasse pas 50 francs, adressés
à ces militaires ou marins,; ou expédiés
par ces derniers, sont exempts du droit
de commission.»
Les demandes de sursis
Le général gouverneur reçoit chaque
jour des demandes de sursis qui lui
sont adressées en faveur de réservis
tes et de territoriaux.
Ces demandes doivent comporter o-
bligatoirement les noms et prénoms de
l’intéressé, sa classe de mobilisation, son
corps d’affectation ou service, son nu
méro au répertoire dudit corps ou ser
vice et son recrutement d’origine.
Faute de ces renseignements, il ne
sera désormais plus donné aucune sui
te aux demandes dont il s’agit.
Change des monnaies
Certains commerçants, peu scrupu
leux, prélèvent en ce moment sur la
monnaie étrangère, un change éxagéré
qui atteint jusqu’à 20 0/0. (Vingt-cinq
centimes par exemple pour un shilling) .
Il ne doit échapper à personne que
de tels agissements, à l’heure actuelle,
ne sont pas sans présenter de sérieux
inconvénients.
Pour les Blessés militaires
La gravité des événements exige que
les Sociétés civiles d’assistance aux ma
lades et blessés de l’Armée Nationale
soient à même d’apporter, avec toute la
célérité possible, au Service militaire de
santé, le concours des organisations
qu’elles ont préparées dès le temps de
paix.
Toutes se sont mises immédiatement à
l’œuvre et dans un délai très prochain,
elles auront la grande joie de coopérer
à l’œuvre commune de secours et d’hos
pitalisation qu’elles ont librement, et a-
vec une vaillance civique, hardiment as
sumée .
Mais ces installations, l’important ma
tériel que l’ouverture des hôpitaux au
xiliaires nécessite, entraînant des dé
penses considérables, et quelles que
soient les réserves de fonds qui, aux
longs jours de paix, ont été jalouse
ment constituées, il faut prévoir qu’el
les pourront vite s’épuiser, et cependant
l’œuvre admirable et consolante de se
cours aux malades, Uux blessés de l’ar
mée française, ne saurait être suspendue
et abandonnée faute de ressources.
L’Union des femmes de France qui
travaille, comme ses vaillantes sœurs,
la Société Française de secours aux
blessés et l’Association des Dames Fran
çaises compte, dans le 3 e corps d’armée,
des Comités à Rouen (2 hôpitaux), à
Elbeuf, à Caen, au Havre, à Bayeux, à
Livarot, Saint-Pierre-sur-Dives, Fécamp,
Pont-Audemer (1 hôpital chacun), et
ceux-ci doivent faire face au fonctionne
ment de plus de 500 lits. C’est une‘lour-
de charge.
La générosité de nos concitoyens la
rendra plus légère ; ils apporteront à
nos différents Comités, avec la sympa
thie pour l’œuvre patriotique d’assis
tance, le concours pécuniaire sans le
quel l’effort moral et physique de nos
sociétaires, de nos dévouées infirmières,
risquerait, a un moment, de rester vain.
Ce concours pécuniaire, matériel, est
indispensable : que chacun donne sui
vant ses ressources, riche ou pauvre,
tous, vibrant de cet enthousiasme «ré
fléchi» dû à la justice et à la sainteté
de notre cause, qui porte tous les Fran
çais, jeunes et vieux, d’un même cœur
et d’un élan unanime a la frontière pour
.défendre le sol de la Patrie.
Nos enfants lui apportent avec une
joyeuse allégresse leurs forces et leur
vie. Ils remplissent un devoir sacré ;
nous, remplissons le nôtre. Apportons
aux Sociétés de la Croix-Rouge les res
sources nécessaires au soulagement, à
la guérison de ceux d’entre eux qui,
dans les camps ou sur les champs de
bataille, tomberont frappés par la ma
ladie ou blessés par la mitraille, en dé
fendant nos foyers, nos champs, nos mè
res, nos femmes.
Pour la France, pour nos enfants !
Le Délégué régional de l’Union des
Femmes de France.
Henri PAULME.
Les dons en espèces doivent être a-
dressés au trésorier clu Comité de l’U
nion des Femmes de France dans cha
cune des villes. Les dons en nature
seront reçus également avec reconnais
sance .
L'heure de fermeture
des Hôtels-Restaurants reculée
Un nouvel arrêté de M. le Maire de
la ville du Havre, édicte que les hô
tels-restaurants et établissements où il
est servi à manger sont autorisés à res
ter ouvert jusqu’à 21 heures, à comp
ter du présent jour.
Cette autorisation n’est valable que
pour les personnes auxquelles il est ser
vi un repas.
Tout propriétaire ou gérant d’établis
sement de ce genre dans lequel il se
rait servi des boissons en dehors de
tout repas après 20 heures s’exposerait
à voir son établissement définitivement
fermé.
Médecins non Mobilisés
Premier canton
MM. Brunschwig, 21, rue Séry.
Claret, 45, boulevard François I er
Durand-Viel, 109, boulevard Fran
çois I er .
Frottier, 15, place Gambetta.
Gibert, 114, boulevard François I er
Jullien, 37, rue Gustave-Cazavan.
Michel, 31, rue Séry.
Périchon, 123, rue de Paris.
Richard, 41, rue Dicquemare.
Quatrième canton
MM. Baudet, 129, cours de la Républi
que.
Feugier, 324, rue de Normandie.
Osmont, 271, rue de Normandie.
Cinquième canton
MM. Angot, 22, rue Joinville.
Deville, 28, rue 'Thiers.
Dehelly, 25, rue Joinville.
Griner, 23, place de l’Hôtel-de-Vil-
le.
Guillot, 25, rue Joinville.
Humeau, 1, rue de Toul.
Lausiès, 8, rue Casimir-Périer.
Termet, 1 bis, rue Joinville.
Sixième canton
MM. Decorde, 72, rue d’Etretat.
Dubarry, 44, rue Joinville.
Hamonet, 123, rue d’Etretat.
Willemin, 31, rue de Metz.
On demande des Crieurs
Forte remise
Le Gérant : E. JAMET.
Imp. LE TEMPLIER, Havre.
l
3
La France et l'Angleterre en état
de guerre avec l'Autriche
Après avoir déclaré la guerre à la
Serbie et pris ainsi la première initia
tive des hostilités en Europe, le gou
vernement austro-hongrois s’est mis sans
aucune provocation du gouvernement de
la République Française en létat de guer
re avec la France :
1° Après que l’Allemagne eut succes
sivement déclaré la guerre à la Russie
et à la France, F Autriche-Hongrie est
intervenue dans ce conflit en déclarant
la guerre à la Russie qui combattait
déjà aux côtés de la France ;
2° D’après de nombreuses informa
tions dignes de foi, F Autriche-Hongrie a
envoyé des troupes sur la frontière al
lemande dans des conditions qui cons
tituent une menace directe à l’égard de
la France.
En présence de cet ensemble défaits
le Gouvernement français se voit obli
gé de déclarer au Gouvernement austro-
hongrois, qu’il va prendre toutes les me
sures qui lui permettront de répondre
à ! ses actes et à ses menaces .
L’ambassadeur de France n’étant plus
à Vienne, l’ambassadeur d’Autriche-
Hongrie ayant quitté Paris, cette dé
claration a été remise hier 12 août par
sir Edward Grey à l’ambassadeur d’Au
triche à Londres. En la remettant sir
Edward Grey lui a dit que la Grande-
Bretagne s’y associait et qu’en consé
quence, l’état de guerre existerait entre
l’Angleterre et FAutriche-Hongrie à par
tir de minuit ; toutes ces mesures ont
été prises dans le plus parfait accord
entre la France et l’Angleterre.
Renseignements Utiles
Aujourd’hui Vendredi, 13 e jour de la
mobilisation.
Les lettres aux militaiies
Avis relatif à la manière d’adresser les
lettres aux militaires , et au retard à
prévoir dans Vacheminement des cor
respondances avec les militaires pen
dant la durée de la guerre.
Les correspondances adressées a des
militaires pendant la durée de la guer
re doivent toujours porter un lieu de
destination.
Pour connaître ce lieu de destination
fe public est prié de consulter l’affiche
spéciale du ministère de la Guerre ap
posée dans les Mairies ou les Bureaux
de Poste.
D’autre part, de profondes modifica
tions ayant été apportées à la marche
des trains affectés au service pos
tal, des retards très appréciables sont à
prévoir dans la transmission des corres
pondances et particulièrement dans les
relations avec les départements frontiè
res et avec l’Etranger.
Du Journal Officiel :
« Les lettres simples, c’est-à-dire ne
pesant pas plus de 20 grammes prove
nant ou à l’adresse de tous les militai
res et marins des armées de terre et de
mer, mobililées, sont admises à circuler
en franchise par la poste.
» Les mandats de poste dont le mon
tant ne dépasse pas 50 francs, adressés
à ces militaires ou marins,; ou expédiés
par ces derniers, sont exempts du droit
de commission.»
Les demandes de sursis
Le général gouverneur reçoit chaque
jour des demandes de sursis qui lui
sont adressées en faveur de réservis
tes et de territoriaux.
Ces demandes doivent comporter o-
bligatoirement les noms et prénoms de
l’intéressé, sa classe de mobilisation, son
corps d’affectation ou service, son nu
méro au répertoire dudit corps ou ser
vice et son recrutement d’origine.
Faute de ces renseignements, il ne
sera désormais plus donné aucune sui
te aux demandes dont il s’agit.
Change des monnaies
Certains commerçants, peu scrupu
leux, prélèvent en ce moment sur la
monnaie étrangère, un change éxagéré
qui atteint jusqu’à 20 0/0. (Vingt-cinq
centimes par exemple pour un shilling) .
Il ne doit échapper à personne que
de tels agissements, à l’heure actuelle,
ne sont pas sans présenter de sérieux
inconvénients.
Pour les Blessés militaires
La gravité des événements exige que
les Sociétés civiles d’assistance aux ma
lades et blessés de l’Armée Nationale
soient à même d’apporter, avec toute la
célérité possible, au Service militaire de
santé, le concours des organisations
qu’elles ont préparées dès le temps de
paix.
Toutes se sont mises immédiatement à
l’œuvre et dans un délai très prochain,
elles auront la grande joie de coopérer
à l’œuvre commune de secours et d’hos
pitalisation qu’elles ont librement, et a-
vec une vaillance civique, hardiment as
sumée .
Mais ces installations, l’important ma
tériel que l’ouverture des hôpitaux au
xiliaires nécessite, entraînant des dé
penses considérables, et quelles que
soient les réserves de fonds qui, aux
longs jours de paix, ont été jalouse
ment constituées, il faut prévoir qu’el
les pourront vite s’épuiser, et cependant
l’œuvre admirable et consolante de se
cours aux malades, Uux blessés de l’ar
mée française, ne saurait être suspendue
et abandonnée faute de ressources.
L’Union des femmes de France qui
travaille, comme ses vaillantes sœurs,
la Société Française de secours aux
blessés et l’Association des Dames Fran
çaises compte, dans le 3 e corps d’armée,
des Comités à Rouen (2 hôpitaux), à
Elbeuf, à Caen, au Havre, à Bayeux, à
Livarot, Saint-Pierre-sur-Dives, Fécamp,
Pont-Audemer (1 hôpital chacun), et
ceux-ci doivent faire face au fonctionne
ment de plus de 500 lits. C’est une‘lour-
de charge.
La générosité de nos concitoyens la
rendra plus légère ; ils apporteront à
nos différents Comités, avec la sympa
thie pour l’œuvre patriotique d’assis
tance, le concours pécuniaire sans le
quel l’effort moral et physique de nos
sociétaires, de nos dévouées infirmières,
risquerait, a un moment, de rester vain.
Ce concours pécuniaire, matériel, est
indispensable : que chacun donne sui
vant ses ressources, riche ou pauvre,
tous, vibrant de cet enthousiasme «ré
fléchi» dû à la justice et à la sainteté
de notre cause, qui porte tous les Fran
çais, jeunes et vieux, d’un même cœur
et d’un élan unanime a la frontière pour
.défendre le sol de la Patrie.
Nos enfants lui apportent avec une
joyeuse allégresse leurs forces et leur
vie. Ils remplissent un devoir sacré ;
nous, remplissons le nôtre. Apportons
aux Sociétés de la Croix-Rouge les res
sources nécessaires au soulagement, à
la guérison de ceux d’entre eux qui,
dans les camps ou sur les champs de
bataille, tomberont frappés par la ma
ladie ou blessés par la mitraille, en dé
fendant nos foyers, nos champs, nos mè
res, nos femmes.
Pour la France, pour nos enfants !
Le Délégué régional de l’Union des
Femmes de France.
Henri PAULME.
Les dons en espèces doivent être a-
dressés au trésorier clu Comité de l’U
nion des Femmes de France dans cha
cune des villes. Les dons en nature
seront reçus également avec reconnais
sance .
L'heure de fermeture
des Hôtels-Restaurants reculée
Un nouvel arrêté de M. le Maire de
la ville du Havre, édicte que les hô
tels-restaurants et établissements où il
est servi à manger sont autorisés à res
ter ouvert jusqu’à 21 heures, à comp
ter du présent jour.
Cette autorisation n’est valable que
pour les personnes auxquelles il est ser
vi un repas.
Tout propriétaire ou gérant d’établis
sement de ce genre dans lequel il se
rait servi des boissons en dehors de
tout repas après 20 heures s’exposerait
à voir son établissement définitivement
fermé.
Médecins non Mobilisés
Premier canton
MM. Brunschwig, 21, rue Séry.
Claret, 45, boulevard François I er
Durand-Viel, 109, boulevard Fran
çois I er .
Frottier, 15, place Gambetta.
Gibert, 114, boulevard François I er
Jullien, 37, rue Gustave-Cazavan.
Michel, 31, rue Séry.
Périchon, 123, rue de Paris.
Richard, 41, rue Dicquemare.
Quatrième canton
MM. Baudet, 129, cours de la Républi
que.
Feugier, 324, rue de Normandie.
Osmont, 271, rue de Normandie.
Cinquième canton
MM. Angot, 22, rue Joinville.
Deville, 28, rue 'Thiers.
Dehelly, 25, rue Joinville.
Griner, 23, place de l’Hôtel-de-Vil-
le.
Guillot, 25, rue Joinville.
Humeau, 1, rue de Toul.
Lausiès, 8, rue Casimir-Périer.
Termet, 1 bis, rue Joinville.
Sixième canton
MM. Decorde, 72, rue d’Etretat.
Dubarry, 44, rue Joinville.
Hamonet, 123, rue d’Etretat.
Willemin, 31, rue de Metz.
On demande des Crieurs
Forte remise
Le Gérant : E. JAMET.
Imp. LE TEMPLIER, Havre.
l
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